vendredi 27 janvier 2012

LE BIDULE

VOICI UN PEU DE DIVERTISSEMENT...
"Le Bidule", est une émission de télé humoristique qui parle des vraies affaires en les tournant à la dérision! Des sketches absurdes, intelligents, et hilarants!
Parfois, il vaut mieux en rire!

LA CROISSANCE...

Le bidule - la croissance par borisdubidule

LE FUTUR...

le bidule - le futur par borisdubidule

LES CHIPS!!!

Le bidule - UL par borisdubidule

LES JEUNES ET LA POLITIQUE...

Le bidule - les jeunes et la politique par borisdubidule

L’EFFET DE SERRE...

Le bidule - l'effet de serre par borisdubidule

L’OR BLEU...

le bidule - l'or bleu par borisdubidule

LE PIC DE LA POLLUTION...

Le bidule - le pic de pollution par borisdubidule

LA FUSION DES BANQUES !

Le bidule - la fusion des banques par borisdubidule

LE CHEMIN DES CROTTES...

Le bidule - le chemin des crottes par borisdubidule

LES UTOPIES

Le bidule - les utopies par borisdubidule

LA MARÉE NOIRE

le bidule - la marée noire par borisdubidule

LA PIZZADULE

Le bidule - pizzadule par borisdubidule

LA PSYCHOSE LISTERIAQUE!

Le bidule - la psychose listeriaque par borisdubidule

LA NATURE...

Le bidule - la nature TM par borisdubidule

LE PRÉSIDENT DU MONDE...

Le bidule - le président du monde par borisdubidule

LE PIRATE DU NET...

le bidule - le pirate du net par borisdubidule

LE BUG!

Le bidule - le bug par borisdubidule

LE SENS DE LA VIE...

Le bidule - le sens de la vie par borisdubidule

réalisé par olivier babinet - isabelle ribotta - didier richarth
écrit par olivier babinet - isabelle ribotta - didier richarth - olivier laneurie

mardi 24 janvier 2012

COMMENT LES MÉDIAS NOUS MANIPULENT AFIN DE JUSTIFIER LES GUERRES...

Loin d'être des observateurs impartiaux des débats et conflits entre nations, le plus souvent, les médias alimentent les tensions et préparent le public à une confrontation militaire...
Dans ce documentaire nous découvrons comment les médias poussent le public à la guerre...


Comment les médias poussent à la guerre par FUTURMATRIX

lundi 23 janvier 2012

POURQUOI CES MACHINES DE GUERRE?!!!

Où vont tous ces véhicules militaires? Pourquoi sont-ils expédiés à travers les U.S.A.? Pour quelle utilisation?
Mister Barack Obama, que prépares-tu?
Certains affirment qu'il ne s'agit là que de matériel désuet en route vers des dépotoirs où ils seront mis en pièces... Mais des rumeurs circulent comme quoi ils pourraient être utilisé contre les citoyens en cas de crise, et de soulèvement de la population! Ou encore, peut-être est-ce des engins qui seront placés à la frontière qui sépare les U.S.A. du Mexique afin de dissuader les contrevenants...
Sinon, il faut peut-être prendre au sérieux le climat de tensions qui règne présentement entre les U.S.A. et l'Iran!

Mister Barack Obama, que prépares-tu?

jeudi 19 janvier 2012

LE "1%" EST ORGANISÉ ET PATIENT !

Voici des images qui circulent de ces temps-ci sur le web...
Nous les partageons, surtout, parce qu'elles ne manquent pas de faire réfléchir ou de faire réagir!





mercredi 18 janvier 2012

"COLLAPSE" = L'EFFONDREMENT!!!

"Collapse" est un documentaire sobre mais poignant. Un homme parle, longuement, avec une lucidité aigüe et dans une totale franchise de l'état du monde et de son avenir proche. Cet homme est Michael Rubbert, un "whistleblower", l'une de ces personnes qui ont travaillé au coeur du "système" et qui choisissent d'en révéler les sombres secrets au public.

Il parle de l'effondrement en cours des économies occidentales, une chute prévisible depuis longtemps, résultat de l'endettement exponentiel, de l'appauvrissement généralisé des classes moyennes, des guerres motivées par la cupidité, et de l'illusion d'une croissance sans fin, alors que les ressources comme la tolérance de l'environnement ne sont pas infinis.

Tout aussi prévisible est l'effondrement de notre civilisation entièrement basée sur un pétrole en voie d'épuisement, alors que nous vivons en ce moment même le fameux "peak oil"...



Source : Syti.net

dimanche 15 janvier 2012

MANGER PEUT-IL NUIRE À LA SANTÉ?

Reportage de 90min. Réalisé par Eric Guerret

La journaliste Isabelle Saporta mène l’enquête et cinq scientifiques renommés analysent la toxicité de ces denrées. L’investigation commence par la prise de sang de la journaliste et révèle toute une panoplie de substances indésirables (métaux lourds, pesticides, plomb, arsenic, DDT…) que nous avons également tous dans le sang, d’après le toxicologue André Picot.

Comment se fait-il que chacun de nous ait autant d’éléments toxiques dans le corps et d’où proviennent-ils ? Afin de répondre à cette question, sont analysés quatre aliments parmi ceux qui sont les plus consommés par les Français : les pommes, le pain, le porc et le saumon.

Une longue investigation de 16 mois, qui s’est déroulée à la fois sur le terrain et dans les laboratoires, permet de mieux décrypter ce que nous avons dans notre assiette.

Nous apprenons ainsi toute une série d’informations aussi utiles que parfois surprenantes dont voici quelques exemples :

Les pommes:
Les pommes sont traitées après chaque pluie, soit 26 fois au total en moyenne et contiennent, dans l’échantillon prélevé, 5 résidus différents. Un fruit, ou légume, sur deux comporte des résidus de pesticides et un sur dix en contient des doses toxiques...

Le saumon:
Avec la sélection génétique, la croissance des saumons est à l’heure actuelle dix fois plus rapide qu’il y a 10 ans. Les plats cuisinés avec ce poisson sont fabriqués avec tous les déchets (restes des têtes, queues, etc.) décortiqués en Chine et en Ukraine puis réexpédiés en Europe. Les industriels peuvent choisir la couleur du saumon élevé, il suffit pour cela de gaver le poisson avec des colorants chimiques.

Le pain :
La farine, servant à fabriquer le pain, est non seulement contaminée par les résidus de pesticides, due au traitement du blé dans les champs, mais également par des insecticides qui servent à conserver les grains dans les silos ! Nous apprenons qu’il y a plus de pesticides dans le pain complet que dans le pain blanc et que le pain en “kit”, utilisé dans les supermarchés et chez un grand nombre de boulangers, est truffé d’additifs.

La viande :
La moitié des antibiotiques consommés en France sont donnés aux porcs et les contrôles de résidus, dans la viande à l’abattage, ne se font que visuellement !

La qualité de la viande a diminué car les vaches ne mangent plus d’herbe engendrant par conséquent une baisse d’Oméga 3 pourtant indispensable à leur l’organisme et, en définitive, au notre.

Les conséquences de notre alimentation, qui est devenue chimique après les années 50, comme le cancer et l’obésité y sont également évoqués.
Pour autant le reportage ne s’arrête pas à ce constat désolant, il propose également des solutions en nous montrant que des alternatives existent afin de mieux consommer. Il vaut ainsi mieux, par exemple, manger bio, donner du lin au bétail (apport naturel d’Oméga 3), limiter sa consommation en viande, manger des petits poissons moins “toxiques”, etc... etc...

Voici donc le documentaire
MANGER PEUT-IL NUIRE À LA SANTÉ?













vendredi 13 janvier 2012

LES DANGERS DE L'IRRADIATION DES ALIMENTS...

IONISATION ou IRRADIATION DES ALIMENTS

Qu’est-ce que l’irradiation des aliments ?
L’irradiation des aliments (officiellement appelée « ionisation ») est un procédé utilisé pour décontaminer les denrées, ralentir le mûrissement.
L’irradiation des aliments a été inventée au milieu des années 40 par des scientifiques français et mise en application dès la fin de la deuxième guerre et est aujourd’hui autorisée dans une soixantaine de pays.

Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (dont la toxicité est maintenant largement avérée et peu populaire) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.
Elle permet ainsi un traitement de long terme de très nombreux produits, des déplacements sur longue distance et des stockages de longue durée. Ces avantages, ainsi que son efficacité multi-usages, en font une technologie particulièrement appropriée pour l’économie « moderne » mondialisée et pour le développement des échanges internationaux.

Quelles radiations servent pour les aliments ?
L’irradiation des aliments ou ionisation se fait avec des radiations ionisantes, soit par électrons projetés à une vitesse proche de celle de la lumière, soit par rayons gamma (issu de substances radioactives, le Cobalt 60 ou le Césium 137),

L’irradiation des aliments est-elle sûre ?
Les partisans de l’irradiation des aliments la présente comme une solution-miracle contre les maladies d’origine alimentaire ( salmonellose, infections à E. coli 0157 :H7). Mais, de nombreuses études scientifiques montrent que les méfaits de l’irradiation sur la santé sont bien pires que ses bénéfices :

- L’irradiation détruit une grande partie des vitamines et des nutriments présents dans les aliments ; il ne faut pas confondre aliments « contaminés » et aliments « irradiés ». Quand on parle de « contamination radioactive » ou de « pollution radioactive », cela signifie que des particules radioactives (et plus précisément des atomes radioactifs) sont présents dans l’aliment.

- Certaines bactéries sont très utiles puisqu’elles agissent sur l’apparence des aliments (pourrissement, odeur) et permettent ainsi aux consommateurs de repérer les aliments douteux. Les aliments irradiés paraissent sains, mais ne le sont pas toujours ;

- L’irradiation est très souvent utilisée comme substitut à de bonnes pratiques sanitaires ou pour « recycler » des produits atteignant leur date de péremption ;

- Les animaux de laboratoire nourris d’aliments irradiés sur de longues périodes souffrent de nombreuses maladies génétiques, de problèmes de reproduction, de déformations et de mortalité précoce.

- Selon une étude récente menée par des scientifiques allemands et français (Delincée, H. and Pool-Zobel, B. « Genotoxic properties of 2-dodecyclobutanone, a compound formed on irradiation of food containing fat » Radiation Physics and Chemistry, 52:39-42, 1998), une substance particulière créée par l’irradiation dans les aliments, l’alkylcyclobutanone, pourrait être facteur de cancer.

L’irradiation des aliments est risquée
Selon Véronique Gallais,présidente d’Action Consommation,pour le Collectif français contre l’irradiation des aliments...

« Si l’irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, elle provoque une perte de vitamines et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse dus à la prolifération de radicaux libres et de molécules nouvelles au sein de l’aliment irradié. Par ailleurs, l’irradiation peut être utilisée comme substitut à de bonnes méthodes sanitaires de production Ou encore, l’équilibre microbiologique de l’aliment irradié étant fragilisé, des agents pathogènes peuvent se développer plus rapidement et proliférer puisque leur « concurrents » ont été éliminés.

Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires, et les dommages liés aux modes de production et de distribution industriels : pollutions et production de gaz à effet de serre (y compris par la multiplication des transports longs liés à la délocalisation des productions), atteinte à la biodiversité par la spécialisation des productions, destruction de milieux naturels.

Enfin, ce mode d’organisation de la production et des échanges agroalimentaires implique des risques socio-économiques. La délocalisation des productions vers des pays à bas coûts sont une menace pour l’emploi et l’économie locale. La spécialisation des productions dans l’agriculture conduit à l’extension de monocultures et de la culture intensive, qui, au-delà des conséquences environnementales qu’elles induisent, compromettent encore davantage la souveraineté alimentaire des peuples de la planète. La concentration des entreprises renforce les multinationales, dont le pouvoir économique, financier et politique constitue une menace réelle pour la démocratie. »

L’irradiation, en allongeant la durée de conservation des aliments, risque d’accentuer la délocalisation des productions agricoles. Or ce phénomène met en péril la dynamique de nos économies locales et détruit l’environnement




LES DANGERS DE L’IRRADIATION...

1. Des dangers pour la santé humaine liés à l’ingestion d’aliments ionisés:
L’ionisation des aliments dégrade la qualité de ceux-ci notamment en détruisant les vitamines qu’ils contiennent et en faisant apparaître de nouveaux composés chimiques dont certains sont cancérigènes. Ainsi l’ionisation peut détruire jusqu’à 80% de la vitamine A des œufs et 48% du béta-carotène du jus d’orange 1 ! De plus l’ionisation des aliments peut faire apparaître dans ceux-ci des composés appelés cyclobutanones, qu’on ne trouve pas dans les aliments non ionisés. De très nombreuses études scientifiques ont montré que ces cyclobutanones sont des promoteurs du développement de cancers et causent des dommages génétiques chez le rat. Chez l’homme on sait qu’ils créent des dommages aux cellules et au gènes ( cytotoxicité et génotoxicité). D’autres composés tels les radicaux libres ou le benzène, le toluène… apparaissent lors de l’ionisation d’aliments (ces composés sont connus pour favoriser l’apparition de cancers, maladies cardio-vasculaires,….).

2. L’irradiation des aliments n’est pas une réponse à de mauvaises pratiques en matière d’hygiène:
L’ionisation peut masquer de mauvaises pratiques en matière d’hygiène et n’incite donc pas à accroître la propreté dans ce domaine.

3. Les dangers pour les travailleurs et la sécurité globale:
L’utilisation de l’ionisation des aliments n’est pas sans dangers pour les travailleurs de ce secteur. En effet de nombreuses contaminations radioactives on déjà eu lieu aux USA, en Italie, en Norvège, en Australie…

4. Le danger d’un commerce de plus en plus planétaire des denrées alimentaires:
L’ionisation des aliments représente un moyen d’accroître la durée de vie des denrées alimentaires. Avec cette technique, les multinationales de l’agro-alimentaire pourront développer les productions d’aliments dans les pays en voie de développement ou les coûts de production sont très bas. Ces produits pourront ensuite être revendus sur nos marchés, déstabilisant encore d’avantage les marchés en concurrençant les productions locales.




LES DANGERS DE L'IRRADIATION DES ALIMENTS SONT RÉELS...

L’irradiation des aliments dégrade la qualité de ceux-ci notamment en détruisant les vitamines qu’ils contiennent et en faisant apparaître de nouveaux composés chimique dont certains sont cancérigènes. Malheureusement, voici une raison de plus pour manger naturel (Bio).

Ainsi l’ionisation peut détruire jusqu’à 80% de la vitamine A des œufs et 48% du Béta carotène du jus d’ Orange ! De plus l’ionisation des aliments peut faire apparaître dans ceux-ci des composés appelés cyclobutanones, qui sont des promoteurs du développement de cancers et causent des dommages génétiques chez le rat.

Chez l’homme on sait qu’il créent des dommages aux cellules et au gènes (cytotoxicité et géno-toxicité). D’autres composés tels les radicaux libres ou le benzène, le toluène … apparaissent lors de l’ionisation d’aliments (ces composés sont connus pour favoriser l’apparition de cancers, maladies cardio-vasculaires, …).

Une riche littérature scientifique illustre ces dangers. Pourtant la Commission européenne ou l’OMS (organisation mondiale de la santé) refusent toujours de prendre en compte ces dangers mis en évidence par ces études scientifiques. Pourquoi ?

La commission européenne refuse les conclusions d’une étude officielle européenne qui montre les dangers potentiels des aliments ionisés !

Une étude réalisée en 2002, par une équipe de chercheurs franco-allemands dans le cadre d’un programme de recherche interrégional de l’Union européenne a montré que certains cyclobutanones (les 2 alkylcyclobutanones) sont cytotoxiques, génotoxiques et sont despromoteurs du cancer du colon chez le rat.

Le comité scientifique de la nourriture (SCF : du service santé et protection du consommateur de la Commission européenne) a refusé ces conclusions alors que l’équipe de chercheurs qui a réalisé cette étude compte parmi les meilleurs spécialistes mondiaux !

Les chercheurs n’ont d’ailleurs pas tardé à réagir pour maintenir leurs conclusions...

Des lobbies puissants et bien organisés
En réalité, plusieurs réseaux internationaux agissent directement pour l'irradiation des aliments. Le programme mixte FAO/AIEA des techniques nucléaires dans l'alimentation, qui promeut l'utilisation de technologies nucléaires pour réduire les risques liés à la nourriture, encourage l'irradiation lorsqu'elle est utilisée pour des raisons sanitaires ou phytosanitaires. Il a pour double objectif de favoriser l'harmonisation des réglementations à l'échelle internationale et de garantir de bonnes pratiques analytiques et en laboratoire.

Pour ce faire, il encourage les Etats membres des Nations unies à s'aligner sur les règles sanitaires et phytosanitaires développées par l'OMC dans le cadre du Codex Alimentarius, tandis que l'AIEA soutient l'implantation de l'irradiation dans les pays en développement, en particulier en Chine et en Inde. L'Association internationale pour l'irradiation (International Irradiation Association, IIA), compte l'AIEA parmi ses membres ainsi que des entreprises spécialisées dans l'irradiation, des consultants, des fournisseurs de matériel tels que des dosimètres et des utilisateurs d'irradiation. Entièrement financée par l'industrie, elle a pour objet de promouvoir toutes les techniques d'ionisation et travaille à l'harmonisation des réglementations, à la défense de l'industrie face aux avancées de régulation, et au développement de nouvelles applications. Le Conseil international pour l'irradiation des aliments(ICFI), créé sous la forme d'une organisation non gouvernementale internationale, offre un espace international dédié à la promotion et la dissémination d'informations "scientifiques" liées à l'irradiation des aliments. L'objectif de cette organisation est de faire en sorte que les consommateurs, les décideurs politiques et les médias acceptent l'irradiation comme mode de conservation des aliments.

Une prolifération insidieuse
Une soixantaine de pays autorise l'irradiation des aliments et plus de trente pays la pratiquent, dont certains pour une vaste palette de produits : en Afrique du Sud, au Brésil et au Ghana, pratiquement tous les aliments peuvent être irradiés ; en Chine, en Croatie, en Russie, en Turquie, en Ukraine, aux USA, une grande variété d'aliments, dont certaines viandes, peut être irradiée ; à Cuba, en Inde, au Mexique, de nombreuses viandes peuvent être irradiées. Un cas particulier, celui du jus d'orange, produit de grande consommation : il est difficile, voire impossible, de détecter si un jus de fruit a été traité par ionisation. Or, de nombreux jus d'orange présents sur le marché européen sont reconstitués à partir de concentrés et de pulpes provenant du Brésil.

Tandis que les volumes d'aliments irradiés localement dans les pays occidentaux semblent stagner, voire diminuer, l'on assiste à une véritable explosion du nombre d'installations d'irradiation dans les pays à fort développement.

En Chine, le nombre d'installations en capacité d'irradier des aliments est passé de 7 unités en 2003 à 50 en 2006. Plus de 140 000 tonnes d'aliments ont été irradiés en Chine en 2005 (contre 80 000 tonnes en 2003). Sachant que ces aliments sont souvent destinés à l'exportation, comment les contrôler quand leur étiquetage est loin d'être systématique ? Il n'est pas étonnant d'observer qu'en Europe les produits alimentaires irradiés non étiquetés proviennent fréquemment d'Asie.

Dans de nombreux autres pays émergents, on constate les mêmes tendances. En Inde, 25 installations d'irradiation sont prévues jusqu'à 2012. D'ici 2008, le Mexique se dotera de la plus grande installation d'irradiation du monde lui permettant ainsi d'exporter ses goyaves, pamplemousses, caramboles, mandarines et mangues. L'irradiation des aliments représente pour certains pays une fantastique opportunité d'écouler leurs productions sur le marché international, autrefois plus difficilement accessible à cause de la durée du transport et des contraintes correspondantes en termes de conservation des produits.

Les États-Unis encouragent cette dynamique en signant avec certains pays un type d'accord spécifique qui encadre et régule les échanges de produits alimentaires irradiés, le Framework Equivalency Work Plan (FEWP). Il se fait généralement avec un pays en développement et s'accompagne souvent de dispositifs d'aides financières ou technologiques permettant la construction d'installations d'irradiation.

Des conventions bilatérales étaient récemment en cours de finalisation avec la Thaïlande, l'Inde et le Mexique. A travers ces accords, les Etats-Unis disposent d'un outil puissant leur permettant de promouvoir l'utilisation de l'irradiation à travers le monde et indirectement sur leur propre marché intérieur, en dépit d'une opinion publique méfiante. L'irradiation des aliments obéit à la logique dominante des institutions financières internationales (OMC, Banque Mondiale, FMI) qui considère comme une loi naturelle que le développement des pays du Sud passe par l'exportation massive de leurs matières premières et productions agricoles.

En construisant des unités d'irradiation, ces pays peuvent espérer écouler leurs surplus et développer leurs productions pour l'export (souvent avec des soutiens institutionnels) sur le marché international puisque l'ionisation permet (du moins en apparence) une meilleure conservation des aliments à exporter.

Une pensée unique, des politiques hygiénistes et mondialistes
En réalité, l'irradiation des aliments accompagne idéalement le développement de l'industrie agroalimentaire mondialisée, pour le plus grand intérêt des grandes firmes internationales du secteur.

Comme dans d’autres dossiers, le "Codex Alimentarius" (dont les avis sont ici influencés par l'AIEA) fait office de norme internationale chapeau, hygiéniste, mondialiste et produisant une "pensée unique" calibrée sur les impératifs des productions industrielles et des échanges de longue distance, à laquelle se rallient les réglementations régionales et locales.

L'Union européenne, qui s'est pourtant dotée de directives restrictives, ne se donne pas les moyens d'en assurer le respect : une réglementation alibi qui ne permet pas d'endiguer la commercialisation d'aliments irradiés.

La France, en élargissant la "liste courte" de l'Union européenne et en ne contrôlant pas (ou si peu) les produits irradiés commercialisés, contribue à la prolifération de cette technologie dans le monde, et dans l'assiette des Français. Parmi les candidats à l'élection présidentielle en 2007, seuls Ségolène Royal, Dominique Voynet et José Bové avaient argumenté leur sensibilité à ce dossier, tandis que Nicolas Sarkozy n'avait pas répondu à l'interpellation du Collectif français contre l'irradiation des aliments. Ce dernier demande des contrôles significatifs à l'importation et à la commercialisation, la modification de la liste des aliments autorisés en France (de telle façon que celle-ci se conforme à la liste de l'Union européenne), la mise en place d'une commission d'enquête sur les fraudes, l'attribution de fonds pour une recherche, indépendante et transparente, sur les effets pour la santé de la consommation d'aliments irradiés. Au-delà, la France devrait peser dans les instances internationales pour obtenir la prise en compte des enjeux transversaux liés à l'usage de cette technologie, et non prioritairement les critères de compétitivité des entreprises et l'objectif d'harmonisation des marchés au niveau mondial.

Donc voilà il faut que nous consommions local. En plus mangeons des fruits et des légumes de saisons au lieu de ceux qu’on importe qui coûtent chers et sont sans goût en plus des conditions dans lesquelles des êtres humains travaillent et sont aussi exploités.

Conclusion :
l’irradiation ne se contente pas d’exterminer les germes indésirables, par la même occasion ils détruisent instantanément toutes les vitamines, les antioxydants, les enzymes, les acides gras, et dans le cas des viandes rouges, certains composants naturellement présents dans les fibres deviennent cancérigènes.

D’ailleurs, le professeur Samuel Epstein, de la faculté de médecine de l’Illinois, expert auprès de la FDA (Food and Drugs Administration), a bien tenté de soulever le problème, il n’a pas été entendu.

C’est que les industriels ne s’intéressent pas à la prévention, ils préfèrent souvent (pour un moindre prix) payer les pots cassés...

• Pourquoi l’irradiation à tout prix ?
Pour masquer de mauvaises pratiques en matière d’hygiène et ne pas inciter à accroître la propreté dans ce domaine

L’OMC (Organisation mondiale du commerce), presse l’Union européenne d’assouplir sa législation sur l’ionisation des aliments : elle y voit là un moyen d’accroître encore un peu plus la mondialisation des échanges commerciaux de nourriture au détriment des systèmes de production locaux durables et de petite taille, destabilisant encore davantage les marchés en concurrencant les productions locales avec des productions d’aliments en provenance des pays en voie de développement où les coûts de production sont très bas. Ces produits dénutris et sans fraîcheur pourront ensuite être revendus sur nos marchés !

• Étiquetage absent! pourquoi?
Pourquoi n’est-il pas systématiquement indiqué que certains aliments sont irradiés ?

Pourquoi le logo RADURA , qui est censé figuré sur l’étiquetage n’apparaît-il jamais?
La commission de l’environnement du Parlement européen avait indiquée que l’irradiation (ionisation) devrait être indiquée sur l’emballage des aliments concernés. Obligatoire depuis un décret du 8 mai 1970, ainsi que toutes les importations irradier depuis le 20 septembre 2000. En 1999, vingt mille tonnes de produits divers ont été irradiés. Lesquels exactement ? Bien malin qui pourrait le dire. Les entreprises et les distributeurs qui jouent la transparence ne sont pas nombreux.

Peu de compagnies osent mettre des étiquettes mentionnant que leur produit a été traité par rayonnements ionisants. Par exemple, les producteurs de fromages frais distribués sur le marché français, refusent d'alarmer les consommateurs avec des étiquettes qui expliqueraient que leurs produits sont irradiés. Ou encore... Il faut savoir que toutes les viandes de volailles séparées mécaniquement sont irradiées, et de fait, on peut donc en conclure que la plupart des plats cuisinés à base de poulet sont irradiés.

Liste des aliments pouvant être irradiés :
* les herbes aromatiques surgelées
* les épices
* les oignons
* l’ail
* l’échalote
* les flocons et germes de céréales
* les céréales
* le riz
* la farine de riz
* les produits laitiers transformés
* les légumes et fruits secs
* la gomme arabique
* la viande de volaille
* les viandes de volaille séparées mécaniquement
* les cuisses de grenouille congelées
* les repas congelés
* les légumes et fruits secs
* les noix
* les produits laitiers transformés
* les saucissons
* les crevettes congelées décortiquées ou étêtées
* le blanc d’œuf,
* la caséine et les caséinates.

• Travailleurs et sécurité globale en danger
L’utilisation de l’ionisation des aliments n’est pas sans danger pour les travailleurs de ce secteur. De très nombreuses contaminations radioactives ont déjà eu lieu aux USA, en Italie, en Norvège, en Australie, …

De plus les sources de radioactivité sont très convoitées par des réseaux organisés afin d’être revendue sur le marché noir (chaque année, dans le monde se sont plus de 200 sources de radioactivités qui sont volées!).

Attention au terrorisme !!!

jeudi 12 janvier 2012

LA BATAILLE DANS NOS ASSIETTES...

Ce documentaire s'interroge sur ce que la planète mangera demain et se demande si un fossé ne se creuse pas entre ceux qui peuvent bien manger et les autres.

Avec 300 millions de personnes touchées dans le monde, la plupart aux États-Unis, l'obésité est la maladie du siècle. En ligne de mire, les géants américains de l'agroalimentaire et leurs millions dépensés en publicité pour des produits gras, sucrés et bon marché, destinés aux populations les plus pauvres. Les lobbies veillent à la conquête de marchés à l'échelle mondiale, ce qui contribue à répandre obésité et diabète.

Ce documentaire à charge s'interroge sur ce que la planète mangera demain et se demande si un monde à deux vitesses se dessine, séparant ceux qui peuvent se payer le luxe de bien manger et l'écrasante majorité des autres.

voici "LA BATAILLE DANS NOS ASSIETTES" :



mercredi 11 janvier 2012

mardi 10 janvier 2012

MANIPULATIONS GÉNÉTIQUES!!!

OMG !
OGM !
À vous de voir qui sont "les monstres"...

voici le documentaire choc :
"LES MONSTRUEUX ANIMAUX DE LA GÉNÉTIQUE"

lundi 9 janvier 2012

SÉQUENÇAGE DE L'ADN... DE TOUS LES ÊTRES VIVANTS!!!

Identification : Séquençage ADN à grande échelle
La science va dispose dorénavant de moyens permettant d'identifier les personnes à grande échelle par son génome...

Les assureurs vont bientôt avoir une grille tarifaire adaptée au génome des personnes, ..., sélection des milieux selon votre profil génétique, ..., etc...

À quand la sélection des individus sur des bases scientifiques?
Est-ce la fin des droits de l'homme au profit d'un droit individuel selon nos gènes?

Bien sûr on vous présentera la chose selon ses avantages comme d'habitude...

Bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial!

dimanche 8 janvier 2012

LES PLANS SINISTRES DE GOOGLE...

RÉVÉLATIONS CHOC!!!!
Leuren Moret, géologue, révèle les plans choquants de Google et les progrès technologiques en matière de séquençage d'ADN et de profilage de la population, alors que le monde se dirige vers un système orwellien de contrôle policier.

Nous sommes à l’ère du Big Brother et les outils du Nouvel Ordre Mondial sont en fonction... Les nouvelles technlogies se sont infiltrées dans notre quotidien comme autant de pièces d’un immense puzzle, constituant en vérité les pièces d’une monumentale machination! D’ici peu les gens comprendrons qu’il s’agissait d’un plan eugéniste, ayant pour but de réduire la population de la planète et d’établir un Nouvel Ordre Mondial, constitué par une nouvelle humanité totalitairement contrôlée et surveillée...



samedi 7 janvier 2012

OBAMA DÉPLOIE DES MILLIERS DE SOLDATS EN ISRAËL

Avec des médias restant remarquablement discrets, des milliers de soldats américains sont déployés en Israël et des responsables iraniens estiment que ce n’est que le dernier signal d’alarme, et le plus flagrant, que les États-Unis vont bientôt attaquer Téhéran.

La soumission des États-Unis aux intérêts israéliens est à présent absolue - Photo : Reuters/Nir Elias

Les tensions entre les deux pays ont été élevés ces derniers mois et n’ont fait qu’empirer dans les semaines qui ont suivi le début du mois de décembre lorsque l’Iran a détourné et récupéré un drone espion américain. Beaucoup estiment que la situation entre l’Iran et les Etats-Unis dégénérera bientôt dans une guerre tous azimuts et que cet événement pourrait se produire plus tôt qu’on ne le pensait.

L’armée israélienne va héberger dans les prochaines semaines le plus important test de systèmes de missiles réalisé conjointement par les deux pays. Après l’installation de troupes américaines près du détroit d’Ormuz, voisin de l’Iran, et le renforcement des pays limitrophes avec des armes américaines, les autorités de Téhéran envisagent que tout ceci ne soit pas de simples manoeuvres mais le prélude de quelque chose de beaucoup plus important.

Dans les tests prévus, le THAAD [Theater High Altitude Area Defense], le système antimissile américain sera géré par le système Aegis à partir de navires, conjointement avec le système Israël basé sur les missiles Arrow, Patriot et Iron Drone.

Des responsables militaires israéliens disent que les tests ont été planifiés avant les épisodes récents impliquant les États-Unis et l’Iran. La préoccupation, cependant, est liée au fait que ces manoeuvres nécessitent le déploiement de milliers de soldats américains en Israël.

Le Jerusalem Post cite le commandant américain lieutenant-général Frank Gorenc disant que le test n’est pas seulement un « exercice », mais aussi un « déploiement » qui impliquera « plusieurs milliers de soldats américains ». En outre, des postes de commandement seront établies par les forces américaines en Israël et l’armée israélienne elle-même commencera à opérer à partir d’une base en Allemagne.

En septembre, le Commandement américain en Europe a construit un système de radar en Israël.

L’Amérique a préalablement équipé l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis avec de nouvelles armes afin de ruiner toute éventualité d’un programme d’arme nucléaire iranienne. Les États-Unis ont maintenant ajouté des forces en Israël et en Allemagne, et Téhéran craint que ce soit un signe que ce ne soit pas qu’un test.

Russia Today a rapporté la semaine dernière que les États-Unis vont l’Arabie Saoudite pour 30 milliards d’avions de guerre F-15, dans le cadre d’un accord qui intervient peu après que Washington ait mis au point un contrat avec Dubaï pour fournir des « bunker buster » aux Emirats Arabes Unis (des bombes qui pourraient détruire les souterrains hébergeant des activités nucléaires dans l’Iran voisin).

Depuis la capture par l’Iran d’un drone américain espion, les tensions ont dégénéré entre les deux nations. Après les menaces d’embargo total sur le pétrole iranien, l’Iran a répliqué en menaçant de fermer le détroit d’Ormuz, une voie essentielle pour le commerce du pétrole à destination des États-Unis. Quinze mille marines supplémentaires ont été envoyés dans la région.

Source : Mecanopolis.org

vendredi 6 janvier 2012

RÉVÉLATIONS CHOCS D'UN BIOCHIMISTE À PROPOS DES "CHEMTRAILS"

Un biochimiste explique les concoctions qu’il a participé à mettre au point destinées à l’épandage aérien des "chemtrails"!!!

Le Blog "Conscience du Peuple" rapportait dernièrement cette incroyable discussion trouvée sur un blog américain dans la nuit du 4 janvier 2011. Il s'agit des réponses d’un homme à la retraite qui dit avoir travaillé pendant 17 ans comme biochimiste dans une compagnie qui travaille sur des projets secrets de produits destinés à l’épandage par voie aérienne. Les bloggers se sont fait alors un vilain plaisir de le discréditer, de le mettre à l’épreuve, de le confondre avec toutes sortes de questions-piège. Après une dizaines de questions, les attaques ont fait place à des questions-réponses extrêmement intéressantes et pertinentes...

Nous vous recopions ici les réponses du biochimiste aux questions des bloggers...

Nous ne sommes pas vraiment surpris d'apprendre ce que cet homme dévoile, et nous estimons qu'il s'agit sans doute d'aveux qui sont vrais...

Si le biochimiste semble un peu naïf, il faut comprendre que son rôle, confiné dans un laboratoire, l’a limité à un domaine de connaissance restreint sur l’ampleur du phénomène de l’épandage aérien.

Nous savons que des brevets de chemtrails sont publiés sur le site des brevets américains pour des utilisations de ré-ingénierie environnementale et climatique. Toutefois, comme le rapporte le biochimiste, les brevets pour les "autres utilisations" ne sont pas du domaine public.

VOICI LES AVEUX DU BIOCHIMISTE...

"J’ai passé 17 ans à développer divers produits chimiques pour les chemtrails – Vous pouvez me demander presque n’importe quoi...

Je ne peux pas dire avec 100% de certitude que les produits chimiques, sur lesquelles j’ai travaillé,se sont retrouvés dans les avions d’Evergreen, mais je sais que c’est un fait avéré, que les compagnies aériennes de fret comme Evergreen acceptent régulièrement de grosses sommes d’argent pour charger et disperser des chemtrails. C’est beaucoup plus lucratif que de transporter du fret.

Les Buts : Ils sont trop nombreux pour les compter sur ses dix doigts. Cela dépend vraiment de où ils vont être utilisés. Beaucoup sont des agents calmants . D’autres induisent un état de flou. Rarement, on nous a demandé de développer des mélanges qui incitaient à la colère ou à un comportement impétueux. 90% de ce nous avons dévellopé visait à altérer les émotions, l’humeur ou à provoquer un certain état d’esprit.

Toxicité : Dans presque tous les cas, il était très clair pour nous, que ce que nous dévellopions devraient avoir une toxicité minimale. Naturellement, un petit pour cent de la population dévellopera une tendance allergique à un composé chimique. Mais dans certains cas, nous sommes même allés aussi loin que dans l’expérimentation animale pour s’assurer que les produits chimiques, sur lesquelles nous avions travaillé, étaient relativement non-toxique. Je n’ai jamais travaillé sur un projet où le résultat escompté était toxique / mortelle.

Répartition / Accumulation : Elle varie énormément en se basant sur la structure chimique. Certains de ces mélanges que nous avons développé étaient prévus pour se dissiper jusqu’à un niveau de concentration aussi faible qu’une partie par milliard au moment où ils atteignaient le niveau du sol. D’autres ont été spécifiquement conçus pour atteindre le niveau du sol et peuvent tenir pendant une durée d’une année. Même après le passage de la pluie, du vent, de la neige, etc...

Je sais que 99% du temps, un pilote commercial n’est pas au courant que leur avion peut pulvériser des chemtrails. J’ai réalisé après un certain temps que, quel que soit l’organisation qui est «en coulisses» de tout cela, ils sont très bon pour faire en sorte de traiter directement avec le moins de gens que possible. Je n’ai jamais su qui était en traitance des services de mon employeur. Pas une seule fois.

Je sais que l’Amérique du Nord n’est pas le seul continent qui utilise des ADC (aerially dispersed chemicals = produits chimiques dispersés par voie aérienne) à l’insu de la population. Cependant, je sais aussi que la technologie chimique des autres pays sont près d’une décennie en arrière de celle que possède les États-Unis.
Je ne savais pas où les produits chimiques sur lesquelles j’avais travaillé finissait par être utilisé. Comme je disais avant, il y a beaucoup de secret. Je l’ai fait pendant 17 ans parce que le salaire et les avantages étaient très intéressant. Tout ce que je peux dire, c’est que parfois on nous a donné la tâche de développer des mélanges chimiques dont on attendait des résultats très précis, ce qui m’a donné l’impression qu’ ils seraient utilisés dans une zone spécifique. État, région, comté, ville – je ne sais pas. Je sais qu’il serait très difficile de cibler une zone plus petite qu’une ville, à la vue de l’altitude d’un avion commercial.

Aussi j’ai travailler sur quelques projets dont l’intention était de développer un mélange qui ne se disperseraient pas très loin, et qui s’atténuait aussi vite que possible sans se répandre.

Nous avons l’usage du baryum dans plus d’un produit final. Cependant, pour l’ensemble de ces projets, nous avons mené des tests approfondis pour s’assurer que les produits chimiques se dissiperaient à des niveaux non toxiques, au moment où ils atteignent le niveau du sol. La Barytose (maladie dûe au Baryum) était une préoccupation majeure de nos contracteurs lors de l’élaboration de quoi que ce soit où le baryum était nécéssaire. La plupart de nos mélanges finaux qui utilisaient du baryum ont été conçus pour atteindre le niveau du sol à un niveau de concentration de une partie par million voire moins.

Je ne veux pas vous raconter n’importe quoi. J’ai été hors de l’entreprise pendant assez longtemps, au point où je me sens en sécurité, queand à la révélation de certains détails concernant mon emploi passé. Cela, et ce verre de scotch.

Raisons pour la pulvérisation : … Comme je l’ai dit, nous n’avons jamais connu les véritables intentions des contractants. Mais neuf fois sur dix, c’était assez évident parce que quand ils nous demandent de développer des composés chimiques, ils doivent aussi nous dire ce qu’ils veulent en faire. Pour en nommer quelques unes: La modification du climat, des suppresseurs d’émotions, des expectorants d’émotions, la modification de l’environnement. En outre, il est intéressant de noter que vous pouvez aussi mentionner « la maladie / les symptômes de la grippe » – bien que j’ai déjà dit que, avec 99% de nos produits, nous avons été spécifiquement chargé de veiller à leur non-toxicité, il y avait cependant quelques projets, sur lesquelles nous avons travaillé qui étaient destinés à créer des «symptômes», sans causer aucun dommage réel pour les sujets.

Nos mélanges n’ont jamais été breveté. Principalement parce que les brevets sont de notoriété publique. Mais les brevets peuvent toujours être gardé secret, nos mélanges n’ont jamais été brevetés dans le but d’un plausible déni et ainsi éviter tout trace sur papier. Gardez à l’esprit que presque tout ce qui nous a été confié de faire, n’était pas légale dans presque tous les sens du terme. Je peux, cependant, me souvenir d’un projet qui fut conçu pour fonctionner différemment en fonction de l’ensoleillement – c’était un projet de modification du climat.

Je me sentirais bien, bien pire si la non-toxicité n’avait pas été une telle inquiétude comme ça l’a été. Mais même ainsi, j’ai du traité avec une grande quantité de regret, depuis ma retraite. Un problème d’alcool en à même surgit. Mais j’ai réussi à y venir à bout avec ces presque deux décennies de travail, et je suis prêt à accepter le sort qui m’attend.

Faites-vous allusion à la drogue “Midazolam” ? Tout ce que je sais, c’est que c’est une drogue assez controversée, mais en regardant la structure chimique, ce je peux dire c’est qu’elle partage certaines propriétés réactives avec des produits chimiques élaborés dans des projets ayant l’intention de modifier un état d’esprit.

Je vais essayer de résumer le projet sans être trop spécifique. Nous cherchions dans une famille spécifique de récepteurs “G” associées à des protéines que l’on ne trouvent que dans le tissu cérébral. Le progrès réalisé est que nous avons dévellopé un inhibiteur pour un récepteur spécifique dans cette famille. Ce récepteur spécifique est impliqué dans la création et le stockage de nouveaux souvenirs. En développant un composé qui se lie au récepteur et en bloquant la liaison du composé naturel créé, nous avons obtenu un succès mitigé dans l’inhibition de la création et du stockage de nouveaux souvenirs. Mais les tests des taux de mortalité étaient trop élevés, et le projet fut abandonné. Un des projets les plus intéressantes sur le quel nous ayons jamais eu à travailler, cependant.

Il est possible que certaines choses que nous avons créé interagissent avec des médicaments en vente libre ou sous ordonnace.. Lors du test de composés, nous avons vérifié les effets secondaires avec les médicaments les plus répandus, en vente libre et sur ordonnance (acétaminophène, ibuprofène, etc.) Mais il n’y avait aucun moyen possible pour nous de tester et vérifier les interactions avec tous les médicaments sur le marché."


Source : "Conscience du peuple"

mercredi 4 janvier 2012

LES "SOCIÉTÉS" : "THE CORPORATIONS"

Il y a 150 ans, la société par action était une institution peu importante. Aujourd'hui elle est omniprésente. Comme l'église, la monarchie et le parti communiste en leur temps, la société est l'institution prédominante. Ce documentaire étudie la nature, l'évolution, l'impact et le probable avenir de la société moderne.

À VOIR ABSOLUMENT!!!!!!


mardi 3 janvier 2012

L'ART DE FAIRE DE L'ARGENT : "LET'S MAKE MONEY"

Après « We Feed the World », film événement sur les dérives de l’industrie alimentaire, le réalisateur Erwin Wagenhofer revient avec un nouveau documentaire intitulé « Let’s Make Money », une démonstration implacable sur les conséquences humaines, démographiques et écologiques de la dérégulation économique. Une fascinante plongée au coeur du système financier mondial.

C'est l'histoire de deux mondes qui s'interpénètrent sans jamais se rencontrer. Dans l’un, on ramasse du coton ou on casse du minerai, dans l’autre, on "fait" de l’argent. Entre les deux, une passerelle à sens unique, qu’empruntent les flux invisibles de la finance mondiale. Une frontière immatérielle et pourtant infranchissable, qui concentre entre les mains de 10% de la population mondiale 80% des richesses, et les sépare du reste de l’humanité.

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