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vendredi 15 mai 2015

LES ÉTATS-UNIS TOUCHÉ GRAVEMENT PAR LA GRIPPE AVIAIRE !


USA: Le Nebraska devient le quatrième Etat américain à déclarer l'urgence à la grippe aviaire. Déjà plus de 33 millions de volaille ont été tués dans 16 États américains!


Le gouverneur du Nebraska, Pete Ricketts, a déclaré l'état d'urgence jeudi afin d'aider à combattre la propagation de la grippe aviaire dans l'état. 

Les mesures prises par Ricketts fait du Nebraska le quatrième État américain à déclarer une urgence contre le virus qui se propage actuellement rapidement aux états Unis. 

La décision a été prise après que les responsables agricoles fédéraux aient confirmé un deuxième site positif à la présence du virus dans ses élevages. 

La décision du Nebraska suit les actions antérieures prises par les gouverneurs dans les États les plus durement touchés, l'Iowa, le Minnesota et le Wisconsin. Le virus a déjà conduit à l'abattage de plus de 33 millions de têtes de volaille dans 16 États des USA. 

La flambée d'influenza aviaire qui frappe le Nebraska fait de lui le 16e État à signaler des cas dans ses elevages. 

Les deux fermes touchées au Nebraska sont en quarantaine. 

Reuters a rapporté que l'industrie de la volaille et des oeufs américaines est touchée depuis des mois par la plus grande épidémie jamais enregistrée dans le pays. L'épidémie est actuellemnt plutôt concentrée dans les États de l'Ouest. 

Lundi dernier, le virus a été détecté dans un élevage dans l' Indiana.

© Nature Alerte / Reuters

mercredi 13 mai 2015

TOMATES SANS EAU, NI PESTICIDES !


Tomates sans eau ni pesticide : cette méthode fascine les biologistes

Les méthodes de Pascal Poot, loin de l’agriculture moderne, sont aussi hyperproductives que naturelles et peu coûteuses. Des scientifiques pensent y trouver des réponses au changement climatique.

Ici, le terrain est si caillouteux et le climat si aride que les chênes vieux de 50 ans sont plus petits que les hommes.

Pourtant, à l’entrée de la ferme de Pascal Poot, sur les hauteurs de Lodève (Hérault), trône une vieille pancarte en carton : « Conservatoire de la tomate ».


Les tomates poussent, sans eau et sans tuteur, dans la ferme de Pascal Poot en 2014 (DR)

Pourtant, chaque été, les tomates Poire jaune et autres Noires de Crimée poussent ici dans une abondance folle.

Sans arrosage malgré la sécheresse, sans tuteur, sans entretien et bien sûr sans pesticide ni engrais, ses milliers de plants produisent jusqu’à 25 kg de tomates chacun.

Son secret ? Il tient dans les graines, que Pascal Poot sème devant moi, avec des gestes qui mêlent patience et nonchalance.



C’est le début de la fin de l’hiver dans la région, le temps est venu pour lui de confier ses graines à la terre. Ce sont ses premiers semis de l’année.

L’homme a 52 ans mais semble sans âge. Ce fils d’agriculteurs, qui a quitté l’école à 7 ans, se dit « complétement autodidacte ». Il a élevé des brebis et cultivé des châtaignes avant de se spécialiser dans les semences. Il dissémine aujourd’hui ses graines sur du terreau, dans des jardinières fatiguées.

Puis il place ses jardinières sur un énorme tas de fumier en décomposition, dont la température atteindra bientôt 70 degrés pendant plusieurs jours, chauffant la serre et permettant la germination des graines.

Pascal Poot et sa couche chaude dans sa serre, à Lodève le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

La technique, appelée couche chaude, est très ancienne. C’est elle quipermettait aux maraîchers parisiens du XIXe siècle de récolter des melons en pleine ville dès la fin du printemps. C’est elle qui permet à Pascal Poot de faire germer chaque année des milliers de plants de tomates, aubergines, poivrons... Avant de les planter sur son terrain et de ne plus s’en occuper jusqu’à la récolte.



La serre de Pascal Poot, à la fin des semis, en 2014 (DR)

Tout en semant ces graines, Pascal me révèle les détails de sa méthode :

« La plupart des plantes qu’on appelle aujourd’hui “mauvaises herbes” étaient des plantes que l’on mangeait au Moyen-Age, comme l’amarante ou lechiendent... Je me suis toujours dit que si elles sont si résistantes aujourd’hui c’est justement parce que personne ne s’en est occupé depuis des générations et des générations.

Tout le monde essaye de cultiver les légumes en les protégeant le plus possible, moi au contraire j’essaye de les encourager à se défendre eux-mêmes. J’ai commencé à planter des tomates sur ce terrain plein de cailloux il y a une vingtaine d’années, à l’époque il n’y avait pas une goutte d’eau.

Tout le monde pense que si on fait ça toutes les plantes meurent mais ce n’est pas vrai. En fait, presque tous les plants survivent. Par contre on obtient de toutes petites tomates, ridicules. Il faut récolter les graines du fruit et les semer l’année suivante. Là on commence à voir de vraies tomates, on peut en avoir 1 ou 2 k par plant.

Et si on attend encore un an ou deux, alors là c’est formidable. Au début on m’a pris pour un fou mais au bout d’un moment, les voisins ont vu que j’avais plus de tomates qu’eux, et jamais de mildiou, en plus, alors les gens ont commencé à parler et des chercheurs sont venus me voir. »


Pascal Poot dans sa serre, à Lodève le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

Parmi ces chercheurs, on compte Bob Brac de la Perrière, biologiste et généticien des plantes et coordinateur de l’association environnementale Bede :

« A la fin des années 90, au moment du combat contre les OGM, on s’est dit qu’il fallait aussi travailler sur les alternatives, et on a commencé à faire l’inventaire des agriculteurs qui faisaient leurs propres semences. On a dû en trouver entre 100 et 150 en France.

Mais le cas de Pascal Poot était unique. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il a une grande indépendance d’esprit, il suit ses propres règles et à ma connaissance personne ne fait comme lui. Il sélectionne ses semences dans un contexte de difficulté et de stress pour la plante, ce qui les rend extrêmement tolérantes, améliore leur qualité gustative et fait qu’elles sont plus concentrées en nutriment.

En plus de ça il cultive plusieurs centaines de variétés différentes, peu d’agriculteurs ont une connaissance aussi vaste de l’espèce qu’ils cultivent. »



Pascal Poot choisit une étiquette, à Lodève le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

Les chercheurs commencent seulement à comprendre les mécanismes biologiques qui expliquent le succès de la méthode de Pascal Poot, assure Véronique Chable, spécialiste du sujet à l’INRA-Sad de Rennes et qui a menédes recherche sur les sélections de Pascal Poot depuis 2004 :


« Son principe de base, c’est de mettre la plante dans les conditions dans lesquelles on a envie qu’elle pousse. On l’a oublié, mais ça a longtemps fait partie du bon sens paysan.

Aujourd’hui, on appelle cela l’hérédité des caractères acquis, en clair il y a une transmission du stress et des caractères positifs des plantes sur plusieurs générations.

Il faut comprendre que l’ADN est un support d’information très plastique, il n’y a pas que la mutation génétique qui entraîne les changements, il y a aussi l’adaptation, avec par exemple des gènes qui sont éteints mais qui peuvent se réveiller.

La plante fait ses graines après avoir vécu son cycle, donc elle conserve certains aspects acquis. Pascal Poot exploite ça extrêmement bien, ses plantes ne sont pas très différentes des autres au niveau génétique mais elles ont une capacité d’adaptation impressionnante ».


Pascal Poot dans sa serre, à Lodève le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

Cette capacité d’adaptation a une valeur commerciale. Pendant ma visite, plusieurs personnes ont appelé Pascal pour commander des semences. L’agriculteur vend ses graines à plusieurs semenciers bio, dont Germinance.

Kevin Sperandio, artisan semencier chez Germinance, nous explique :


Des aubergines blanches poussent dans la ferme de Pascal Poot (DR)

« Le fait que les semences de Pascal Poot soient adaptées à un terroir difficile fait qu’elles ont une capacité d’adaptation énorme, pour toutes les régions et les climats.

Nous n’avons pas les moyens de faire ce genre de tests mais je suis sûr que si on faisait un test entre une variété hybride, celle de Pascal Poot et une semence bio classique ce serait celles du conservatoire de la tomate qui obtiendraient les meilleurs résultats. »

Une partie de ces graines sont vendues dans l’illégalité, parce qu’elles ne sont pas inscrites au catalogue officiel des espèces et variétés végétales du GNIS(Groupement national interprofessionnel des semences et plants). Cela énerve beaucoup Pascal Poot, jusque là très calme :

« L’une de mes meilleures variétés, c’est la Gregori Altaï. Mais elle n’est pas inscrite au catalogue, peut-être parce qu’elle n’est pas assez régulière pour eux. Beaucoup de variétés sont comme ça. A l’automne dernier, le semencier Graines del Païs a eu un contrôle de la répression des fraudes qui a établi près de 90 infractions dans leur catalogue.

Le principe c’est qu’on ne nous autorise à vendre que les graines qui donnent des fruits qui sont tous pareils et qui donnent les mêmes résultats à chaque endroit. Pour moi, c’est le contraire du vivant, qui repose sur l’adaptation permanente. Cela revient à produire des clones mais on veut en plus que ces clones soient des zombies. »


La caisse d’étiquettes de Pascal Poot, le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

Interrogé au sujet de ces contrôles, un délégué du GNIS expliquait en mars 2014 :

« Notre objectif est d’apporter une protection à l’utilisateur et au consommateur. Le secteur français des semences est très performant, mais il a besoin d’une organisation qui a fait ses preuves et d’un système de certification. »


Les tomates de Pascal Poot, en 2014 (DR)

Sauf que l’uniformisation des fruits et des semences se fait souvent au détriment du goût et des qualités nutritives. Et pourrait, à l’avenir, nuire aux agriculteurs, estime Véronique Chable :

« Le travail de sélection des semences montre qu’on peut pousser le végétal vers des conditions impressionnantes. Mais l’agriculture moderne a perdu ça de vue, elle ne repose pas du tout sur la capacité d’adaptation.

Or dans un contexte de changement rapide du climat et de l’environnement c’est quelque chose dont le monde agricole va avoir besoin. Il va falloir préserver non seulement les semences mais aussi les savoir-faire des agriculteurs, les deux vont ensemble. »

Pour partager ce savoir-faire, j’ai demandé à Pascal de m’expliquer comment il sélectionne et récolte ses semences. Voici ses conseils :


Les graines de Pascal Poot, à Lodève le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

« Il faut prendre le fruit le plus tard possible, si possible juste avant les premières gelées comme ça il aura vécu non seulement à la sécheresse de l’été mais aussi aux pluies de l’automne. »

« Les tomates, c’est tout à fait spécial. Quand on ouvre une tomate, les graines sont dans une sorte de gélatine, comme un blanc d’œuf. Cette gélatine empêche les graines de germer à l’intérieur du fruit, qui est chaud et humide. Les graines ne germent pas avant que cette gélatine ait pourri et fermenté. »
« Il faut donc faire fermenter les graines. Pour ça il faut ouvrir la tomate,extraire les graines et les laisser plusieurs heures dans leur jus, par exemple dans un saladier. Il va se produire une fermentation lactique. »

« Il faut surveiller la fermentation comme le lait sur le feu, ça peut durer entre 6 et 24 heures mais contrairement à ce qu’on dit, il ne faut pas attendre qu’une pellicule de moisissure apparaisse. On prend une graine on la pose sur la main, si on peut la déplacer avec l’index sans que la gélatine ne vienne avec la graine, c’est que c’est bon. »

« Ensuite on passe le tout dans une passoire à thé, on lave à l’eau et onmet à sécher. Là on arrive à un taux de germination entre 98% et 100%. »

« Le poivron c’est différent, il faut juste laver les graines, les faire séchersur un tamis très fin et les stocker. Pour le piment c’est la même chose mais ça devient dangereux parce que les graines brûlent, c’est très fort, ça passe même à travers les gants. Une fois j’ai récolté les graines d’un cageot de piments d’Espelette sans gant, j’ai dû passer la nuit avec les mains dans l’eau glacée ! »

Pascal Poot dans sa serre, à Lodève le 26 février 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

mercredi 4 mars 2015

"LES CHEMTRAILS" : LE DOCUMENTAIRE À VOIR !!!


Voici, pour votre information un des meilleurs documentaires jamais réalisé au sujet des Chemtrails
à vois absolument !!!

L'HORRIBLE RÉALITÉ DES "CHEMTRAILS" !


LES "CHEMTRAILS"

DE TOUS LES SUJETS CONCERNANT L’AVÉNEMENT D’UN NOUVEL ORDRE MONDIAL, LE PLUS IMPORTANT… LE PLUS ÉMINENT, LE PLUS INQUIÉTANT EST CELUI DES "CHEMTRAILS" !!!

LE PLUS INCROYABLE C’EST QU’IL Y A ENCORE DES GENS POUR EN DOUTER !

IL FAUT PRATIQUEMENT ÊTRE AVEUGLE POUR NE PAS VOIR… OU "DE MAUVAISE FOI"

LES "CHEMTRAILS" SONT AVÉRÉS, DÉMONTRÉS, CONFIRMÉS !

D’AILLEURS, LES "CHEMTRAILS" ONT LITTÉRALEMENT CHANGER LA FACE DE NOTRE CIEL! MAIS AUSSI ILS ONT COMMENCÉ À CHANGER ET DÉTERIORER NOTRE ENVIRONNEMENT ET NOTRE SANTÉ…

LES "CHEMTRAILS" ON RÉPANDU DES SUBSTANCES TOXIQUES PARTOUT SUR LA PLANÈTE, ET LES EFFETS DE CES ÉPANDANGES SERONT TERRIBLE POUR L’HUMANITÉ !!!


Les "Chemtrails" permettront à l’Élite de prendre le contrôle du Monde !!!
Votre vie ne vaut rien ! Vous serez éliminés…

La réalité d’aujourd’hui rejoint-elle, ou bien dépasse-t-elle, les scénarios de science-fiction les plus délirants ou les plus machiavéliques ?

Certains "événements" peuvent nous apparaître comme impossibles, car dépassant notre entendement, notre logique ou notre système de référence ou de valeur.

Les chemtrails à la différence des contrails traînées blanches dans le ciel résultant de la condensation de la vapeur d'eau laissée par les réacteurs des avions, sont le résultats d'un épandage de produits chimiques ou aérosols dangereux et très nocifs pour la santé des êtres humains mais aussi pour la flore et la faune. Cela a des effets catastrophiques à court, moyen et long terme.

Bien des spécialistes des chemtrails aux États-Unis ne se posent plus la question de savoir si ces trainées blanchâtre contiennent ou pas des substances toxiques car ils ont largement dépassé ce stade. Ils savent aujourd'hui de manière formelle ce que contiennent les CHEMTRAILS. Leur problème est bien ailleurs. Ce sont les conséquences désastreuses constatées depuis quelques années. En effet le largage de mégatonnes de poussières composées d'aluminium sensées freiner les rayons du soleil associées entre autre à du magnésium, sont en train de modifier en profondeur le PH de la terre, la rendant toxique pour les plantes.

En effet le PH (Potentiel Hydrogène) normalement légèrement acide de la terre s'est transformé en PH Neutre dans bien des régions des États-Unis.

Cela a modifié profondément l'équilibre des micro-organismes inhérent à la bonne santé du sol. Par conséquent de nombreuses plantes et arbres meurent ainsi que de nombreuses espèces animales.

Après analyse, on trouve entre autres dans les chemtrails du : baryum, de l'aluminium, du magnésium, des polymères synthétiques, des virus, des nanoparticules, et dans certains cas des substances organiques comme du sang séché, etc.

Est ce que l'association de virus et de sang séché présent dans certains cas à cette macabre préparation ont un rôle à jouer dans la gestion de la santé, du comportement des individus, ou bien la présence de ces composants ont d'autres objectifs ?

Il semble que de très nombreux gouvernements ont accepté officiellement et OFFICIEUSEMENT le programme des chemtrails qu'on leur a vendu sans doute, sous le prétexte de gestion du climat, du moins, dans l'intérêt de tous... Ce qui est certains c’est qu’avec ou sans leurs accords, les cieux de tous les pays de la Terre sont régulièrement ensemencé de cette mixture de produits chimiques illicite… Aucune région de la planète ne semble être épargnée!

Ces épandages ou vaporisation effectués par de gros avions civils ou militaires (à entre 9 000 et 10 000 m d'altitude), ont lieu très régulièrement et pratiquement sur toute la planète depuis plusieurs années sans jamais que le public ne soit mis au courant de ce qui se passe au dessus de leurs têtes. Les médias sont les premiers complices de ce complot contre l’humanité. Et qui sont ceux qui pilotent les avions qui nous empoisonnent?!


LES CHEMTRAILS MYTHES OU RÉALITÉ ? QUELS EN SONT LES ENJEUX ? 

- 1°) MANIPULATION DU CLIMAT ?
- 2°) EUGENISME ?

Lorsque l'on veut évaluer les conséquences d'une catastrophe qu'elle qu'en soit l'origine il est habituel de compter les morts et d'évaluer les conséquences présentes et à venir sur différents plans : économique, écologique, humains, sociétal, etc...

Certains considèrent les conséquences présentes et à venir des chemtrails comme n'ayant pas de comparaison connue dans l'histoire de l'humanité... Car détruire tous les jours, sans relâche la vie sur la planète avec des moyens matériels très important. Détruire ainsi VOLONTAIREMENT et méthodiquement le milieu naturel de l'homme et donc sa nourriture (l'eau, la terre, l'air et donc toute vie animale, végétale et aquatique) en déversant régulièrement des mégatonnes de toxique à travers toute la planète, c’est l'apogée de la folie humaine!

C'est vraiment jouer à l'apprenti sorcier, doublé de mauvaise foi… Car les conséquences multiples et variées pourront certainement échapper totalement au contrôle des personnes à l'origine de ce projet qui est aujourd'hui bien avancé...

Et dire tout cela ne consiste pas à faire bles "alarmistes", ni "faire" dans le "catastrophisme sensationnel", il ne s’agit plus de "suppositions", ni "d’affirmations hypothétiques" ou encore 2d’argumentations irraisonnées" ; mais simplement d’une "situation bien RÉELLE", bien CONCRÈTE, telle quelle... Les Chemtrails sont visibles, et rejettent bel et bien des retombées néfastes, et tous se déroule de manière sournoise...

Les informations que l'on possède aujourd'hui sur les Chemtrails, sur leur incontestable existence, et leurs effets préjudiciables, sont absolument avérées...

Différentes personnes tournent en dérision le sujet des chemtrails, mais sans s'y intéresser de manière objective et factuelle. Il suffit pour s'en convaincre de regarder la définition qu'en donnent certains sites ou organismes... (Allez savoir pourquoi ils ont choisi de désinformer ainsi le public!).


Voici pour finir quelques vidéos incontournables sur le sujet des "Chemtrails"

Une vidéo des plus complètes sur les chemtrails
Les Chemtrails : Alex Jones

DISCUSSION DU PROBLÈME DES CHEMTRAILS AU PARLEMENT EUROPEEN AU MOIS D' AVRIL 2013
Le gravissime problème des chemtrails avait fait l'objet de débats au parlement européen au mois d'Avril 2013.
et

LES SUBSTANCES DES "CHEMTRAILS"

De nombreuses analyses pratiquées sur des échantillons de résidus de Chemtrails, ont permis de regrouper les principales substances de la mixture, dont voici la liste :

1) Bibromure d'éthlylène (bibrométhane) - Interdit en 1984 par la commission pour la protection de l'Environement (EPA), le BBE (C2H4Br2) est un additif cancérigène que l'on trouve dans les carburants et un insecticide dont l'odeur ressemble à celle du chloroforme. Il serait semblable à l'iodure d'argent qui fut utilisé pour provoquer la formation de nuages dans le but de modifier les conditions météorologiques. Après absorption, le BBE provoque une dépression du système nerveux central et un œdème pulmonaire, qui est une accumulation de liquide dans les poumons. Les symptômes de l'œdème pulmonaire se traduisent par un manque de souffle, de l'angoisse, une respiration sifflante et des quintes de toux. Ce produit est extrêmement irritant pour les muqueuses et les voies respiratoires.

2) Pseudomonas aeruginosa - Une bactérie robuste, très répandue, que l'on trouve dans la boue (ce qui semble indiquer la possibilité d'une contamination des échantillons de sol de traces chimiques) mais que des laboratoires comme PathoGenesis obtiennent communément par manipulation génétique dans diverses optiques. Ce sont les souches naturelles qui ont été découvertes dans l'eau potable et les hôpitaux contaminés. (L'eau potable: propriété nationale bientôt, vous verrez...) Après inhalation par des sujets souffrant d'immunodépression pulmonaire comme les victimes de la muscoviscidose, elle forme des biofilms, amas gluants qui constituent des abris virtuels contre les attaques défensives du système immunitaire et des antibiotiques. Elle peut transférer horizontalement, c'est-à-dire d'une espèce à l'autre, des informations génétiques à son hôte par transduction et conjugaison. La conjugaison est lorsqu'une bactérie injecte un matériel génétique connu sous le nom de plasmide, par "établissement d'une liaison", dans la cellule hôte qui le reçoit et l'inclut à son propre ADN. La transduction est un procédé similaire, mais au lieu d'injecter un plasmide, la bactérie envoie des bactériophages (virus) qui contiennent des fragments d'ADN de la bactérie d'origine et les implantent dans l'ADN de la cellule hôte.

3) Pseudomonas fluorescens - une autre souche de la famille des Pseudomonas (c'est encore une bactérie) que l'on trouve le plus souvent dans la terre et sur les plantes. Sur ces dernières, elles produisent des antibiotiques qui les protègent des infections fongiques et bactériennes. Vraisemblablement un contaminant selon l'analyse.


4) Entérobacteries - Comprennent le E. coli et la salmonelle qui sont les principaux responsables dans les cas d'empoisonnement alimentaire. Le plus intéressant de la familles de entérobacteries est le genre Klebsiella, dont l'espèce est à l'origine des pneumonies infectieuses.

5) Serratia marcescens - un dangereux pathogène qui peut provoquer des pneumonies.

6) Streptomyces - Les streptomyces entrent dans la fabrication de la majorité des antibiotiques utilisés en médecine humaine ou vétérinaire et dans l'agriculture, mais également comme agent anti-parasitaire, dans les herbicides et les métabolites pharmacologiquement actifs (ex : immunodépresseurs).

7) Une enzyme de restriction utilisée par les laboratoires de recherche pour découper et combiner l'ADN -- une telle enzyme opère une fente dans l'ADN et permet d'y insérer les segments désirés avant de le recombiner. (Nous voici rendu dans l'assemblage génétique maintenant, les compagnies s'amusent à nos dépends...)

8) D'autres bactéries et moisissures toxiques pouvant provoquer aussi bien des maladies cardiaques, des encéphalites et des méningites que des souffrances aiguës des voies respiratoires aériennes et du système gastro-intestinal. On sait que dans les trois jours suivant une pulvérisation particulièrement importante, on observe des épidémies de maladies respiratoires au sein la population exposée. Certains développent des pneumonies, d'autres des rhumes, des symptômes grippaux et une dépression des fonctions immunitaires. (Des cas de méningites, grippe persistante, et encéphalites ont également augmenté en corrélation avec les émissions de nuages des chemtrails)


jeudi 6 novembre 2014

« TISA » = DES NÉGOCIATIONS COMMERCIALES SECRÈTES QUI MENACENT NOS VIES, NOS DROITS ET NOS LIBERTÉS


« TISA », ces négociations commerciales secrètes qui visent à accélérer privatisations et dérégulations...

TISA est un accord commercial dont personne ne parle, négocié dans l’opacité la plus totale.

50 pays, parmi les plus fervents défenseurs de la libéralisation, ont négocié en secret, de l’ouverture du « marché des services » à la concurrence internationale : Éducation, santé, transports, télécommunications, services financiers... Tout est sur la table des négociations. 

Sans que les citoyens ou parlementaires aient leur mot à dire. Les négociateurs – soumis aux fortes pressions des lobbys – étaient à Genève en juin 2014 pour le 7ème round de ces pourparlers internationaux, qui commençaient déjà à avoir de graves répercussions, et de toute évidence, depuis, cela menace les services publics et les tentatives de régulation du secteur financier. 

Cela, enfin a des répercussions dans presque toutes les sphères de la société : la sécurité nationale, les médias, les droits, les infrastructures, les institutions, la culture, le patrimoine, l’enseignement, les soins médicaux, la sécurité d’emploi, la taxation, l’inflation, l’environnement… etc…

Entre autre, ce pourrait être la fin des services publics, de l’eau, de l’éducation, ou de la santé ; la fin de toute volonté de réguler les marchés financiers ou de protéger les données des citoyens. Bref, une entrave encore jamais vue à l’exercice de la démocratie et au fonctionnement des politiques publiques.

L’Accord sur le commerce des services (ACS) ou « Trade in Services Agreement » (« TISA ») est actuellement en cours de processus entre une cinquantaine de pays [1], dont ceux de l’Union européenne. Il a été lancé par les États-Unis et proposé à des pays membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), baptisé le groupe des « Vrais Bons Amis » (the « Really Good Friends »).

Décisions prises en catimini…

Ces négociations se sont déroulées hors du cadre de l’OMC, avec beaucoup de discrétion, avec les pays les plus partisans de la "libéralisation des services", contrariés par l’impasse des négociations de Doha lancées en 2001 [2].

Ces pays représentent plus de deux tiers du commerce mondial des services. De nombreux domaines sont concernés : éducation, transports, poste et télécommunications, services de comptabilité et d’audit, ingénierie et logistique, santé, assurance, nouvelles technologies et transfert de données, recherche, banque et services financiers... Objectif : ouvrir encore davantage les services à la concurrence internationale et empêcher toute intervention publique.

« Ces négociations sont l’opportunité la plus prometteuse en deux décennies pour promouvoir le commerce des services à l’échelle internationale », s’enthousiasme le lobby de l’industrie des services aux États-Unis. 

La Coalition internationale des industries de service (GSC), dont fait partie le Medef, est encore plus explicite : cet accord a été conçu « pour apaiser la frustration des entreprises, en raison de l’impasse du Cycle de Doha en matière de services », écrit-elle [3].

Interdire toute intervention des États...

« Il s’agit d’une tentative d’insidieusement et secrètement étendre les aspects les plus néfastes de l’infâme accord AGCS qui a suscité dans le passé des protestations mondiales », répond Rosa Pavanelli, secrétaire générale de l’Internationale des services publics (ISP). Selon cette organisation, qui fédère les syndicats du secteur et représente 20 millions de travailleurs, l’ACS limiterait la capacité des gouvernements à légiférer dans certains domaines, comme la sécurité des travailleurs, l’environnement ou la protection des consommateurs.

« L’ACS s’inscrit dans cette nouvelle vague inquiétante d’accords commerciaux et d’investissement, reposant sur des pouvoirs juridiquement contraignants qui institutionnalisent les droits des investisseurs et interdisent toute intervention des États dans un large éventail de secteurs indirectement liés au commerce », décrit l’organisation internationale dans un rapport détaillé.

Plusieurs aspects de l’accord sont vivement critiqués par les organisations syndicales et non-gouvernementales. En premier lieu, tout secteur qui n’est pas explicitement exclu, protégé par chaque pays, pourrait être concerné par l’accord.

Avec tous les dangers que cela comporte, ces accords ouvrent, notamment, la porte à un afflux d’entreprises privées dans le secteur éducatif, (alerte la fédération internationale des syndicats d’enseignants). Une clause de statu quo viendrait figer les niveaux actuels de libéralisation des services dans chaque pays, rendant impossible toute remunicipalisation des services de l’eau par exemple, ou compliquant la création ou le rétablissement de monopoles publics dans des domaines actuellement ouverts à la concurrence [4].

Autre principe : la "clause à effet de cliquet" (sic), qui viendrait figer toute future libéralisation d’un service donné. Une partie de l’assurance chômage est privatisée, comme au Royaume-Uni ? La retraite est démantelée au profit de fonds de pension ? Impossible de revenir en arrière !

Une atteinte aux libertés démocratiques fondamentales, dénonce la fédération syndicale internationale, qui voit dans ce futur accord un moyen de « rendre pérenne et irréversible un système de privatisations pour toutes les générations à venir ».

Des gouvernements complètement liés par les décisions de leurs prédécesseurs : voilà qui porterait gravement atteinte au fonctionnement des démocraties !

Verrouiller les privatizations...

Autre problème : l’accord pourrait imposer aux autorités publiques une "obligation de neutralité économique" entre prestataires de services publics et privés, dénonce l’ISP. En clair, tout soutien financier apporté aux services publics devrait être ouvert au secteur privé.

« Si dans un domaine, des services privés existent à côté des services publics (par exemple hôpitaux, écoles), les deux auraient droit aux mêmes subventions, au nom de la "concurrence libre et non faussée" », explique le collectif Stop-Tisa.

« Ainsi, par exemple, une université américaine pourrait s’établir en Suisse demandant un financement à la hauteur des universités publiques, aux frais du contribuable. »

Un État qui subventionne la construction d’un hôpital public devra-t-il bientôt financer également une clinique privée dans les environs ? Autant de critiques reprises dans un document de la Commission européenne, qui fait la synthèse d’une consultation sur le sujet auprès des "décideurs" et "ONG".

Les négociations ont débuté en février 2012 et devraient se terminer en 2015. Les négociateurs des pays concernés se réunissent régulièrement à Genève, sous la conduite des États-Unis et de l’Australie [5].

En juin 2013, un communiqué lapidaire annonçait déjà que « les membres de l’OMC explorant de nouvelles approches visant à faire progresser la libéralisation du commerce des services sont satisfaits des progrès des discussions sur un accord sur le commerce des services (Tisa) ». Ils invitent les autres pays membres de l’OMC qui partagent ces objectifs à les rejoindre.

La Chine, soutenue par la Commission européenne, a demandé à participer aux négociations. Ses divergences avec les États-Unis sur d’autres accords commerciaux ne lui ont pas permis d’être admise pour le moment à la table des discussions.

Des négociations très secrètes...

En novembre 2013, les participants ont estimé que l’accord était suffisamment « mûr » et ont lancé l’étape "d’échange d’offres initiales" : chaque pays doit préciser les secteurs qu’il souhaite inclure dans l’accord, et les modalités qu’il propose concernant "l’ouverture" à la concurrence internationale de ces secteurs, selon un cadre pré-déterminé par l’accord.

Début 2014, la plupart des pays ont échangé ces propositions, qui sont la base des discussions en cours. Certains comme la Suisse ou la Norvège les ont rendues publiques [6], d’autres pays semblent peu enclins à les diffuser auprès de leurs citoyens.

On ne sait pas grand chose non plus du contenu des négociations et des termes de l’accord général... Elles « se déroulent dans le plus grand secret au mépris des droits démocratiques », souligne Rosa Pavanelli.

En février 2013, la Commission européenne a demandé au Conseil, représentant les États membres, de donner son feu vert aux discussions. L’ouverture des négociations a ensuite été validée par le Parlement européen en juillet 2013, par 526 voix pour et 111 contre [7], avec pour la France, les voix du PS et de l’UMP. Front de gauche et écologistes ont voté contre.

Dans sa résolution, le Parlement regrette cependant que le Conseil ait accordé un mandat sans prendre en compte l’avis des eurodéputés. Et observe « que le mandat de négociation de l’Union européenne a été proposé par la Commission et adopté par le Conseil sans aucune analyse d’impact ». Ce qui n’a pas empêché une large majorité de députés de voter... Quand les intérêts économiques sont en jeu, la démocratie devient visiblement facultative !

Les États-Unis et le Canada ont été fort insistants en ce qui a trait à la radicalité des opérations qui devront être menées de concert part tous les pays participant à cette coalition. Les États-Unis et le Canada bien que fortement impliqués dans ces changements qui influenceront l’économie mondiale ont décidé d’agir sournoisement, dans le secret, de manière détournée.

Les lobbies industriels consultés, pas les citoyens...

Wikileaks vient de briser un peu de l’opacité qui règne sur ces négociations, en divulguant l’annexe de l’accord concernant les services financiers. D’après ce document, principalement rédigé par les États-Unis et l’Europe, les propositions sont classées confidentielles pendant « cinq années à dater de l’entrée en vigueur de l’ACS ou, si aucun accord n’est trouvé, cinq années après la clôture des négociations ».

Le document précise que la divulgation n’est pas autorisée et que le texte doit être « conservé dans un bâtiment, une pièce ou un contenant verrouillé ou sécurisé » (document à lire ici).

Visiblement, les lobbys de l’industrie des services ont davantage accès aux informations que les citoyens et leurs représentants : la « Global Services Coalition » a envoyé des délégués à Genève lors du round de négociation d’avril 2014 ; et se félicite dans un communiqué d’avoir pu y affirmer son soutien sans faille au processus et d’avoir partagé sa vision avec les négociateurs.

Un accord plus que « palpitant » pour les entreprises...

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les multinationales des pays concernés sont très motivées par cette perspective d’accord... « Les retombées de TISA pourraient être énormes » pour les entreprises du secteur des services, explique la Chambre de Commerce des États-Unis. Elle estime que ces négociations présentent « une opportunité unique dans une génération pour abattre les obstacles au commerce international ».

« Ce palpitant nouvel accord a le potentiel pour enflammer la croissance économique et la création d’emplois aux États-Unis et à l’étranger », écrit la Chambre de Commerce. Rien que ça !

Un accord tellement « palpitant » qu’il pourrait doubler les exportations de services des États-Unis – soit un gain de 860 milliards de dollars et trois millions d’emplois [8].

Mais tout ça, c’est la théorie. On attend toujours les centaines de milliers d’emplois que devait permettre l’ouverture à la concurrence de plusieurs secteurs au sein de l’Union européenne !

Que demandent les entreprises et leurs représentants ?

Les pays qui signeront l’accord devront d’abord modifier ou éliminer les régulations considérées comme des barrières commerciales. « Si nous reconnaissons la nécessité de certains régulations (pour la sécurité nationale, la protection des données,...), il devrait y avoir des paramètres et des limites à leur application », écrit le lobby américain des industries de service.

Sa bête noire : la distorsion de concurrence entre secteur privé et public.

« La concurrence déloyale de la part d’entreprises subventionnées ou soutenues par les États, ou d’entreprises publiques ou contrôlées par les États, devient un obstacle de plus en plus important à la fourniture de service par des entreprises états-uniennes sur de nombreux marchés ».

Il s’agit de protéger le secteur privé « contre les comportements anticoncurrentiels des entreprises publiques », plaide également la Chambre de Commerce états-unienne. L’accès aux droits, lui, attendra.

Le lobby états-unien du secteur souhaite abolir toute préférence nationale, obligation de localisation ou quotas d’employés locaux. Et libéraliser davantage le secteur des médias et du divertissement.

« Aucun pays ne devrait être autorisé à (...) introduire de nouvelles restrictions ou des exceptions, qui dérogent ou affaiblissent les engagements existants de l’AGCS », suggère-t-il aussi [9].

Les représentants des entreprises demandent que l’accord inclue un mécanisme de règlements des différends. C’est-à-dire l’instauration de tribunaux d’arbitrage privés, pour régler les litiges, dans le cadre d’une juridiction extra-nationale, où les intérêts privés font loi [10]. La Suisse a rédigé une proposition en ce sens lors du dernier round des négociations.

Les régulations financières gelées...

L’accord concerne aussi les services financiers. Et pourrait avoir d’importantes conséquences sur ce secteur.

Malgré la crise bancaire, « les promoteurs de TISA cherchent à déréglementer davantage les marchés mondiaux de services financiers », analyse Wikileaks.

L’annexe sur les services financiers, jusqu’ici restée secrète, « est une proposition que seuls les banksters peuvent aimer », dénonce l’avocate Lori Wallach, de l’ONG états-unienne Public Citizen : le principe de statu quo, cité dans cette annexe, empêcherait par exemple de mettre en place de nouvelles réglementations financières, jugées nécessaires par les gouvernements, au motif que cela constituerait des restrictions pour les entreprises concernées. Résultat : l’accord gèlera les régulations financières à leur niveau actuel, qui demeure nettement insuffisant pour prévenir de nouvelles crises bancaires, estime l’avocate. De quoi accroître le risque d’instabilité financière pour les années à venir.

Cette annexe montre également la ferme volonté des États-Unis d’obtenir la libéralisation des flux de données. C’est-à-dire de permettre l’échange sans entrave entre pays des données personnelles et financières. Une menace pour les libertés fondamentales, car certains pays participants à ces négociations sont beaucoup moins exigents que l’Europe concernant la protection des données. Le lobby international des services souhaite d’ailleurs une disposition qui oblige les autorités publiques à justifier toutes les mesures qui viendraient restreindre les transferts de données entre pays [11].

Un accord étendu à toute la planète ?

« Ce qui est terriblement inquiétant, c’est que l’ACS est négocié en dehors du cadre commercial multilatéral par les pays les plus favorables à la libéralisation, qui ne cachent pas leur volonté d’entraîner le reste du monde dans cet accord, une fois ce dernier finalisé », explique Rosa Pavanelli.

Les négociateurs cherchent à rendre cet accord compatible avec le cadre de l’OMC. Ou dans le langage de la Commission européenne : « Veiller à ce que la structure de l’accord permette une future multilatéralisation. »

Une manière de permettre aux 50 pays signataires de faire ensuite pression sur les autres membres de l’OMC pour qu’ils acceptent ces règles [12]. De quoi affaiblir la position des BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud – pour l’instant exclus de ces négociations, ou des pays d’Afrique, complètement ignorés.

Un comité Stop TISA ! s’est structuré et une pétition a été lancée (voir ici).

Une lettre signée par 340 organisations non-gouvernementales exprimant leur opposition aux négociations a été envoyée aux ministres du Commerce, en 2013. Mais, rien n’y fit… Les négociations ont continués à se faire, et les décisions drastiques se sont prises.

Vu les enjeux démocratiques, économiques et politiques, ainsi que l’opacité de ces négociations, et les répercussions prenant de l’ampleur ; la mobilisation pourrait prendre aussi de l’ampleur dans les mois à venir...

Mais il faut considérer aussi que dans les mois à venir, les individus et les peuples trouveront de plus en plus d’obstacles et d’adversité dans leurs démarches. Il sera de plus en plus difficile de s’opposer aux processus mis en marche par ces décideurs autocrates.

Les dirigeants de nos nations, de nos villes, de nos communautés seront contraints de nous imposer des régimes d’austérité et, décontenancés, ils devront nous abandonner à notre désarroi.

D’après un article d’Agnès Rousseaux *(@AgnesRousseaux)
Trouvé sur bastamag.net


Pour aller plus loin :

Le rapport de l’Internationale des Services publics (avril 2014)

- Le site du Collectif Stop-Tisa

- La lettre envoyée par 340 organisations aux ministres du Commerce (septembre 2013).

- Le kit de campagne de l’Internationale des Services publics
Note d’information de l’Internationale de l’Éducation, fédération européenne de syndicats enseignants (août 2013).

- L’annexe concernant les services financiers, révélée par Wikileaks, et son analysepar Jane Kelsey, professeur à l’Université de droit d’Auckland, Nouvelle-Zélande (juin 2014).

- Le Mémo de la Commission européenne sur le sujet (février 2013).

- Le texte de la résolution votée par le Parlement européen le 26 juin 2013, et laproposition alternative déposée par des eurodéputés du groupe Verts/ALE.

- La synthèse de la Consultation lancée par la Commission européenne auprès des « décideurs et ONG ».

- Les positions de Coalition of Service Industries (lobby états-unien)
- Les positions de European Services Forum, la voix des industries de service européennes
- Les positions de la Chambre de Commerce des États-Unis.

- La lettre de la Global Services Coalition, coalition internationale des industries de service, au Commissaire européen au Commerce, Karel de Gucht.

- Le suivi des négociations en Australie
- Le suivi des négociations en Suisse.
- Le suivi des négociations en Norvège.
- Le suivi des négociations (offre initiale) de l’Islande.

À lire aussi, cette enquête sur Tafta, un autre accord commercial en cours de négociation : Accord Europe - États-Unis : que nous réserve la plus grande zone de libre-échange du monde ?

lundi 27 octobre 2014

ROGER WATERS : "COMMENT LES GOUVERNEMENTS OCCIDENTAUX ONT LAISSÉ TOMBER LES ENFANTS PALESTINIENS


Roger Waters, membre fondateur, auteur et principal compositeur des Pink Floyd

Ma fille unique, India, vient juste de donner naissance à ma première petite fille, en pleine santé, belle, 4 Kg et demi. Je suis fou de joie. Je pleure de joie.

Et pourtant, ma joie est entachée de chagrin. Cette nouvelle née a été la cause d’une réflexion sur le monde dont elle hérite. Cette enfant, qui m’est si chère, aura toutes ses chances, son avenir est grand ouvert. Je ne peux, cependant, m’empêcher de voir en elle le reflet d’autres enfants moins heureux. Je suis hanté par les visages d’enfants innocents morts gazés en Syrie, soit par leur propre gouvernement, soit par des groupes rebelles, par les petites filles enlevées au Nigeria, par les quatre petits garçons voués à la mort alors qu’ils jouaient au football sur une plage à Gaza, par les enfants tués et mutilés dans les écoles de l’UNRWA, et par les visages de ces enfants qui ont survécu dans tous ces endroits, qui devraient être radieux et plein de curiosité et sont au contraire plein de crainte et traumatisés.

Je déteste ces attaques ignominieuses sur les enfants à travers le monde et la nature généralement abjecte des réponses qui leur sont faites par nos dirigeants. La mainmise sur la plus grande partie du monde par le militarisme et le fondamentalisme religieux, deux choses que j’abhorre, met à mal les efforts collectifs pour créer un meilleur avenir pour nos enfants. Au risque d’être accusé par les apologistes du gouvernement d’Israël de me démarquer, je concentrerai cependant ici mes observations sur l’assujetissement colonial du peuple indigène palestinien et l’occupation illégale des terres entre la mer Méditerranée et le fleuve Jourdain.

Plus de 500 petits ont été brutalement massacrés par les Forces de Défense Israéliennes (IDF) cet été pendant les 50 jours d’assaut sur la minuscule bande de territoire côtier qu’est Gaza. Les décennies d’injustice impitoyable affrontées par les enfants palestiniens et leurs familles, qui vivent sous la terreur de l’occupation et du siège israéliens, sont une tâche, pas seulement sur le gouvernement israélien, mais aussi sur notre humanité tout entière.

Là où les gouvernements et le conseil de sécurité des Nations Unies ont failli à leur prise en compte de l’occupation israélienne et de l’assujetissement des Palestiniens, des gens à travers le monde s’approchent progressivement du but. Je suis récemment rentré de Bruxelles où j’étais membre du jury du non-juridique Tribunal Russell pour la Palestine. Nous étions réunis, dans une session spéciale d’urgence, pour examiner les actions des IDF cet été à Gaza, pour entendre les témoignages de ceux qui y étaient, et pour déterminer si les actions des IDF pouvaient avoir constitué des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité, ou même, peut-être, des actes de génocide. Le gouvernement d’Israël avait été invité à nous rejoindre, mais a refusé de répondre.

Après avis d’éminents avocats internationaux et délibération avec eux, le tribunal « a trouvé l’évidence de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité, de crimes d’assassinat, d’extermination et de persécution et aussi d’incitation au génocide ». Des conclusions dans ces termes, aussi graves soient-elles, ont trop souvent peu de signification pour la communauté internationale. Elles ne peuvent nous faire percevoir de manière viscérale, nous en sécurité dans nos maisons, les souffrances de ces gens. Elles ne montrent pas que l’agression d’Israël sur Gaza a laissé approximativement 373.000 enfants palestiniens qui ont un besoin immédiat d’aide psychologique spécialisée. Ces enfants ont été tellement traumatisés par la terreur, la mort et la destruction de leur vie quotidienne, qu’ils ont un besoin urgent de Thérapie du Stress Post-Traumatique (PTST). En d’autres termes, ils sont victimes de commotion cérébrale. Nous savons tous que la PTST est extrêmement perturbante à regarder chez des hommes adultes, chez nos propres soldats de retour de l’étranger, mais chez des enfants entièrement innocents dont la terre, selon les lois internationales, a été illégalement colonisée et occupée depuis des décennies, c’est douloureux et impossible à conscientiser.

Tragiquement, les gouvernements occidentaux, ceux qui ont le pouvoir de faire quelque chose à propos du sort douloureusement difficile de ces enfants, ne considèrent trop souvent que les craintes d’Israël tout en minimisant les réalités terrifiantes auxquelles sont confrontés les enfants palestiniens.

Ce fut le cas il y a quelques temps lorsque le président Barack Obama a déclaré « Nous devons trouver des moyens de changer le ‘statu quo’ afin que les citoyens israéliens soient en sécurité dans leurs maisons et les écoliers dans leurs écoles, à l’abri de possibles tirs de roquette, mais tout autant que nous ne nous trouvions pas devant cette tragédie, que des enfants palestiniens puissent être tués. » On évoque ici essentiellement des centaines d’enfants palestiniens morts comme une pensée secondaire.

En fait, le président Obama soutient fermement le Congrès qui fournit à Israël les avions et les tanks et les bombes et les drones et les missiles qui prennent les vies innocentes des Palestiniens. Selon le Service de Recherche du Congrès, « Israël est le plus grand bénéficiaire cumulatif de l’aide américaine à l’étranger depuis la seconde Guerre Mondiale. A ce jour, les Etats-Unis ont fourni à Israël 121 milliards de dollars en aide bilatérale.Presque toute l’aide bilatérale américaine à Israël se fait sous forme d’assistance militaire. » Est-ce que les contribuables américains veulent réellement que leurs impôts en dollars durement gagnés soient envoyés en Israël pour tuer et mutiler des vieillards et des femmes et des enfants enfermés sans défense dans ce qui est principalement une prison à ciel ouvert ?

Pour rendre justice au Président Obama, au moins a-t-il dit au Premier Ministre Netanyahu que les choses devaient changer. C’est un pas dans la bonne direction. La réaction de Netanyahu a été d’accuser le Président Obama d’être ‘non-Américain’ ! Non-Américain ? Etant donné tout les connotations négatives de ces mots qui nous ramènent comme ils le font jusqu’à la sombre époque de la chasse aux sorcières sous McCarthy, le commentaire du Premier Ministre Netanyahu est non seulement une erreur, mais il est aussi inadapté et grossier.

Trois fois en six ans, le gouvernement américain s’est tenu aux côtés d’Israël quand ses soldats bombardaient Gaza. On peut espérer que l’avertissement du Président Obama sur le « statu quo » et le léger blâme contre Netanyahu porteront leurs fruits. Malheureusement, le faible cessez-le-feu actuel ne fait que mettre en scène encore une autre agression. Plutôt que de considérer et de soulager le manque fondamental de liberté des Palestiniens, – et nonobstant les appels de Jewish Voice for Peace (Voix Juives pour la Paix) et le raz-de-marée croissant de protestations éloquentes de la part d’individus ou de groupes juifs, en Israël ou aux USA, attachés à l’engagement central du judaïsme à l’humanité, – le gouvernement israélien semble satisfait de rouer Gaza de coups encore et encore, répétant cette obscénité qui consiste à tuer des enfants dans le ghetto qu’est Gaza.

L’administration Obama réprouve la résistance violente palestinienne en tant que moyen d’acquérir la libération des Palestiniens. Et beaucoup de gens, dont moi, condamnent le lancement au hasard de roquettes et autres missiles qui peuvent toucher des cibles civiles. Je dis peuvent, parce qu’elles y arrivent rarement. En juillet et août derniers, je crois qu’il y a eu cinq morts civils israéliens. Leurs amis et leurs familles ont ma profonde sympathie ; tout être aimé qui meurt est une tragédie.

Ayant dit cela, c’est une faute morale de réprouver la résistance non-violente.

La résistance non-violente à l’occupation israélienne et aux sévices infligés au peuple indigène palestinien emprisonné est un devoir moral pour nous tous.

C’est pour ces raisons de conscience et en tant qu’admirateur de Gandhi, du Dr. King, de Nelson Mandela et d’innombrables autres camarades morts, que je suis un supporter enthousiaste du mouvement non-violent Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS). Si vous souhaitez rejoindre les centaines de milliers de ceux qui conduisent déjà le bus de la liberté BDS, ce lien (http://www.bdsmovement.net/timeline) vous donnera de plus amples informations. Le gouvernement israélien remarque lorsque des musiciens, pour protester, refusent de jouer en Israël ; lorsque Stephen Hawking soutient le boycott académique en se retirant de la conférence présidentielle d’Israël ; et lorsque n’importe lequel d’entre nous demande à son supermarché local ou à la boutique du coin s’ils vendent quoi que ce soit qui soutienne les colonies illégales dans les territoires occupés.

Comme l’a dit Gandhi, « D’abord ils vous ignorent, puis ils se moquent de vous, puis ils vous combattent, et puis vous gagnez. »

Le temps est venu d’internationaliser et d’élargir le combat au-delà de BDS, via les Nations Unies, la Cour Internationale de Justice et le Tribunal Pénal International.

Nous avons besoin de ces institutions internationales car, trop souvent, la propagande subvertit le sens commun, raille les approches non-violentes, et nous cache les injustices évidentes que soutiennent nos gouvernements. Les dirigeants israéliens – mais aussi la Ligue Anti-Diffamation (ADL) – ont sans cesse argumenté cet été pour défendre les bombardements israéliens sur Gaza. L’argument qui était présenté au peuple américain à travers les principaux médias était essentiellement celui-ci : « Si les Américains étaient attaqués dans leurs villes, ils répondraient à chaque coup comme le font les Israéliens. » Cette ligne de défense, cette hasbara, oublie le fait qu’Israël a occupé, assujetti et emprisonné les Palestiniens depuis des décennies. Le revers de cet argument israélien est, bien sûr, celui-ci : « Si les Américains avaient été emprisonnés et assujettis sous occupation pendant des décennies, riposteraient-ils aussi vigoureusement que les Palestiniens ? »

Le commentaire le plus impressionnant et le plus dérangeant que j’aie lu pendant le massacre commis par Israël cet été fut : Au moins cette fois-ci, il y aura moins d’orphelins palestiniens puisque des familles entières ont été liquidées. Imaginez le désespoir de la mère, du père, ou du grand-père, tous trop conscients de leur impuissance à protéger les plus vulnérables d’entre eux, leurs enfants.

Je pleure quelquefois, de désespoir, et je ne m’en excuse pas. Le jour où je cesserai de pleurer sur les enfants innocents morts (en l’occurrence à Gaza) sera le jour où, pour citer George Orwell, « Il n’y aura plus d’amour, excepté l’amour de Big Brother ».

Assurément, nous pouvons faire mieux que cela.

J’ai parlé de ma fille et de ma petite fille en commençant, non pas parce que j’en suis démesurément fier, comme tout père et grand-père le serait, mais parce que j’abhorre le fait que nous, qui payons nos impôts aux USA, n’exigeons pas de notre gouvernement qu’il permette à nos frères et sœurs palestiniens de jouir de la même liberté que celle dont nous jouissons, dont je jouis, y compris la joie d’avoir des enfants et des petits enfants pour illuminer nos vies.

- Roger Waters

P.S. Le vote historique de lundi à la Chambre des Communes du Parlement britannique, La Mère des Parlements, par 274 voix contre 12, en faveur d’une motion déclarant « que cette chambre croit que le gouvernement devrait reconnaître l’État de Palestine à côté de l’État d’Israël, comme une contribution pour assurer la solution à deux Etats », démontre un changement remarquable dans la volonté britannique de recourir à une pression morale sur le gouvernement israélien pour mettre fin à l’occupation et rechercher une juste paix.

Au moins pour aujourd’hui, je suis fier d’être britannique.

Si seulement l’exécutif du gouvernement américain – et le Congrès – suivaient leur exemple. En me fondant sur le succès des militants américains avec BDS et Open Hillel, je suis convaincu que le peuple américain se retrouvera tellement au fait de la situation qu’il poussera ses élus au Congrès à prendre une position de principe sur la liberté et l’égalité des droits pour le peuple palestinien. Ce n’est qu’une question de temps. Notre rôle est de hâter l’arrivée de ce jour.

Source: Agence Média Palestine
Traduction : J. Ch.
SIGNEZ LA PÉTITION ICI : Agence Média Palestine

dimanche 21 septembre 2014

LE NOMBRE "2014" A ÉTÉ AJOUTÉ AUX "GEORGIA GUIDESTONES"


Un curieux cube avec le nombre de "2014", (l'année 2014?), a été rajouté aux Georgia Guidestones!
Est-ce l’année où les prédictions se réaliseront ?

R.C. Christian a t-il encore frappé ?

Les dix commandements pour un nouvel âge de raison sont:

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3. Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
9. Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.

Veuillez noter le « cube » dans le coin en haut à droite de cette image...


Désormais, une nouvelle pierre a été rajoutée dans ce coin avec les nombres « 20 14″ gravés en elle..

Il y a environ 5 ans de cela, l’encoche avait été cisaillée...


Et maintenant, un bloc a été inséré dedans.



Est-ce l’année où les évènements auront lieu?
Pour en savoir plus sur les Georgia Guidestones.

Vidéo à propos des pierres:




Source : http://www.nouvelordremondial.cc/

samedi 6 septembre 2014

PREMIÈRE EXPÉRIENCE DE TÉLÉPATHIE RÉUSSIE !


Première expérience de télépathie réussie, selon des chercheurs

Des chercheurs affirment avoir transmis pour la première fois un message mental simple entre deux personnes séparées par des milliers de kilomètres, selon une recherche récemment publiée dans la revue américaine PLOS one.

Pour cette expérience, un des sujets en Inde porte des électrodes sur la tête transmettant via internet ses activités cérébrales comme un électroencéphalogramme, alors qu'il pense des messages très simples comme "bonjour" ou "salut".

L'ordinateur convertit ces impulsions électriques en code binaire, le langage machine, avant de les envoyer à un autre ordinateur qui les transmet au cerveau d'une autre personne en France sous forme de flash lumineux, expliquent ces scientifiques.

Le sujet ne pouvait ni entendre ni voir les mots eux-mêmes mais a été capable d'interpréter les signaux lumineux pour saisir le message.

En fait cela revient à transmettre un message par télépathie...

« Nous voulions voir s'il était possible de communiquer directement entre deux personnes en lisant les activités cérébrales de la première puis en les transmettant à une autre et ce sur de vastes distances via les systèmes de communication existants comme internet », a expliqué Alvaro Pascual-Leone, professeur de neurologie à la faculté de médecine de Harvard, co-auteur de cette expérience.

Des chercheurs de l'université de Barcelone et de la firme espagnole Starlab ainsi que de la société française Axilum Robotics ont également participé à cette recherche parue dansPLOS One daté du 19 août.

Selon ces scientifiques il s'agit d'un premier pas dans l'exploration d'autres moyens de communication.

« Nous pensons que des interfaces directes courantes entre les ordinateurs et le cerveau humain seront possibles dans un avenir pas si éloigné, permettant une communication directe de cerveau à cerveau de façon routinière (...) et créant de nouvelles possibilités dans les relations sociales », concluent ces chercheurs.

Parmi les applications potentielles, ils citent la possibilité de communiquer avec des personnes paralysées et incapables de parler après un accident vasculaire cérébral.

Les scientifiques travaillent depuis une dizaine d'années sur les communications télépathiques.

En 2013, des neurobiologistes de l'Université Duke en Caroline du nord étaient parvenus à faire transmettre par une forme de télépathie des informations entre deux rats.

Comme ils sont tenus de le faire dans les grandes publications scientifiques, plusieurs auteurs signalent des conflits d'intérêt. Ainsi trois des chercheurs sont salariés de la firme de robotique et de neurosciences Starlab à Barcelone, qui a financé une partie de la recherche.

source : La Presse

vendredi 5 septembre 2014

LE SCANDALE DES NOUVELLES CARTES BANCAIRES...


Visa, MasterCard, American Express... Les cartes de paiement sans contact distribuées actuellement par les banques peuvent être piratées en quelques secondes. Démonstration...


Payer avec une carte bancaire sans contact, c’est devenu une habitude. Cette année, question d'innover, plusieurs institutions bancaires proposent une nouvelle génération de cartes lors d’un renouvellement. Le hic, c’est que ces cartes ont une faille de sécurité. Apparemment, on peut pirater une de ces carte en un quart de seconde, et cela est à la portée de tous. 


Une opération possible en se tenant à 5 centimètres maximum de la carte, qu’elle soit active ou non, à partir d’une clef USB NFC connectée à un ordinateur, ou encore, à l'aide d'un téléphone portable. (Le logiciel est téléchargeable gratuitement sur internet). Mais aussi, avec du matériel plus sophistiqué comme des amplificateurs et des antennes, les données peuvent être interceptées jusqu’à 15 mètres de distance. 

Aucun chiffrement ni authentification dans ces cartes. Des paiements frauduleux peuvent donc être effectués sur Internet en récupérant le numéro de compte, la date d'expiration et d'autres informations précieuses.

La Cnil a ouvert une enquête et réalise actuellement des tests sur ces cartes pour vérifier si leur niveau de sécurité est suffisant. Du côté de chez Visa, on relativise le problème. Pour la société, les données qui peuvent être récupérées sont de toutes façons visibles à l’œil nu et n’ont pas besoin d’être cryptées. Visa concède toutefois que d’ici un ou deux ans, une nouvelle génération de cartes sera équipée d’un pare-feu pour que les données ne soient pas accessibles via un outil sans contact et recommandent dès maintenant aux banques de supprimer le nom des titulaires dans les cartes. En attendant cette nouvelle génération, la seule solution pour sécuriser sa carte de paiement est de la conserver dans un étui en aluminium. Un peu paradoxal pour une technologie sans contact.

Démonstration avec Renaud Lifchitz, consultant sécurité chez British Telecom.