vendredi 30 juillet 2010

L'OEIL QUI VOIT TOUT !

"EYEBOWL"

Baptisée "Eyebowl", cette création de la société ODF Optronics est aussi un nouveau type de caméra d'espionnage. Elle est conçue pour être utilisée comme une sorte d'éclaireur dans des situations conflictuelles mais elle peut aussi servir à rechercher des victimes sur les décombres d'un tremblement de terre. En fait, la caméra est placée dans une balle de la taille d'une boule de pétanque qui peut être lancée, et qui est capable de résister à des chocs violents et répétés. La caméra transmet images et son, elle est capable de voir même dans le noir complet.

jeudi 29 juillet 2010

DÉCOUVERTE : CARTE CÉLESTE de l'ANTIQUE CHINE










(cliquez sur l'image pour agrandir)

Après avoir dormi près de mille ans dans une grotte, un rouleau de papier chinois présentant les constellations et datant du VIIe siècle est actuellement exposé à Paris.

Situées sur la route de la Soie, les grottes des Mille Bouddhas ont été percées il y a seize siècles dans une falaise à proximité de la ville de Dunhuang, au cœur d'une région aride au sud du désert de Gobi. Près de 500 cavités ornées de peintures et de statues à l'effigie de Bouddha ont ainsi été redécouvertes par des explorateurs européens à la fin du XIXe siècle.

C'est dans une de ces grottes qu'une petite salle fermée a attiré leur attention. Son ouverture a révélé 40.000 manuscrits en parfait état de conservation, grâce à un climat très sec.
En 1907 l'archéologue anglais Alfred Stein emporta 7.000 de ces documents au British Museum de Londres. Il fallut attendre 2004 pour qu'un programme international, le IDP (pour International Dunhuang Project), rassemble des chercheurs de différents pays en vue d'analyser ces documents et de les numériser.

1.300 étoiles fidèlement positionnées

Alors que le papier n'arrive en Occident qu'à partir du IXe siècle grâce aux Arabes qui en ont appris les secrets de fabrication de la bouche de leurs prisonniers chinois, il est utilisé en Chine et au Japon depuis le premier siècle.
Les manuscrits de la grotte de Dunhuang sont principalement des textes religieux, mais c'est un rouleau de papier très fin de 4 mètres de long et 25 centimètres de large qui a été confié à une équipe de l'IRFU (Institut de Recherches sur les lois Fondamentales de l'Univers) qui dépend du service d'astrophysique du CEA (le Commissariat à l'Énergie Atomique), sous la conduite de l'astrophysicien Jean-Marc Bonnet-Bidaud.

Ce rouleau est un véritable atlas céleste. Il se compose de douze panneaux rectangulaires qui représentent les constellations le long de l'équateur céleste ainsi qu'une carte circulaire pour la région de l'étoile polaire.
L'équipe de l'IRFU a comparé la position des étoiles dessinées avec les cartes actuelles : l'atlas céleste de Dunhuang a été réalisé en utilisant différentes projections mathématiques qui assurent une précision de 1 à 4 degrés pour les étoiles les plus brillantes. Ce travail réalisé à la main et d'une remarquable précision pourrait être l'œuvre de l'astronome et mathématicien chinois Li Chunfeng (qui vécut au VIIe siècle).

Ce manuscrit est présenté en France pour la première fois, au sein de l'exposition La Voie du Tao qui se déroule à Paris au Grand Palais jusqu'au 5 juillet 2010.

Source: eso-news

mercredi 28 juillet 2010

ALIGNEMENT INUSITÉ DES ASTRES!

VOICI UNE PHOTO STUPÉFIANTES DE L'ALIGNEMENT QUI S'EST PRODUIT DERNIÈREMENT À JIA-HAO, EN INDONÉSIE LE 21 JUILLET 2010... (cliquez sur l'image pour agrandir)

mardi 27 juillet 2010

La BIÈRE la PLUS BiZaRrE au MONDE !

Brewdog : La bière la plus bizarre et alcoolisée du monde!
source : lexpress.fr











En plus de contenir 55% d'alcool, les bouteilles écossaises de la bière "Brewdog" sont vendues dans des animaux empaillés!

Une brasserie écossaise, Brewdog, lance une bière contenant 55% d'alcool, nommée sobrement "The End of History" ("La Fin de l'Histoire").

Les spécialistes de la bière crieront au scandale, dénigrant ce breuvage qui n'a rien à voir avec la véritable bière. Ici on parle pratiquement d'un whisky ou d'un gin puisque d'ailleurs on utilise la baie de genévrier dans sa composition...















Chez les militants pour les droits des animaux, on qualifie d'ores et déjà ce produit de "pervers" et de "stupide gadget marketing".

Brewdog assure que ces animaux sont morts de cause naturelle...
Imperturbable, l'un des fondateurs de Brewdog, James Watt, explique qu'il souhaite ainsi "montrer aux gens une alternative aux monolithiques compagnies productrices de bière, les introduire à une approche totalement nouvelle de la boisson, afin d'élever le statut de cette dernière dans notre culture."

En tout cas, c'est un si ce n'est pas un coup de marketing, ce sera un p'tit coup d'argent vite fait : Les brasseurs commercialisent la bouteille de "Brewdog" dans une hermine(à environ 900 dollars) ou un écureuil empaillé (environs 780 dollars).

The End of History from BrewDog on Vimeo.


http://www.lexpress.fr/styles/saveurs/la-biere-la-plus-etrange-et-alcoolisee-du-monde_908010.html

lundi 26 juillet 2010

911 PENTAGONE : AUCUNE TRACE D’AVION !

Pour ceux qui font leur propre petite enquête sur les événements du 11 septembre 2001; voici une vidéo choc disponible par miracle sur You Tube ses derniers jours, à propos de l’attaque du Pentagone. Pour ceux qui cherchent la vérité : ce document est incontournable!
Dépêchez-vous de bien la regarder avant qu’on ne décide de la retirer du web!!!
Il y a des preuves irréfutables qu’il n’y s’y trouve aucune trace d’avion! (la vidéo n’a pas de son pour mieux protéger l’identité du vidéaste…).

dimanche 25 juillet 2010

CACA COLA




















Une étude menée par un professeur brésilien de l'université fédérale de Matto Grosso a révélé la troublante vérité sur les effets de boire des colas comme du Coke ou du Pepsi... Voici ce qui se passe dans votre corps dans les 60 minutes après l'ingestion d'un de ces colas :

Après 10 MINUTES, 10 cuillères à thé de sucre frappent votre corps de plein fouet, c'est 100% de la dose quotidienne recommandée. Même si la dose est excessive, vous ne vomirez pas car l'acide phosphorique coupe le goût du sucre dans le cola.

Après 20 MINUTES, le taux de sucre dans votre sang augmente abruptement, forçant un rush d'insuline. Le foie répond au rush en transformant les sucres en gras.

Après 40 MINUTES, l'absorption de la caféine est complétée. Vos pupilles se dilatent, votre pression sanguine augmente, votre foie répond en pompant plus de sucre dans votre sang. Les récepteurs d'adénosine dans le cerveau sont maintenant bloqués, ce qui empêche les étourdissements et vous donne une poussée d'énergie.

Après 45 MINUTES, le corps augmente la production de dopamine stimulant les centres du plaisir. Il se passe la même chose lors de la consommation d'héroïne, par exemple.

Après 50 MINUTES, l'acide phosphorique se lie au calcium, au magnésium et au zinc dans l'intestin, ce qui fait augmenter le métabolisme. Les fortes doses de sucre ou de succédanés de sucre augmentent aussi l'excrétion du calcium dans l'urine, en d'autres mots, vous urinez vos os, ce qui est une des causes de l'ostéoporose.

Après 60 MINUTES, les propriétés diurétiques de la caféine entrent en jeu; vous urinez. Il est maintenant assuré que vous allez faire sortir de votre corps du calcium, du magnésium et du zinc, ce que vos os ont besoin. Le temps passe et vous ressentez une baisse de sucre. Vous serez probablement impatient. Vous aurez excrété tout ce qu'il y avait dans le cola mais aussi des tas de choses dont votre corps a besoin.

Vous irez donc vous en chercher un autre !

Prof. Dr. Carlos Alexandre Fett

Source: http://eso-news.blogspot.com/




















Le COCA et le SUCRE















LES MENSONGES DE COCA-COLA
petite histoire d'un poison

















Coca Cola, l’entreprise la plus connue au monde nous raconte une version officielle de son histoire complètement faussée de ses débuts ou un pharmacien aurait trouvé par "hasard" cette recette en cherchant un médicament, en passant par l’époque de la seconde guerre mondiale ou les dirigeants de coca cola se sont alliés sans hésiter avec les nazis pour leur proposer une boisson similaire au coca cola, utilisant ainsi les travailleurs forcés dans les usines nazis et mettant en place un plan pour contourner les restrictions d’approvisionnement imposées par les pays limitrophes aux nazis jusqu’a ses récents déboires en inde, sans oublier le fait que coca cola contenait (comme son nom l’indique) de la cocaïne à ses débuts et est le dérivé d’une boisson française très connue à cette époque appelée le "vin mariani". Ces articles présente les principaux aspects du livre "Coca Cola l’enquête interdite" de William Reymond et en développe d’autres comme l’affaire en Inde.

Cet article est principalement basé sur le livre "Coca Cola, L’enquête Interdite" de William Reymond dont je présente certaines grandes parties. Ce qui saute aux yeux dès le début du livre est l’omerta et le silence de Coca Cola qui dès qu’ils ont appris que l’auteur écrivait un livre sur la marque ont reçu la consigne de ne plus lui répondre, sauf si il acceptait que la publication du livre soit supervisée et autorisée par Coca Cola, même une association d’anciens de la marque ont refusé de lui répondre, ayant visiblement reçus des consignes dans ce sens. Un tel silence ne peut qu’éveiller la curiosité et donner l’envie d’aller rechercher plus loin ce qui se cache là derrière...

La Stratégie Publicitaire




















Ce qui est choquant et très visible dans ce livre (voir aussi l’interview de l’auteur) est d’abord la stratégie publicitaire de la marque de mettre les consommateurs au centre de leur spots, pour nous faire croire que leur priorité c’est nous, qu’ils font attention à nous, et non plus à leurs bénéfices [voir "coca cola, l’enquête interdite", p196] ! Ils nous font croire que nous somme au centre de leur préoccupations, alors qu’en réalité, c’est seulement l’augmentation du bénéfice qui est en cause. En fait, ils nous montrent dans ces spots que c’est grâce à nous qu’ils font plein de bénéfices...

Une de leur stratégie est donc de mettre les consommateurs / spectateurs au centre de leurs spots et de présenter comme depuis le début coca cola comme un complément indispensable à ces réussites sportives, au succès. En buvant coca cola, on a l’impression d’avoir participé à ce succès. Ce sont ceux qui boivent cette boisson qui sont mis en avant, en boire devient un symbole de réussite, de joie, qui réussit surtout aux bénéfices des patrons de l’entreprise...

Cela est très visible sur leurs spots pour la coupe du monde de 2006 :
http://cocacolawebads.online.fr/ads/fr_on_parle_tous_football_1.mpg

Ou encore l’euro 2004 :
http://cocacolawebads.online.fr/ads/coca-cola_fr_euro2004.mpg

Et aussi dans un spot qui passe en ce moment à la TV ou l’on voit des gens dans un village se réunir autour d’un repas dans la joie et la présence de la bouteille de coca cola est très peu mis en avant mais assez pour qu’on la voie, cela ressemble aux images subliminales ou l’on est influencé sans même le savoir.

On voit clairement dans certains spots leur volonté de cacher la réalité et d’inventer une jolie histoire qui évite de montrer les aspect négatifs de cette entreprise, voilà comment est fabriqué leur boisson selon coca cola qui est présenté comme une "usine à bonheur", ce qui reste une constante de la marque, faire croire qu’elle permet le bonheur, la libération, en oubliant les aspects plus sombres de son histoire et en ne présentant que les aspects positifs (comme leur engagement pour l’environnement en oubliant les dangers et les risques de certaines produits utilisés dans la fabrication du coca cola ou leur spoliation de l’eau dans certains pays ou l’usine de coca s’implante, voir plus bas), depuis le début, cette boisson à pour but de donner un "coup de fouet") à ceux qui la boivent, comme une dose de drogue (le coca cola contiendra en effet à ses débuts de la cocaïne) et/ou de vin dont on ne connaissait pas à l’époque les dangers :

http://cocacolawebads.online.fr/ads/usa_coca-cola_happiness_factory_2006.wmv

Dans un article de 2003, on trouve une explication sur un changement de méthodes publicitaires de la marque ou l’on cite un dirigeant de coca cola qui dit que "Le choix américain repose sur l’idée que le consommateur souhaite aujourd’hui être plus authentique, explique André Maestrini, directeur marketing France et Benelux de Coca-Cola.", mais comme vous le verrez tout au long de l’article, ce n’est que ce que l’entreprise veut faire croire (son image de façade) et non ce qu’elle est réellement (authentique) :

"07/03/2003 - La marque mise en France sur une communication plus offensive. Publicité, produit, identité visuelle, marketing relationnel : tout y passe.
Fini les films intimistes d’Erick Zonca signés « Sourire la vie ». Adieu, la bande de jeunes attablée au café évoquant avec un brin d’optimisme des sujets très sérieux : l’amour, le premier emploi, l’avenir... Coca-Cola revient à une communication plus offensive en attaquant sur tous les fronts. Le géant des soft-drinks a d’abord décidé d’adopter, en France, un film signé McCann-Erickson Madrid. Plus festif, plus dynamique, il dépeint un monde idyllique où l’on chante de joie dans le métro et où les bouteilles de Coca-Cola tombent gratuitement des distributeurs de boisson. Plus précisément, le spot montre un guitariste, dans une rame de métro, entonnant Chihuahua, un mambo des années cinquante remixé par un DJ suisse de renom, DJ Bobo. Un jeune passager lui offre une gorgée de Coca-Cola. Ragaillardi par la fraîcheur du soda, il entraîne la rame dans un mambo endiablé..."
"Ce nouveau ton publicitaire marque un tournant dans la stratégie de Coca-Cola. Aux États-Unis, où les ventes du groupe se sont tassées ces deux dernières années, le groupe vient de changer d’agence. Berlin Cameron-Red Cell a succédé à McCann-Erickson.
Et le slogan « Life Tastes Good » s’est transformé en « It’s the real thing ».« Le choix américain repose sur l’idée que le consommateur souhaite aujourd’hui être plus authentique,explique André Maestrini, directeur marketing France et Benelux de Coca-Cola.Mais chaque pays doit s’interroger sur la meilleure façon d’exprimer les valeurs de la marque. Pour nous, le film " Chihuahua " est un excellent relais de dynamisme et d’innovation."

On parle même dans le livre de distributeurs de boissons dont les prix seraient ajustées automatiquement en fonction de la demande, en traduction, plus il fait chaud ou lors d’événements sportifs les distributeurs concernés pourraient voir leur prix augmenté, il semble que cet aspect ai été abandonné par la marque, mais ce n’est pas si sûr au vue des nouveaux distributeurs de boisson que la firme teste actuellement :

"Coca-Cola effectue des tests de son nouveau distributeur de boisson, qui se verra doter d’un écran tactile fonctionnant sous Windows CE. Du nom de "Freestyle", cette machine peut distribuer jusqu’à 120 différents types de soda, tracer les ventes selon le moment de la journée, et il peut être géré à distance. Coca-Cola aura toutes les informations pour que la firme puisse mieux positionner ses futurs produits au meilleur moment de la journée."
Source :
http://www.ubergizmo.com/fr/archives/2009/07/test_du_distributeur_coca-cola_sous_windows_ce.php

Mais ce n’est qu’une infime partie des mensonges de cette marque, leur plus grand mensonge tient à leur version "officielle" de leur propre histoire, on a tous entendu parlé de scientifique qui aurait découvert cette boisson "par hasard" en cherchant un médicament, mais en fait elle fut en vérité le fruit de longues recherches pour mettre au point une boisson que les gens "adoreraient" et non mise au point par un médecin recherchant des médicaments.

L’origine de la boisson est en fait une boisson française appelée "Vin Mariani" qui avait un grand succès et qui était importé aux États Unis à cette époque dont l’inventeur du coca cola a commencé par imiter la recette en la modifiant puis a du la modifier à nouveau pour être conforme à une nouvelle loi interdisant la vente d’alcool à Atlanta ou ils vendait son breuvage, devenue depuis la capitale de coca cola, il a donc mélangé de la cocaïne (qui était une substance autorisée à l’époque) avec de la caféine pour reproduire l’effet "coup de fouet" du vin, on comprend mieux alors pourquoi la marque ne nous raconte pas sa véritable histoire, mais, attention, ce n’est que le début qui est beaucoup moins glorieux que ce que l’on peut croire...

Des Débuts Scabreux

La recette de la boisson n’a sans doute pas été acquise légalement par coca cola contrairement à ce qu’elle affirme, le début de l’entreprise étant un méli mélo inextricables de non dits, de vols de recettes et autres manipulations, la société bien connue n’a jamais simplement "acheté" la recette comme le présente la compagnie dans ses discours officiels. La firme oublie de préciser que l’inventeur de la recette n’a pas grand chose à voir avec la compagnie Coca Cola car il a a fondé une autre compagnie (vendant du "Coke" qui était en fait la même recette que la boisson produite par Coca Cola), et que c’était lui en son nom propre qui avait la propriété de la recette et non ses associés du début. L’entreprise mondialement connue n’a sans doute jamais détenu légalement la recette de leur boisson qu’ils vendent pourtant depuis plus de 100 ans !
Le fils de l’inventeur de la fameuse boisson a été retrouvé mort dans des conditions douteuses [chapitre "Suicide", p.116], laissant penser à un suicide mais laissant planer un doute, étant donné que son "suicide" est arrivé à un point nommé pour éviter de sérieux problèmes à la compagnie, qui aurait peut être été coulée, étant donné qu’elle n’avait pas les moyen de prouver que la recette avait été acquise légalement et qu’elle ne l’avait sans doute pas été, tandis que le fils de l’inventeur avait des parts de la société concurrente à cette époque de Coca Cola qui avait été fondée par l’inventeur du Coca Cola et proposant exactement le même breuvage que la compagnie Coca Cola, et avait sans doute la recette transmise légalement par son père avec les parts de la société, sans parler de fausses signatures présentées sur des documents de coca cola présentés à des procès pour faire croire que l’entreprise avait acquise légalement cette recette, il semble donc que l’entreprise repose sur non pas une vente légale de la recette et autres parts, mais bien de vols et de fausses signatures et de destructions de preuves parce que le président avait demandé de brûler les livres de comptes et autres documents de la compagnie que l’on connaît si bien... [chap. "Faux", p. 99].

Voici un extrait de la présentation historique officielle qui est une infime partie de la véritable histoire, grossièrement simplifiée et faussée, (http://www.thecoca-colacompany.com/..., le 29/06/2009)
"Dr. Pemberton never realized the potential of the beverage he created. He gradually sold portions of his business to various partners and, just prior to his death in 1888, sold his remaining interest in Coca-Cola to Asa G. Candler. An Atlantan with great business acumen, Mr. Candler proceeded to buy additional rights and acquire complete control. "
Traduction :
"Dr.Pemberton (NDT : l’inventeur de la recette) n’a jamais réalisé le potentiel du breuvage qu’il avait crée. Il a graduellement vendu des parts de son entreprise à différents partenaires et juste avant sa mort en 1888, a vendu le reste de ses parts de Coca-Cola à Asa G.Candler. Business man originaire d’Atlanta, Mr.Candler à procédés à l’achat de droits supplémentaires et à acquis le contrôle complet de la compagnie."

Voici la présentation sur le site officiel au 29/06/2009, http://www.formulesecrete.fr/FR/ :

"À la fin du XIXème siècle, on pouvait trouver des centaines de boissons qui vantaient leurs effets tonifiants. Mais il n’y en avait qu’une qui se détachait du lot. Une boisson unique à base de cola, à la fois rafraîchissante et dynamisante. Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette boisson soit l’œuvre d’un médecin célèbre qui n’a jamais renoncé à améliorer sa formule et a constamment recherché les meilleurs ingrédients. Il répondait au nom de Dr. John Pemberton.
Certains affirment que même ses propres enfants ne connaissaient pas les ingrédients exacts de la recette. D’autres prétendent qu’il commandait de grandes quantités d’extraits végétaux qu’il n’aurait jamais utilisés, juste pour tromper la concurrence.
Ce dont nous sommes certains, c’est qu’un jour John Pemberton finit par concevoir la formule parfaite, et cela de manière authentique et artisanale. Les ingrédients sont bien entendu indiqués sur chaque bouteille de Coca-Cola. Mais ce qui ne figure pas sur les étiquettes c’est la formule secrète. Le mélange exact d’extraits végétaux reste jusqu’à ce jour la formule secrète la plus célèbre du monde. Nous ne vous révèlerons pas ce que contient notre formule secrète, mais nous pouvons vous dire ce qu’elle ne contient pas. Sans conservateurs ajoutés. Sans arômes artificiels. Depuis 1886 "
Il semble faux de dire que son propre fils ne connaissait pas la recette comme il la vendait par petites annonces dans les journaux et peut être même que le fils de l’inventeur du coca cola à été tué parce qu’il détenait légalement la recette et pas l’entreprise, ce qui le mettait en danger.
Il n’est pas juste non plus de dire que la recette était artisanale, car il apparaît que l’inventeur du coca cola allait publier un livre contenant ses 12000 (!) expériences chimiques et qu’il avait déjà une renommée dans le domaine des breuvages redonnant "un coup de fouet" [chap. "Corse", p.57]. Il était donc surtout chimiste et non médecin comme on nous le fait croire...
On peut remarquer que Coca Cola oublie de dire que la recette originelle contenait durant des années de la cocaïne et des résidus de cocaïne même après son interdiction officielle, le patron de l’époque ayant apparemment réussi à empêcher la divulgation de cette information au public à l’époque, mais l’auteur ne site pas de références sur ses propos [chap "Embarras", p.71 et note de bas de page p.77].

Dominer le Monde

L’ambition de coca cola semble être depuis longtemps non pas simplement de devenir une entreprise prospère mais de "dominer le monde", ce qui semble être déjà atteint dans certains pays ou villes où des statistiques montrent que l’on en consomme plus de litres par habitants que d’eau, mais c’est une entreprise ayant acquis un très grand "savoir faire" dans les manipulations pour arriver à imposer leur marque, comme on le découvre tout au long du livre, mais la résistance Française à la sortie de la guerre à cette marque est devenu un "cas d’école", chez les commerciaux de l’entreprise et on découvre la guerre sans merci qu’elle livre à son concurrent direct : Pepsi [voir notamment Chap. "Espion", p.247].

















Comment les pouvoirs publics peuvent ils laisser faire une telle entreprise au détriment de la santé des citoyens, qui veut remplacer l’eau par une boisson extrêmement sucrée et très acide, ce qui peut conduire à des problèmes de santé si elle est consommé en grande quantité à cause du sucre et de composants acides qu’elle contient ?
Après tout, la marque entretient son succès sur le mythe du pharmacien cherchant un remède et ayant découvert le Coca Cola (on associe donc facilement cette boisson à un médicament), bien sûr, on ne peut plus se permettre de dire que c’est un médicament clairement à l’heure actuelle, mais lorsqu’on en boit, on a tout de même l’impression de se faire du bien, et comme cité plus haut dans la présentation officielle, on nous présente cette boisson comme étant une sorte de médicament : "Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette boisson soit l’œuvre d’un médecin célèbre". On sous entend clairement que c’est un médicament.

C’est toujours cette ambiguïté entre le discours officiel véhiculé par les pubs et les médias traditionnels (même des journalistes dans de grands médias semblent en effet avoir utilisé comme source pour l’histoire de la marque seulement la version officielle) et ce qui se cache derrière cette façade qui n’est qu’un simple décor sans aucun fondements comme le mythe du "médecin" étant tombé "par hasard" sur cette boisson, à part que c’est un simple plaisir instantané qui n’en en rien un véritable remède, c’est simplement certains composant de la boisson qui peuvent apporter un soulagement passager (avec un effet similaire à un calmant) dans certains cas, les effets positifs de cette boisson sont largement exagérés...
















Les Dangers du Coca Cola

On s’étonne que les dangers du coca cola ne soient pas plus pris au sérieux par les pouvoirs publics, notamment avec le principe de précaution, le Vénézuela à même totalement interdit la commercialisation du nouveau Coca Cola Zéro sans toutefois donner apparemment de raison.
Mais les dangers de l’acidité du coca cola à plus ou moins long terme sont reconnus dans certaines études tendant à montrer le danger d’en consommer à cause de son acidité :
"Si actuellement, il est déjà recommandé aux personnes atteintes d’une maladie rénale d’éviter le coca et les autres aliments riches en acide phosphorique comme la viande, il serait sans doute intéressant d’élargir ce conseil. En attendant les résultats d’autres études sur ce sujet, les personnes à risque de maladie rénale doivent se méfier du coca et veiller à ne pas en consommer quotidiennement. Et de façon plus générale, tous ceux qui consomment du coca tous les jours devraient le signaler à leur médecin, et discuter de la pertinence d’un dépistage de l’insuffisance rénale…"

Voir aussi :
Pour faire de vieux os, évitez les sodas
Pourtant les pouvoirs publics ne diffusent pas vraiment de messages de prévention spécifique et n’imposent pas à l’entreprise d’indiquer les risques de consommer leur boisson, ce qui serait la moindre des choses.

L’Aspartame est un autre produit à risques, peut être dangereux, présent dans de nombreux produits dont le coca cola "sans sucres" et nombre d’autres produits qui n’était pas autorisé à la vente durant des années à cause de résultats d’étude scientifiques, encore un produit dangereux que le lobby des compagnies ont réussis à imposer malgré leur dangers reconnus par de nombreuses recherches et études, cela ressemble fort aux fabricants de cigarettes qui connaissaient les dangers des cigarettes depuis longtemps mais l’on cachés comme l’on démontré des procès à leur encontre :
"L’aspartame n’a été autorisé qu’en 1981, pour les aliments
solides. Pendant plus de 8 ans, la FDA refusa son autorisation
à cause des crises d’épilepsie et des tumeurs cancéreuses du
cerveau provoquées par ce produit sur des animaux de
laboratoire. La FDA continua à refuser cette autorisation
jusqu’à l’arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche (un ami
de Searl) qui démit de ses fonctions le Commissaire de la FDA
responsable de cet état de fait. Le Dr. Arthur Hull Hayes fut
alors nommé Commissaire. Cependant, il y avait alors tellement
d’opposants à l’autorisation qu’un Commission d’Enquête fut
créée. La commission statua : "Il ne faut pas autoriser
l’aspartame." Le Docteur Hayes REJETA les conclusions de sa
propre Commission d’Enquête.
Peu de temps après, le Commissaire Arthur Hull Hayes, Jr.,
autorisa l’utilisation d’aspartame dans les boissons gazeuses."

Source :
http://www.dorway.com/badnewsf.pdf

La défense habituelle est de dire que l’aspartame est présente dans ces produits en trop petite quantité pour être dangereuse, mais elle est justement présente dans des milliers de produits ce qui fait qu’on en consomme beaucoup plus qu’une dose dans un seul produit et les effets peuvent varier en fonction de l’état de la personne et bien entendu, ceux qui consomme beaucoup de produits en contenant sont très exposés à ces dangers comme les gros consommateur de cette boisson.

Voir aussi pour plus d’informations sur le sujet de l’Aspartame qui est tu par les pouvoirs publics en France et les médias mais fait l’objet d’un débat public dans d’autres pays depuis des années :
· http://www.dorway.com/ (Anglais)
· http://www.danger-sante.org/tag/liste-produits-aspartame/

· http://www.quelle-sante.com/article/aspartame-drogue-sucre-bio.html
· http://www.ladietetiquedutao.com/aspartame.html

Les Problèmes Environnementaux

Coca Cola est accusé dans certaines régions du monde de voler les réserves d’eau, au détriment des populations riveraines, des résidus de pesticides ont même été retrouvés dedans :
"En raison de leurs procédés de fabrication, ces boissons gazeuses présentent des risques. D’abord, parce que le pompage des nappes pratiqué par leurs usines dépouille les pauvres du droit à se fournir en eau potable. Ensuite, parce que ces usines rejettent des déchets toxiques qui menacent l’environnement et la santé. Enfin, parce que les sodas sont des boissons dangereuses – le Parlement indien a mis sur pied une commission mixte chargée d’enquêter sur la présence de résidus de pesticides.
Pendant plus d’un an, des femmes des tribus de Plachimada, dans le district de Palaghat, au Kerala, ont organisé des sit-in pour protester contre l’assèchement des nappes phréatiques par Coca-Cola. « Les habitants, écrit Virender Kumar, journaliste au quotidien Mathrubhumi, portent sur la tête de lourdes charges d’eau potable qu’ils doivent aller chercher loin, pendant que des camions de boissons gazeuses sortent de l’usine Coca . » Il faut 9 litres d’eau potable pour faire 1 litre de Coca.
Les femmes adivasies de Plachimada ont entamé leur mouvement peu après l’ouverture de l’usine Coca-Cola, dont la production devait atteindre, en mars 2000, 1 224 000 bouteilles de Coca-Cola, Fanta, Sprite, Limca, Thums Up, Kinley Soda et Maaza.
Le panchayat local lui avait accordé sous conditions l’autorisation de puiser l’eau à l’aide de pompes motorisées. Mais la multinationale s’est mise à puiser, en toute illégalité, des millions de litres d’eau pure dans plus de six puits forés par ses soins et équipés de pompes électriques ultrapuissantes. Le niveau des nappes a terriblement baissé, passant de 45 mètres à 150 mètres de profondeur.
Non contente de voler l’eau de la collectivité, Coca-Cola a pollué le peu qu’il en restait, rejetant les eaux souillées dans les forages à sec creusés sur ses installations pour enfouir les déchets solides. Auparavant, l’entreprise déposait ses déchets en dehors, si bien qu’à la saison des pluies leur dissémination dans les rizières, les canaux et les puits constituait une menace des plus sérieuses pour la santé publique. Ce n’est plus le cas. Mais la contamination des sources aquifères n’en est pas moins réelle."
Source :
http://www.monde-diplomatique.fr/2005/03/SHIVA/11985

Mais encore :
"Peu de temps après son installation en effet, les villageois dénoncent la pollution et l’assèchement des nappes phréatiques. En 2004, le mouvement obtient gain de cause : le fabricant de sodas doit plier bagage, chassé par le conseil du village qui lui refuse le renouvellement de sa licence d’exploitation. Des tests montrent en effet un taux extrêmement élevé de cadnium dans les déchets rejetés par Coca Cola. Des conclusions qui viennent s’ajouter à un rapport du CSE (Center for science and environnement) démontrant des taux de pesticides 30 fois supérieurs aux normes européennes dans les bouteilles de Coca et Pepsi, entraînant le retrait immédiat des sodas dans les écoles, hôpitaux voire les administrations de cinq états fédérés. L’état du Kerala allant même jusqu’à interdire la production et la vente sur tout son territoire. Interdiction levée quelques années plus tard. Par ailleurs la question de l’assèchement des nappes phréatiques est soulevée par de nombreux rapports et donne lieu à des jugements tel celui de la Haute Cour de Kerala, qui s’il n’accuse pas Coca-Cola d’en être le seul responsable, lui demande de réduire sa consommation d’eau. Des avancées encore insuffisantes
Des actions qui ont ébranlé la multinationale, érodant ses ventes et son image. Pour faire face aux attaques, Coca-Cola a mis donc mis en ligne un site « Coke facts : the truth about the Coca-Cola company around the world » destinés à répliquer aux accusations portées sur l’Inde (et la Colombie).

Puis, en 2007, un fonds doté de 10 millions de dollars et spécifiquement dédié à la gestion de l’eau sur le sous-continent est créé. « Le système mis en place a permis de créer un potentiel de collecte des eaux de pluies environ égal à 82% de l’eau que nous utilisons en Inde », affirme un porte-parole de la marque. Rapports contre rapports, décisions de justice contre décisions de justice, Coca-Cola s’appuie aussi sur d’autres tests pour prouver qu’il n’existe plus de résidus de pesticides dans ses boissons et qu’elle n’est pas responsable de la baisse du niveau des eaux souterraines, stoppe la distribution de résidus accusés d’être toxiques aux paysans des villages alentours, réduit sa quantité d’eau nécessaire à la production des sodas (-34% entre 1999 et 2005), noue des partenariats, multiplie la création de citernes de collecte d’eau (350 aujourd’hui) et met en place la règle des « 3R : réduire, recycler, remplir ». Des avancées, certes mais insuffisantes, selon Amit Srivastava. « Que Coca Cola devienne plus économe en eau est une bonne nouvelle. Mais l’entreprise a changé ses pratiques sous la pression de la campagne.

Il y a sept ans, ils avaient seulement trois collecteurs d’eau pluviale, il leur fallait 9 litres d’eau pour fabriquer 1 litre de Coca et ils distribuaient leurs déchets toxiques aux paysans. » Alors que Coca-Cola met en avant les nombreuses récompenses obtenues pour ses efforts environnementaux, un rapport rendu en janvier 2008 par le TERI (The energy and resources institute) l’avertit toutefois de la dégradation de la situation hydraulique à Mehdiganj et demande la fermeture de l’usine de Kala Dera, située dans une zone particulièrement aride. A ce jour pourtant, celle-ci est toujours en activité. Selon un porte-parole de Coca-cola Inde, « le nombre de litres nécessaires à la production est aujourd’hui de 2,65 litres, ce qui en fait une de nos usines les plus économes en eau du pays et nous avons la capacité de réinjecter plus d’eau que nous en utilisons. » La bataille ne fait que continuer."

Source :
http://fr.biz.yahoo.com/15042009/227/coca-cola-contre-india-resource-center-la-bataille-de-l.html
Reportage video sur les problèmes en Inde :

L’eau pompée de coca cola
Voir aussi :
Campagne pour promouvoir l’eau et la reconnaitre comme un bien public : http://www.humanrights-geneva.info/L-eau-n-est-pas-du-Coca-Cola,1363
Une enquête confirme que coca cola doit fermer une usine en inde construite dans une zone aride :
"Après des années de combat, de manifestations et de lobbying, l’Institut de ressources et d’énergies (Energy and Resources Institute -TERI), a demandé à Coca-Cola de trouver des sources alternatives d’eau pour son approvisionnement et de délocaliser son usine située dans le village Kala Dera, dans l’état du Rajasthan, au Nord Ouest du Sous Continent indien, faute de quoi sa fermeture sera inévitable. C’est une première victoire pour ces militants qui cherchent à préserver la population locale des dommages collatéraux de la production de Coca Cola, comme le gaspillage des ressources en eau."
http://www.pourmaplanete.com/blog/index.php/2008/03/11/82-nouvelle-victoire-de-militants-indiens-contre-coca-cola
On apprend même que coca cola a implanté une usine dans une zone aride (Kala Dera ) déclarée officiellement très pauvre en eau, ce qui montre bien qu’ils ne se souçient pas du tout de l’environnement et qu’ils veulent s’imposer partout :
http://www.indiaresource.org/campaigns/coke/2009/cokedestroysvillages.html (Anglais)

Voir aussi :
http://www.indiaresource.org (Anglais)

Accusations de Meurtres

On trouve même des accusation portées à l’encontre de Coca Cola d’éliminer les représentants syndicaux de leurs employés en Colombie qui demandent l’amélioration des conditions de travail. Bien sûr officiellement coca cola dit que ce n’est pas le cas, mais lorsque l’on voit l’historique de cette société et leurs mensonges continuels, on ne peut que douter de leur parole et surtout ne pas croire à la version officielle car il semble aussi y avoir beaucoup de pression et de refus de l’entreprise d’accéder aux demandes des travailleurs même si ça ne prouve pas leur relation directe avec les crimes, et que ce genre de pratiques est monnaie courante en Colombie.

lIs ont tellement manipulés l’opinion publique et même leurs propres clients pour imposer leur boisson et en faire une marque de réussite, ce qui ne correspond pas vraiment à la véritable histoire comme on l’a vu, que l’on peut se demander quel est leur véritable rôle et responsabilité (voir aussi le prochain chapitre de l’article au sujet de Coca Cola et les Nazis) et ils pourraient sans doute faire pression sur les politiques locaux pour qu’ils prennent des mesures pour protéger les travailleurs quand on connait leur influence considérable et leurs relations, ainsi que leur expérience des relations avec les gouvernements, comme décrit dans le livre.

Voir : http://www.killercoke.org/(Anglais)
· Coca-Cola en Colombie : augmentation des profits, réduction de la main-d’oeuvre
· DIX ANS DEPUIS L’ASSASSINAT D’ISIDRO SEGUNDO GIL DIX ANS D’IMPUNITE
· Stop Killer Coke relance l’activisme contre Coca Cola
· Pétition en Français
· Vidéo en Français : http://www.youtube.com/watch?v=bY5mmIujGBA

















Le Grand Secret de Coca Cola : Leur Alliance avec les Nazis


Coca Cola à utilisé la seconde guerre mondiale pour faire croire qu’ils ont participé à "l’effort de guerre" et permis la libération en fournissant une boisson au soldats qui sont venus libérer l’Europe, en oubliant de préciser que d’être fournisseur officiel de l’armée à cette époque leur à évité d’être soumis aux restrictions et leur a permis de continuer de réaliser des profits et ils n’ont bien entendu pas hésités à associer la libération avec leur marque qui à été importée par l’armée et après la guerre lorsque la marque à voulu s’implanter en France.
Elle à utilisé cet argument pour culpabiliser ceux qui étaient contre le monopole et les méthodes de la société lorsqu’elle à vu que la France était un bastion de résistance à la domination américaine, elle à dit que c’était grâce à eux et que Coca Cola représentait ceux qui nous avaient libérés, une stratégie commerciale qui perdure puisque c’est ce discours qui est utilisé à chaque fois qu’ils s’implante dans un pays et exterminent les concurrents sans pitié, se livrant à une véritable guerre de destruction contrairement à ce qu’ils prétendent (permettre la libération), éradiquant leurs concurrents et expliquant que l’implantation du monopole de coca cola dans un pays permet aux industries locales de vivre, ce qui est assurément une grossière simplification de la réalité puisque sans cette pression de Coca Cola, le marché des boisson serait bien plus diversifié, une technique elle aussi à l’image de la marque qui comme on le voit à extrêmement simplifié son histoire qui ne montre que l’aspect superficiel, le sommet visible de l’iceberg, la présentant comme étant jalonnée uniquement de succès, et c’est aussi ce qui ressort de leurs campagnes de pubs des JO d’Atlanta ou de la coupe du monde en France, ou l’on montre des supporters et autres consommateurs, on sous entend sans le dire clairement que c’est grâce à Coca Cola que de tels événements appréciés et à succès ont lieu et que c’est donc aussi un peu grâce à tous ceux qui achètent cette marque...

Ce qu’oublie de dire l’entreprise, c’est qu’ils ont fait la même chose du coté Allemand en leur fournissant une version du Coca Cola différente à cause des restrictions de la guerre, une boisson appelée Fanta qui était à l’époque de la même couleur brune que la recette originale, mais il ne s’agit pas simplement d’une entreprise ayant été volée par les nazis à cette époque, mais bien d’une entente entre le patron de l’entreprise imposé par les nazis qui était un traité exactement comme si c’était un salarié choisi par la firme qui a pu jouer de ses amitiés de l’époque avec les nazis pour imposer la marque sous les ordres directs des grands patrons de Coca-Cola en Amérique, l’entreprise n’ayant visiblement vu aucun inconvénient à utiliser les esclaves, les travailleurs forcés dans ses usines, et ayant rencontré le patron de l’entreprise en Allemagne à plusieurs reprises pour s’assurer que Coca Cola serait toujours présent après la guerre, ils ont joué un double jeu, s’assurant en s’alliant avec la pire des horreurs que leur marque serait toujours présente après guerre, que ce soit du coté américain ou nazi... [Chap. "Collaboration", p.343]. Leur argument qu’ils ont participés à l’effort de guerre et donc à la libération semble donc s’écrouler et repose sur une mauvaise foi à tout épreuve de la part de la marque (voir les derniers documents sur la page des documents du site de l’auteur)...

Ce qui est encore plus inadmissible maintenant, est que cette entreprise continue d’entretenir ce déni et ce mensonge sur cette période de son histoire, alors que nombre d’entreprise ont déjà fait la lumière sur leur passé durant cette époque, mais personne non plus parmi les pouvoirs publics ne semblent oser toucher à Coca Cola qui ne fait que nier son passé de collaborateur nazi, s’étant allié à eux sans aucune restriction pour assurer la pérennité de la marque une fois la guerre terminée, profitant des travailleurs forcés et du régime nazi dont on connaît tous les horreurs pour faire la propagande de leur marque.

Si ils ne reconnaissent pas leur mensonges et leur proximité avec le pouvoir de l’époque sans se poser de questions du moment que ça permettait à l’entreprise de rester présente pendant la guerre, c’est sans doute parce que TOUTE leur communication repose encore maintenant sur le mensonge, le fantasme et le culte du secret avec leur recette et la dissimulation de ce qui s’est vraiment passé, de leur véritable histoire. Lorsque l’on entend des rumeurs de collaboration avec le pouvoir des pays dictatoriaux, on ne peut que prendre au sérieux cette hypothèse devant cette entreprise qui durant l’histoire à joué de ses contacts "hauts placés", comme avec nombre de présidents américains pour imposer leur boisson à tous et même devenir la boisson la plus bue avant l’eau dans certains pays et certains endroits du monde, ce qui est inadmissible compte tenu des problèmes de santé que pose la grande consommation de cette boisson très sucrée et très acide !

A voir aussi, sur les alliances d’entreprises comme IBM avec les nazis qui mit au point les machines pour gérer les camps de concentration ne reculant devant rien pour faire des profits :


Multinationales et démocratie - WWII

Et aussi cet article : Un nouvel ordre mondial ? qui met du plomb dans l’aile au mythe des Américains qui ne seraient que les libérateurs de l’Europe, car ils ont autant aidés les nazis à faire leur guerre :
"L’Amérique n’est vraiment pas ce que les livres d’histoires nous ont appris à l’école. Rien d’étonnant quand on sait que l’écriture de l’histoire en revient toujours aux vainqueurs de la guerre. Sans commenter le fait que les États-unis se sont construits sur le génocide d’un peuple (les indiens) et sur l’esclavage d’un autre (les africains)"
Lorsqu’on voit comme cette entreprise veut s’imposer partout dans le monde, même au prix de voler l’eau des paysans de la région et de s’installer dans des zones déjà très sèches, ou d’utiliser des esclaves et prisonniers de guerre, cela ne peut que ternir son image de "libérateur" et surtout montre comme ils veulent vraiment que coca cola passe avant tout y compris l’eau potable, en volant l’eau potable pour en faire du coca cola, l’eau n’est plus disponible car il n’y en a plus, mais par contre le coca l’est car produit avec cette eau qui était utilisée à la consommation courante des habitants de la région de production des usines !


Multinationales et démocratie - WWII
envoyé par wearechangenice. - L'info internationale vidéo.



On préfère Pepsi au Coca !
















Il apparaît que plusieurs études menées par Coca Cola et Pepsi démontrent que l’on préfère majoritairement le goût de Pepsi au Coca en test à l’aveugle, c’est en partie pourquoi Coca avait décidé de lancer dans les années 1980 une recette de remplacement qui était préférée au Pepsi en test en aveugle (Le "New Coke"), mais personne ne voulut de cette recette.
Pourquoi cette marque à pu s’imposer et devenir l’une de boisson les plus consommée alors que l’on préfère le goût d’une autre boisson qui a elle beaucoup moins de succès ?

Réponse : En inondant les espace de vente et les lieux fréquentés de publicités pour cette boisson, on achète principalement cette marque parce qu’elle est la plus facile à trouver, la plus visible et qu’on y est habitué, tout simplement :
"Pour augmenter ses parts de marché face à Pepsi, le leader mondial des sodas a trouvé une recette simple : être omniprésent dans les zones urbaines les plus fréquentées du monde. Exemple à la gare de Penn Station à New York, en présence du PDG de Coca-Cola, Muhtar Kent."

"Le patron de la marque de boisson la plus emblématique des États-Unis a du mal à cacher son plaisir. Et on le comprend. Il est venu avec sa garde rapprochée constater in situ si le plan mis au point par l’équipe marketing a été appliqué dans la gare new-yorkaise de Penn Station, un lieu où transitent chaque jour 600.000 voyageurs. Et ce qu’il voit est à la hauteur de ses espérances. Dans cette galerie marchande idéalement située, Coca-Cola est omniprésent. Des réfrigérateurs vitrés, des affiches publicitaires ont été placés dans chaque petite épicerie, chaque restaurant, et même chez le coiffeur et les cireurs de chaussures."

"Notre but ? Faire en sorte que nos produits soient à portée de main partout et inciter les consommateurs à l’achat d’impulsion"
Source : http://www.latribune.fr/entreprises/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/20090626trib000392788/coca-cola-imperator.html














Conclusion

J’espère que cet article ouvrira les yeux sur une boisson que l’on consomme tous les jours parce qu’on nous l’a imposé en nous faisant croire que c’était ce que l’on voulait, que l’on ne pouvait pas s’en passer, sur ce qui se cache derrière ce succès : les manipulations auxquelles on est soumis par ces publicitaires et on y participe en achetant principalement cette marque là.

Le véritable secret de Coca-Cola est en définitive sa véritable histoire, sa formule secrète est la manipulation et le mensonge, la ré-écriture de sa propre histoire : la négation des aspects négatifs de son histoire qui sont effacés de la légende officielle pour les rendre conforme à ce qu’attendent les gens : participer en achetant Coca Cola à une belle réussite écornée de tout scandale, sauf qu’il ne s’agit pas de la vérité, on se demande d’ailleurs comment ils peuvent continuer de présenter cette version de leur l’histoire sans être inquiétés par la justice, tellement ça parait à l’opposé de la vérité.

















On comprend mieux aussi pourquoi les JO de 1996 ont pu avoir lieu à Atlanta, capitale de Coca Cola et non à Athènes, car c’était le centenaire des JO, sans doute que les relations de l’entreprise y sont pour beaucoup, mais l’auteur du livre n’a pas fait de recherches là dessus, malheureusement, mais on peut s’en douter puisque ces jeux sont surnommés "Jeux Coca Cola" en raison du fait que c’était cette année là le seul partenaire officiel des JO ! Quel rapport avec le sport, l’origine de JO à Athènes ? Aucun ! Mais ça n’a semble-t-il pas dérangé le CIO !

Une chose est sûre, après avoir lu ce livre, vous ne regarderez plus ce logo rouge si connu de la même façon et si la compagnie se souciait tellement du bonheur, elle ne volerait pas l’eau des paysans en Inde en plus dans des zones arides, elle ne mettrait pas des produits douteux comme l’aspartame dans sa boisson et ne laisserait pas les employés de sa firme en Colombie se faire tuer sans réagir...

Pour plus d’informations :
· Page de l’auteur du livre "Coca Cola, L’Enquête Interdite" de William Reymond, ou l’on trouve des photos de documents confidentiels de l’entreprise sur ces relations "troubles" et ses manigances pour imposer à tous prix la marque et détruire totalement ses concurrents, et un résumé en photo de son histoire :
· Article sur la boisson ayant servi de modèle à l’ancêtre de Coca Cola : "Coca Cola est-il vraiment un produit américain ?"

samedi 24 juillet 2010

L’ÎLE AUX FLEURS

Voici un petit documentaire très sympathique, hilarant, divertissant et surtout très informateur :


l'Ile aux fleurs
envoyé par bubuletrognet.

vendredi 23 juillet 2010

LES DANGERS OGM

















Une étude semble démontrer que les souris nourries au soja transgénique, contrairement aux souris nourries au soja naturel, se retrouvent avec des organes différents. Les chercheurs ont demandé des fonds au gouvernement; des fonds pour étudier davantage la question... Les fonds ont été refusés.
Une autre étude, surle maïs transgénique de Monsanto, faite sur des rats, présente des résultats inquiétants sur la santé. Les « experts » ont conclu au terme de cette étude qu’il n’y a aucun problème de toxicité avec ce maïs transgénique.
Mais l’affaire ne s’est pas arrêté là. Corine Lepage a demandé au gouvernement l’étude en question sur ces rats. En retour, elle a reçu une étude sur des vaches… (?)
Peut-être que le gouvernement la prenait pour une dinde, ou espérait qu’elle s’en rendrait pas compte…
Elle a redemandé l’étude sur les rats. Réponse du Gouvernement : cette étude est confidentielle, secret industriel (Monsanto).
Corine Lepage est députée au Parlement européen depuis 2009 et elle est membre-fondatrice du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (CRIIGEN), association d’étude de l’impact des techniques génétiques sur le vivant.
Maintenant...
Extrait de l’excellente émission "90 minutes : OGM, l’étude qui accuse" consacré comme son nom l’indique aux études menées sur les OGM (Monsanto).

jeudi 22 juillet 2010

MARÉE NOIRE EN CHINE


L’explosion d’un réservoir de pétrole et de deux pipelines en Chine ont obligé les autorités à fermer un port.
Cette marée noire provoquée par l'explosion, vendredi 16 juillet, de deux oléoducs, suivie d’un incendie dans le port de Dalian, au nord-est de la Chine, s'étendrait désormais sur 180 kilomètres carrés, selon la presse chinoise.


Il s’agit des dégâts de deux oléoducs, de la China National Petroleum Corp (CNPC), le plus grand producteur et fournisseur de pétrole et de gaz du pays.

"Les explosions ont eu lieu dans le port vendredi alors qu’un tanker libérien livrait son pétrole, et du brut s’est immédiatement déversé dans la mer, avec un gigantesque incendie à la clé.
Une marée noire de cinquante kilomètres carrés s’est formée au large des côtes et les garde-côtes ont commencé à tenter de récupérer le plus de pétrole possible.
Le port de Dalian devrait rester fermé une semaine.", rapporte l'agence Xinhua.

Plusieurs plages et une île touristique ont été fermées au public près du port de Dalian, dans le nord-est de la Chine, en raison de cette marée noire qui affecte aussi les livraisons de pétrole brut.

Les touristes ne peuvent plus accéder à l'île de Bangchui et aux plages de Dalian, alors que les autorités tentent de nettoyer la nappe qui s'étend sur au moins 183 km2, a précisé le China Daily.

Quelque 1 500 tonnes de pétrole, se sont déversées jusqu'à présent, souillant les plages au bord de la Mer Jaune, selon une chaîne de télévision chinoise.
Des dizaines de bateaux et des centaines de soldats et volontaires participent aux opérations de nettoyage. Pour leur venir en aide, plus de 23 tonnes de bactéries « mangeuses de pétrole » sont utilisées pour tenter de venir à bout de cette pollution. Au moins 460 tonnes auraient déjà été récupérées, selon « Chine Nouvelle ».

Pour le moment, les raffineries du port utilisent leurs stocks afin d'éviter tout impact sur les prix de l'essence, a affirmé Chine Nouvelle.

L'objectif est également de contenir la marée noire, mais les pluies et vents compliquent la tâche. La plupart des centaines de bateaux de pêche mobilisés pour aider aux opérations ont dû retourner au port en raison des mauvaises conditions climatiques.
Un pompier a été tué mardi en se noyant après avoir été happé par une vague…

Dans un communiqué du 20 juillet, Greenpeace indique avoir été témoin d’un accident qui a provoqué le décès d’un pompier en action sur les lieux. L’ONG affirme en outre que la « catastrophe a provoqué des dégâts irréversibles sur le littoral, avec d’importants dommages sur les écosystèmes marins ». Et rapprochant ce nouveau drame de la marée noire du golfe du Mexique, elle appelle à « une réforme en profondeur de notre système d’approvisionnement énergétique ».

"Plus de 2000 pompiers ont été mobilisés pour éteindre cet incendie. Il leur a fallu plus de 15 heures pour y arriver. Selon le gouvernement local, aucun mort ni blessé n'est à déplorer, et les flammes n'auraient relâché que des gaz non toxiques. Le vice-président Zhang Dejiang s'est immédiatement rendu sur les lieux vendredi durant la nuit, rapporte l'agence Xinhua.
Le déversement de pétrole a été stoppé Dimanche après la fermeture des valves, mais les eaux au large du port de Dalian ont été gravement touchées, sur au moins 50 kilomètres carrés, par une couche noire et brune de pétrole brut. Quelques 20 bateaux ont participé dès samedi au nettoyage de la pollution. Les autorités prévoient 10 jours de nettoyage.

Jusqu'à présent, les explications sur la cause de l'accident ne sont pas encore définies"


Une Nouvelle Marée Noire En Chine [VOSTFR]
envoyé par la-matrice_org. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

BP : DÉSASTRE PLANIFIÉ ?

BP AURAIT-IL PLANIFIÉ LE DÉSASTRE DE LA MARÉE NOIRE!?


BP marée noire coup de maître prémédité business plan
envoyé par samsamsong. - Regardez les dernières vidéos d'actu.


UN RÉPONDANT NE RÉPOND PLUS DES DÉGÂTS DE BP!

Une employée de BP dévoile que le Centre d'Appels de l'Urgence de l amarée noire est une diversion et ne prend aucune note des appels... Cette histoire commence à prendre l'allure d'une mauvaise farce dévastatrice…(en anglais seulement)



Marée noire : nouvelle fuite près du dôme de confinement
Posted by Équipe Signes des Temps on July 19, 2010
Le Monde, 19 juillet 2010
AFP/HO La surveillance des fonds marins est de la plus haute importance pendant la période de test", a déclaré le responsable des opérations de lutte contre la marée noire pour l'administration Obama.
Les ingénieurs de BP ont détecté une fuite de pétrole souterraine aux abords du puits endommagé dans le golfe du Mexique qui pourrait être due au nouveau dôme de confinement mis en place jeudi, ont fait savoir, dimanche 18 juillet, les autorités américaines.
Quelques heures plus tôt, la compagnie britannique avait souhaité que le dispositif, qui a permis d’obturer le puits d’où se sont déversés des millions de litres de pétrole depuis le 20 avril, puisse rester en service jusqu’à l’achèvement, en août, des puits secondaires, seuls à même d’enrayer définitivement la marée noire. Des tests sur le dôme de confinement recouvrant le puits principal avaient toutefois été prolongés pour s’assurer de sa bonne étanchéité.



ANOMALIES INDÉTERMINÉES

Le gouvernement américain a ordonné dimanche à BP de l’informer sur “une fuite détectée” et sur “d’autres anomalies” près du puits sans pour autant exiger de BP qu’il enlève l’entonnoir qui empêche le jaillissement du pétrole. Dimanche soir, les pouvoirs publics ont diffusé une lettre de l’ex-amiral Thad Allen, responsable des opérations de lutte contre la marée noire pour l’administration Obama, indiquant que les résultats des tests n’étaient pas concluants. Adressée au directeur général de BP, Bob Dudley, la missive évoque une nouvelle fuite et “des anomalies de nature indéterminée à la tête du puits”.
“Je vous ordonne de me fournir une procédure écrite pour pouvoir ouvrir la vanne d’étranglement aussi vite que possible sans endommager le puits si la fuite d’hydrocarbure à côté du puits est confirmée”, écrit Thad Allen, sans donner davantage de détails sur la “fuite détectée”, ni sur les “anomalies”. “Etant donné les observations actuelles du test, y compris une fuite détectée à une certaine distance du puits, ainsi que des anomalies indéterminées à sa tête, la surveillance des fonds marins est de la plus haute importance pendant la période de test”, a dit l’ex-amiral.

“TUER LE PUITS”

C’était la première fois dimanche que le groupe pétrolier évoquait la possibilité que le puits reste fermé jusqu’à ce qu’il soit définitivement bouché grâce au creusement de puits de dérivation. Tout laissait penser jusqu’à présent que le puits serait partiellement ou complètement réouvert à l’issue d’une période de tests de quelques jours en attendant les puits de dérivation. “Nous ne voulons pas déverser à nouveau du pétrole dans le golfe si ce n’est pas nécessaire”, a expliqué dimanche le directeur d’exploitation de BP, Doug Suttles. “Nous avons bon espoir – si les indicateurs restent aussi encourageants – de pouvoir poursuivre notre test de résistance jusqu’à ce que le puits soit tué” et donc de laisser le puits fermé, a-t-il poursuivi.

“Le puits reste fermé et la pression continue de monter lentement”, ce qui est “un très bon signe”, a déclaré M. Suttles, dimanche au quatre-vingt-dixième jour de la catastrophe. La compagnie continue de travailler sur deux puits de dérivation qui doivent intercepter le puits principal à plusieurs kilomètres sous terre et permettre de le “tuer” définitivement en le bouchant à l’aide de béton. Cette opération extrêmement complexe et délicate est prévue entre fin juillet et la mi-août. D’ici là, la possibilité que, emprisonné dans le puits bouché par un gigantesque entonnoir, le pétrole comprimé ne finisse par créer des brèches et par se répandre à nouveau dans l’océan constitue la principale inquiétude des autorités et des ingénieurs de BP.
Le géant pétrolier britannique a annoncé lundi que la marée noire du golfe du Mexique lui avait coûté 3,95 milliards de dollars jusqu’ici (plus de 3 milliards d’euros) en frais divers, y compris les dédommagements déjà versés.

BP L'EMPOISONNEUR et LES MÉFAITS DU "COREXIT"

Question de savoir comment BP cherche à résoudre la marée noire...
Parce que si le trou à la source de la fuite est supposément bouché, il reste encore une immense nappe de pétrole et ses dégâts à nettoyer...
Le "Corexit" figure parmi les solutions drastiques adoptées par BP :


Corexit : Le Dispersant Du Diable - Dr. C. Pincetich [STFR]
envoyé par la-matrice_org. - L'actualité du moment en vidéo.

LES MENSONGES de BP

BP, illusion d’une fuite


















Voici la traduction d’un post particulièrement intéressant, qui a été trouvé sur le web.
Vous pouvez trouver l’original à cette adresse : http://shtf411.com/bp-illusion-of-a-false-spill-t7065.html

Voici ce post troublant :

« Le désastre dans le Golfe du Mexique est plus qu’une opération sous faux drapeaux, c’est une illusion.
Ce que je suis sur le point de révéler sera oublié et la mascarade continuera. Je n’écris pas pour jouer, attirer l’attention ou délirer, mais pour dénoncer la plus grosse arnaque du 21ème siècle, et pour soulager quelques cœurs lourds. Il n’y a pas besoin de craindre cette opération mise en scène. Je ne peux révéler mes sources, qui viennent des hautes sphères, mais j’espère que ce que j’écris vibrera dans le cœur des lecteurs comme étant la vérité.
La plupart des informations que je présente ici ne peut pas être aisément et rapidement vérifiée, car elles sont juste des ouï-dire, provenant d’anonymes via internet.
Le gouvernement, les compagnies, et les gens qui se trouvent derrière ont pris toutes les précautions pour s’assurer que la vérité ne sorte pas.
Il y a des raisons pour lesquelles les plages sont gardées par des compagnies de surveillance privées, s’assurant que personne n’accède au pétrole sur la côte. C’est pour cela que le survol en avion est interdit au dessus du Golfe du Mexique, et que les militaires ont bouclé la zone. C’est également la raison pour laquelle le puit semble si différent sur toutes les vidéos diffusée par BP.
Sans ces mesures de contrôle l’illusion ne marcherait pas.
Dans ce post je voudrais donner quelques indices menant a la vérité, d’ou vous pourrez constater qu’un truc est tombé à la mer : Le bon sens.
Le fuite de pétrole s’échouant sur les côtes ne proviennent pas de BP Deep Horizon. Elles proviennent de puits voisins, qui fuyaient déjà de par leur conception. Ces puits peuvent été géo localisés par une simple recherche sur le net. Vous remarquerez qu’une grande partie du pétrole est en fait sous la forme de goudron. Des boules de goudron ; dont pour certaines le poids dépasse la tonne.

http://geology.about.com/cs/volcanology/a/aa051604a.htm

Depuis le début, BP, Halliburton, et leurs complices savaient ou ils foraient. Utilisant du matériel spécialisé, comme le bateau allemand RV Sonne, ils avaient une carte détaillée du fond de l’océan. Le bateau et un groupe de scientifiques, depuis 2005, dans le Golfe du Mexique : C’est le point de départ de ce qu’il se passe dans le golfe , voici un lien (en anglais) vers les résultats de l’étude : http://geology.about.com/cs/volcanology/a/aa051604a.htm

Un autre aspect de ce que l’on m’a dit est que BP, Haliburton et leurs complices ont foré intentionnellement au milieu d’un côté de ce volcan d’asphalte. De ce que j’ai compris, c’est ‘effet bouteille de soda’. S’ils avaient foré au sommet du volcan, alors tout le gaz se serait échappé, et aurait explosé comme du liquide carboné embouteillé. Le fait de forer dans le côté permet un contrôle sûre de l’échappement de gaz, de goudron, d’asphalte liquide et d’autres composés gazeux. Ce n’est plus ou moins qu’une évacuation contrôlée, presque naturelle en fait !

Le volcan asphaltique est une situation gagnant-gagnant pour cette opération sous faux drapeau : Cela est la meilleure illusion possible envers toutes les parties extérieures. Non seulement les conspirateurs ont besoin de tromper le grand public, mais aussi l’industrie pétrolière et la communauté scientifique.

Le public est aisé à tromper, mais cela demande plus d’efforts pour les deux autres groupes, c’est la raison principale pour laquelle les compagnies de surveillance privées et les militaires ont isolé le Golfe du Mexique. N’importe qui connaissant bien cet évènement, sait qu’il est entouré d’histoires et d’accusations de négligence.

Cette illusion semble crédible pour les observateurs extérieurs, une explication est plus facile à croire quand on évoque l’erreur humaine ou l’incompétence.

Les conspirateurs savaient que la pression produite par le volcan soufflerait même de meilleurs équipements. C’était la deuxième stratégie pour tromper les autres experts du métier.

Tous les experts et la communauté scientifique ne savent que ce qu’on leur dit, c’est-à-dire qu’il y a un puit percé sur une énorme poche d’hydrocarbure sous haute pression. Même pour un œil entrainé, cela apparait comme une fuite massive de pétrole, alors qu’en fait il s’agit d’un évènement contrôlé.

En regardant les vidéos ou les émissions en direct, cela semble horrible, et très inquiétant, mais après un examen plus approfondi, il s’agit d’une « Fumée Noire « , remarquez comme les preuves sont construites, la vidéo , je le suspecte à cause de la vidéo ci-dessous. La voix off dit juste quil s’agit d’un volcan ! Mais ce ne sont pas des flammes. Dans le lien ci-dessus, on voit un mélange de gaz, en particulier du souffre, et du fer qui créent un effet de flamme.

Depuis la diffusion de cette vidéo, plusieurs vidéos se sont avérées être fausses ou trafiquées.

Source : Under Creative Commons License : Attribution Non-Commercial


BP, les médias et Obama mentent: impossible de colmater le volcan de pétrole

Définition : Les corporations sont des entités sans conscience. Elles ne connaissent pas de frontières, pas plus que les désastres qu’elles engendrent régulièrement. Les nouvelles images satellites montrent que la marée noire de BP atteint maintenant les côtes du Mexique, proche du Yucatan et de Cancun en plus de se propager vers la côte ouest des États-Unis. Ceci est désormais une crise internationale.

Tel que vu dans la série d’article concernant cette catastrophe pétrolière (réf.: 1,2,3,4), il est clair que BP et le gouvernement américain tentent de dissimuler l’ampleur réelle de la situation dans le golfe du Mexique.
L’administration Obama fait face à des élections de mi-mandat en novembre et doit faire oublier cette crise environnementale ainsi que leur incapacité à faire le ménage dans le département qui gère les licences d’exploitation de pétrole, le Minerals Management Service, qui au lieu d’inspecter les plateformes de pétrole, préférait voir ses employés s’échanger des liens de sites pornographiques sur Internet, consommer de la drogue et faire la fête sur le bras des compagnies pétrolière.
Selon le rapport remis par l’inspecteur général du Département de l’intérieur, les enquêtes ont révélé une culture où l’acceptation des cadeaux de la part des compagnies pétrolières était répandue.

La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) amasse une grande quantité de données brutes qui pourraient aider le public et les scientifiques à mieux comprendre l’étendue des dommages causés par la fuite massive de pétrole dans le golfe du Mexique, mais ne les partage pas facilement.
Ces données pourraient être explosives spécialement durant cette année électorale aux États-Unis.

De son côté, British Petroleum (BP) a tout intérêt à limiter l’étendue des dégâts ainsi que la perception du public dans la perspective de limiter les poursuites judiciaires en dommages et intérêts à venir. Il est grandement question de perception, car il y semble y avoir toute une différence entre ce qu’on pense qui se déroule dans le golfe du Mexique et la situation réelle. BP va jusqu’à payer des universités et des scientifiques dans la région du golfe pour acheter leur silence. Cette semaine, BP, le gouvernement américain et les médias voudraient bien croire que leur dernière tentative de colmater le geyser de pétrole avec un nouveau couvercle ait réussi et de faire avaler au public leur propagande selon laquelle l’énorme fuite serait définitivement une chose du passé.

En réalité, le couvercle du puits du Deepwater Horizon a pour fonction de faire paraitre le problème comme étant réglé, mais ce n’est pas le cas. La fuite n’a pas été arrêtée, elle n’a simplement qu’été déplacée.
Ce stratagème sert Obama dans cette période pré-électorale qui risque de couter cher aux Démocrates et BP peut limiter les poursuites judiciaires qui pourraient aller jusqu’à $4300 par baril de pétrole déversé dans le golfe sous le Clean Water Act. Selon Cavnar, un expert dans le domaine, "alors qu’ils ont tout intérêt à boucher le puits de pétrole, BP a aussi tout intérêt à ne pas capturer 100% de ce pétrole jusqu’à ce que cela soit fait. Aussitôt qu’ils captureront la totalité de la fuite, alors un réel, mesurable chiffre sera devant le public et c’est la dernière chose que BP veut, puisque ce chiffre sera ensuite utilisé pour extrapoler les dommages environnementaux et par conséquent, le montant d’amendes par baril de pétrole qui leur seront imposés, ce qui va sûrement se monter à des milliards de dollars".

Les deux experts gouvernementaux de la Commission nationale sur BP ont révélé qu’entre 1,6 et 3,2 milliards litres de pétrole ont été déversés dans le golfe depuis la fin avril, l’équivalent de 10 et 20 millions de barils de pétrole. Et selon certains géologues, il n’est pas certain que le réservoir du Macondo puisse se vider rapidement. La quantité de pétrole qu’il renferme pourrait être de beaucoup supérieure aux premières estimations et d’autres ont comparé la taille du réservoir au Mont Everest.
C’est une des raisons principales pour laquelle BP utilise le dispersant chimique et toxique Corexit – cacher le pétrole sous la surface pour qu’il ne soit pas possible de calculer ces quantités astronomiques.
Peut importe que ces dispersants soient toxiques pour les humains et la vie sauvage. L’équivalent d’un million de barils de dispersants ont été utilisés par BP jusqu’à maintenant, un record historique.
En fait, il y a tellement de dispersants chimiques que même le super collecteur de pétrole qui avait été récemment mis en service en est rendu inutilisable puisque ce pétrole est dispersé et trop difficile à collecter.

Alors pourquoi est-ce que le problème n’a t-il pas été réglé par le nouveau couvercle de BP, tel que paradé partout dans les médias? Parce que nous savons déjà depuis le mois de mai et juin que le puits est endommagé à plusieurs endroits sous le niveau du fond de l’océan et que le pétrole et le méthane s’échappent même d’un peu partout du fond de l’océan et non pas seulement que de l’embouchure supérieure du puits du Deepwater.
Cela fut révélé par le sénateur Bill Nelson sur MSNBC le 7 juin 2010, par le Congressiste Markey le 23 juin 2010 qui lui, discutait de l’intégrité remise en question du puits ainsi que le silence que BP et le gouvernement impose au Congrès à ce sujet, interdisant de rendre public ces informations.

Le puits est loin d’avoir été colmaté et les opérations de nettoyage et de récupération du pétrole vont s’étendre pendant tout l’automne...
Des ingénieurs suivant la situation du puits endommagé ont détecté des fuites de pétrole et de méthane à travers les strates du fond de l’océan, rendant ainsi impossible la mission de fermer définitivement le puits avec un couvercle seulement. Les tests de pression et d’intégrité du puits ne sont pas concluants et le drillage des deux puits de secours a été interrompu parce que les choses ne vont pas comme prévu, évidemment.

C’est que le puits présente des points faibles à 3000 et 6000 mètres de fond et une autre fuite à une certaine distance du puits existe depuis quelques temps déjà.

Il est donc finalement impossible de colmater ce volcan de pétrole. Pire, en y ajoutant un couvercle sur le dessus du puits, le risque est grand que le méthane et le pétrole commencent à s’accumuler sous pression dans une poche à quelques centaines de mètres sous le fond de l’océan, formant ainsi une géante bulle qui pourrait éventuellement exploser, causant un massif déversement instantané dans le golfe. Cela s’était en quelque sorte produit lors de la première tentative de colmater le sommet du puits, alors que les boues de drillage s’étaient ramassées dans la formation géologique entourant le puits. Cette nouvelle tentative de colmater le puits à l’aide d’un couvercle ne fait donc aucun sens et ne constitue en aucune sorte une solution permanente.

Et ce méthane qui s’échappe tout autour du puits risque de poser de sérieux problèmes.
Un expert de l’industrie du pétrole, Rob Cavner, qui a déjà expliqué qu’il y a des dommages dans le puits de pétrole sous le fond océanique et que BP doit laisser le déversement de pétrole continuent à jaillir pour éviter que d’autres dommages dans le puits soient causés jusqu’à ce que la pression puisse amoindrie par les deux puits de secours, a déclaré qu’il craint que le test d’intégrité pourrait endommager davantage et même faire exploser le puits en entier.
Des scientifiques sont inquiets des niveaux de méthane qui atteignent de dangereux sommets pouvant tuer des millions de personnes...
Ce ne serait pas une première, puisque qu’il est possible qu’une des pires extinctions que la Terre a vécu il y a 251 millions d’années ait été causé par une énorme explosion de méthane provenant d’éruptions provenant des profondeurs des océans, selon des géologues américains.

À suivre…
Source : François Marginean

mercredi 21 juillet 2010

ESCROQUERIE DES BIO-CARBURANTS

















Les chiffres du Département de l’Agriculture Américain (USDA) révèlent qu’un quart des céréales américaines cultivées en 2009 ont été destinées aux biocarburants, transformant la nourriture bon marché en carburant onéreux. Cela augmente les prix des denrées alimentaires et cause des dommages à l’environnement, pourtant le président Obama a promis « la poursuite des investissements dans les biocarburants avancés » lors de son discours annuel sur l’état de l’Union.
Selon un document sur la crise alimentaire de 2007-2008 rédigé par le Groupe d’étude des perspectives de développement de la Banque Mondiale et ayant filtré dans les médias en 2008, aux États-Unis et en Union européenne la production de biocarburants a été responsable de 70 à 75 % de la hausse des prix — contre 3 % admis par le USDA.
Ces subventions n’ont rien à voir avec la réduction d’émissions de gaz à effet de serre mais bien plus avec du lobbying. Pourtant, en dépit de la réaction à l’encontre des biocarburants en 2008, ces derniers sont toujours à l’ordre du jour.
Les biocarburants produits à partir de cultures comme le maïs, le sucre et l’huile de palme ont plus que triplé depuis 2000. Les États-Unis vont augmenter le mélange d’éthanol à 15 milliards de gallons d’ici 2012 et 36 milliards en 2022, contre 9 milliards l’an dernier.
Un rapport récent de la Rice University (Texas) a découvert que les USA ont dépensé 4 milliards de dollars en subventions aux biocarburants en 2008 pour remplacer seulement 2 % de l’approvisionnement en essence des États-Unis. Le coût estimé pour les contribuables est d’environ 82 $ US le baril, soit 1,95 $ US de plus par gallon que le prix du carburant pétrole. En 2022, les subventions des biocarburants américains auront totalisé 400 milliards de dollars US, selon le groupe de pression environnemental « les Amis de la Terre » (Friends of the Earth). L’UE ne fait pas mieux, distribuant environ 3,7 milliards d’euros (5,2 milliards de dollars) de subventions pour les biocarburants en 2007, visant à remplacer 5,75 % des carburants d’ici la fin 2010.
















Au-delà des impôts gaspillés et la hausse des prix alimentaires, les biocarburants sont un contre-sens environnemental : leur production aux États-Unis et en UE génère plus d’émissions qu’elle n’en évite. Le prix Nobel de chimie Paul J. Crutzen estime que : « pour le biodiesel de colza, qui représente environ 80 % de la production de biocarburants en Europe, le réchauffement relatif dû aux émissions de N2O [oxyde nitreux] est estimé à 1 à 1,7 fois plus que l’effet de quasi-refroidissement dû aux réductions des émissions de CO2 [dioxyde de carbone] d’origine fossile. Pour le bioéthanol de maïs, dominant aux États-Unis, le chiffre est de 0,9 à 1,5. »
Bien que l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture voit peu de chance dans un avenir proche d’un autre « concours de circonstances d’autant de facteurs » qui ont causé la crise alimentaire, on ne peut se satisfaire de cette situation. Les prix alimentaires mettent beaucoup de temps à diminuer (le maïs est encore supérieur de 50 % à la moyenne 2003-2006), tandis que le nombre de personnes sous-alimentées a récemment dépassé le milliard. Cette tendance est inquiétante, car il y a eu une augmentation tant du nombre absolu que du pourcentage de personnes sous-alimentées, inversant ainsi des décennies de progrès.
L’éthanol utilise déjà 27 millions sur les 90 millions d’acres (1 acre = ½ hectare) de maïs aux États-Unis : l’indice des prix des aliments de la Banque mondiale a doublé entre 2006 et 2008.
Si la culture de biocarburants était vraiment une question d’environnement, les USA n’imposeraient pas de tarifs douaniers sur le bioéthanol d’Amérique latine et des Caraïbes. De même, les nouveaux tarifs douaniers de l’UE sont manifestement destinés aux producteurs américains qui envoient 95 % de leurs exportations de biocarburants en Europe.
En outre, il y a la crainte que les habitats naturels soient convertis en terres agricoles pour tirer profit des subventions aux biocarburants. Le détournement des terres cultivées existantes aux États-Unis pour les biocarburants a déplacé la production de soja en Amérique du Sud et en Indonésie, en encourageant la déforestation.
















Les biocarburants n’économisent pas non plus l’énergie. Certaines variétés nécessitent autant d’énergie pour croître, être transportées et traitées, qu’elles n’en libèrent quand on les consomme.
Par ailleurs, selon le Conseil mondial des entreprises pour le développement durable, lorsque le prix du pétrole passe sous les 70 dollars le baril (les prix récents varient entre 70 et 85 dollars US), l’éthanol à base de maïs est environ au même prix à la pompe que les carburants pétroliers normaux — mais sans compter les subventions payées par les contribuables.
Les États-Unis et l’UE indiquent qu’une « deuxième génération » de biocarburants à partir de cellulose végétale ou de déchets aidera à réaliser les objectifs d’énergies renouvelables qu’ils se sont imposés, mais il s’agit d’une industrie naissante qui doit encore prouver sa rentabilité. L’UE a déclaré qu’elle réétudierait les biocarburants après la crise alimentaire. Mais il y a des pressions importantes des lobbies agricoles aux USA et en UE.
L’agriculture fait face à de nombreuses difficultés, de la manière d’établir les droits fonciers à la façon de diffuser la technologie ou à s’adapter au changement climatique. Mais le problème des biocarburants est d’une évidence déconcertante : créer un marché artificiel avec des subventions ne réduira pas les émissions, ne sauvera pas les forêts tropicales et ne nourrira pas les pauvres. Subventionner les biocarburants n’est qu’un moyen de détourner des fonds vers les lobbies agricoles des pays riches : il est temps d’y mettre fin.

Source : "Un Monde Libre"
par Caroline Boin
Caroline Boin est directrice de projet à l’International Policy Network de Londres, un think tank indépendant dédié aux questions de développement économique.