lundi 29 décembre 2014

LE 1er "BUZZ" DE L'ANNÉE 2015 !

LE 1er "BUZZ" DE L'ANNÉE 2015 SERA "UNE PASSAGÈRE IMPRESSION DE LÉGÈRETÉ"
(ha ha !)
Le 4 janvier prochain, suite à un alignement planétaire, la gravité sur Terre sera diminuée pour quelques minutes.


EN JANVIER, LA GRAVITÉ DE LA TERRE SERA RÉDUITE PENDANT ENVIRON 5 MINUTES !

Un phénomène rare et particulièrement surprenant devrait prendre place le 4 janvier prochain selon la NASA.

Selon l’astronome Britannique Patrick Moore, à exactement 9h47 GMT (soit 10h47 en France)la planète Pluton (reclassée il y a peu en tant que telle) passera directement derrière Jupiter, en alignement avec la Terre.

Un événement rarissime qui devrait être lourd de conséquences pour quelques minutes au moins, 5 selon les spécialistes, puisque l'attraction gravitationnelle des deux planètes combinée causerait la réduction partielle de notre propre gravité.

Pour ressentir le phénomène depuis chez vous, les scientifiques vous invitent à sauter dans les airs à l'heure dite, vous constaterez le changement : il vous faudra 3 secondes pour retomber sur vos pieds au lieu de 0,2 seconde habituellement. S'ensuit une impression légère de voler, comme si vous-même vous visitiez l'espace.

vendredi 19 décembre 2014

DOCUMENTAIRE : "LA GUERRE DES GRAINES"


Enquête sur une bataille souterraine et silencieuse. En 100 ans, sous les effets de l’industrialisation de l’agriculture, les 3/4 de la biodiversité cultivée ont disparu. Alors que se renforce la main-mise sur les semences par une poignée de multinationales, un vaste arsenal réglementaire limite le droit des paysans à échanger et reproduire les semences. Enquête sur une bataille souterraine et silencieuse

Le documentaire « La Guerre des Graines », qui sera diffusé le 27 mai sur France 5, décrypte les batailles autour de la privatisation du vivant, avec l’appui de témoignages de paysans, d’élus, de militants, d’experts et d’industriels. Un film percutant et engagé.

Depuis 12.000 ans, les paysans sèment, sélectionnent et échangent librement leurs semences. Mais cette pratique ancestrale au fondement de l’agriculture est en péril. Dix multinationales contrôlent aujourd’hui 75 % du marché mondial de semences [1]. Leurs noms? Monsanto (États-Unis, 26 % du marché mondial), DuPont (États-Unis, 18 %), Syngenta (Suisse, 9 %), Limagrain (France, 5 %), suivis d’une poignée d’autres firmes allemandes, états-uniennes ou japonaises. « Que se passera-t-il si l’industrie semencière réussit à privatiser intégralement les semences agricoles? » interrogent les deux co-réalisateurs.

« L’histoire que nous allons vous raconter est celle d’une guerre inconnue mais qui nous menace tous, la guerre des graines. » C’est par ces mots saisissants que débute le nouveau film de Stenka Quillet et Clément Montfort, produit par John Paul Lepers.

Refuser l’esclavage semencier....

L’enquête de Stenka Quillet et Clément Montfort les a menés en Inde, en France et en Norvège auprès de paysans qui, pour rester libres, cherchent une alternative aux graines de l’industrie. Mais aussi dans les couloirs du Parlement à Bruxelles où se jouent régulièrement des épisodes déterminants de la guerre des graines.

Grand témoin de ce film, la scientifique et militante écologiste indienne Vandana Shiva : « la guerre des graines est dans chacune des fermes. Des fermes dans des pays comme ici, en Inde, où des paysans risquent de perdre leur approvisionnement en graines. Mais aussi les fermes plus grandes et conventionnelles qui n’auront plus d’autres choix que d’acheter des OGM, des herbicides, du Roundup, et seront coincés dans un esclavage semencier. »

Tous les géants de la semence ont décliné les demandes d’entretiens pour ce film, à l’exception d’un seul, Monsanto. La firme américaine, qui n’a semble t-il plus rien à perdre tant son image a été écornée ces dernières années par différents scandales, a ouvert les portes en France de sa plus grosse usine de semences pour l’Europe.

La stratégie de Monsanto se dévoile en partie lors d’un entretien avec l’un des responsables de cette usine située à Peyrehorade en Aquitaine. Consciente des difficultés à développer les plantes génétiquement modifiées en Europe sous la pression citoyenne, la firme mise désormais sur la multiplication des droits de propriété sur les semences.

Avant de quitter le site de Monsanto, la caméra s’attarde sur des semences de couleur rouge. Enrobées d’insecticides ou de fongicides provenant d’autres compagnies comme Bayer ou Syngenta, ces semences rappellent que Monsanto collabore étroitement avec plusieurs géants de l’agrochimie.

La fin de cette enquête conduit à Svalbard, un archipel de la Norvège situé au large du Groenland. C’est là, dans un chambre forte creusée dans la glace, qu’ont été entreposées des graines du monde entier. L’idée, conserver un double de la biodiversité végétale de la planète. Mais la présence d’entreprises privées, comme Syngenta, dans le financement de la gestion quotidienne de ce coffre-fort inquiète.

Surtout, rappellent les organisations paysannes, la seule vraie conservation se fait dans les champs des paysans et des jardiniers. Ce qui suppose d’avoir accès et de pouvoir maintenir vivante cette biodiversité. « La guerre des graines est dans chaque assiette, résume Vandana Shiva. Tant que la liberté des graines sera confisquée, alors notre nourriture le sera aussi. C’est pour cette raison que tout le monde doit être engagé pour réclamer la libération des graines. »

Documentaire : « La Guerre des Graines » 
Réalisé par Stenka Quillet et Clément Montfort (2014)

- Plus d’informations sur le blog dédié au film "La Guerre des Graines"..

Notes:

mercredi 17 décembre 2014

LA PRIVATISATION DES SEMENCES...


La privatisation des semences : Un enjeu mondial 

Ce billet du blogue Un seul monde a été écrit par Julie Lapalme, chargée de recherche et de plaidoyer à Développement et Paix.

Au Canada, l'adoption récente du projet de loi C-18 par la Chambre des communes, en troisième lecture, met en lumière un phénomène de plus en plus préoccupant, celui de la privatisation des semences et de leur contrôle par des compagnies multinationales. Cet enjeu, qui est présent dans les pays du Sud comme dans les pays du Nord, reste parfois méconnu. Pourtant, il représente une menace pour la souveraineté et la sécurité alimentaire des populations locales, pour la biodiversité de la planète et pour l'avenir de notre alimentation.


Un contrôle grandissant...

Les semences constituent la base de notre système alimentaire. Depuis des millénaires, les petit-e-s agricultrices et agriculteurs ont développé un savoir-faire permettant aux semences de grandir dans leur environnement naturel et de résister aux aléas du climat et à d'autres fléaux. C'est grâce à ce savoir-faire que l'on retrouve aujourd'hui une grande variété de fruits et de légumes, contribuant ainsi à préserver la biodiversité agricole mondiale.

Depuis quelques décennies, le secteur privé exerce un contrôle grandissant sur les semences. Selon le groupe ETC, une ONG qui travaille sur les impacts socio-économiques des nouvelles technologies, plus de 50 % du marché mondial des semences est aujourd'hui contrôlé par trois compagnies. C'est grâce à des brevets ou à des certificats que ces compagnies obtiennent la « propriété intellectuelle » de certaines semences. Ce faisant, elles tentent d'éliminer les droits séculaires des agriculteurs de conserver, d'utiliser et d'échanger les semences.

Or, les semences industrielles standardisées n'ont pas la flexibilité et l'adaptabilité des autres semences. Elles requièrent toujours le même ensemble technologique (pesticides chimiques, engrais, grosse machinerie et travaux d'aménagement), sans lequel elles ne peuvent croître. Il va sans dire que cet ensemble technologique est hautement dépendant du pétrole.

En plus des semences industrielles standardisées, certaines entreprises ont développé des semences génétiquement modifiées. Conçues pour résister aux herbicides et aux parasites, ces semences ont besoin, pour pousser, d'engrais chimiques et de pesticides, fabriqués par ces mêmes compagnies. Comme elles sont brevetées par des firmes multinationales, les agricultrices et agriculteurs ne peuvent plus conserver leurs semences pour la prochaine récolte et doivent en acheter de nouvelles auprès de ces entreprises, créant ainsi un cycle de dépendance économique.

Les multinationales bénéficient d'un avantage considérable. Elles peuvent promouvoir leurs semences grâce à des traités de libre-échange et à d'autres conventions internationales. Ces accords encouragent les gouvernements à adopter des lois qui interdisent aux agricultrices et agriculteurs de conserver ou d'utiliser leurs propres semences parce qu'elles ne sont pas brevetées ou certifiées.


Des pays du Sud se mobilisent...

Ces mesures créent une résistance dans les pays du Sud, où les petit(e)s agricultrices et agriculteurs constituent souvent la majeure partie de la population. Même si le travail de ces personnes fournit une grande partie de la nourriture disponible sur les marchés locaux, elles sont souvent les premières touchées par l'insécurité alimentaire. L'interdiction de conserver et d'utiliser leurs semences vient accroître leur vulnérabilité de même que celle des communautés locales qui en dépendent.

Par exemple, en Colombie, une grève nationale des agricultrices et agriculteurs a éclaté en 2012, lorsque la loi 970 a rendu illégale la conservation des semences par les femmes et les hommes paysans. L'adoption de cette loi était une condition requise par les États-Unis afin qu'ils signent un accord de libre-échange avec la Colombie. La loi 970 ouvrait la voie au monopole des multinationales sur certaines semences, en plus d'accorder à l'Institut colombien de l'agriculture le droit de saisir et de détruire les semences paysannes. Après des mois de manifestations, la loi a été suspendue.

En Zambie, la population a longtemps résisté à l'introduction des semences génétiquement modifiées. En 2002, des organisations locales ont réussi à persuader le gouvernement zambien d'interdire l'entrée de maïs génétiquement modifié. L'interdiction persiste jusqu'à maintenant, malgré la pression croissante de certains pays pour la lever.


Le Canada aussi est touché...

Comme le montre l'adoption récente par la Chambre des communes, en troisième lecture, du projet de loi C-18, appelé Loi sur la croissance dans le secteur agricole, le Canada est lui aussi menacé par la privatisation des semences. Le projet de loi C-18 implique entre autres, l'adhésion du Canada à l'UPOV 1991, une convention internationale gouvernant les droits de propriété intellectuelle sur les nouvelles variétés végétales. En vertu de cette convention, les « obtenteurs » de nouvelles variétés végétales, soit principalement de grandes multinationales semencières, acquièrent plus de pouvoir et de contrôle sur le système agricole canadien, au détriment des agricultrices et agriculteurs. Ceux-ci voient d'ailleurs leur droit de choisir, conserver et utiliser leurs semences devenir un privilège révocable.


Des alternatives possibles?

Quelles sont les alternatives à la privatisation croissante des semences? Dans son rapport final au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, au terme d'un mandat de six ans en qualité de Rapporteur spécial sur le droit à l'alimentation, Olivier De Schutter a recommandé de réformer de manière radicale et démocratique les systèmes alimentaires mondiaux.

Afin de parvenir à ce changement systémique, plusieurs efforts sont requis. Entre autres, il faut favoriser la diversité génétique des cultures, essentielle à la subsistance des petit-e-s agricultrices et agriculteurs et de leurs communautés et à la préservation de la biodiversité. Mais plus encore, les citoyen(ne)s doivent réclamer leur droit au chapitre quant à la provenance et au mode de production des aliments qu'ils consomment. En d'autres mots, ils doivent se réapproprier un pouvoir décisionnel sur leur alimentation et plus largement, sur leurs systèmes alimentaire et agricole.

Les résultats des mobilisations sociales qui ont eu lieu en Zambie, en Colombie et dans d'autres pays, permettent de croire qu'une plus grande participation des populations locales dans la définition de leur système alimentaire est non seulement nécessaire, mais aussi possible.


> Lire d'autres articles du blogue Un seul monde
Source : huffingtonpost

LES PRÉDATEURS DE L'INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE...

Des réfugiés dans un camp en Somalie, où la famine guette toujours.
Photo : Getty/AFP/MOHAMED ABDIWAHAB

Comment l'industrie agroalimentaire empêche l'éradication de la faim

Le directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), José Graziano da Silva, déclarait récemment qu'il y a assez de nourriture sur Terre pour éradiquer la faim et la malnutrition. Est-ce vrai? Catherine Perrin en discute avec Rodolphe De Koninck, professeur au Département de géographie de l'Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études asiatiques. 

Des Prédateurs...

M. De Koninck qualifie les modèles d'agriculture actuels de prédateurs, et juge qu'on a usé d'arguments fallacieux pour convaincre les pays du tiers-monde de renoncer à des modèles d'agriculture pourtant efficaces. Les modes de production commerciale contribuent à la destruction de la biosphère, et l'accroissement continuel de la production est sans fondement puisque la redistribution des richesses n'a jamais lieu. 

Rodolphe De Koninck, professeur au Département de géographie de l'Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études asiatiques, 
 Photo : Radio-Canada/Olivier Lalande 

Une production suffisante :

« On produit actuellement assez pour nourrir 9 milliards et demi de personnes sur la planète. Nous sommes, aux dernières nouvelles 7,2 milliards [d'humains]. L'idée selon laquelle il faut se dépêcher parce qu'en 2050 nous serons 9 ou 10 milliards, ce n'est pas vrai. On produit déjà assez », affirme le spécialiste. 

Selon M. De Koninck, le seul espoir de renverser la tendance est dans l'éducation des citoyens et dans une réglementation courageuse de la part des États. « Ce qui, bien sûr, n'est pas à l'ordre du jour. Nous sommes dirigés par deux gouvernements antiréglementation. »

Audio Fil : Réflexion sur la production agricole mondiale avec Rodolphe de Koninck : ICI

Source : Ici Radio-Canada

vendredi 12 décembre 2014

SACRILÈGE À NAZCA!


Les autorités en colère contre Greenpeace après leur coup d’éclat à Nazca !

La dernière action de Greenpeace au Pérou a suscité la polémique, une semaine seulement après que l’organisation écologiste ait projeté un message depuis le site archéologique du Machu Picchu, les activistes ont souhaité attirer l’attention depuis les lignes de Nazca où ils ont déposé des banderoles au niveau du célèbre hiéroglyphe représentant un colibri. Le ministère de la Culture du Pérou a dénoncé cette action en affirmant que les militants ont pénétré de façon « illégale et préméditée, et sans la moindre autorisation » dans cette zone intangible inscrite au patrimoine culturel de l’humanité de l’UNESCO. C’est lundi, dans la région d’Ica, que des activistes de Greenpeace ont décidé de frapper les esprits, en marge du sommet sur le changement climatique COP20, qui se déroule dans la capitale du Pérou, Lima.

Les membres de Greenpeace ont déposé des lettres de couleur jaune afin d’inscrire le message suivant « Time for change: The future is renewable » (« C’est le temps de changer! L’avenir est renouvelable »), un court texte qui pouvait être lu seulement depuis le ciel comme les célèbres dessins de Nazca.

« Cette zone, déclarée patrimoine culturel de l’humanité, est un endroit où il est strictement interdit d’intervenir en raison de la fragilité qui entoure les figures », ont déclaré les autorités.Il faut savoir que les visites sur le site sont strictement encadrées, les chefs d’État comme les ministres doivent obtenir une autorisation spéciale pour fouler les sols fragiles de cette zone qui suscite autant la curiosité que la fascination depuis près de 1500 ans.

Il y a quelques jours c’est au Machu Picchu (30 novembre), célèbre cité inca, que sept membres de Greenpeace ont projeté le message « sauvons le climat, le soleil est la réponse » en anglais, en espagnol, en portugais, en allemand, en français et en hindi, une projection réalisée depuis le Temple du soleil vers la montagne voisine de Huayna Picchu.


Mauro Fernández, représentant de Greenpeace pour la zone andine, a justifié l’intervention au Machu Picchu par « l’opportunité historique » que cela représente, l’objectif étant que les leaders politiques conviés à participer au sommet climatique de Lima puissent être interpellés sur les dangers toujours plus grands du changement climatique. C’est pourquoi le site archéologique du Machu Picchu a été choisi, lieu sacré de la civilisation précolombienne inca où se réunissaient les adorateurs du soleil, Greenpeace signale que l’énergie renouvelable peut-être la solution : « Si les pays privilégient l’énergie du vent et de l’énergie solaire nous pourrions éviter les pires impacts du changement climatique, comme les inondations, la fonte des glaciers ou encore l’augmentation du niveau de la mer. Il n’y a plus d’excuses, les leaders politiques doivent agir ».


Mais face au tollé provoqué par la présence des militants de Greenpeace à Nazca, le responsable de l’organisation a tenu à présenter ses excuses hier mercredi : « Greenpeace s’excuse pleinement auprès du peuple péruvien pour l’offense causée… Nous regrettons profondément », tel est le communiqué diffusé par le propre directeur exécutif international, Kumi Naidoo, qui voyagera cette semaine à Lima pour s’excuser personnellement devant les autorités péruviennes.

Ce n’est pas la première fois que l’organisation environnementaliste se mobilise sur les terres péruviennes, le 15 mai 2008, le Machu Picchu avait déjà été au coeur de protestations à l’occasion de l’organisation à Lima du sommet ALC-UE. Cette fois, des activistes d’origine chilienne, argentine, colombienne, australienne ou encore allemande avaient déployé des banderoles jaunes sur lesquelles on pouvait lire en anglais « danger : biocombustible. Sauvons les forêts pour sauver le climat ».

Toutefois, les autorités péruviennes ne se montrent guère réceptives au mea culpa de Greenpeace et le vice-ministre de la Culture, Luis Jaime Castillo, a rétorqué « Nous n’acceptons pas les excuses. Ils ne reconnaissent pas leur action néfaste ».

L’archéologue Pedro Pablo Alayza a affirmé à l’agence d’AFP que « que les dommages occasionnés par Greenpeace sont visibles avec les photos aériennes prises après le retrait des inscriptions déposées dans le désert », et les experts regrettent qu’ils n’aient pas porté des protections sur leurs chaussures comme l’exigent les règles de sécurité.

Mardi, le gouvernement péruvien a évoqué « un attentat contre le Patrimoine culturel de tous les Péruviens et de toute l’humanité », puisque le site de Nazca est inscrit depuis 1994 sur la liste du patrimoine culturel de l’UNESCO.


L’héritage des lignes de Nazca a été mentionné lors de l’ouverture de la COP20, lorsque Christiana Figueres, secrétaire exécutive rattachée à l’évolution du climat des Nations Unies, a exhorté les délégués à adopter des « lignes d’action sur le climat aussi indélébiles que les lignes de Nazca ».

Localisés dans la plaine côtière aride du Pérou à quelque 400 km au sud de Lima, les géoglyphes de Nazca et de Pampas de Jumana s’étendent sur environ 450 km² . Ces lignes, tracées dans le sol entre 500 av. J.-C. et 500 apr. J.-C., soulèvent une des grandes énigmes de l’archéologie en raison de leur nombre, de leur nature, de leur taille et de leur continuité. Certains de ces géoglyphes représentent des créatures vivantes, d’autres des végétaux stylisés ou des créatures fantastiques, d’autres encore des figures géométriques de plusieurs kilomètres de long. Les experts estiment qu’elles étaient liées à une fonction rituelle alors que ces cultures vouaient un intérêt particulier à l’astronomie.

(Aline Timbert)


Source : http://www.actulatino.com/2014/12/11/perou-les-autorites-en-colere-contre-greenpeace-apres-leur-coup-d-eclat-a-nazca/#zuDsvhPk25zPHcAW.99

LES POLICIERS POURRONT FOUILLER LES TÉLÉPHONES CELLULAIRES!


Dorénavant, au Canada, les policiers peuvent fouiller le téléphone cellulaire d'un suspect, tranche la Cour suprême

Fouilles de cellulaires permises : reportage de Philippe Leblanc pour RADIO-CANADA
Cliquez ICI

Desormais, au Canada, les policiers pourront procéder à la fouille rapide, sans mandat, des téléphones portables de suspects après leur arrestation à certaines conditions, conclut la Cour suprême du Canada.

La fouille doit être strictement liée et limitée aux objectifs de l'arrestation. Dans un jugement divisé, à quatre contre trois, la majorité estime que l'on doit tenir compte des attentes en matière de respect de la vie privée des propriétaires de téléphones portables, particulièrement les téléphones intelligents qui s'apparentent aux ordinateurs.

Toutefois, même si ce qu'on appelle une fouille accessoire après arrestation peut constituer une atteinte à la vie privée, « ce ne sont pas toutes les fouilles qui le sont inévitablement » dit le juge Thomas Cromwell au nom de la majorité.

Pour être conforme à l'article 8 de la Charte canadienne des droits et libertés qui protège les citoyens des fouilles abusives, une fouille accessoire d'un téléphone portable doit suivre une arrestation légale et avoir des objectifs de protection des policiers, du public ou du suspect, de conservation ou de découverte de la preuve ou encore d'identification d'autres suspects.

Sébastien Bovet discute de la décision de la Cour suprême sur les fouilles de cellulaires avec Pierre Trudel, professeur au Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal.

L'étendue de la fouille devra aussi être conforme à son objectif et donc se limiter par exemple aux courriels, aux photos ou aux messages textes récents, ou encore au registre des appels. Les policiers devront tenir des notes détaillées sur le contenu examiné et la façon dont ils ont procédé pour justifier ensuite la fouille.

Dans cette affaire, les policiers avaient trouvé sur le portable d'un individu arrêté après un vol dans une bijouterie de Toronto la photo d'une arme qui s'est révélée être celle qui avait servi au vol ainsi qu'un message texte disant; « on l'a fait, où sont les bijoux? »

La fouille n'a pas été faite dans les règles à cause d'une formalité, mais la Cour juge quand même la preuve obtenue admissible.

À noter que dans ce cas-ci, le portable n'était pas verrouillé ni muni d'un mot de passe de sécurité. Les tribunaux inférieurs avaient conclu qu'une personne possédant un téléphone non protégé ne devait pas avoir les mêmes attentes relativement à sa vie privée. La Cour suprême estime au contraire que ces attentes sont les mêmes, téléphone verrouillable ou non.

Un vol de bijoux à l'origine de la cause...

Le plus haut tribunal du pays a ainsi nuancé le jugement de la Cour d'appel de l'Ontario, rendu en février 2013, qui avait jugé cette pratique légale. Le tribunal ontarien avait décidé de classer le contenu du téléphone portable dans la même catégorie que le contenu d'un sac qu'un suspect pourrait avoir lors de son arrestation. La Cour suprême balise la fouille de téléphone cellulaire.

La Cour suprême précise que, même en l'absence de mot de passe, le respect de la vie privée demeure le même. L'existence d'un mot de passe et le verrouillage du téléphone élimine carrément toute éventuelle fouille accessoire sans la communication du mot de passe par le suspect. 

C'est l'arrestation d'un individu soupçonné d'avoir volé un bijoutier de Toronto, en 2009, qui est à l'origine de la cause. Après avoir arrêté Kevin Fearon, les policiers ont trouvé un téléphone portable sur le suspect et ils ont pris la liberté d'en vérifier le contenu, le téléphone n'étant protégé par aucun mot de passe.

Les policiers y ont découvert une photo d'une arme de poing et un message texte incriminant le suspect. Il a par la suite été condamné à six ans de prison.

L'avocat de Kevin Fearon avait porté la cause de son client devant la Cour d'appel en alléguant que les policiers avaient violé ses droits reconnus par la Charte canadienne en fouillant son cellulaire. Il avait reçu l'appui de l'Association canadienne des libertés civiles qui avait soutenu que les policiers ne devraient pas avoir le droit de fouiller un cellulaire après une arrestation, à moins d'une urgence.

L'Association estimait qu'un téléphone cellulaire est un peu comme une "maison" de nos jours, en raison de la quantité de renseignements personnels qu'il contient. Or, la police ne peut fouiller votre domicile sans mandat de perquisition.

Le tribunal a toutefois refusé de créer une exception pour les téléphones cellulaires et l'avocat de Kevin Fearon a porté la cause en Cour suprême.

La Cour suprême convient que les droits de Kevin Fearon ont été violés parce que la fouille n'était pas raisonnable au sens de la loi. L'atteinte aux droits de M. Fearon a toutefois été jugée mineure : les notes des policiers ont été mal tenues et elles établissent mal le contexte de la fouille. La preuve a donc été jugée admissible selon par la Cour suprême.

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2014/12/11/001-cour-supreme-telephone-cellulaire-fouille-policiers-droit.shtml

dimanche 7 décembre 2014

JIM CAREY RÉVÈLE LE SECRET DES ILLUMINATI EN PLEIN SHOW TÉLÉ


Écoeuré du mensonge l'acteur Jim Carrey révèle le secret des Illuminati en pleine télévision!!!

“J’en ai marre des Secrets et des Mensonges” dit Jim Carrey sur les Illuminati dans la télévision nationale US

Pour faire sa grande entrée, Carrey se présente sur la scène de Kimmel (animateur) faisant un geste évident de la main “in-your face”, comme on le voit dans l’image ci-dessus. La foule a crié et applaudi avec jubilation, et il n’était pas clair si elle criait parce qu’ils étaient conscients du symbole de la main, ou s’ils étaient simplement heureux de voir l’acteur après une courte période loin de Hollywood au cours des dernières années...

Carrey passe une période de temps prolongée à faire le symbole du triangle avec les mains tout en faisant dépasser sa langue du centre, tandis que Kimmel curieux observe depuis son bureau...


Le public se calme enfin et Carrey s’assoit, après quoi Kimmel demande “What Is that exactly? Is that a gang sign?”. Carrey tire envers Kimmel un regard surpris et dit en riant “Oh like you don’t know what it is,” Kimmel répond “No I don’t.”

“So you don’t know what it is, Jimmy Fallon (animateurs américains) doesn’t know, David Letterman doesn’t know what it is, all the comics in show business don’t know what this is?” a t-il dit tout en faisant le geste du triangle Illuminati avec les mains une fois de plus.

Pour ceux qui ne sont pas sûr à ce que Carrey fait référence, le triangle avec un symbole au milieu (généralement un œil omniscient) représente les Illuminati. Les références aux Illuminati sont devenus omniprésents à Hollywood, comme on le voit dans un certain nombre de films, émissions de télévision, des vidéos musicales, et même des spectacles.

Après Kimmel continue de nier le fait de savoir ce que fait Jim, l’acteur révèle alors enfin le message !: “Come on Jimmy, I’m here to blow the whistle off of this whole thing. I’m sick and tired of the secrets and the lies, it’s the secret symbol of the Illumi-nutty, and you’re a part of it. It’s the all mocking tongue.”

Carrey continue à expliquer combien de personnes dans l’industrie du divertissement ont été embauchés par le gouvernement pour distraire les masses pour nous rendre heureux et docile, afin que nous ne sachions pas ce qui se passe réellement. Carrey ajoute également qu’ils décident ces choses “out in the woods in a circle, naked.”

Ensuite, il révèle que les Illuminati essaie de transformer les masses en «drones de consommation“, après quoi il reçoit un faux appel téléphonique auquel il répond... À la fin les deux effectuent le geste!


Si vous voulez en savoir plus , c’est ici: http://www.collective-evolution.com/2...

vendredi 5 décembre 2014

LE CAUCHEMAR DE LA CONSOMMATION = RÉVEILLEZ-VOUS !


N’avez-vous jamais ressentis l’horreur, comme si nous vivions un cauchemar? Un cauchemar horrible d’exploitation, de consommation, de dépendances, de destruction ?!!!

Aujourd'hui, nous vivons à une folle époque de surconsommation, mais très peu de gens savent comment les produits que nous consommons arrivent jusqu’à nous… 

En conséquence, nous sommes devenus déconnectés des réalités, de la nature, de la Terre, de l’origine de notre nourriture et de tous nos biens, et veillant à notre santé, pourvoyant la richesse et source de tous les bonheurs!

Le sympathique clip "Wake Up Call: End the Nightmare of Consumption", nous invite à ouvrir les yeux, et à nous conscientiser d’avantage, au sujet de notre monde mené par les corporations et le commerce… Un bref aperçu des coûts réels, et des répercussions réelles, qui se cachent derrière certains de nos biens les plus précieux – entre autre, de nos gadgets électroniques. En vérité, les bidules de l’ère des nouvelles technologies seraient-ils des cadeaux empoisonnés?

"Wake Up Call" relie les points entre les étapes d'extraction, de production, la consommation et l'élimination... Cette court-métrage révèle que, bien que nos gadgets nous paraissent serviables et élégants, leur apparence est bien souvent trompeuse.

Ce nouveau court-métrage a été réalisé par Steve Cutts, pour la Fondation Gaia (www.gaiafoundation.org)

jeudi 4 décembre 2014

UN TRIANGLE JAUNE QUI FAIT POLÉMIQUE !


Destinés à faciliter la prise en charge sanitaire des personnes vivant dans la rue, la ville de Marseille a mis au point le dispositif dit du "triangle jaune".

L'idée est de distribuer à tous les SDF un de ces triangle jaunes, pour qu'il le porte sur lui en tout moment, afin d'aider les intervenants sur le terrain...

Mais le dit symbole du "triangle jaune" est vivement critiqué. D'ailleurs, ce mercredi, la ministre de la Santé a jugé le dispositif "contraire à l'éthique".

La "bonne intention" a viré au tollé. Faire porter aux SDF une carte d'identité sanitaire sous la forme d'un triangle jaune... C'est ce qu'on peut appeler une fausse bonne idée.

 

Lancée à la rentrée par le SAMU social de la ville de Marseille, la "carte secours", a déjà été distribuée à 300 SDF. Les autres iront au pilon. Il est pour l'instant question de changer le visuel... 

Effectivement, plusieurs personnes se sont plaint de ce "triangle jaune" et lui donne une symbolique malsaine qui semble d'inspiration "illuminati".


De plus; ce triangle jaune peut aussi évoquer l'étoile jaune imposée aux juifs par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale.


Un "triangle jaune" qui passe mal. Et dernièrement, une tribune libre sur le site Agora Vox dénonçait "une initiative plus que douteuse qui rappelle des heures sombres de notre histoire". En cause : le triangle jaune au dos de la carte qui peut évoquer, en effet, à la fois l'étoile jaune imposée par les Nazis aux Juifs et le triangle rose utilisé dans les camps pour désigner les homosexuels.

Second aspect de la polémique. Sur la carte figurent notamment les pathologies et les allergies du porteur. (Sur ce badge qui doit être attaché à l'extérieur et être visible sera écrit le nom, le prénom de la personne et le numéro de sécurité sociale. Il y aura aussi les maladies chroniques que la personne a, comme le diabète, l'insuffisance cardiaque, mais aussi le VIH et la schizophrénie,)


Quelle est la logique de ce dispositif?! Qui donc pilote cette expérience? Quel est le texte de loi qui l'encadre?", s'interroge plusieurs personnes concernées. qui dénonce une "discrimination" et "un dispositif qui nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire".

La municipalité était déjà revenue en arrière en début de semaine en limitant les informations de cette carte à l'identité de son porteur, une personne à prévenir en cas d'urgence ainsi que le rhésus sanguin.

Cette carte "permet avant tout aux pompiers et au personnel soignant de recueillir des données essentielles afin d'identifier, d'aider efficacement et souvent de sauver la vie" des SDF, avait affirmé le 2 décembre Xavier Mery, adjoint au Maire de Marseille délégué à l'intégration et à la lutte contre l'exclusion dans un communiqué visant à défendre "une action respectable" contre "les mauvais esprits".


Questionnée par l'AFP lors de sa visite à Marseille, ce même jour, Marisol Touraine a clairement désapprouvé la carte de secours lancée par la Ville : "Au-delà du caractère désagréable de voir un triangle jaune apposé sur les vêtements de certains de nos concitoyens, je veux dire qu’il n’est pas acceptable que l’état de santé, les pathologies des citoyens soient inscrites noir sur blanc sur leur poitrine".

La ministre de la santé a ensuite conclu : "Cette démarche me paraît absolument contraire à toute l’éthique qui doit présider à la prise en charge sanitaire de nos concitoyens et je souhaite que les initiateurs de cette démarche y mettent fin le plus rapidement possible".

"Accrochez-là à l'extérieur d'un sac à main, d'une sacoche...", précise le mode d'emploi. "Un triangle jaune avec des maladies dessus... C'est tellement gros que j'ai cru à une blague !", raconte Arnaud, un sans-abri régulièrement hébergé à l'UHU de la Madrague, à La Provence.

Un débat au-delà du seul "triangle jaune". Contactée par Europe1, l'équipe mobile de la Croix-Rouge de Marseille qui va régulièrement à la rencontre des SDF lors de maraudes est dubitative sur le dispositif. " En maraude, les personnes dans la rue nous disent rarement leur nom même quand on les connait depuis longtemps, elles préfèrent donner un surnom", souligne-t-on en pointant la question des "libertés individuelles" : "c'est délicat de demander à quelqu'un son numéro de sécurité sociale comme cela et puis porter cette carte autour du cou cela ressemble à une étiquette que l'on vous colle".

Même son de cloche du côté du Secours Populaire de Marseille qui ne voit pas vraiment "l'utilité" de cette carte pour des informations qui peuvent être facilement obtenues "en parlant, en dialoguant et en étant à l'écoute de la personne à la rue".

vendredi 21 novembre 2014

LA COMÈTE 67P TRANSMET DES SIGNAUX RADIO !!!


"L’Agence Spatiale Européenne (ESA) a aujourd’hui confirmé qu’elle recevait un mystérieux signal en provenance de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko". (Date de l’annonce officielle : 11 Novembre 2014, par l'ESA.

N'est-ce pas fascinant et troublant à la fois!  La Comète 67P émait des signaux radio! À l'avis de Scott C. Waring c’est la façon dont une espèce extraterrestre communique avec une autre ... Une forme de télépathie combinée à des signaux radio primitifs.

D'une certaine manière, il est difficile de savoir avec exactitude s'il s'agit bien d'un message transmit par des "extraterrestres". Enfin, si c'est le cas, il y en a qui s'intéressent sérieusement à décoder ces insolites signaux.

Parce que ce signal a été transformé en transmissions radio, (une technologie primitive), pour envoyer ce curieux message, certains croient que le message a du être créé spécifiquement pour l’humanité. Énigme....

Obtenir une copie du message complet et le traduire pourrait peut-être s'avérer d’une importance capitale. Surtout si le message est d'origine "extraterrestre". (Est-ce que le message est amical? Ou une menace de ce qui est à venir?)

Cela d'autaut plus qu'une rumeur circule comme quoi il y a effectivement une présence estraterrestre sur la Comète 67P ! Nous rapportons la rumeur, sans vraiment pouvoir la soutenir de quelque manière, sinon qu'il y a ce genre de photos qui circulenet, aussi ;


Dans un communiqué l'ESA décrit le signal comme étant quelque chose comme un « chant mystérieux » et a publié en ligne quelques extraits d'un enregistrement de ce signal et annonce : "Écoutez la comète chanter".

Cette confirmation vient après des mois de rumeurs que la mission Rosetta avait été originellement lancée pour explorer ce signal radio détecté sur la comète il y a plus de 20 ans.

L’ESA a précisé que la sonde qui s'est posée avec succès sur la comète ne marque que le premier volet d'une grande opération et précise que l'importance de cet atterrissage ira bien au delà d’avoir simplement posé une sonde humaine sur une comète.



lundi 17 novembre 2014

FACEBOOK : "BIG BROTHER"


SUR FACEBOOK VOUS NE SEREZ PLUS PROPRIÉTAIRE DE VOS DONNÉES PERSONNELLES!

Facebook a modifié sa politique de vie privée, dont la nouvelle version entrera en vigueur le 20 novembre. Si la CNIL aura certainement des choses à en redire, la principale nouveauté est imperceptible mais fondamentale. L'internaute n'est plus dit « propriétaire » des données qu'il communique volontairement ou non à Facebook.


En parallèle d'une publication très grand public sur la confidentialité des publications faites par ses membres, Facebook a annoncé jeudi une importante mise à jour de sa politique de vie privée, désormais affichée avec beaucoup plus de clarté, en tout cas sur le plan de la mise en page. Car sur le fond, il n'est pas certain que le texte proposé soit plus explicite qu'auparavant sur les données collectées par Facebook et sur leur utilisation. 

La nouvelle politique est soumise pour avis aux internautes avant d'entrer en vigueur... dès le 20 novembre prochain. Un délai très court qui ne permettra sans doute pas à la CNIL et à ses homologues d'en dire un mot. Or si l'on se réfère aux recommandations faites à Google en septembre dernier - et que le géant américain prend bien soin de ne pas suivre, plusieurs points devraient poser problème au régulateur, particulièrement exigeant. 

Ainsi par exemple, il était demandé à Google d'avoir un « langage clair, précis, qui n'offre aucune ambiguïté », en détaillant de façon exhaustives toutes les collectes et utilisations de données personnelles, et en évitant toutes les formules ambigus qui ne font que donner des exemples non limitatifs. Or la nouvelle « politique d'utilisation des données » de Facebook use et abuse de ces formulations floues, dès le premier chapitre :

Nous recueillons le contenu ainsi que d'autres types d'informations que vous fournissez lorsque vous avez recours à nos services, notamment lorsque vous créez un compte, créez ou partagez du contenu ou encore lorsque vous communiquez avec d'autres utilisateurs. Ceci peut comprendre des informations concernant le contenu que vous partagez, telles que le lieu d'une photo ou encore la date à laquelle un fichier a été créé. Nous recueillons également des informations concernant la manière dont vous utilisez nos services, telles que les types de contenu que vous consultez ou avec lesquels vous interagissez, ou encore la fréquence et la durée de vos activités.

Juridiquement, Facebook veut fort logiquement éviter d'avoir un énoncé exhaustif, non seulement parce qu'il serait trop lourd à lire ou livrerait trop d'informations aux concurrents sur ses méthodes, mais aussi parce qu'il ne veut pas engager sa responsabilité en cas d'oubli. Lorsqu'il le faut, Facebook sait toutefois être très explicite, en particulier lorsqu'il s'agit des données remontées par les appareils :

Voici quelques exemples d'informations sur les appareils que nous recueillons :

Des données telles que le système d'exploitation, la version du matériel, les paramètres de l'appareil, les noms et les types de fichier et de logiciel, le niveau de la batterie et l'intensité du signal, ainsi que les numéros d'identification de l'appareil

Les données d'emplacement de l'appareil, notamment les données d'emplacement géographique précises recueillies à travers les signaux GPS, Bluetooth ou Wi-Fi

Des informations de connexion telles que le nom de votre opérateur mobile ou de votre fournisseur d'accès à Internet, le type de navigateur que vous utilisez, votre langue et le fuseau horaire dans lequel vous vous situez, votre numéro de téléphone mobile et votre adresse IP.

En revanche, dans ses recommandations à Google, le G29 (qui regroupe les CNIL européennes) demandait aussi à ce que les internautes soient informés de l'identité des partenaires avec lesquelles des informations sont partagées, et qu'il y ait un « consentement éclairé » lorsqu'il y a croisement de données entre prestataires. Or la politique de vie privée proposée par Facebook est loin d'être exemplaire en la matière, puisqu'elle dit simplement que :

Nous partageons des informations avec les fournisseurs, prestataires de service et autres partenaires qui collaborent avec nous partout dans le monde, par exemple en offrant des services d'infrastructure technique, en analysant l'utilisation de nos services, en évaluant l'efficacité de nos publicités et de nos services, en fournissant un service d'assistance à la clientèle, en facilitant les divers processus de paiement ou encore en menant diverses enquêtes et études. Ces partenaires doivent adhérer aux obligations de confidentialité les plus strictes en accord avec la présente Politique d'utilisation des données et les accords que nous avons signés avec eux.Mais aucune liste de ces prestataires n'est publiée, ni l'accord-type qui est à signer.

Les données personnelles, propriété ou droit de la personnalité ? 

De façon en apparence plus anecdotique mais fondamentale sur le plan de la doctrine juridique, l'ancienne politique de vie privée affirmait l'existence d'un droit de propriété des utilisateurs sur leurs données personnelles, en stipulant que « vous restez toujours propriétaire des informations vous concernant que nous recevons, même si vous nous donnez l'autorisation de les utiliser ». Cette formulation a disparu de la nouvelle politique. 

Dans un rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) de juin 2014 qu'avait parfaitement commenté Lionel Maurel, le CNNum avait écarté l'idée de reconnaître un droit de propriété des internautes sur leurs propres données personnelles, qui aurait eu l'avantage de leur reconnaître le droit de vendre ces données, ou de créer une taxation sur le capital de données personnelles détenues par les exploitants. Le Conseil avait rejeté la proposition pour trois raisons :

« Parce qu'elle renvoie à l'individu la responsabilité de gérer et protéger ses données, renforce l'individualisme et nie le rapport de force entre consommateurs et entreprises » ;

« Parce qu'elle ne pourrait que générer des revenus anecdotiques pour les usagers et susciter à l'inverse un marché de la gestion protectrice des données numériques » ;

« Parce qu'elle déboucherait à un renforcement des inégalités entre citoyens en capacité de gérer, protéger et monétiser leurs données et ceux qui, par manque de littératie, de temps, d'argent ou autre, abandonneraient ces fonctions au marché. »Il existe deux écoles s'agissant de la vision dite « patrimoniale » (droit de propriété) des données personnelles. Si certains estiment qu'elle permettrait de sortir d'une collecte gratuite et illimitée des droits, et de créer un mécanisme dissuasif de (maigre) rémunération des internautes dont les données sont ainsi exploitées, d'autres y sont fortement opposés et y voient un piège. 

« Il y a tout lieu de penser que le recours à la propriété privée en matière de données personnelles aboutirait à un résultat exactement inverse de celui avancé par les promoteurs de cette approche « patrimoniale ». Le propre de la propriété est d'être cessible et transférable : c'est même sa fonction première en tant qu'institution sociale », résumait Lionel Maurel. « En réalité, la conception patrimoniale des données personnelles repose sur un individualisme méthodologique, typiquement libéral, postulant que la meilleure façon de gérer un écosystème consiste à laisser les acteurs individuels prendre des décisions à leur niveau ». 

Dans sa nouvelle politique, Facebook ne qualifie plus la nature juridique des données personnelles. Elles restent un attribut des droits de la personnalité, sur lesquelles les individus peuvent exercer leurs droits d'accès et de rectification, et qui ne peuvent être collectées qu'en suivant les restrictions imposées par la loi et le régulateur. 

Est-ce une option heureuse ? Le débat reste ouvert.

dimanche 16 novembre 2014

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL : "L'INVISIBLE EMPIRE "


"L'Invisible Empire", est un documentaire (2h14) sur le Nouvel Ordre Mondial et l'agenda secret de l'élite mondiale, démontré par Jason Bermas, qui dévoile les mensonges, manipulations diverses, trahisons, décisions politico-financières de l’ombre, ayant pour objectif la mise en place de ce que toutes les puissantes personnalités du pouvoir de la planète ont travaillé depuis des années pour établir un gouvernement mondial oppressif. (VO sous-titrée en français)


Jason Bermas, réalisateur du film et acolyte d’Alex Jones d'Infowars, a déjà travaillé sur Loose Change. Avec Invisible Empire, il met au jour les divers mensonges, manipulations, trahisons, décisions politico-financières des élites, ayant pour finalité la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Alex Jones est la figure de proue d’un mouvement qui a su rallier des célébrités telles que Charlie Sheen, Jesse Ventura, le défunt Aaron Russo ainsi que plusieurs autres américains. L’animateur de talk-radio s’est aussi rallié une partie de la communauté scientifique et économique dissidente des États-Unis et du Canada. Alex Jones est un des leaders d’une coalition grandissante de mouvements sociaux comme 911truth. Il défend la thèse d’un calendrier de globalisation planifié par une élite oligarchique internationale qui a pour but final d’asservir la population mondiale à jamais pour le bénéfice de cette même élite. Il est présenté dans la plupart des médias des États-Unis comme un conspirationniste. Sa grande popularité toutefois ne fait aucun doute chez le grand public.

Un film à voir ne serait-ce que pour comprendre davantage l’ampleur de l’influence des décideurs, sans pour autant sombrer dans un complotisme délirant ni perdre son esprit critique, car effectivement, la volonté grandissante d’un grand nombre de personnes influentes dans la création d’un Nouvel Ordre Mondial se fait largement ressentir lorsque l’on prend le temps d’étudier la question. Que se cache-t-il vraiment derrière cette globalisation aboutissant à un ordre mondial ? Est-ce vraiment bénéfique ou réellement néfaste ?

Invisible Empire dénonce et accuse les promoteurs du mondialisme à travers leurs propres mots et leurs propres documents. La tyrannie dans le monde n’est pas une chose à venir, elle est déjà en place et se concrétise actuellement. Nous ne sommes pas dans une quelconque théorie du complot, mais bien dans les faits.

Le Nouvel Ordre Mondial s'organise à la vue de tous. Des bureaucrates non élus démocratiquement mettent en place des unions régionales et de grands blocs géo-économique standardisés à travers de grands blocs continentaux unifiés.


Témoin de leur plan pour une taxe mondiale et une société de surveillance dans laquelle chaque homme, femme et enfant pourrait avoir une puce électronique implantée dès la naissance, Jason Berma expose le Nouvel Ordre Mondial minutieusement en montrant comment les élites ont non seulement concouru à créer un gouvernement dictatorial mondial en privé, et ont déclaré publiquement leur ordre du jour des centaines de fois aux yeux de tous.

En mettant en valeur les paroles de personnes telles que Paul Wolfowitz, l’amiral Michael Mullen, David Cameron, Gordon Brown et beaucoup d’autres, ce film réveillera même les plus ardents sceptiques et dévoilera l'accélération manifestement visible et réelle de la mise en place d’un régime autoritaire planétaire qui a l’intention de contrôler et de réglementer tous les aspects de notre existence.

Invisible Empire démontre sans aucun doute possible la façon dont les élites ont ouvertement conspiré pour insidieusement modeler le monde à leur convenance via d’influents groupes tel que le CFR, l’Organisation des Nations Unies, la Commission Trilatérale, et le groupe Bilderberg, entre-autres.


Le film retrace la lignée de l’évolution de la gouvernance mondiale de Samuel Zane Batten de 1919, Manifeste du Nouvel Ordre Mondial, par le biais de la vision d’Hitler, à l’incarnation moderne de la conspiration qui a prise ses racines dans la perfidie de personnes telles que George H.W Bush, David Rockefeller et Henry Kissinger.

Il dévoile plusieurs aberrations et manipulations au niveau étatique dans un but d’asservissement de la population mondiale telles que la gestion des finances, la drogue, le terrorisme sous fausse bannière, les escroqueries bancaires, les assassinats commandités, l’hostilité totale à la notion de vraie liberté, le mouvement écologiste bidon qui est entraîné par la fraude du réchauffement climatique, les populations micropucées par les puces electroniques RFID, les réseaux de prostitution dirigés par et pour l’élite, les pratiques occultes, etc.

Plus qu’un film, il est l’aboutissement de nombreuses années de recherche par Jason Berma sur le fonctionnement interne de cette mise en place du Nouvel Ordre Mondial.


Jason Bermas analyse l'évolution des États-Unis, pays qui transite peu à peu d'une démocratie républicaine à un empire autoritaire, voire même totalitaire, sous le contrôle total d'une Oligarchie Financière Mondialisée. Le réalisateur se base sur l'histoire, les discours et les actes de ces hommes affamés de pouvoir qui semblent n'avoir aucun scrupule ni aucune limite pour forger le monde selon leurs visions. Il est évident qu'aucune chaîne de télévision n'abordera ce sujet plus que dérangeant. Obama, Bush, JFK, Roosevelt, Gordon Brown, Barroso, Kissinger, Brezinski, Sarkozy, et bien plus encore, sont évoqués durant ce documentaire.

Le Nouvel Ordre Mondial n'est pas prévu pour l'intérêt des peuples comme les puissants et les médiamenteurs veulent nous le faire croire, mais pour celui des élites mondiales qui manipulent les populations, ainsi que l'Histoire, l'économie, les médias, les politiques, les industriels, etc., sans que nous nous en rendions compte, comme l'asservissement des européens via l'U.E.

samedi 15 novembre 2014

LA GUERRE SECRÈTE


En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur : "Chemtrails : La Guerre Secrète"


Documentaire de www.tankerenemy.com
Sous-titré en français par l'association : www.cielvoile.fr.
(Nous remercions tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap). 
Source : Ciel Voilé

mardi 11 novembre 2014

MONSANTO : "PETITE HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ LA PLUS DIABOLIQUE"


L’entreprise Monsanto est derrière de nombreuses entreprises et des lois hyper-protectionnistes, allant jusqu’à l’absurdité totale, que l’entreprise elle-même fait voter aux USA et dans le reste du Monde, par des moyens suspects, des Lois qui vont contre l’intérêt général.

Je vous rappelle que le Traité transatlantique signé récemment par Bruxelles est un traité qui est surtout avantageux pour les entreprises comme Monsanto, qui seront prochainement bien disposées à détruire l’Europe, or, si l’Europe a été faite pour les Américains, nous en sommes les habitants et il est de notre devoir, de notre pouvoir, de chasser hors de nos pays des OGM dont le peuple ne veut pas, cependant les USA ont fait une proposition à l’Ukraine, quelques milliards de dollars de prêts en échange de cultures OGM sur le territoire Ukrainien, une porte d’entrée sur l’Europe, on comprend désormais les vraies raisons du conflit Ukraino-Russe, et l’opposition de la Russie qui considère les OGM comme une « arme bactériologique », et il y a encore des malfaisants qui affirment que les OGM inoffensifs ? Avant d’affirmer de telles choses, je voudrais que tous ceux qui affirment que les OGM sont inoffensifs mangent et boivent des produits OGM pendant deux ans sous contrôle médical, nous verrons ensuite si leur santé se détériore ou non.


À cela j’ajoute, que l’argument de l’entreprise Monsanto, et de ses abominables vendus qui sacrifient la vie d’enfants, de femmes et d’hommes, d’abeilles, mères de toutes vies, d’animaux, d’insectes, de plantes… car ils sont payés grassement par cette entreprise, sous la table, et qui vise à déclarer que nous faisons partie d’une secte parce que nous défendons le vivant, ces gens-là, médecins, journalistes, homme politiques, sont des traîtres à la vie, à la nature, au vivant et devraient être emprisonnés pour complicité de crime contre l’humanité. Ces gens-là ont accès aux médias et à la presse, et manipulent honteusement l’opinion publique pour la persuader du bien-fondé des OGM ; dans le monde entier, les agricultures biologiques sont à la fois plus nourrissantes et saines, alors que les OGM, sont moins nourrissants, contre nature et dangereux pour ceux qui les côtoient et qui les consomment.

Les études du professeur Séralini le démontrent, lui même menacé pour avoir mené son étude sur deux ans sur des rats saints en les nourrissant exclusivement de maïs Monsanto avec, et sans RoundUp, obtenant comme résultat d’énormes tumeurs et la mort de ses sujets dans d’atroces souffrances.

Cette étude faite dans le plus grand secret, n’a pas plu à l’entreprise Monsanto, qui a protesté contre ses résultats, les rendant douteux, Monsanto, tellement habitué à falsifier ses études, nous le verrons dans cet article.

Ironie du sort, Monsanto a obtenu du président Hollande 3 millions d’euros des deniers publics pour refaire une étude démontrant que ses OGM sont inoffensifs, on croit rêver, vous comprendrez, à la lumière de cet article comment l’entreprise Monsanto fait ses études et fournit ses « résultats », notamment en demandant l’aide d’autres entreprises qui lui appartiennent.

La volonté de Monsanto est bien d’anéantir notre planète dans un seul but, soumettre la population à un contrôle total de l’alimentation dans le monde entier et si nous continuons à laisser agir les entreprises productrices d’OGM, nous deviendrons dépendrons des ressources alimentaires de Monsanto et tomberons malades.

Il faut aussi s’intéresser aux axes de recherche de l’entreprise Monsanto actuellement, sur l’agriculture, la vaccination et la génétique humaine pour se rendre compte qu’il s’agit bel et bien d’un agenda de contrôle et partout où il arrive quelque chose de mauvais et de peu naturel dans le monde, on peut être sûr que l’entreprise Monsanto n’est pas loin.

Cet article est une prise de conscience, diffusez-le avant qu’il ne soit retiré par les mêmes qui vous empoisonnent.

Protégez notre, votre planète, vos enfants, et tous les êtres vivants qui partagent cette terre avec vous.


L’Histoire complète de l’entreprise Monsanto, la société la plus diabolique

De toutes les mégacorporations, Monsanto a automatiquement surpassé ses rivaux, gagnant le titre de « société la plus diabolique sur Terre! » non content de se reposer sur son trône d’anéantissement, elle reste concentrée sur un développement de moyens novateurs, plus scientifiques, pour contrôler la planète et ses habitants.

1901 : L’entreprise créée par John Francis Queeny, un membre de « l’ordre des Chevaliers de la Malte »Knights of Malta, pharmacien de 30 ans et marié avec Olga Mendez Monsanto, d’après laquelle il nomma ses travaux de recherche,c’est ainsi que Monsanto a vu le jour. Le premier produit de l’entreprise Monsanto fut la saccharine (ou E954), vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel.

Alors que le gouvernement connaissait la toxicité de la saccharine au point d’attaquer Monsanto en justice pour en arrêter sa fabrication, il perdit son procès contre Monsanto ouvrant ainsi la Boîte de Pandore, étant ainsi libre d’empoisonner le monde à travers les boissons non alcoolisées.

1920 : Monsanto produit des produits chimiques industriels et des médicaments, devenant le plus grand fabricant du monde d’aspirine, acide acétylsalicylique (toxique bien sûr). C’est aussi à cette période que la planète a commencé à se détériorer avec l’apparition des « biphényles polychlorés (PCB) ».


« Les PCB sont considérés comme des produits industriels chimiques étonnants, une huile qui ne brûlerait pas, imperméable à la dégradation et avec des applications presque illimitées. Aujourd’hui, on considère les PCB comme une des menaces chimiques les plus toxiques de la planète. Largement utilisé comme lubrifiants, des liquides hydrauliques, réduisant les quantités d’huiles en les intégrants, ce sont aussi des revêtements imperméables et des mastics liquides. Les PCB sont de puissants cancérigènes et sont liés à des troubles du système immunitaire et reproducteur, liés au développement de l’individu. Le centre de fabrication des PCB était l’usine Monsanto à la périphérie de l’Est de la ville de St Louis, Illinois, qui avait le taux le plus élevé de morts d’enfants prématurés de l’État. » (1)

Bien que les PCB aient enfin été interdits après cinquante ans à cause de leur dangerosité et entraînant une telle dévastation, ils sont toujours présents dans le sang et les tissus animal et humain à travers le monde. Les documents présentés par la justice ont montré plus tard que Monsanto connaissait très bien les effets mortels, mais les a criminellement cachés au public pour garder la main mise sur un produit phare et juteux !

1930 : L’entreprise Monsanto crée son premier maïs hybride et en y incorporant des détergents, des savons, des produits de nettoyage industriels, des caoutchoucs synthétiques et des plastiques, tous toxiques bien évidemment!

1940 : Monsanto entreprend des recherches sur l’uranium à utiliser sur le Projet Manhattan, celui de la première bombe atomique, qui sera plus tard lancée sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de Japonais, des militaires américains et coréens, et empoisonnant des millions de personnes.

L’entreprise continue à détruire ce qui l’entoure en mettant au point des pesticides pour l’agriculture contenant des toxines mortelles, comme la dioxine, qui empoisonne la nourriture et l’approvisionnement en eau. Monsanto a refusé d’admettre que cette dioxine a été intensément utilisée dans de nombreux produits si elle l’avait admis, elle aurait été forcée de reconnaître que Monsanto avait créé un Enfer environnemental sur terre.


1950 : En étroite collaboration avec Walt Disney Entreprise, Monsanto crée diverses attractions à Disney’s « Tomorrowland » (le monde de demain) à Disneyland California. Les attractions en question célèbreraient la grandeur de la chimie et du plastique dans la « Maison du Futur », construite entièrement avec des plastiques toxiques non biodégradables tandis que Monsanto avait affirmé le contraire.

« Après un total de 20 millions de visiteurs de 1957 à 1967, Disney a fini par détruire la « Maison du Futur », mais a découvert qu’elle résistait à la démolition. D’après le Magazine Monsanto, les boules au bout des grues ont carrément rebondi sur la structure en fibre de verre, matière en polyester renforcé. Les torches, marteaux-piqueurs, tronçonneuses et pelles mécaniques ont eu le même problème. Finalement, on a utilisé des câbles pour serrer des parties de la maison démantelée par morceau pour être la transporter par camion loin de Disneyland. » (2)

La vision de l’avenir de Monsanto chez Disney :

 

1960 : Monsanto, avec son partenaire « DOW Chemical », produit à partir de la dioxine l’Agent Orange dont l’utilisation est exclusivement réservée pour la guerre du Viêt-Nam. Cet Agent Orange a contaminé plus de 3 millions de personnes , tué un demi-million de vietnamiens, provoqué des malformations chez un demi-million de nouveaux-nés vietnamiens et a fait souffrir des milliers de vétérans militaires américains qui succombent à ses effets encore à ce jour !

Monsanto est à nouveau attaqué en justice et des dossiers, des notes internes indiquent que l’entreprise Monsanto connaissait parfaitement les effets mortels de la dioxine se trouvant dans l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement américain.

Outrageusement, la cour autorise Monsanto de présenter sa propre « recherche » qui conclut que la dioxine est inoffensive et ne pose aucun problème de santé. La plainte est déboutée et Monsanto repart sans condamnation. Or, plus tard, la vérité éclate au grand jour, Monsanto a menti sur les résultats de ses propres recherches, et on a conclu que la dioxine tue très efficacement.

- Je profite de ce passage traduit pour ajouter que l’entreprise Monsanto agit de la même façon avec la France en 2014, en protestant contre les études du Professeur Seralini sur la toxicité scientifiquement prouvée du maïs OGM Monsanto avec et sans RoundUp, et que Monsanto a encore obtenu du gouvernement de F. Hollande, 3 millions d’euros pour démontrer que ce maïs est inoffensif, le scénario est toujours en place et encore une fois les autorités servent les intérêts de Monsanto au détriment de la santé des citoyens.

Une note interne présentée lors d’un procès en 2002 reconnaît

« Que les preuves démontrant la persistance de ces composés chimiques et leur présence universelle dont des résidus dans l’environnement sont incontestables… » le public et les pressions légales pour les éliminer et empêcher la contamination mondiale sont inévitables. Le sujet fait boule de neige. Où allons-nous d’ici ?

Les alternatives de l’entreprise Monsanto : faites faillite ; retirez et vendez votre enfer tant que vous le pouvez et ne faire rien d’autre; essayez de rester en activité ; ayez des produits alternatifs. » (3)

Le partenaire de Monsanto, I.G. Farben, fabricant de l’aspirine Bayer et producteur du gaz chimique, « Zyklon-B » qui servit aux chambres à Gaz du Troisième Reich. Ensemble, les deux entreprises utilisent leur expertise collective pour présenter l’aspartame au public, une autre neurotoxine très mortelle dans les rations alimentaires. Lorsque la question se pose sur la toxicité de la saccharine, Monsanto profite de cette occasion pour présenter un autre de ses poisons mortels sur un public très naïf.

1970 : Monsanto se met en partenariat avec G.D. SEARLE, qui fait de nombreuses études internes qui affirment l’innocuité de l’aspartame, alors que la propre recherche scientifique de la FDA révèle clairement que l’aspartame provoque des tumeurs et des trous massifs dans le cerveau des rats, avant de les euthanasier. La FDA intente un procès devant un grand jury contre G.D. SEARLE pour avoir « sciemment falsifié le résultat des découvertes et pour avoir dissimulé des faits matériels substantiels et sur la fabrication de fausses déclarations » en ce qui concerne l’aspartame et les normes de sécurité le concernant.

Pendant ce temps, SEARLE persuade stratégiquement Donald Rumsfeld qui a été ministre de la Défense nationale pendant le mandat de Gerald Ford et celui de George W. Bush, pour en devenir le PDG. L’objectif principal de SEARLE avec Rumsfeld, est de se servir de son influence politique et de son expérience considérable dans les milieux d’affaires pour soudoyer et coopérer avec la FDA (Food and Drug Administration) et s’attirer ses faveurs… pour Monsanto.

Quelques mois plus tard, Samuel Skinner, Procureur Général en charge du dossier Aspartame, reçoit « une offre qu’il ne peut pas refuser » provenant de l’entreprise Monsanto, et se retire de l’enquête en démissionnant de son poste et de ses fonctions de Procureur Général pour aller travailler pour le cabinet juridique de SEARLE.

Cette combine machiavélique permet à SEARLE de gagner juste assez de temps pour que la loi sur la limitation sur l’aspartame vienne à manquer et l’enquête du jury d’accusation est brusquement et commodément abandonnée.

1980 : Parmi la recherche indiscutable qui dénonce les effets toxiques de l’aspartame, tandis que le commissaire de la FDA, le Docteur Jere Goyan était sur le point de signer une pétition retirant l’aspartame du marché, Donald Rumsfeld appela Ronald Reagan le jour suivant son entrée en fonction pour une faveur. Le président Reagan renvoya le Docteur Goyan peu coopérant à son goût et nomma le Docteur Arthur Hull Hayes pour prendre la tête de la FDA ; celui-ci pencha rapidement en faveur de SEARLE et de Monsanto et la Sucrette (NutraSweet), approuvée pour la consommation humaine et dans tous les produits dérivés et lyophilisés. Cela devient tristement ironique alors que R. Reagan est un consommateur de bonbons qui contiennent de l’aspartame et qui sera atteint d’Alzheimer durant son deuxième mandat, un des nombreux effets terrifiants de la consommation d’aspartame.

La véritable intention de SEARLE était de faire accepter l’Aspartame comme exhausteur de goût des boissons non alcoolisées. Mais depuis, des études ont démontré que ces boissons, sodas ou autres qui contiennent de l’aspartame, qu’on expose aux températures excédant 85 degrés Fahrenheit, « se transforment en des toxines connues, comme la Diketopiperazine (DKP), le méthyle, l’alcool, le formaldéhyde » (4), devenant plusieurs fois plus mortel que sa forme en poudre non chauffée!

SEARLE peut prouver que l’aspartame liquide, quoi qu’incroyablement mortel, crée une dépendance plus importante que le crack ou la cocaïne, la NSDA (Association Nationale des Boissons non alcoolisées) est persuadée que ses profits montant en flèche ont un lien avec la vente de boissons non alcoolisées lancées avec l’aspartame et que cela compenserait facilement n’importe quelle responsabilité future. Ainsi, l’avidité de l’entreprise progresse et l’insoupçonnable boisson, consommée par des consommateurs mal informés,auront des problèmes de santé sans le savoir.

Coca Cola mène la danse à nouveau (souvenez-vous de la saccharine en 1901) et commence à empoisonner les consommateurs de Coca Light avec de l’aspartame dès 1983. Les ventes montent également en flèche dès que des millions de consommateurs ne peuvent plus s’en passer. Le reste de l’industrie de la boisson non alcoolisée aime ce qu’il voit et fait rapidement de même, oubliant commodément toutes leurs réserves initiales, que l’aspartame est un produit chimique mortel. Il y a de l’argent à faire, beaucoup, c’est tout ce qui compte vraiment pour eux de toute façon!

En 1985, SEARLE, imperturbable aux accusations de corruption et aux accusations multiples d’enquêtes frauduleuses, Monsanto achète l’entreprise et crée une nouvelle filiale d’aspartame appelée l’Entreprise « NutraSweet ou Sucrette ». Alors que de nombreux scientifiques indépendants et des chercheurs continuent à tirer la sonnette d’alarme sur les effets toxiques de l’aspartame, l’entreprise Monsanto continue l’offensive, soudoyant le National Cancer Institute et fournissant ses propres documents frauduleux à présenter au NCI pour affirmer que le formaldéhyde ne provoque pas le cancer, et donc l’aspartame peut rester le marché.

- À nouveau j’ouvre une parenthèse, avec ces comportements, il est clair que personne ne peut faire confiance à l’entreprise Monsanto qui privilégie le profit au détriment de la santé du consommateur, Monsanto qui est visiblement habitué à falsifier et à cacher les véritables effets de ses produits.


Les effets connus de l’ingestion de l’aspartame sont :

- « Manie, colère, violence, cécité, douleur articulaire, fatigue, prise de poids, douleur à la poitrine, coma, insomnie, engourdissement, dépression, bourdonnements d’oreilles, faiblesse, spasmes, irritabilité, nausée, surdité, perte de mémoire, éruptions, vertiges, maux de tête, anxiété, palpitations, défaillance, crampes, diarrhée, panique, combustion dans la bouche. Ces Maladies incluent le diabète, MME, le lupus, l’épilepsie, Parkinson, des tumeurs, l’avortement, l’infertilité, la fibromyalgie, la mort d’enfant en bas âge, l’Alzheimer … Source : U.S. Food & Drug Administration.(5)

Près de 80 % des plaintes déposées à la FDA quant aux additifs alimentaires concernent l’aspartame, qui est désormais dans plus de 5 000 produits dont les produits de régime, les sodas light, les sodas et les boissons sportives, les bonbons à la menthe, le chewing-gum, les desserts glacés, des cookies, des gâteaux, des vitamines, des produits pharmaceutiques, des boissons lactées, des thés instantanés, des cafés, le yaourt, des aliments pour bébés et beaucoup, beaucoup plus! (6) lisez bien les étiquettes des produits et n’achetez rien qui contient ce tueur terrifiant!

Malgré tous les décès et les maladies, Le Dr. Arthur Hull président du FDA démissionna dans une nébuleuse de corruption, mais fut immédiatement engagé par la société de relations publiques SEARLE, comme « consultant scientifique senior ». Non, ce n’est pas une plaisanterie! Monsanto, la FDA et de nombreuses agences de santé gouvernementales régulatrices sont devenues la même société! Il semble que le seul prérequis pour devenir un commissaire de la FDA (Food & Drug administration) est qu’il passe du temps à Monsanto ou dans un des cartels pharmaceutiques du crime organisé.

1990 : Monsanto dépense des millions à se battre contre l’état et la législation fédérale qui l’accusent de rejeter de la dioxine, des pesticides et autres poisons cancérigènes dans les systèmes d’eau potable. Monsanto est attaqué en justice des centaines de fois pour provoquer des maladies à ses ouvriers agricoles, aux citoyens des zones environnantes et pour des malformations de naissance chez les bébés.

Avec leurs cercueils remplis de milliards de dollars de profits, on considère que 100 millions de dollars est la base du coût de la gestion des affaires juridiques de l’entreprise. Grâce à la FDA, le Congrès et la Maison-Blanche, les affaires de l’entreprise Monsanto se portent bien. Si bien que Monsanto est attaqué en justice pour avoir donné du fer radioactif à 829 femmes enceintes lors d’une étude, juste pour voir ce qui pouvait leur arriver.

En 1994, la FDA approuve une nouvelle fois la dernière monstruosité de l’entreprise Monsanto,l’Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), produite à partir d’une bactérie d’EColi génétiquement modifiée. En dépit de l’évidente prise de conscience de ses dangers par la communauté scientifique. Bien sûr, Monsanto prétend que cela guérit des maladies du lait, que c’est plein d’antibiotiques et d’hormones et que c’est non seulement inoffensif, mais en réalité bon pour votre santé!

- Je profite à nouveau de cette révélation pour rappeler au lecteur les alertes à la bactérie E.coli ou Escherichia coli dont la faute a été rejetée médiatiquement sur le concombre, alors que cette Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), est, je le suppose, éventuellement responsable, et que la bactérie devait se trouver dans ses déjections, mais comment des déjections de vaches peuvent-elles se retrouver sur des champs de concombres ? Pourtant, personne n’a évoqué ce détail de l’hormone de croissance OGM, pour une raison ou pour une autre, et cela, en toute ignorance des autorités sanitaires et surtout des éleveurs auquel Monsanto avait encore une fois fait croire à la science et au progrès de l’élevage. À nouveau, la firme Monsanto a caché la vérité au consommateur en dépit de la sécurité de celui-ci et en détournant l’information qui n’est jamais sortie que « l’Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), est produite à partir d’une bactérie d’EColi génétiquement modifiée. » 

Pire encore, les entreprises laitières qui ne veulent pas utiliser cette hormone de croissance et qui étiquettent leurs produits “sans rBGH” sont poursuivies en justice par Monsanto, en prétendant que c’est de la concurrence déloyale envers ceux qui l’utilisent. En substance, Monsanto dit :

- « oui, nous savons que le rBGH rend les gens malades, mais il n’est pas correct que vous fassiez de la publicité sur ce qui n’est pas dans vos produits. »

L’année suivante, l’entreprise diabolique commence à mettre des OGM tolérants à leur herbicide toxique le RoundUp. Le RoundUpReady d’huile de canola est opérationnel (la graine de colza), le soja OGM, le maïs OGM et le coton BT OGM commencent à arriver sur le marché, annoncé comme étant des alternatives plus sûres, plus saines comparées à leurs rivaux non-OGM biologiques donc organiques. Apparemment, la propagande fonctionne bien et aujourd’hui plus de 80 % de canola sur le marché est une variété OGM Monsanto.


Ce que vous devez absolument éviter dans votre alimentation c’est le soja OGM, le maïs OGM , le blé et l’huile de canola ou colza OGM, bien que de nombreux ‘experts de santé « naturels » affirment que le Colza est une huile saine. Elle ne l’est pas, mais vous la trouverez dans nombre de produits sur des étagères de magasin d’alimentation.

Comme ces OGM ont été créés pour « s’autopolliniser », ils n’ont pas besoin de la nature ou des abeilles pour le faire pour eux. Il y a un sombre ordre du jour à ceci et cela doit bien sûr anéantir la population d’abeilles du monde pour ne laisser que les OGM.

Monsanto sait que les oiseaux et particulièrement les abeilles, sont une entorse, une clé à leur monopole de contrôle en raison de leur capacité à polliniser créant ainsi naturellement des produits alimentaires sans le recours de Monsanto qui souhaite « la domination complète et le contrôle de l’alimentation dans le monde. » Lorsque les abeilles essayent de féconder avec du pollen une plante OGM ou une fleur, elles sont empoisonnées et meurent. En fait, l’effondrement et la destruction des colonies d’abeilles ont été reconnus et ont continué depuis la naissance des OGM.

Pour contrecarrer les accusations de génocide délibéré sur les abeilles, l’entreprise Monsanto rachète diaboliquement la société Beeologics, la plus grande entreprise de recherche sur les abeilles, dédiées justement à la recherche et à l’étude de ce génocide organisé, qui pointaient du doigt Monsanto comme le monstre et le coupable principal de ce massacre organisé et prémédité! Après cet achat :

- « Des abeilles, quelles abeilles ? »

- Comme le lecteur pourra le noter, à chaque fois qu’on accuse la multinationale Monsanto, elle achète et corrompt.

Précédemment, l’entreprise Monsanto a acheté un ministre, Procureur général pour qu’il arrête de l’attaquer sur le sucre artificiel, l’aspartame, à présent, Monsanto achète un centre de recherche sur les abeilles qui indiquait son agenda de destruction délibéré de l’espèce humaine et de la nature. Chacun doit comprendre que sans abeilles, la vie n’est pas possible, mais avec Monsanto elle l’est, donc l’entreprise Monsanto organise un contrôle de la nourriture dans et pour le monde, pour contrôler les populations selon son bon vouloir et au détriment de la vie sur terre.

Nous sommes dans un scénario de fin du monde catastrophique, et Monsanto achète le silence de chacun avec des millions de dollars ? La question que je pose :

- Citoyens, allez-vous laisser cette entreprise diabolique détruire l’héritage de vos enfants ?

- Il est désormais prouvé que les abeilles qui pollinisent rapportent à la ruche du glyphosate, l’ingrédient principal de l’herbicide Round Up, qui leur fait perdre l’appétit, et la capacité d’apprendre, publiée par le « Journal of experimental biology » une étude similaire a été dirigée à l’Université de Buenos Aires en Argentine, révélant des résultats similaires, mais à différents niveaux. Il est certain que les abeilles sont tellement perturbées, qu’elles perdent la faculté de trouver et de récolter du pollen et du fructose et sont touchées par un CCD « Colony collapse disorder » soit le symptôme de la destruction de la colonie et tout cela à cause du RoundUp. Un apiculteur avec 55 ans d’expérience déclare dans la revue Mother Earth News, être témoin de cette destruction massive à la fin de la saison d’épandage du RoundUp, des colonies entières étaient complètement décimées, a-t-il systématiquement observé.

Au milieu des années 90, l’entreprise Monsanto décide de réinventer sa diabolique entreprise vers une direction concentrée sur l’approvisionnement en nourriture biotechnologique artificielle dans le monde et ainsi en préservant son produit phare, le RoundUp, qui lui permet de faire des bénéfices colossaux et surtout de ne rien perdre face à des herbicides moins toxiques. Voyez-vous, le RoundUp est tellement toxique qu’il efface d’un revers de la main, une récolte non-OGM, des insectes, des animaux, la santé humaine et l’environnement en même temps. Très efficace en effet!

Parce que les semences « RoundUp ready », sont produites pour être des pesticides toxiques se faisant passer pour de la nourriture, ils ont été interdits dans l’UE, mais pas en Amérique! Y a-t-il un rapport entre cela et le fait que des Américains, malgré le haut coût et la disponibilité de services médicaux, soient collectivement les gens les plus malades dans le monde ? Bien sûr que non !

Comme c’était le plan de l’entreprise Monsanto depuis le début, toute semence non-Monsanto serait détruite, forçant des fermiers dans le monde entier à utiliser seulement son toxique « ex-terminator »de semences. Et Monsanto s’est assuré que les fermiers qui refusent d’entrer dans sa combine, soient privés d’exploitation et de leur business, ou plus simplement poursuivi en justice, quand portées par le vent, les semences « ex-terminator » contaminent par leur pollen, des graines et des récoltes biologiques.

Apportant à l’entreprise un monopole virtuel de destruction de semences organiques et le RoundUp a travaillé comme une main empoisonnée dans un gant de velours. La récolte OGM ne peut survivre dans un environnement non-chimique donc, les fermiers ont été forcés d’acheter les graines OGM et le RoudUp.

Le but de Monsanto est d’acheter à coût de milliards de dollars à l’échelle mondiale, autant d’entreprises de semences que possible pour les transformer en des entreprises OGM, afin de supprimer tous les rivaux et les aliments biologiques de la surface de la terre. Du point de vue de l’entreprise Monsanto, tous les produits alimentaires doivent être sous leur contrôle et OGM ou c’est qu’ils ne sont pas bons à manger !

- Il y a deux différences fondamentales entre une tomate OGM et une tomate biologique, la première, la tomate OGM n’a aucun goût, aucune saveur, la seconde, sa valeur nutritive n’est pas comparable à celle d’une tomate biologique, beaucoup plus nourrissante sans les inconvénients des poisons toxiques ; où est le progrès que propose l’entreprise Monsanto ?

Monsanto feint d’être choqué dès que la communauté scientifique formule des critiques sur les semences OGM modifiées avec des gènes de porcs malades, de vaches, d’araignées, de singes, de poisson, des vaccins et des virus, qui seraient en fait bons à consommer.

Vous pensez que l’entreprise est tellement fière de ses produits alimentaires OGM qu’elle les servirait à ses salariés, comble de la réalité, elle ne le fait pas. En fait, Monsanto a interdit de servir des aliments OGM dans les cafétérias réservées à ses salariés. Monsanto a sans conviction répondu « nous croyons au choix. » Ce que l’entreprise Monsanto veut vraiment dire est « nous ne voulons pas tuer ceux qui nous aident. »

- Mais cela ne nous gêne pas si les consommateurs tombent malades en s’alimentant avec des OGM.


2000 : Monsanto contrôle la plus grande partie du marché OGM mondial. À son tour, le gouvernement américain dépense des centaines de millions pour financer la pulvérisation de RoundUp, cause d’une dévastation environnementale massive. Les poissons et les animaux meurent par milliers dans les jours suivant la pulvérisation de maladies respiratoires et le taux de cancers monte en flèche chez les humains. Mais on considère que c’est une simple coïncidence ce qui implique une continuité de la pulvérisation. Si vous pensiez que Monsanto et la FDA ne faisaient qu’un, eh bien vous pouvez ajouter le gouvernement américain à cette liste désolante.

Le monstre se développe : l’entreprise Monsanto fusionne avec « Pharmacia » et « Upjohn » et se sépare de son activité chimique pour se rebaptiser en entreprise agricole.

Oui, vous lisez bien, une entreprise chimique dont les produits ont dévasté l’environnement, tué des millions de gens, la faune sauvage et la flore au fil des années, qui maintenant veut que l’on croit qu’elle produit des produits alimentaires sûrs et nutritifs qui ne tueront plus les gens ?

C’est difficile à croire, alors que la multinationale Monsanto continue à se développer à travers des fusions secrètes et des partenariats tous aussi discrets, mais avec la même intention de destruction du vivant.

Parce que son rival DuPont (autre producteur d’OGM) est une trop grande société concurrente, les deux ne peuvent pour fusionner, mais forment, au lieu de cela, un partenariat furtif où chacun consent à abandonner des poursuites judiciaires les opposant l’une à l’autre et commencent à partager des technologies OGM pour leur avantage mutuel. En termes simples, ensemble ils seraient beaucoup trop puissants et politiquement connectés pour que quoi que ce soit puisse les empêcher de posséder un monopole virtuel de l’agriculture mondiale.

- « Contrôlez l’approvisionnement en nourriture et vous contrôlez le peuple ! »


Tout n’est pas rose pour l’entreprise Monsanto, ce monstre est poursuivi à plusieurs reprises en justice pour 100 millions de dollars de dommages et intérêts, pour avoir causé, maladies, difformités et morts d’enfants en bas âge, en diffusant illégalement et de toutes les façons possibles et imaginables dans le sol et les nappes phréatiques, des PCB, tout en mentant sans cesse concernant la sécurité de ses produits – vous savez les affaires courantes, l’habitude pour Monsanto quoi…

Monsanto persiste et signe, et s’avère difficile à éliminer, car il commence à intenter des procès insensés contre des fermiers, exploitants agricoles, tout en affirmant qu’ils empiètent sur leurs brevets de graines OGM. Dans pratiquement toutes les affaires, des OGMs indésirables sont portés par le vent sur les terres des fermiers en contaminant leur récolte organique .

Non seulement ces monstrueux OGM anéantissent les récoltes biologiques et organiques des fermiers, mais les procès les conduisent à la faillite, tandis que la Cour suprême rend systématiquement des décisions en faveur de l’entreprise Monsanto.

En même temps, le Monstre commence à déposer des brevets sur des techniques d’élevage de porcs, revendiquant de ce fait, que tout élevage de porcs ressemblant à son brevet se rend coupable de vol de méthode. À ce point, il est facile d’imaginer que tous les élevages de porcs dans le monde copient Monsanto et se rendent coupables juridiquement de vol de méthode et de brevet.

Je tiens à signaler que l’entreprise Monsanto agit dans le cadre non pas de la logique, mais dans celui de la Loi, ainsi, en légalisant « l’illégalisable », Monsanto se rend propriétaire des idées les plus logiques, les plus communes à tous, dans le monde agricole, il se rend propriétaire des idées les plus anciennes sur l’élevage et l’agriculture afin de toucher des royalties sur tout ce qui se fait dans l’univers agricole mondial, et toujours dans le cadre de la loi, une loi faite pour des voyous qui va ruiner tous les exploitants de la terre et le pire, est le Traité transatlantique qui va donner à Monsanto le moyen de piller les terres des paysans français et européens avec ces brevets aberrants. Voilà ce que nos députés européens ont signé en faveur de l’entreprise Monsanto à notre insu.

Alors que le terrorisme mondial s’étend en Inde et que plus de 100 000 fermiers, sont mis en faillite par des mauvaises récoltes OGM, ces fermiers se suicident en buvant du RoundUp pour que leurs familles aient droit aux paiements de l’assurance décès. En réponse, le monstre profite de la situation dramatique en convoquant les médias pour leur confier un nouveau projet, celui d’assister des petits fermiers indiens en faisant don des mêmes semences OGM qui en premier lieu, était la cause des échecs des récoltes dans le pays! Forbes nomme alors Monsanto « l’entreprise de l’année. ».

- Sur le chiffre des 100 000 fermiers indiens suicidés, ce chiffre officiel ne prend pas en compte les femmes des agriculteurs qui se suicident également, et qui doubleraient le chiffre officiel, et il ne prend pas plus en compte les notes de la police qui déterminent si les suicidés sont des agriculteurs ou pas, ou si les morts sont des suicidés ou pas, ce qui, remis dans le contexte, ferait exploser les chiffres. L’Inde qui vient de démontrer que la culture organique offrait plus de rendement et de santé aux exploitants et aux consommateurs, revient peu à peu sur l’entreprise Monsanto. À Madagascar, « un système bio quadruple le rendement des rizières… (reunion.1ère.fr)

De tous ces Produits alimentaires, la société qui se prétend biologique, organique, naturelle et écologique est tout sauf écologique. Monsanto ne veut pas soutenir la [1] Proposition 37, la mesure Californienne imposant l’étiquetage OGM sur les produits alimentaires contenant des OGM que Monsanto et ses amis producteurs d’OGM ont finalement aidé à supprimer.

- 25 états ont réclamé cette Proposition 37 à Washington, cette demande a été rejetée. Si les OGM sont si naturels et si bons pour le consommateur comme l’affirme Monsanto et consort, pourquoi le lui cacher ?

Parce que la société Whole Foods market, qui vend soi-disant du bio, dort dans le lit de Monsanto depuis longtemps, bourrant secrètement ses étagères avec des tarifs excessifs, et qui a frauduleusement fait de la publicité mensongère sur des produits alimentaires « naturels et biologiques(organique) » de la merde chargée en OGM, en pesticides, rBGH, en hormones et en antibiotiques. Ainsi, bien sûr, ils ne veulent pas l’étiquetage obligatoire sur leurs produits, car cela les exposerait comme de parfaits Fraudeurs avec leurs saloperies de marchandise alimentaires !

Plus de vingt entreprises favorables à biotechnologie incluant WalMart, Pepsico et ConAgra ont récemment rencontré le FDA en faveur des lois d’étiquetage obligatoires, ceci après avoir combattu bec et ongles pour supprimer la proposition 37, Whole Foods voit une occasion de sauver la face et devient la première chaîne d’épicerie à annoncer l’étiquetage obligatoire de ses produits OGM (organisme génétiquement modifié) … en 2018!

Et si vous pensez que ces entreprises ont soudainement nourri une conscience, réfléchissez. Ils réagissent simplement au tollé du public sur la défaite de la Proposition 37 et en ouvrant des lois « ÉTIQUETANT les OGM » pour contourner n’importe quel changement véritable, gardant ainsi le statu quo intact.

Et pour prolonger l’insulte à la blessure mondiale, Monsanto et ses complices/partenaires Archer Daniels Midland, Sodexo and Tyson Foods écrivent et parrainent la Loi de Modernisation de Sécurité alimentaire de 2009 : HR 875. Cette loi criminelle propose aux fermes industrielles de production alimentaire un monopole virtuel et le contrôle de tous les produits alimentaires cultivés n’importe où dans le monde, dont un contrôle sur une arrière-cour de jardin et imposent des pénalités dures et des peines de prison à ceux qui n’utilisent pas de produits chimiques et des engrais OGM. Le président Obama a décidé que cette loi semblait raisonnable, c’est pourquoi il l’a validée.

Avec cette Loi, Monsanto prétend que seuls les OGM sont sûrs et que les aliments biologiques sont potentiellement responsables de répandre et de diffuser des maladies, ce qui doit être éradiqué de l’existence pour la sécurité du monde.

Si manger des boules de pesticide OGM est leur idée de nourriture saine, j’aimerais penser que le reste du monde est assez intelligent pour ne pas souscrire à cette philosophie.

De nouvelles révélations quant aux vraies intentions de Monsanto qui a fait voter la ridicule Loi « HR 933 Continuing Resolution, aka Monsanto Protection Act» qu’Obama le robot Monsanto a signé. Cette loi qui déclare que peu importe à quel point les OGM de Monsanto sont nuisibles et peu importe combien de dévastation de l’environnement Monsanto répand sur le pays, des cours fédérales américaines ne peuvent pas l’empêcher de continuer à planter ses OGM n’importe où il le choisit. Oui, Obama a signé une disposition qui place Monsanto au-dessus de n’importe quelle loi et le rend plus puissant que le gouvernement lui-même. Nous devons nous demander qui est vraiment responsable du pays, parce que ce n’est pas certainement Obama!

De nombreux pays continuent d’accuser Monsanto de crimes contre l’humanité et à bannir cette entreprise, en lui disant « de dégager et de rester en dehors du pays! »

La recherche sur les origines latines du nom lui-même, « mon saint, » peut expliquer pourquoi les critiques s’y réfèrent souvent comme « MonSatan « . Mais plus intéressant du point de vue de la conspiration est que les francs-maçons et autres sociétés ésotériques assument les nombres assignés à chaque lettre dans notre alphabet latin et dans un système à six nombres. Sous ce même système de nombre, la valeur de l’entreprise Monsanto est le 6-6-6, soit le nombre de « la Bête », le diable.

Sachez qu’on peut encore réagir. Le Mal perd toujours à la fin une fois qu’il est largement exposé à la lumière de vérité comme c’est le cas aujourd’hui. Le fait que l’entreprise Monsanto mène le gouvernement à la baguette en ordonnant une législation exclusive pour protéger son leadership prouve ce point. Étant expulsés ailleurs, les États-Unis sont le dernier rempart de Monsanto, pour ainsi dire.

J’en profite pour rectifier l’auteur de cet article qui croit naïvement que les pays du monde rejettent Monsanto, à part la Russie, la Chine et un peu l’Inde, l’Europe se fait investir par Monsanto malgré le rejet citoyen et réussit à s’imposer en fraudant, en faisant voter des lois contradictoires pour s’implanter en France et ailleurs, en falsifiant, comme Monsanto le fait depuis le début, les études sur ses semences en intégrant les OGM de force dans la nourriture sans que personne ne le sache, la lécithine de soja est-elle OGM ou pas ? l’Amidon de maïs est-il OGM ou pas ? Le lait du chocolat ou autre préparation est-il OGM ou pas en France ? Starbuck Coffee appartient à Monsanto, le lait utilisé est OGM, Coca Cola et Pepsi appartiennent à Monsanto, le sucre est-il de l’aspartame, une neurotoxine OGM produite par l’entreprise Monsanto ? Les farines animales qu’on donne au bétail sont-elles conçues à partir d’OGM, les maïs alimentaires exclusivement réservés à l’élevage sont-ils OGM ? Monsanto est comme une gangrène, il est partout et je suis navré de contredire l’auteur de ce courageux article, l’entreprise Monsanto est déjà en France.

Pourtant, même si aux USA beaucoup ont commencé à rendre les coups en protestant contre et rejetant les monstrueux OGM, choisissant de cultiver leurs propres produits alimentaires et acheter auprès des marchés de fermiers locaux au lieu des chaînes d’épicerie Monsanto.

Le réveil du peuple, qui commence aussi à voir qu’il a été trompé par des d’entreprises malhonnêtes et des criminels fédéraux et gouvernementaux empoisonnés par trop de pouvoir, de contrôle et l’avidité, qui a finalement abouti à la création de l’entreprise, la bête monstrueuse hors de contrôle.


Liste des employés et ex employés travaillant dans l’administration OBAM

Toby Moffet Consultant Monsanto US Congressman
Dennis DeConcini Conseiller légal de Monsanto US Senateur
Margaret Miller Superviser d’un laboratoire Directrice de la FDA, HFS
Marcia Hale Dir. des affaires gouvernementales Employée Senior à la Maison Blanche
Mickey Cantor Membre de la Direction Monsanto Ministère du Commerce
Virginia Weldon Attaché de presse CSA et Gore’s SDR...

La liste est longue, pas moins d’une vingtaine de personnes viennent de chez Monsato et sont des conseillers du Président Obama et l’influence sur sa politique.

Traduction assurée par Philippe A. Jandrok
Par E. Hanzai
Sources : http://www.espritsciencemetaphysiques.com/entreprise-monsanto-lhistoire-complete.html