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mercredi 27 mai 2015

L'ÉCOCAPSULE


Cette petite capsule autosuffisante vous permet d’habiter n’importe où sur la planète !!!

Avez-vous déjà rêvé de pouvoir vous promener partout dans le monde et arrêter là où bon vous semble pour vous y installer presque aussi confortablement qu’à la maison?

Eh bien, votre rêve pourrait devenir réalité grâce à l’Ecocapsule, une nouvelle capsule autosuffisante mobile.
 

La petite maison munie d’un espace habitable de 8 mètres carrés permettra aux propriétaires d’habiter pratiquement n’importe où dès l’an prochain.




Chaque capsule vient avec un lit pour deux, une cuisinette, une toilette avec douche et eau chaude, de l’espace de rangement, un espace pour manger qui sert aussi de bureau et deux fenêtres.

L’Ecocapsule, qui est présentement en préproduction, récolte et filtre l’eau de pluie tout en étant alimentée par le soleil et le vent.


La batterie de la capsule peut recharger des voitures électriques, ce qui permet une infinité de possibilités d’emplacements, comme les plages, la campagne et les montagnes.


lundi 7 octobre 2013

UNE INCROYABLE NOUVEAUTÉ: LA "TOMTATO"


La société Thompson & Morgan a fièrement annoncé une nouvelle avancée dans le monde de l'agriculture. Ils viennent, en effet, de présenter leur TomTato, une plante qui produit environ 500 tomates-cerises sucrées hors-sol et des pommes de terre sous terre. Du naturel, rien que du naturel Selon la compagnie, TomTato est une variété de plante totalement naturelle qui n'a pas été génétiquement modifiée. Chaque plante est en réalité le résultat d'un croisement entre une greffe de plant de tomates et une greffe de plant de pommes de terre. Une opération très difficile qui nécessite avant tout un toucher délicat et des greffons identiques.

Thompson and Morgan, les créateurs de cette fameuse plante ont donc réussi à faire pousser sur un même plan des tomates et des patates. (de là le nom : tomato + potato = « tomtato »)

Dans l'ensemble la, TomTato est un spectacle assez curieux.


Ces plants de tomtatos produisent des légumes absolument bons pour la consommation, ils ont un très bon goût, et ne comportent aucun danger à être consommer puisqu’ils ne sont pas nés de manipulations génétiques.

"Au début, nous relions les deux greffons avec une pince en plastique. Cette dernière tombe d'elle-même lorsque la greffe prend. La plante est ensuite transférée dans un pot de 9 cm pour grandir normalement", détaille Paul Hansord, directeur-horticulteur chez Thompson & Morgan. 

Résultat, la plante se développerait aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur, du moment qu'elle a assez de place pour s'épanouir. Un développement de longue haleine Paul Hansord explique que l'idée d'un plant hybride lui est venue il y a une quinzaine d'années.

À l'époque, aux États-Unis, un jardinier avait, en guise de plaisanterie, planté des pommes de terre sous des tomates. "Je me suis demandé si c'était réellement réalisable. Et l'idée est ressortie il y a quatre ou cinq ans lors d'un voyage en Italie. 

J'ai rencontré une entreprise spécialisée dans les greffons de plantes. Et c'est aux Pays-Bas, que j'ai trouvé la société qui a accepté de m'aider", détaille-t-il. 

Pendant trois ans, Paul Hansord et ses partenaires ont ainsi travaillé pour développer la TomTato.

Aujourd'hui, ils affirment pouvoir produire au moins 34.000 plants par an. "Ce fut un travail très long car les tiges de tomates et celles de pommes de terre doivent être exactement de la même épaisseur pour que la greffe prenne, c'est très complexe", précise-t-il au Telegraph. Néanmoins, le résultat est payant puisque ce type de "double-plante", pourrait être très utile à l'avenir. En effet, elles permettent de faire pousser plus de nourriture dans un espace restreint. Et les tomates comme les pommes de terre sont bien entendu tout à fait comestibles, assure la société dans la vidéo de présentation. Ces dernières peuvent même être cuites à la vapeur, frites ou revenues à la poêle. 

D'autres plants de tomate-pomme de terre Il y a quelques années, une prison kényane a développé le même genre de plante tomate-pomme de terre. Selon un responsable de la prison, "cette plante a permis aux agriculteurs locaux de gagner de l'espace et du temps sans affecter la qualité de leurs produits". En vérité, la combinaison tomate/pomme de terre est testée depuis des années déjà, mais c'est la première fois qu'elle est produite au Royaume-Uni. D'après ses créateurs, la TomTato est déjà disponible pour 14,99 livres (17 euros) le plant mais ce dernier ne durera qu'une seule saison, ont-ils précisé. Le même type de plante, baptisée Potato Tom mais créée par une autre entreprise horticole sera vendue en Nouvelle-Zélande dès octobre.


vendredi 13 septembre 2013

LE AÉROSCRAFT « PELICAN » RÉUSSI SON VOL D’ESSAI!

Le Gigantesque « Aeroscraft » est prêt, et il vole enfin ! 


La plus grande innovation dans le domaine de l’aérospatial!

Il s'agit d'un nouveau type d'avion-dirigeable rigide. Ce n'est pas un dirigeable, et ce n'est pas un avion, mais cette chose, à mis chemin entre les deux, a le potentiel de changer la façon dont nous verrons désormais notre façon de voyager par la voie des airs...

Ce dirigeable entièrement rigide, surnommé le Aeroscraft, est fondamentalement différent d’un dirigeables.

Par définition, les dirigeable (type "Goodyears") n'ont pas de structure interne et maintiennent leurs formes que par la pression du gaz qu'ils contiennent; lorsque le gaz s'échappe, ils se dégonflent comme les ballons gigantesques qu'ils sont. 

Les dirigeables rigides, comme les "zeppelins" avant eux, conservent leur forme indépendamment de la pression de gaz grâce à un squelette interne (pour la structure du Hindenburg on avait utilisé du bois de balsa hautement inflammable, mais la structure du Aeroscraft, elle, est faite d'aluminium et de fibre de carbone), et maintient son dynamisme avec une série vessies remplies de gaz.


Le Aeroscraft a été développé par Aeros Corp, le plus important fabriquant de dirigeable au monde (fabricant de dirigeable, depuis 1996). Le projet a reçu plus de 35 millions de dollars en fonds de R & D et du gouvernement qui a même donner à l'entreprise le support de la NASA pour aider à développer l'aérodynamique et les systèmes de contrôle.


Avec le lancement réussi de son prototype (de taille réduite – à demi-échelle), le « Pelican », ce week-end dernier, l'investissement semble avoir porté fruits. Les voyageurs du futur seront portés par des véhicules plus légers que l'air... Et le futur s'annonce proche...

Pour en savoir plus au sujet de l'"Aéroscraft" :

DES SCIENTIFIQUES ONT CRÉÉ UN "MINI-CERVEAU" HUMAIN EN LABORATOIRE !!!


Publiée dans la revue scientifique de référence Nature, la nouvelle a fait l'effet d'une bombe dans le monde médical. Des scientifiques de l'Institut de biologie moléculaire de l'Académie des sciences de Vienne ont réussi à créer un cerveau embryonnaire à partir de cellules souches de peau.

Comment ont-ils fait ?

Bien évidemment, il ne s'agit pas d'un vrai cerveau en miniature. C'est un fait un tissu d'environ 4 mm de diamètre qui présente toutes les caractéristiques d'un cerveau au stade embryonnaire, qui aurait atteint près de 9 semaines de développement. Alors comment ont-ils réussi à créer un tel organe ? En réalité, il n'ont rien fait pour, comme l'explique Dr Juergen Knoblich qui a participé à cette création. "Ce qui est vraiment fascinant c'est l'énorme capacité d'auto-organisation des cellules humaines. [...] Les cellules aiment former les bons tissus et si vous les laissez faire et leur fournissez juste les nutriments dont elles ont besoin, elles le font."

Les scientifiques ont donc placé les cellules souches de peau dans un environnement idéal à leur développement, et elles se sont organisées de manière à créer un cerveau, tout comme elles auraient pu décider de créer un cœur ou un foie.

Pourquoi c'est une révolution ?


L'élément primordial est de pouvoir mieux comprendre, et peut-être soigner, les maladies du cerveau qui sont aujourd'hui très difficiles à traiter. Grâce à la production de ce cerveau embryonnaires, les scientifiques ont pu faire de nombreux tests, notamment concernant la microcéphalie, une maladie neuro-développementale grave mais rare, dont le principal symptôme est un cerveau plus petit que la normale. 

"Notre système permet de remonter aux origines de la maladie" se félicite le Dr Knoblich. "Nous pensons pouvoir générer des tumeurs cérébrales qui pourraient être utilisées par l'industrie pharmaceutique pour tester des médicaments" ajoute-t-il.

Un problème éthique ?


Comme toujours dans ce genre d'avancées, on craint une marchandisation du vivant, des pratiques eugéniques et j'en passe. Alors, y'a-t-il véritablement un risque ?

Non, assure le Dr Knoblich. D'une part, parce qu'il semble impossible à l'heure actuelle de reproduire un cerveau dans son entier, car pour atteindre une taille plus grosse que ses 4 mm il aurait besoin de vaisseaux sanguins. D'autre part, concernant une hypothétique transplantation, "je ne crois pas que cela soit possible et je ne pense pas non plus qu'il serait éthiquement permis de générer un cerveau entier et de l'utiliser pour réparer un cerveau humain." conclut le Dr Knoblich. Nous voilà rassurés ! Ou pas...

source : LeFigaro

lundi 15 juillet 2013

CRÉATION DE LA PREMIÈRE CELLULE ZOMBIE PAR DES CHERCHEURS AMÉRICAINS !


Le Début de la Fin : Création de la première cellule zombie par des chercheurs américains

La science fiction en a rêvé, vous en avez rêvé, les américains l’ont fait ! Ils ont réussi à développer une cellule morte… toujours en fonction… Vous avez dit zombie ? 

On vous explique tout ça… 

Il s’agit d’une première mondiale, les chercheurs n’en reviennent toujours pas d’avoir réussi leur expérience et que les résultats surpassent ce qu’ils avaient imaginé : la cellule morte s’est montrée plus performante que lorsqu’elle était vivante, on imagine le pire…

Les scientifiques du Laboratoire National de Sandia et de l’Université du Nouveau-Mexique ont eu recours à une technique originale. Ils ont enduit des cellules de mammifères avec une solution de silice pour former une sorte de blindage perméable autour de la protéine de la cellule vivante, et permettre ainsi aux chercheurs de confronter la cellule à des températures et des pressions inimaginables pour une cellule vivante.

Chauffée à 400°C, la cellule s’évapore littéralement et laisse dans la silice une réplique tridimensionnelle des structures minéralisées et des fonctionnalités complexes de l’organisme vivant qu’elle était avec une précision quasi atomique, tout en préservant la spirale de l’ADN cellulaire.


Étonnamment, la cellule morte reste capable d’effectuer certaines de ses anciennes fonctions. Parfois, elle les réussit même mieux que lors de son vivant grâce aux propriétés du silice qui lui permettent de résister à des températures et des pressions qu’elle n’aurait jamais pu endurer par exemple.

Le chercheur Bryan Kaehr déclare d’ailleurs : « Nos cellules zombies jettent un pont entre la chimie et la biologie en créant des cellules qui, non seulement ressemblent comme deux gouttes d’eau à elles-mêmes mais sont aussi capables de travailler sans relâche ».


dimanche 9 juin 2013

L'Ordinateur Quantique : La Nouvelle Révolution Informatique !


pour en savoir plus cliquez sur l'image...

sur l'excellent site : terre sacrée.org

mardi 23 avril 2013

SOURIEZ... VOILÀ LES DRÔNES !!!


Un jour, serez-vous suivi à la trace par des engins volants sans pilotes, munis de caméras ? Les drones risquent bien de se multiplier au dessus de nos têtes. Pour notre "plus grand bonheur"...

Il y avait les caméras de surveillance intelligentes, demain il y aura peut-être mieux pour nous surveiller. Non seulement vous craindrez de croiser un passant muni de Google Glasses, mais en plus, vous craindrez aussi, peut être, les drones. Vous savez, ces petits engins volants, utilisés pour l'instant principalement par l'armée, mais que l'on voit déjà dans les films ou bouquins de science-fiction futuristes. 

Munis de caméras, les drones pourraient bien vous pister, dans la rue, devant chez vous, partout. J'en ai déjà parlé dans un billet sur la reconnaissance faciale : cette technologie, qui permet de reconnaître un individu sur les images d'une caméra ou sur des photographies, devrait être utilisée à terme par les drones, ou véhicules aériens sans pilotes (UAV) de l'armée américaine. 30 000 drones d'ici à 2030, qui permettront de "reconnaître un individu selon sa taille, son âge, son genre et sa couleur de peau".

Levez la tête


L'utilisation de tels drones ne se limitera visiblement pas aux opérations militaires. Selon le maire de New-York, Michael Bloomberg, les drones devraient être également déployés dans les grandes métropoles, pour surveiller les civils. Au nom de la sacro-sainte sécurité, bien sûr.

Pour Michael Bloomberg, il n'y aurait pas de grande différence entre une caméra de surveillance classique et un drone muni de caméras : "quelle différence entre un drone en l'air ou une caméra fixée à un immeuble?". Et d'ajouter, prophétique : "nous allons vers un monde différent, inconnu. Vous ne pourrez pas empêcher la vague de déferler".

Pour l'instant, les technologies de reconnaissance faciale demeurent au stade du développement et sont loin de fonctionner parfaitement. Cela nous laisse donc une petite marge, de 5 à 10 ans, pour profiter pleinement de notre vie privée, avant l'arrivée de ces "drones de sécurité".


Comme l'explique Slate, les associations de défense de la vie privée s'inquiètent de l'utilisation de ces drones, tant aux USA qu'en Europe. L'Epic (Electronic Privacy Information Center) réclame un encadrement strict de leur utilisation (un mandat, obligatoirement utilisé par les policiers).

La CNIL a lancé de son côté une réflexion sur les cadres éthiques et juridiques à mettre en place, notamment concernant la surveillance privée. Car les drones "faits maison" ou les "drones-jouets" pourraient être aussi utilisés par des voisins un tantinet voyeurs. "Dès lors qu'il est équipé d'un appareil photo, d'une caméra mobile, d'un capteur sonore ou encore d'un dispositif de géolocalisation, un drone peut potentiellement porter atteinte à la vie privée, capter et diffuser des données personnelles", rappelle la CNIL. 

"Il pourrait y avoir des dérives contre la vie privée ou des usages pour l’espionnage industriel ou le terrorisme", prévenait récemment Clément Rossignol, physicien au CNRS et vice-président vert de la communauté urbaine de Bordeaux, dans Libération.

Demain, tous suspects ?

Il est bon de savoir qu'aux États-Unis, un programme de recherche, baptisé Trapwire, a pour objectif de développer une technologie permettant de détecter les comportements suspects des citoyens sur les images des caméras de surveillance (et donc, pourquoi pas, des futurs drones civils).

À New-York, la police s'est alliée l'été dernier à Microsoft pour mettre en place un système de prévention du crime, le DAS (Domain Awareness System). Un peu comme dans Minority Report (oui, j'y reviens toujours), les caméras de la ville et des capteurs placés un peu partout permettront de détecter les comportements suspects des habitants, et donc de prévenir les crimes.

En Europe, il existe aussi une armada de programmes de ce genre, financés par l'Union Européenne. Les plus connus s'appellent INDECT et ADABTS. Ils sont encore au stade de la recherche, les technologies développées à coups d'algorithmes sont loin d'être matures, mais d'ici à 2020, les chercheurs européens espèrent pouvoir suivre à la trace un suspect sur les images des caméras et détecter un comportement suspect dans n'importe quel lieu public. 

La reconnaissance faciale, si elle équipe les drones, permettra de suivre davantage quelqu'un à la trace. Le plus beau est que la personne suivie ne s'en apercevra même pas : prenez le système ARGUS-IS (Autonomous Real-Time Ground Ubiquitous Surveillance Imaging System) développé par l'armée américaine. Selon Numerama, ce système de surveillance est capable d'épier un individu à partir d'un drone situé à plus de 6 kilomètres de hauteur, en filmant non stop les rues d'une ville. L'avenir est bel et bien en marche !


Des drones pour surveiller les New-Yorkais

Les avions sans pilote vont surveiller la sécurité dans les rues de grande ville américaine New York prochainement, a déclaré le maire Michael Bloomberg. À son avis, il n'y a pas de différence si une caméra de sécurité est attachée au bâtiment ou placée sur un drone volant. 

Il est prévu que New York sera entièrement contrôlée par les caméras dans 5 ans. Le maire a également noté qu'à l'heure actuelle, les programmes informatiques spéciaux, qui permettront d'établir l'identité d'un passant par son image, se trouvent sur le stade de développement.

jeudi 24 janvier 2013

L'ÈRE DES NANOTECHNOLOGIES...


Les nanotechnologies ont ouvert un nouveau chapitre dans l'histoire des technologies : celui d'une miniaturisation qui confine à l'invisible. Nous n'en sommes pas nécessairement conscients, mais certains matériaux aux propriétés inimaginables il y a encore quelques années ou des objets familiers dotés de fonctions inédites ont déjà fait leur entrée dans nos vies.



lundi 9 avril 2012

DES INVENTEURS FOUS À LA RESCOUSSE DE LA PLANÈTE!!!

Sean Riley voyage à travers le monde à la rencontre d'inventeurs qui ont pour objectif de sauver la planète avec des propositions pragmatiques ou loufoques.

PLANÈTE S.O.S. !

Planète SOS par tzetze

vendredi 23 septembre 2011

LA VITESSE DE LA LUMIÈRE ET LES THÉORIES D'EINSTEIN, DÉPASSÉES PAR UNE PARTICULE....

Totalement inattendu, étonnant!!! Les physiciens n'en croyaient pas leurs instruments mais ils pensent bien avoir mesuré une particule dépassant la vitesse de la lumière, pourtant considérée comme une "limite infranchissable" dans la théorie d'Einstein.

Selon les mesures effectuées par les spécialistes de l'expérience internationale Opera, des neutrinos - particules élémentaires de la matière - ont parcouru les 730 km séparant les installations du CERN à Genève du laboratoire souterrain de Gran Sasso (Italie) à une vitesse de 300.006 kilomètres par seconde, soit 6 km/s de plus que la vitesse de la lumière.

"Autrement dit, sur une "course de fond" de 730km, les neutrinos franchissent la ligne d'arrivée avec 20 mètres d'avance" sur la lumière si elle avait parcouru la même distance à travers l'écorce terrestre, précise le CNRS.

Et il ne s'agit pas d'un exploit unique : les résultats publiés par le CERN et le CNRS sont le fruit de trois ans de données et de l'observation de plus de 15.000 neutrinos, avec une marge d'erreur record de seulement 10 milliardièmes de seconde.

"Je ne m'attendais pas du tout à ça, on a passé six mois à refaire tout de zéro", a expliqué jeudi à des journalistes Dario Autiero, chercheur à l'Institut de physique nucléaire de Lyon et responsable de l'analyse des mesures d'Opera.

Recalibrage des instruments de mesures par les plus grands experts indépendants, vérification des relevés topographiques, du tunnel à particules... même la dérive des continents et le séisme dévastateur de L'Aquila ont été pris en compte.

Les scientifiques internationaux ont traqué la moindre faille dans leur expérience sans parvenir à un résultat différent: les neutrinos semblent bel et bien avoir voyagé plus vite que la lumière, défiant du même coup la théorie de la relativité d'Einstein!

"Compte tenu de l'énorme impact qu'un tel résultat pourrait avoir pour la physique, des mesures indépendantes s'avèrent nécessaires afin que l'effet observé puisse être réfuté ou bien formellement établi", souligne le CNRS.

"C'est pourquoi les chercheurs de la collaboration Opera ont souhaité ouvrir ce résultat à un examen plus large de la part de la communauté des physiciens" et l'ont publié, ajoute l'organisme de recherches français.

Appels à la prudence...

Si la mesure est confirmée, ses implications défient encore la compréhension.

Pour Pierre Binetruy, directeur du Laboratoire Astroparticules et cosmologie à Paris, cela peut vouloir dire que "des particules ont trouvé un raccourci dans une autre dimension", et donc qu'il existerait dans l'univers davantage que les quatre dimensions (les trois dimensions dans l'espace auxquelles s'ajoute celle du temps).

"Il se peut aussi que la vitesse de la lumière ne soit pas la vitesse limite", estime-t-il, tout en soulignant que le record battu par le neutrino ne signifierait pas forcément "qu'Einstein s'est trompé".

"Einstein n'a pas prouvé que Newton avait tort, il a trouvé une théorie plus générale" qui s'est superposée à celle de Newton. "Newton est correct quand la vitesse est petite par rapport à celle de la lumière", a renchéri Stavros Katsanevas, directeur adjoint de l'Institut de physique nucléaire.

De la même manière, la trouvaille d'Opera pourrait signifier que la théorie d'Einstein "est valable dans certains domaines mais qu'il existe une théorie encore plus globale, comme des poupées russes (...) ça ouvre de nouveaux champs", ajoute M. Binetruy.

Tout en se réjouissant des nouvelles perspectives qui s'offent à eux, les physiciens appellent à la plus grande "prudence" tant que les mesures n'auront pas été "vérifiées avec un système complètement différent", insiste Dario Autiero.

C'est le but visé par le projet Minos aux États-Unis, qui était déjà parvenu voici quelques années, entre le Fermilab de Chicago et une mine proche de la frontière canadienne, à un résultat similaire à celui d'Opera.

À l'époque, la marge d'erreur était jugée trop importante pour que la mesure soit recevable, mais les chercheurs américains planchent désormais sur une nouvelle expérience d'une précision sans précédent. Elle devrait aboutir d'ici environ trois ans, selon Stavros Katsanevas.

Source : AFP via "area51.blogspot"

jeudi 22 septembre 2011

DES "ARÔMES NATURELS" DE VIANDE EXTRAITS DE CHAMPIGNONS

Une étude de l'University of Arkansas publiée la semaine dernière dans la revue en ligne International Journal of Food Science & Technology et reprise par FoodNavigator est présentée par ses auteurs comme révolutionnaire: les chercheurs ont créé des arômes de viandes à partir de composés provenant de champignons, ce qui pourrait satisfaire les envies des carnivores sans détruire la planète, ou du moins sans abattre de bovins.

Puisque les autorités et les associations de protection de l'environnement sont en train de mener des campagnes tambour battant pour tenter de réduire la consommation de viande à travers le monde, la nouvelle tombe à point nommé.

Des scientifiques américains et chinois ont fait fermenter des pleurotes en y ajoutant des acides aminés et en traitant par la chaleur différents échantillons. Ils ont obtenu une palette d'arômes allant de la viande caramélisée en passant par des saveurs douces, terreuses, moisies et âcres.

D'après les chercheurs, même si des études antérieures ont démontré la formation de composés volatils dans les champignons comestibles, la production et l'isolation des arômes carnés seraient une première.??L'étude pourrait avoir des implications importantes pour l'industrie alimentaire, où l'arôme de viande naturel et convaincant pourrait être employé comme exhausteur de goût.??

«Près de 80% des saveurs et arômes employés à travers le monde sont issus de procédés chimiques... Cependant, avec la tendance actuelle et mondiale aux produits nutritifs et bons pour la santé, l'utilisation d'arômes naturels s'impose», écrivent les chercheurs. «Les consommateurs préfèrent les arômes naturels aux arômes de synthèse.»

La viande rouge est depuis quelques années dans le collimateur des autorités sanitaires, inquiètes des risques associés à une consommation trop importante, dont des risques de cancer et de maladies cardiaques. La hausse du pouvoir d'achat en Chine et en Inde a dopé la consommation mondiale de viande pour se rapprocher de niveaux non viables et les écolos stigmatisent la viande, considérée comme un fléau de la nature.

En parallèle, un panel de scientifiques s'est réuni ce mois-ci pour établir un mode opératoire et attirer des financiers dans le cadre de la course à la création d'une viande de synthèse commercialisable.

Source : Cyberpresse

vendredi 9 septembre 2011

UNE IDÉE VRAIMENT LUMINEUSE!

Plus qu'une simple lueur d'espoir... Une solution ingénieuse, vraiment lumineuse !

Comme on dit : "Que la lumière soit!"

dimanche 4 septembre 2011

DU SANG CRÉÉ À PARTIR DE CELLULES SOUCHES

Des scientifiques Français ont réussi à fabriquer des globules rouges humains à partir de cellules souches et à les transfuser!

C'est une étape décisive dans la recherche de substituts sanguins. Transfusés pour la première fois chez l'homme, des globules rouges fabriqués en laboratoire à partir de cellules souches se sont montrés aussi performants que des globules naturels. Ces résultats, obtenus par l'équipe du Pr Luc Douay (hôpital Saint-Antoine, Université Pierre et Marie Curie, Paris) dans le cadre d'un partenariat avec l'Établissement français du sang, sont publiés jeudi dans la revue spécialisée Blood, organe de la société américaine d'hématologie.

Avec les progrès de la médecine et le vieillissement de la population, les besoins transfusionnels sont en constante augmentation dans la plupart des pays. Actuellement, chaque année, 90 millions de culots globulaires sont nécessaires dans le monde, et 500 000 personnes sont transfusées en France. Pour prévenir les inévitables pénuries des années à venir, de nombreux chercheurs se sont lancés dans le défi du sang artificiel. Mais jusqu'ici, les diverses tentatives se sont soldées par des échecs. Ainsi des hémoglobines artificielles, qui après avoir été testées sur des milliers de patients, se sont révélées toxiques pour le cœur, avec un risque accru de 30 % de décès par infarctus. La publication de ces données, en 2008, a sonné le glas de cette génération de molécules, dont certaines étaient déjà en cours de commercialisation.

Une première mondiale chez l'homme!!!

C'est une toute autre approche, utilisant des cellules souches, qu'a choisi le Pr Douay. Ces dernières années, les travaux préliminaires de son équipe, pionnière sur le sujet, ont montré que plusieurs types de précurseurs pouvaient être cultivés et différenciés en laboratoire pour obtenir des globules rouges : cellules issues de sang de cordon, de la moelle osseuse, du sang périphérique ou cellules embryonnaires, voire cellules IPÉS - ou cellules souches adultes pluripotentes, qui offrent d'aussi riches possibilités que les cellules souches embryonnaires.

Pour cette première mondiale chez l'homme, les chercheurs français ont fait appel à des cellules souches adultes provenant d'un donneur de cellules souches pour une greffe de moelle osseuse. Celles-ci ont été cultivées dans un milieu adapté (avec un cocktail de facteurs de croissance) pour favoriser leur multiplication et les diriger vers un destin de globule rouge.
En trois semaines, 10 milliards de réticulocytes -ultime étape avant les globules rouges- ont ainsi été obtenus. Marquées avec du chrome radioactif (pour que les chercheurs puissent suivre leur devenir), ces précieuses cellules ont été injectées au volontaire. Là, elles ont terminé leur maturation et ont survécu aussi longtemps que des globules rouges naturels.

Les avantages du sang de cordon...
«Avec cette expérience, nous avons établi la preuve de concept, se réjouit le Pr Douay. Le défi est maintenant de passer à une phase industrielle». De fait, ce premier test a été réalisé avec un échantillon de 2 millilitres soit 10 milliards de globules rouges, quand une poche de sang représente un volume de 400 ml et 2000 milliards de cellules.

En vue d'une production à grande échelle, les chercheurs français envisagent plusieurs possibilités, dont celle de se tourner vers les cellules de sang de cordon, dont la capacité de prolifération est bien supérieure à celle des cellules souches adultes. «D'après nos résultats en laboratoire, un sang de cordon pourrait générer 50 à 100 culots globulaires» précise le Pr Douay.

L'équipe planche aussi sur l'optimisation des systèmes de compatibilités entre donneurs et receveurs. «Il n'y a pas seulement les groupes ABO, poursuit l'hématologue.
Il existe au total plus de 300 antigènes, mais en les choisissant astucieusement, on peut couvrir 99 % des besoins avec seulement trois types de sang. Ceci sera possible en partant de cellules souches pluripotentes adultes (iPS). C'est la voie en laquelle nous mettons le plus d'espoir». Si cette stratégie confirme ses promesses devant les années à venir, elle sera, selon le Pr Douay, d'abord proposée chez les polyimmunisés, ces patients qui ont reçu tant de transfusions qu'ils ont développé de multiples anticorps et rejettent tous les globules qui leur sont injectés. En France, ils représentent 1 à 3 % des transfusés, soit 25.000 transfusions par an.

D'ici là, les dons de sangs restent toujours indispensables...

Source : Agence "FrancePresse"

P.S. : Vaut-il mieux avoir du "bon sens" ou du "bon sang"?

dimanche 17 juillet 2011

"L'ENERGIE LIBRE", ILLIMITÉE ET NON POLLUANTE! DISPONIBLE POUR TOUS !!!

Imaginez un monde avec une énergie abondante, propre, peu coûteuse, les centrales nucléaires, de gaz, les puits de pétrole, les mines de charbon... ont été mises hors d'usages. Un type inhabituel de l'énergie rend tout cela possible. Elle ne vient pas du soleil, du vent, de la pluie ou des marées, ce n'est pas un combustible fossile ou nucléaire prit dans le sol ou par synthèse chimique.

"Encore quelques générations qui passent, et nos machines seront conduites par la force obtenue à n'importe quel point dans l'univers... C'est une simple question de temps et les hommes réussiront à connecter leurs machines aux rouages mêmes de la nature." (Nikola Tesla)

En effet, il a été démontré que le vide contient une énorme quantité d'énergie, proche du zéro absolu (le point zéro), une énergie utilisable en abondance :

L’énergie libre, ou énergie du vide (éther).
C’est une source d’énergie renouvelable disponible gratuitement appelée aussi « énergie du point zéro ». C’est l’énergie électromagnétique contenue dans la trame de l’Univers. Elle est présente dans l’espace et dans la matière. L’énergie libre occupe tout le « vide » qui nous entoure. L’énergie libre représente un paradoxe pour la science contemporaine : ou il existe dans l’univers une force gravitationnelle supérieure aux masses répertoriées, ou il y a une énergie invisible libre qui subirait l’effet d’une pression que l’on pourrait appeler cosmique. La physique quantique tend aujourd’hui à démontrer que chaque mètre cube d’espace autour de nous contiendrait une quantité phénoménale de cette énergie. À ce jour, toutes les techniques qui nous ont été rapportées pour la capter font appel à un principe de déséquilibre temporaire de la structure des ondes électromagnétiques, causant ainsi une transmutation matière/énergie et/ou transfert énergie/énergie...

Les recherches révèlent que cette source d’énergie peut être partiellement convertie en énergie utilisable. Celle-ci serait illimitée et non polluante, et tout comme le vent et le soleil, son utilisation serait gratuite.

Imaginez-vous que cela existe depuis 20 ans: en avez-vous déjà entendu parler? Non, puisque au contraire tout est fait pour enterrer la question.

Il existe beaucoup d’inventeurs indépendants qui ont construit des machines à énergie libre et dont les résultats ont été publiés au grand jour et vérifiés(à qui nous allons rendre hommage ci-dessous ), mais comme la communauté scientifique ne comprend pas les principes théoriques sur lesquels reposent ces inventions, elle en ignore tout simplement l'existence. Ainsi, tout va bien.

Et le commun des mortels de se dire : si ça existait, on en aurait entendu parler. Posons alors la question : qui vous en aurait parlé ?
Alors voilà :
Les machines à énergie libre constituent certainement les preuves tangibles de l'existence d'une forme d'énergie totalement ignorée du monde des sciences. Ce sont des machines qui transforment une certaine forme d'énergie non répertoriée par la science moderne, en énergie mécanique bien tangible. Ces machines produisent plus d'énergie qu'elles n'en consomment. N'en déplaise à quelques physiciens, cela ne viole pas le sacro-saint principe de conservation de l'énergie car la machine ne crée pas quelque chose qui n'existait pas auparavant, mais elle transforme quelque chose que l'on ne sait pas détecter en quelque chose d'utilisable.

La physique quantique nous a montré que beaucoup de lois physiques qui semblent figées et inflexibles sont en fait violées. Par exemple on découvre que l'univers est constitué de plusieurs dimensions, les particules de matière existent simultanément à plusieurs endroits de l'univers et il est possible de téléporter de la matière à travers de la matière ou de l'information à travers l'univers instantanément… Ainsi le vide de l'univers est rempli d'énergie quantique en des proportions astronomiques et toutes ces informations ne font que donner du crédit aux machines à énergie libre et leur existence réelle.

Si on arrive, en polarisant légèrement ce vide par des phénomènes encore mal expliqués mais basés sur l'électromagnétisme, à récupérer un peu de cette énergie, les machines qui en sont injectées fournissent plus d'énergie qu'elles n'en consomment, elles ne font que « pomper » l'énergie là où elle est ...et c'est la nature, présente partout, qui alimente l'énergie du vide.

L'appareil de Tesla destiné à capter l'énergie radiante du milieu naturel est décrit dans les brevets US N°685.957 et 685.958.Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous verrons dans cet article que les laboratoires du monde entier commence à exploiter cette fameuse énergie. Certains éminents physiciens théoriques commencent à comprendre pourquoi et comment cela est possible. Plusieurs entreprises en sont au stade d'un début de mise sur le marché de ces dispositifs viables qui produisent nettement plus d'énergie que ce qui est nécessaire pour les faire fonctionner...
http://www.onnouscachetout.com/themes/technologie/tesla2.php

Depuis l'époque de Nikola Tesla, le public a généralement eu des difficultés à accéder à l'information sur ces transformations d'énergie.
Mais petit à petit ces appareils qui utilisent cette matière pour l'énergie sont maintenant acceptés dans les demandes de brevet, et sont d’ailleurs loin d’être considérés comme impossibles à réaliser par les cartels de l'énergie qui prennent très au sérieux la difficile tâche de désinformer à ce propos…

Et ces découvertes ne peuvent se faire qu’avec un effondrement des lois de la physique telles que nous les connaissons depuis trois siècles.
La planète est dans une véritable impasse énergétique car les réserves de pétrole diminuent rapidement et nous allons tout droit vers des guerres du pétrole qui laisseront peu d’espoir à l’humanité compte tenu des milliers de têtes nucléaires qui seront inévitablement utilisées.

Nous n’avons pas d’autre espoir pour la survie de l’humanité que de développer de nouvelles technologies productrices d’énergie libre de façon à résoudre cette urgence énergétique, qui est aussi une urgence écologique, car la combustion des réserves fossiles de pétrole, charbon et de gaz, pollueront inexorablement la planète jusqu’à un point de non-retour.

Mais le scepticisme scientifique combiné à des plaintes pour harcèlement par les inventeurs, (corruption/rachat de brevets, menaces allant jusqu’à la disparition ou la mort d’inventeurs dans des circonstances troublantes…) rend très difficile que des dispositifs à énergie libre puissent retenir l'attention du grand public ou qu’ils soient évalués pour une production commerciale et de distribution. Pourtant une longue lignée d'inventeurs est apparue pour proposer de telles machines à rendement surunitaire, l'expression surunitaire est la traduction du terme anglais overunity. Le mot désigne un système dont le niveau d'énergie augmente, sans aucune source externe définie, une idée que la science rejette depuis plus d'un siècle au moins.

Les principales pierres d'achoppement ont été la pensée scientifique rigide concernant la violation des lois de conservation de l'énergie, et de puissants intérêts pétroliers de l'énergie opposés à ce que des machines à énergie libre soient sérieusement étudiées.

Malgré tout, une longue succession de ces moteurs à énergie libre ont été développés, et ces faits doivent être diffusés, en raison de leur importance et de leurs conséquences multiples.

Il s’agit en effet d’offrir à notre civilisation la possibilité d’utiliser une nouvelle source naturelle d’énergie inépuisable, et sans effets nuisible sur l’environnement :
Déjà dans les années 1830, Michel Faraday fit la démonstration que l’on pouvait générer une puissance électrique en faisant tourner un disque de cuivre adéquatement connecté dans un champ magnétique, sans qu’il n’y ait proportionnellement une puissance requise à l’axe du disque.


MAIS, D’OÙ PROVIENT CE GAIN D’ÉNERGIE ?
Hé bien c'est un nouveau chapitre de la physique qui s’est progressivement ouvert. Mais la plupart de ces travaux n’ont pas pu être abordés comme ceux des chercheurs subventionnés par des organismes institutionnels, comme le CNRS, le CERN, etc...
Ces chercheurs là étant financés par des fonds publics, ont à rendre des comptes pour justifier de leurs ressources et des budgets alloués à leurs équipes chaque année. Mais les travaux entrepris sur l’énergie libre, la plupart du temps, n’ont à rendre de comptes à personne, les moyens expérimentaux et le coût des demandes de brevets sont souvent assumés par les chercheurs sans aucune intervention extérieure d’aucune sorte, la liberté est donc totale et les choix n’engagent qu’eux-mêmes.
Et cette liste des inventeurs de moteurs électromagnétique à énergie libre, gratuite et non polluante, est une liste qui paraît longue mais qui est pourtant présentée de façon très succinte ci-dessous :

Viktor Schauberger
Les procédés par lesquels la Nature produit de l’énergie sont silencieux, mais ont intrinsèquement un rendement beaucoup plus élevé que nos technologies mécanistes, comme Viktor Schauberger (né le 30 juin 1885 et décédé le 25 septembre 1958) devait le prouver avec ses machines à implosion, d’une puissance prodigieuse. Cette technologie n’émet pas de déchets, ne pollue pas, et ne provoque pas de réchauffement planétaire ou autres dégâts nuisibles aux fragiles écosystèmes terrestres. Il inventa maints générateurs qui fournissaient une puissance de sortie largement supérieure à celle qu’ils absorbaient (puissance d’entrée), des moyens de propulsion pour avions, sous-marins et voitures, différents appareils destinés aux habitations, produisant de l’énergie, du froid ou de la chaleur, et d’autres, remarquables, qui transformaient une eau polluée en eau de source de haute qualité. Hélas, les prototypes en état de marche furent détruits à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et on ne dispose pas de tout leurs plans détaillés.
http://www.econologie.info/share/partager/Viktor_Schauberger_Living_Energies.pdf

William Baumgartner
du Nouveau Mexique a construit un générateur à implosion basé sur les travaux de Viktor Schauberger. Les premiers tests de sa turbine à eau montrèrent une surunité : plus d’énergie à la sortie qu’à l’entrée. Baumgartner pense que ce surplus d’énergie provient de l’énergie libre.

Leroy-Hatem
En mai 1945, après 20 années de recherche, le chercheur et inventeur français Leroy-Hatem a découvert la dualité des énergies magnétiques, il a mis en pratique ses théories en élaborant des mécanismes qui fonctionnent selon les principes qu’il énonce :
- Galaxie magnétique
- Planétarium magnétique avec mouvement orbital
- Tracteur magnétique , etc…
Il est également à l’origine d’un système qui dénonce les erreurs de certains principes erronés(Newton, Bohr). Selon de trop nombreux scientifiques, la science est tellement parfaite que la remettre en cause en serait presque blasphématoire. La science ne devrait pourtant-t-elle pas être en perpétuelle évolution. Ne devrait-t-elle pas s’adapter aux faits et aux nouvelles découvertes ?

Walter Russell
Russell était un artiste, musicien, philosophe et auteur adulé. L’Académie des Sciences américaine le récompensa d’un doctorat honoris causa. Il avait découvert en 1927 des méthodes permettant de produire de l’hydrogène à bon marché. En 1990, Ron Kovac, chercheur en chimie, Toby Grotz, ingénieur en électricité, et Tim Binder, médecin naturopathe ont reproduit les découvertes de Walter Russell. Russell a aussi construit un appareil qu’il a nommé Générateur Optique à Dynamo-Russell, qui captait l’énergie libre. Toby Grotz a entrepris des recherches pour retrouver les plans originaux de cet appareil, et le 10 septembre 1961, cet appareil était opérationnel.

Tony Tyson
Directeur de la recherche en cosmologie sur la matière noire et l'énergie du vide (la matière noire constituant 90% de la masse de l'univers).

Dans le domaine de l’astrophysique, en cartographiant le ciel avec des télescopes, on s’est aperçu qu’à peine 1% de la masse céleste nous était visible, les 99% restants demeurant invisibles. C’est ce que les physiciens appellent la matière sombre. Si l’on enlève les corps denses (que l’on peut répertorier dans un espace donné) tels que les planètes, les astéroïdes et autres corps célestes visibles, on estime qu’il reste encore 90% de la matière dite sombre qui deviendrait identifiable uniquement par son effet sur la déviation de la lumière visible émise par le premier 1%, toujours vue avec le télescope. Cette masse de distribution non uniforme joue le rôle d’une lentille gravitationnelle, créant ainsi une vision astigmate du ciel étoilé. Aujourd’hui, grâce à un support informatique fort complexe, on peut rétablir les vraies positions des astres lumineux et en estimer assez exactement la valeur de la masse sombre dite exotique. Il n’y a aucun doute aujourd’hui, plus de 200 000 galaxies ont été étudiés par différents laboratoires d’astrophysiques à travers le monde et ils en tirent tous les mêmes conclusions :

• Matière sombre classique = 9 %
• Matière lumineuse = 1%
• Matière sombre exotique = 90% ou Énergie Libre.

Ken Shoulders
Le Dr Ken Shoulders a découvert dans les années 1980, « les amas de charge » ou charge clusters, ou Electrum Validum (qui signifie charge intense). En 1991, Shoulders a réussi a faire breveter sa découverte aux Etats-Unis en l’intitulant « Conversion de l’Energie en utilisant une Charge de Haute Densité ». C’est la première fois qu’un brevet dit que l’énergie de l’espace (énergie libre) peut être utilisée comme source d’énergie électrique utilisable.

Joseph Newman
Sa machine a un rendement de 800%. Il a fait vérifier son invention par le bureau des brevets américains, qui a conclu, après avoir envoyé une équipe d'ingénieurs bardés d'instruments de mesures, que sa machine fonctionne exactement comme il l’annoncé (c'est même cette équipe qui a calculé le rendement de 800%), sans aucune supercherie d'aucune sorte, ni source d'énergie cachée.Mais, étant donné qu'il n'existe pas de principes physiques reconnus selon lesquels on peut expliquer le fonctionnement de la machine, ce même bureau des brevets l'a informé qu'il ne pouvait donc pas délivrer de brevets. Point final : question réglée. Imaginez donc de quelle curiosité scientifique ils font donc preuve? Devant l'insistance de l'inventeur qui se bat depuis 18 ans pour faire reconnaître son invention, une commission d'étude composée de physiciens compétents s'est réunie en présence de Mr Newman, mandatée pat les organismes officiels pour désavouer son invention, mais c'est le contraire qui s'est passé. Les scientifiques étaient tellement intéressés par les résultats de Mr Newman ainsi que par son modèle théorique, que la petite réunion d'une heure qu'ils avaient prévue s'est vue durer de nombreuses heures, et beaucoup voulaient trouver des moyens pour creuser la question. Ces conclusions n'étant pas celles qui avaient été espérées par les instigateurs de la réunion, ils ont dé mandaté la commission et ont rédigé leur propre conclusion : sans intérêt. Il émigra au Japon pour continuer ses travaux.
http://www.josephnewman.com/

Bruce de Palma
Mr Bruce De Palma, un physicien a conçu une machine à énergie libre. Il s'est vu confisquer son invention par les autorités officielles parce qu'il s'en servait pour alimenter en énergie électrique toute sa maison gratuitement. Interdiction lui a été faite. Il a dû aller lui aussi travailler avec des Japonais, qui travaillent actuellement avec lui à perfectionner un défaut de surchauffe de son moteur à énergie libre, qui ne peut pas fonctionner de manière continue opérationnellement. De Palma s'était aperçu qu’un objet puisait de l’énergie dans l’espace en tournant. Après de nombreuses recherches, il finit par concevoir une machine appelée N-Machine, utilisant des aimants superpuissants pour obtenir de l’électricité. Des tests en 1980 ont montré que le générateur produisait plus d’énergie qu’il n’en consommait.
http://depalma.pair.com/

Thomas Bearden
Tom Bearden, ingénieur en physique nucléaire, lieutenant-colonel à la retraite de l'armée américaine, a à son actif plusieurs publications dans le domaine de l'énergie du point zéro, des potentiels scalaires, de phénomènes exotiques de l'électrodynamique. Il possède aussi plusieurs brevets de machines "over-unity"...
www.cheniere.org

Floyd Sweet
Il inventa un assemblage d’aimants et de Bobines de fils que Thomas Bearden appela Tube Triode Amplificateur du Vide (Vacuum Triode Amplifier = VTA). Cet appareil produisait plus d’énergie qu’il n’en consommait.

Wingate Lambertson
Le Dr Wingate Lambertson, ancien directeur de la Science et Technology Commission du Kentucky, après plus de vingt ans de recherches, est aujourd’hui sûr que l’énergie de l’espace peut être transformée en une source de courant fonctionnelle, grâce à un procédé qu’il a appelé le Monde en Neutrinos (World Into Neutrinos = WIN).

John Hutchinson
Ce scientifique autodidacte, pendant l’hiver qui précéda sa tournée au Japon de 1995, a construit un appareil fonctionnant à l’énergie de l’espace. Son convertisseur était basé sur le principe de résonance de Tesla. Hutchinson capta la même énergie pulsante et rythmée de Tesla en utilisant des cristaux de titanate de baryum. Plus tard, il créa le procédé appelé « Dirt Cheap » (utilisant comme composants de vulgaires pierres).

Bertil Werjefelt
Après s’être rendu compte que les générateurs classiques utilisant des aimants sont confrontés à un problème appelé résistance magnétique, ce conseiller en sécurité dans l’aviation, a amélioré le générateur classique en ajoutant un système tournant qui annule la résistance magnétique en la neutralisant avec les champs de force d’aimants additionnels. Il en résulte que le générateur donne plus de courant avec la même consommation d‘énergie. En 1995, lors d’une conférence, il expliqua que l’enseignement scientifique classique du magnétisme était incomplet depuis le début, et que, la communauté scientifique avait déclaré de manière précipitée qu’il était impossible d’utiliser le magnétisme comme source d’énergie.

Tony Cuthbert
Quelques inventions de Tony Cuthbert :

- boîte de vitesse et système de frein sans embrayage
- turbine : moteur hybride mi moteur mi turbine. Il permettait de propulser un paquebot avec un moteur de la taille d'une voiture Mini.
- séparateur magnétique : récupération de métaux par les aimants liquides.
- accélérateur de pluie.
- technologie de glace sous-marine.
- quelques mécanismes à énergie libre.

Le professeur Laughtar déclare : « un des problèmes de Tony est que certaines de ces inventions sont tellement révolutionnaires qu'elles menacent des technologies existantes. Là se trouve la difficulté lorsqu'il faut convaincre les industries dont il essaye de susciter l'intérêt.

Autres inventions :
*Les ferrofluides, utilisés avec un aimant, permettent :
- moyen de propulsion
- animer un coeur artificiel ou régénérer un coeur
- piste magnétique verticale (permettant de faire grimper un engin à la verticale)
* Moteur gravitationnel
- mécanisme qui capte l'énergie utilisable du champ gravitationnel terrestre
* Machine qui se déplace en plein air, sans propulsion apparente par fusée ni aucune pousséeextérieure (contraire à la troisième loi de Newton).
www.cuthbert-physics.com

Erwin Laszlo
Scientifique et philosophe de réputation internationale, possède plusieurs doctorats en science de l'éther et des champs de l'énergie du vide.

Moray B. King
Ingénieur, un des pères fondateurs de la théorie de "l'énergie du point zéro". Il a écrit plusieurs livres traitant de l'énergie de l'éther.

Harold Puthoff
Auteur de plusieurs ouvrages dont les fondements de l'électronique quantique, également directeur de l'institut des études avancées de Austin (Texas)

Peter Linderman
Reconnu comme un des experts mondiaux dans l'explication du phénomène de l'énergie radiante (une forme d'énergie du vide) telle que décrite par Nikola Tesla et employée par Edwin Gray dans son moteur électrique.

Thomas Francis Vallone
Titulaire de nombreuses maîtrises et doctorats en physique appliquée. A été président du reconnu "Integrity Research Institute" de Washington DC. Chercheur passionné, il a à son actif un nombre impressionnant d'articles et de livres touchant les nouvelles technologies.

Harold Aspden
Ancien directeur (retraité) de brevets pour IBM, a lui-même à son actif plusieurs brevets sur des machines pouvant être "over-unity". Sur son site, il y a plusieurs publications expliquant la physique derrière certains de ces phénomènes :
www.aspden.org

Shiuji Inomata
Au japon, Shiuji Inomata, employé depuis trente cinq ans par le gouvernement du Japon, et travaillant aux Laboratoires Electrotechniques à Tsukuba (« La Cité de l’Espace » du Japon) a été autorisé par son gouvernement à créer une machine à énergie libre. Dernièrement, il fit une conférence pour les dirigeants du monde politique et industriel plus de six cents professionnels sont venus assister à son dernier séminaire. La Toshiba Corporation a débloqué deux millions de dollars pour le développement d’aimants supraconducteurs destinés à son nouveau générateur unipolaire.

Paramahamsa Tewari
En Inde, Paramahamsa Tewari, ingénieur directeur de projet dans la plus grande centrale nucléaire en construction, est autorisé lui aussi à concevoir sa machine à énergie libre.

R. Stirling
Le moteur inventé par ce pasteur écossais est très fiable, silencieux et d’un haut rendement. Entre autres utilisation, un sous-marin d’attaque suédois évolue grâce à ce mode de propulsion. Couplé à une parabole réfléchissante, le moteur Stirling permet de produire de l’électricité sans combustible.

John Bedini
Le moteur fonctionnant à l'énergie libre (énergie gratuite) de John Bedini existe depuis plus de quinze ans. Il fonctionne selon les principes de l'électromagnétisme découverts par Nikola Tesla avant 1900 au cours de ses essais à Colorado Springs.
http://www.syscoil.org/index.php?cmd=nav&cid=23

Johann Grander
Il a développé un moteur magnétique ne nécessitant ni batterie, ni connexion au réseau électrique. Le magnétisme naturel des aimants est intensifié au point que de l’énergie commence à couler...

Le NEOGEN
Le Neogen Dynamo Project est une "jolie" version du RV-MULLER GENERATOR inventé par Bill Muller et Hector D. Perez. Deux sociétés russes commercialisent des génératrices d'électricité qui violent les règles de la physique actuelle. Il ne s'agit pas ici de vagues prototypes aperçus sur un site web, mais bel et bien d'une technologie qu'il est possible d'acheter :
http://www.akoil.ru/en/

Le LUTEC 1000
le 8 septembre 2005 Lou Brits and John Christie de Cairns (Australie) ont mis au point un générateur électromagnétique,. Ils annoncent une entrée d'énergie pour un petit générateur de 4,25 watts, en sortie 15,4 watts, soit 362 % : http://quanthomme.free.fr/nouvelles/Nouvelles23032001.htm

La technologie EBM
(Energy By Motion – Energie Par le Mouvement) est peut être un espoir mais elle reste toujours au stade expérimental. Le professeur Szabo développe au sein de la société canadienne Electro ErgLtd et de sa filiale hongroise Gamma Manager, la technologie EBM qui est appliquée dans lacommercialisation de générateurs auto-alimentés d’une énergie électromagnétique illimitée et 100% propre. Son inscription à l’ordre du jour du parlement de l’Ontario et sa certification par une dizaine de scientifiques et universitaires plaident en faveur de l’avènement d’un véritable générateur à énergie libre.

Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter. Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. Et plus récemment, un nouveau candidat au « Graal de l’énergie »,

La société STEORN
Elle offre une démonstration publique à la communauté scientifique, et au grand public, en révélant le nouveau moteur ORBO, à « rendement surunitaire » C‘est à Dublin depuis le mardi 15 Décembre 2009
http://www.steorn.com/

Tôt ou tard, la batterie qui alimente votre ordinateur ou votre téléphone cellulaire finit par se vider, comme n'importe quelle batterie. Mais cette compagnie irlandaise entend prouver qu'elle peut fabriquer une batterie qui ne se videra jamais. ETC…ETC…ETC…

Une révolution scientifique qui sera matérialisée tout d’abord par l’effondrement du paradigme de la conservation de l'énergie, base de la thermodynamique, de la mécanique, de la relativité et de la mécanique quantique...

Les VERTS et leur politique me font bien rire avec leurs Panneaux solaires, leurs éoliennes et leurs appels à payer une taxe Carbonne...
Si les verts le savent et ne font RIEN , c est une HONTE…HONTE à eux.....
Ils représenteraient parfaitement l’esprit de tromperie qui manipule et désinforme...

Pourquoi le sujet est-il ignoré ? car qui de nos jours a entendu parler de ces nombreux chercheurs et toutes leurs inventions ?
Qui a entendu parler de l’engouement des pays comme le Japon, l’Inde ou le Canada pour ces nouvelles technologies ?

Si nous écoutons la pensée officielle (relayée en masse dans les médias), quand on parle d’éolienne, de solaire, de géothermie, d’hydraulique et de biocarburants, nous avons presque fait le tour des solutions potentiellement existantes comme énergies alternatives. Et nous sommes obligés de nous rendre compte que ces solutions ont leur limite. Il sera difficile de remplacer le pétrole et le nucléaire avec elles.

Ce post est là pour montrer que les solutions mises en avant dans les médias ne sont pas les seules potentiellement existantes. Mais qu’il en existe beaucoup d’autres.
Le fait que personne ne parle d’une solution potentielle, cela signifie-t-il que cette solution n’existe pas ? Ou cela signifie-t-il que certains préfèreraient qu’elle n’existe pas ?

« Le jour où l'homme mettra autant d'énergie à remettre en cause ses idées actuelles, qu'il en utilise pour remettre en cause les idées nouvelles; il commencera réellement à connaître le monde ».

Dans quelques années peut-être (cela dépend de la puissance des lobbys énergétiques pétroliers, nucléaires,... et de manière générale de tous ceux qu'une énergie à très faible coût empêcherait de s'enrichir, ainsi que de la très grande inertie des milieux scientifiques, due à leur orgueil et leur impossibilité d'admettre leur modestie face aux nombreuses inconnues de l'univers), des engins fonctionnant à l'aide de machines à énergie libre seront sur le marché, mais ce sera alors par la force des choses, et pas grâce à la bonne volonté.

"Il n'y a pas de crise de l'Énergie, mais simplement une crise d'Ignorance" B.Fuller

Plus d’informations à ce sujet :
http://users.skynet.be/pointzero/sujets_liste.htm
http://www.quanthomme.org
http://totokoma.ifrance.com/
http://www.lumieresurlaplanete.org/page01fr.html
www.keelynet.com

La plupart ne connaissent pas le Dr. astrophysicien russe Nikolaï A. Kozyrev :
Astrophysicien de renom en Russie Dr Nikolaï A. Kozyrev a prouvé hors de tout doute que cette source d'énergie avait existée, et, par conséquent, il est devenu l'une des figures les plus controversées de l'histoire de la communauté scientifique russe. Les implications impressionnante de son travail, et de tous ceux qui l'ont suivi, ont été presque entièrement cachée par l'ex-Union soviétique, mais avec la chute du rideau de fer et l'avènement de l'Internet nous avons enfin accès à «Russia's Best-Kept Secret », qui change complètement notre compréhension de l'Univers.
(VOIR : http://divinecosmos.com/index.php?option=com_content&task=view&id=95&Itemid=36)

Livres :
- « Énergie libre et technologies », Jeane Manning , Editions Louise Courteau.
- « Coucou c’est Tesla, l’énergie libre », Collectif d’auteurs, Éditions Félix


APPEL À LA LIBÉRATION DE L'ÉNERGIE LIBRE !

IL Y A EUT SUFFISAMMENT DE DÉGÂTS !
LES INDUSTRIES PÉTROLIÈRES ET NUCLÉAIRES ONT ASSEZ FAIT DE TORTS À LA NATURE ET À LA VIE SUR TERRE!
C'EST PEUT-ÊTRE LE TEMPS DE FAIRE APPEL À DES SOURCES D'ÉNERGIE ALTERNATIVES
PEUT-ÊTRE QUE "L'ÉNERGIE LIBRE" EST LA SOLUTION!


Appel à la libération de l'Energie libre ! (STOP... par JaneBurgermeister

vendredi 15 juillet 2011

DES ALGUES QUI PRODUISENT DU CARBURANT...

Une algue très ancienne a-t-elle le secret des futurs agrocarburants ?

À partir d’une algue qui a contribué à la formation des gisements d’hydrocarbures fossiles, des chercheurs réinventent le pétrole. C’est une piste vers une nouvelle voie de production d’hydrocarbures à partir d’organismes vivants, que les chercheurs imaginent génétiquement modifiés.

Avec la diminution des ressources pétrolières et l’augmentation du prix du baril, les recherches concernant la production de carburant à partir du vivant sont particulièrement dynamiques. Il y a bien sûr les agrocarburants, issus soit des organes de stockage des plantes pour la première génération (huile des graines de colza par exemple), soit de la plante entière pour les agrocarburants de seconde génération. Mais ils posent de nombreux problèmes, dont notamment l’occupation de sols fertiles aux dépens des cultures destinées à l’alimentation des populations. Alors certains se sont tournés vers des bactéries, ou vers l’océan et la production de biofuel par les algues.

Dernière en date à avoir été convoquée pour alimenter nos moteurs : Botryococcus braunii. Et le moins que l’on puisse dire est que cette algue verte s’y connaît en pétrole ! Il y a 500 millions d’années, c’est déjà elle qui participait – avec d’autres organismes – à la constitution des gisements actuels de pétrole et de schistes bitumineux. Les chercheurs en ont la preuve par la signature chimique de l’huile qu’elle produit. D’où le grand intérêt qu’elle suscite dans l’industrie pétrolière.

Comparaison entre les extraits de deux algues différentes : celui issu de Botryococcus braunii contient près de 20 % d’huile. Il brûle s’enflamme facilement, alors que celui issu de Chlamydomonas, avec 5 % d’huile, s’éteint.



UNE TECHNOLOGIE À DOUBLE TRANCHANT
Dans son laboratoire du College of Agriculture de l’université du Kentucky, le professeur Joseph Chappel est heureux. Son équipe, qui a reçu au printemps un financement d’un million de dollars de la part du ministère de l’agriculture américain, touche au but. Il fallait d’abord comprendre le mécanisme de production d’huile particulier à cette algue puis identifier les gènes codant pour ce processus. C’est chose faite. Les chercheurs viennent de réussir à les introduire dans des levures dont la croissance, beaucoup plus rapide que celles des algues, permet une production plus importante de la précieuse substance.

Si le passage au stade industriel demandera encore beaucoup de travail, c’est une remarquable avancée sur deux plans : la compréhension de la formation des gisements pétrolifères d’une part, et d’autre part la production par des êtres vivants d’hydrocarbures de qualité, facilement transformables en carburants et matières premières.

Un bémol tout de même : tant qu’il s’agit d’algues ou de levures dans des réacteurs clos et contrôlés tout va bien, mais l’étape suivante peut être plus contestée. L’idée serait de modifier génétiquement des graminées comme le sorgho ou le miscanthus pour augmenter la quantité et la qualité de l’huile qu’ils produisent. On retombe alors dans les défauts des agrocarburants, cumulés à ceux des OGM, mais c’est une autre histoire…

Source : Jean-Emmanuel Rattinacannou pour "Futura-Sciences"

lundi 27 juin 2011

UN DISPOSITIF QUI PERMET DE DÉSACTIVER LA MÉMOIRE

Un dispositif qui permet d’activer OU de désactiver la mémoire chez les rats a été mis au point par des chercheurs américains.

Le système électronique permet de doubler les signaux dans la zone du cerveau associée à la mémoire. Ainsi, il est possible de réactiver des souvenirs préalablement supprimés de la mémoire à l’aide de médicaments.

"Allumez l’interrupteur et les rats se souviennent. Éteignez-le et les rats oublient". (Theodore Berger Université de Californie du Sud)

Le Pr Berger et ses collègues ont axé leurs expériences sur l’hippocampe des rats, la zone du cerveau qui, comme chez les humains, est reconnue comme le siège de la mémoire.

La science savait déjà que la communication entre deux régions de l’hippocampe permettait la conversion de la mémoire à court terme en mémoire à long terme.
Les chercheurs ont donc étudié les signaux transmis entre ces deux régions, nommées CA3 et CA1, pendant une expérience où les rongeurs recevaient une récompense lorsqu’ils actionnaient un levier.

Les rats ont progressivement assimilé ce comportement, et ce dernier est passé à la mémoire à long terme.

Les chercheurs ont alors administré aux bêtes une substance interrompant la communication entre les deux zones, ce qui leur a fait « oublier » la mémoire à long terme.

L’équipe du Pr Berger a ensuite implanté un appareil électronique reproduisant les signaux transmis entre les deux régions, CA3 et CA1. La mémoire des rats s’est immédiatement réactivée.

Lorsque l’expérience a été reproduite sur des rats « normaux », la technique a permis d’améliorer la capacité mémorielle de ces derniers.

Des tests effectués sur des singes sont maintenant à l’ordre du jour.
Les auteurs de ces travaux publiés dans le Journal of Neural Engineering souhaitent pouvoir éventuellement aider les humains qui souffrent de troubles de la mémoire occasionnés par un traumatisme, un AVC ou la maladie d’Alzheimer.

SOURCE : Radio-Canada et Agence France Presse via "consciencequantique"