Par François Marginean
Le Japon ne sera plus jamais le même. Il y aura dorénavant un « avant Fukushima » et un « après Fukushima ». La ruine radioactive du Japon a commencé, entrainant le reste de la planète dans son sillon avec le relâchement les démons nucléaires de Fukushima par General Electric (GE) et la Tokyo Electric Power Company (TEPCO). La cruelle réalité est que cette sombre crise va durer des mois ou peut-être même des années et possiblement de longues nombreuses années étant donné que la demi-vie du plutonium 239 est de 24 000 ans.
««Malheureusement, nous n’avons pas de prévision concrète en ce moment pour nous permettre de dire dans combien de mois ou d’années (que la crise se terminée),» a déclaré Sakae Muto, le vice-président de TEPCO»
Il y a eu plus de 823 tremblements de terre qui ont suivi celui de 9.0 ayant frappé le 11 mars 2011, et ça tremble encore. La ville de Tokyo est située à environ 250 km de Fukushima et plus de 35 millions de personnes y vivent.
Tokyo est l’un des trois plus importants centres financier du monde, aux côtés de Londres et New York. Avec trois coeurs nucléaires présentement en fusion, ainsi que les piscines d’entreposage de combustible irradié utilisé en danger, cumulant depuis autour de 40 ans plus de 1700 tonnes de déchets nucléaires entreposés, les retombées nucléaires ne vont que s’accentuer dans les temps à venir et se déposer sur la capitale. Déjà 25 gouvernements étrangers ont soit fermé leurs ambassades à Tokyo, ou ont évacué Tokyo et déplacé leurs ambassades à Osaka.
Les banquiers internationaux sont en train de fuir en masse Tokyo et le Japon. La US Navy a annoncé le 17 mars qu’ils étaient prêts à évacuer autant que 87 000 personnes si nécessaire et la USO a annoncé deux jours plus tard, le 19 mars, que l’armée américaine a commencé l’évacuationvolontaire de 200 000 militaires et leurs personnes à charge présentement au Japon.
Pendant que tout cela se déroule, le gouvernement japonais a également exhortéplus de gens à évacuer la zone de Fukushima et il a discrètement élargi la zone d’évacuation autour de la centrale de Fukushima. En bon français, toute cette activité signifie que l’évacuation de Fukushima, du Japon et de Tokyo, a déjà commencé. Un grand nombre de personnes sont déjà « volontairement » en train de fuir le danger. Plus la crise s’éternisera, plus le nombre de personnes qui vont partir sera élevé.
L’ensemble de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi devrait être condamné, ce qui en fait le plus important des accidents nucléaires (devant l’accident nucléaire de Tchernobyl) en termes de conséquences techniques.
Les héros qu’on surnomme les « bio-robots », terme originellement donné aux travailleurs qui avaient sacrifié leur santé et leur vie pour contenir l’accident de Tchernobyl, en Ukraine, se sont battus pendant maintenant plus de deux semaines pour tout tenter dans le but de prévenir le pire scénario, soit une fusion incontrôlable des coeurs des réacteurs nucléaires et la combustion des déchets radioactifs contenus dans les piscines d’entreposage situées immédiatement au-dessus des réacteurs Mark 1, un design absolument génial de General Electric. Ils auront silencieusement et courageusement donné leur vie pour éviter le pire au reste des Japonais et du monde entier. Et très malheureusement, il semble que ce soit en vain.
La bataille, à toute fin pratique, est perdue. Les taux de radiation sont si élevés qu’il sera bientôt simplement impossible d’envoyer quiconque sur les lieus de la centrale de Fukushima. Déjà, ces employés qui doivent payer le prix de leur santé de façon permanente et risque la mort pour les inepties, les mensonges, l’avarice, l’insouciance et la négligence criminelle de leurs patrons et de GE, ont subi des expositions à la radiation plusieurs fois la norme acceptable annuelle. Nul besoin de rappeler qu’il n’y a pas de dose sécuritaire dans le domaine de la radioactivité.
Dose radiative
Le principe retenu en radioprotection est de maintenir l’exposition au niveau le plus bas qu’il est raisonnablement possible d’atteindre (principeALARA). Pour faciliter cette optimisation, les sites nucléaires français sont organisés en zones dont l’accès est plus ou moins restreint, et qui correspondent aux débits de doses suivants :
zone bleue : de 2,5 à 7,5 µSv⋅h-1 ;
zone verte : de 7,5 à 25 µSv⋅h-1 ;
zone jaune : de 25 µSv⋅h-1 à 2 mSv⋅h-1 ;
zone orange : de 2 à 100 mSv⋅h-1 ;
zone rouge : > 100 mSv⋅h-1.
Le débit de dose dont on est certain qu’il produit des effets biologiques dangereux se situe à partir de 1 mSv⋅h-1, c’est-à-dire en « zone jaune ». Les effets varient selon le temps auquel on y est soumis. Les effets statistiquement observables apparaissent pour des doses cumulées supérieures à 100 mSv, soit un stationnement de plus de 50 h (une semaine à plein temps) en zone jaune. Cette exposition peut être atteinte en 1 h en « zone orange ».
La dose cumulée d’une source radioactive artificielle devient dangereuse à partir de 500 mSv (ou 50 rem), dose à laquelle on constate les premiers symptômes d’altération sanguine. En 1992, la dose efficace (E) maximale pour une personne travaillant sous rayonnements ionisants était fixée à 15 mSv sur les 12 derniers mois en Europe (CERN et Angleterre) et à 50 mSv sur les 12 derniers mois aux États-Unis. Depuis août 2003, la dose efficace maximale est passée à 20 mSv sur les 12 derniers mois. En France, la réglementation fixe les limites annuelles de radiation à 20 mSv (2 rem) pour les travailleurs et à 1 mSv (0,1 rem) pour la population. (source).
La dose limite pour un travailleur du nucléaire en France est de 20 millisievertspour une année. La limite réglementaire d’exposition en circonstances exceptionnelles est de 100 millisieverts, mais cette limite réglementaire a été exceptionnellement relevée à 250 millisieverts pour permettre aux travailleurs de continuer à travailler sur le site de Fukushima, ce qui signifie quand même que ces travailleurs nagent en pleine zone rouge quotidiennement.
Le 16 mars, aux alentours de 16 heures (heure locale), le niveau de radioactivité au-dessus de la centrale de Fukushima Daichi a atteint les 1 500 millisieverts par heure, empêchant ainsi les largages d’eau par hélicoptères[116].
Selon l’AIEA un niveau de radiation de 400 millisieverts par heure a été observé entre les unités 3 et 4[117]. À ce taux de radiation, un travailleur du nucléaire sur le site de Fukushima Daichi est exposé en 3 minutes à la dose limite admise en France pour une année.
Le 24 mars 2011, les équipes de l’AIEA ont enregistré des taux de 161 microsievert par heure dans les villes de Namie dans la préfecture de Fukushima, à 8 km au nord ouest de la centrale[122]. Une population exposée à ce taux pendant 5 jours accumule 20mSV, ce qui correspond à la dose autorisée en un an pour un travailleur du nucléaire en France. En 25 jours soumis à ce taux, la population exposée atteindrait la limite de 100mSV, seuil à partir duquel les risques de cancers dus à la radioactivité augmentent significativement.
Le 13 mars 2011, à 2 km de la centrale de Fukushima Daiichi, laradioactivité ambiante a été mesurée à 0,1 mSv/h[126],[127], soit un taux environ 800 fois supérieur à la radioactivité ambiante moyenne par heure : cela signifie qu’à quelques kilomètres de la centrale, on se trouve déjà enzone jaune.
Selon le Réseau Sortir du Nucléaire[128], des mesures effectuées à 2 km de la centrale de Fukushima Daiichi par six journalistes de l’association Japan Visual Journalist Association ont permis de constater un débit de dose s’élevant à 10 voire 100 milliröntgens par heure (soit 0,1 voire 1 millisievert par heure), débit selon eux « dramatiquement élevé ».
Des mesures indépendantes relevées dans la journée du 12 mars indiquent des niveaux de radioactivité très élevés sur toute la zone : jusqu’à 1 mSv à deux kilomètres de la centrale[129].
Les taux de radiation à 20 km de la centrale de Fukushima sont maintenant 1600 fois plus élevés qu’à la normale.
RADIOACTIVITÉ DANS LE SITE
Le Premier ministre japonais, Naoto Kan, a déclaré «l’état d’alerte maximale», laissant entendre que trois des réacteurs nucléaires situés à Fukushima sont présentement en fusion. Le réacteur N°3 qui fonctionnait depuis peu avec du MOX, un mélange d’uranium et de plutonium, est fissuré et donc des fuites y sont présentes. D’ailleurs, des échantillons prélevés à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments ont décelé du plutonium, l’élément chimique le plus toxique connu de la science. Ils ont décelé du plutonium 238, 239 et 240. TEPCO a rapporté que des taux de radiation 100 000 plus élevés que la norme ont été mesuré dans de l’eau contaminée sous le réacteur N°2, dans des tunnels et qui se déverse maintenant dans l’océan adjacent.
De l’eau dans un tunnel à l’extérieur du réacteur N°2 a un taux de radiation excédant 1 Sievert/heure, a rapporté un porte-parole de TEPCO, un niveau si élevé qu’un employé ne peut demeurer dans la zone affectée plus de 15 minutes, selon les normes d’exposition actuelles. Une exposition à cette dose pendant 30 minutes entrainera des nausées alors que quatre heures d’exposition pourrait mener à la mort, selon la U.S. Environmental Protection Agency (EPA).
Voici donc la situation en détail pour les six réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima:
La société TEPCO a pompé de l’eau douce dans les réacteurs n°1, n°2 et n°3 , a rapporté l’Agence de la sécurité nucléaire et industrielle du Japon. L’alimentation externe a été rétabli pour les six réacteurs en date du 22 mars, selon la Tokyo Electric Power.
Réacteur N°1: Le réacteur est très dégradé. De l’eau contaminée s’est rendue jusque dans les salles des machines, signifiant clairement que qu’il y a absence d’étanchéité de l’enceinte de confinement ou du circuit de refroidissement. Le combustible est endommagé. L’eau contaminée dans la structure de turbine contient 10 000 fois le rayonnement de l’eau de refroidissement régulière, selon l’agence NHK. La société a commencé à enlever l’eau contaminée provenant du sous-sol de la salle des machines et préparera plusieurs pompes pour évacuer l’eau, a indiqué l’agence. L’appareil a été endommagé depuis l’explosion d’hydrogène survenue le 12 mars qui a détruit les murs du bâtiment. La gravité de la menace que représente le réacteur envers la sécurité est évaluée au niveau cinq sur l’échelle internationale de 1-7.
Réacteur N°2: Tout comme le réacteur N°1, il est excessivement endommagé et de l’eau contaminée s’infiltre aussi dans les salles des machines. L’eau contaminée dans la structure de turbine contient 100 000 fois plus de rayonnement que l’eau de refroidissement normale, toujours selon l’agence japonaise de nouvelles, NHK. La société prévoit retirer l’eau contaminée, mais avec de tels rayonnements, la tâche sera très ardue et quasiment impossible. La société prévoyait commencer à utiliser de l’eau douce pour remplir la piscine de combustible à partir du 28 mars, a indiqué l’agence. L’enceinte de confinement a été endommagé dans une explosion du 15 mars et un câble d’alimentation a été reconnecté à l’unité le 19 mars. Le réacteur est noté à un niveau de cinq concernant la menace qu’il pose.
Réacteur N°3: Réacteur lui aussi très dégradé. Les barrières de confinement ne sont certainement plus étanches et le combustible est endommagé. Le New York Times rapporte qu’il y aurait une longue fissure verticale, sur le côté et jusqu’au bas de l’enceinte de confinement, laissant s’échapper des fluides et des gaz toxiques. L’eau contaminée dans la structure de turbine contient 10 000 fois le rayonnement normal et elle s’est infiltrée dans la salle des machines. La société est en train d’examiner des moyens d’éliminer l’eau contaminée. Une explosion survenue le 14 mars a endommagé la couverture de l’unité de combustible. La menace du réacteur est noté à un niveau de cinq. L’analyse de 5 échantillons de sols prélevés indique que du plutonium s’échappe du réacteur et est un signe qu’il y a fusion du coeur, qui rappelons-le, fonctionnait au MOX. Le pire est qu’aux dernières nouvelles, une grue se serait effondrée sur les barres de combustible MOX du réacteur N°3. Il s’agit d’une massive grue interne intégrée à la structure d’acier qui déplace les barres du réacteur vers la piscine de combustible usé, ce qui signifie que les tiges qui contenaient du plutonium sont endommagées.
Cette grue s’est effondrée il y a deux semaines. Le gouvernement japonais et TEPCO ont menti à ce sujet, sachant très bien que seul cet incident pourrait déclencher une catastrophe nucléaire aussi grave que Tchernobyl. Les gouvernements et les banquiers ne veulent pas de panique. Le Nikkei, Dow Jones, et le maintien de l’industrie de l’énergie nucléaire sont plus importants que la vie humaine et l’environnement.
Réacteur N°4: La société prévoit injecter de l’eau dans la piscine de refroidissement de combustible usé. L’Agence de la sécurité nucléaire et industrielle du Japon a indiqué le 17 mars qu’il n’y a peut-être plus d’eau dans la piscine. Le réacteur est évalué à trois sur le niveau de menace. Ce réacteur était en cours de maintenance lors du tremblement de terre.
Réacteur N°5: Cette unité était inactive et en entretien avant le séisme. Le réacteur est correctement refroidi. La pompe alimentant le circuit de refroidissement s’est abruptement arrêté le 24 mars, mais elle a été réparé et elle fonctionne.
Réacteur N°6: Le réacteur est atteint et correctement refroidi depuis le 20 mars à 19h27, lorsque la température est tombée en dessous de 100 degrés Celsius, a indiqué la compagnie. Un générateur de secours a été réparé le 19 mars, selon un communiqué de presse de la société. L’unité était inactive et en entretien avant le séisme.
Ajoutant aux difficultés, l’augmentation du niveau de contamination dans la mer près de l’usine. De l’iode 131 radioactif atteignant une concentration 1850,5 fois la limite légale a été détectée dans un échantillon d’eau de mer prise samedi dernier, à environ 330 mètres au sud de l’usine, près d’un drainage à la sortie des quatre réacteurs en difficulté, par rapport à 1250,8 fois la limite qui fut mesuré la journée précédente, soit vendredi, a indiqué l’agence.
Le danger des piscines de refroidissement des combustibles utilisés
Après avoir été retirés du cœur d’un réacteur, les éléments combustibles usés continuent de dégager de la chaleur, et sont entreposés dans une piscine, l’eau servant à la fois pour les refroidir et de barrière aux rayonnements qu’ils émettent[69]. La température et le niveau d’eau de ces piscines doivent être constamment contrôlés ; la température de la piscine est normalement maintenue à 25 °C au maximum, ce qui demande un refroidissement constant[69].
Le défaut de renouvellement d’eau extérieure pour le refroidissement d’une piscine d’entreposage du combustible usagé entraîne au bout d’un certain temps l’évaporation (0,4 litre par seconde et par mégawatt)[70] et l’ébullition du liquide, occasionnant alors l’échauffement puis l’éclatement (lié à l’oxydation) des crayons de combustible hors d’eau[71]. En outre, les piscines d’entreposage sont extérieures à l’enceinte de confinement résistante des réacteurs (elles sont confinées dynamiquement en service normal) et sont ainsi plus facilement exposées à l’atmosphère[72].
Cette situation est potentiellement très grave : si l’eau des piscines s’évapore (ce qui peut prendre quelques jours), les éléments combustibles irradiés qu’elle contient peuvent fondre ou prendre feu, répandant leurs produits de fission directement dans l’atmosphère[73],[74].
Dans un tel cas, les rejets radioactifs correspondants seraient bien supérieurs aux rejets survenus jusqu’à présent[75]. Un tel accident serait du niveau de gravité de celui de Tchernobyl. (source)
Conclusion
Ça va bien aller. Comme les autorités le répètent si souvent, il n’y a aucun risque pour la sécurité et la santé humaine, encore moins pour l’environnement et la chaine alimentaire.
Adieu, Japon
http://les7duquebec.wordpress.com/
http://lesnouvellesinternationales.blogspot.com
jeudi 31 mars 2011
LE CAUCHEMAR NUCLÉAIRE
DÉCHETS NUCLÉAIRE : UN VÉRITABLE CAUCHEMAR !
Pour poursuivre le dernier documentaire portant sur La bataille de Tchernobyl, voila pour vous un excellent documentaire de Arte sur les déchets nucléaire. Comme inscrit sur la pochette « L’obligation de subir nous donne le droit de savoir ».
Oui mais, sommes nous vraiment encore obligé de subir? Subissons nous vraiment? Car pour subir il faut être dans une position de faiblesse ou le rapport de force n’est pas à notre avantage. Selon moi, si la majorité des gens étaient mieux informés sur le nucléaire, ce rapport de force changerait car les populations sont beaucoup plus nombreuse que les lobbyistes du nucléaire et elles refuseraient de financer cette industrie de la mort. La sagesse passe par la connaissance de la vérité.
Voila un héritage du nucléaire et de ses déchets : http://cequevousdevezsavoir.wordpress.com/2010/08/26/le-scandale-des-armes-a-luranium-appauvri/
Titre : Déchets : le cauchemar du nucléaire
Réalisateur : Eric Guéret
Auteurs : Laure Noualhat et Eric Guéret
Production : ARTE France, Bonne pioche, en association avec Sundance Channel
Présentation :
En pleine prise de conscience des menaces de réchauffement climatique, les industriels et certains politiques nous présentent l’énergie nucléaire comme la solution d’avenir, une énergie propre, maîtrisée, sans impact sur l’environnement et la santé. Parfois même, une énergie qui s’inscrit dans le « développement durable ». Mais l’énergie nucléaire est-elle aussi propre qu’on nous le dit ?
Car les déchets sont le point faible du nucléaire, son talon d’Achille, son pire cauchemar.
Entre les pro et les anti-nucléaires, le débat fait rage. Faut-il oui ou non relancer cette énergie que la plupart des pays européens avaient déjà décidé d’abandonner ? Au cœur des débats, la crainte des déchets nucléaires, partagée par tous. Car les déchets sont le point faible du nucléaire, son talon d’Achille, son pire cauchemar.
Les populations en ont peur, les scientifiques ne trouvent pas de solution acceptable, les industriels tentent de nous rassurer et les politiques évitent le sujet. Pourtant, les quelques pays européens qui ont ouvert le débat sur la contamination des déchets (radioactifs pendant des milliers d’années), ont décidé de sortir progressivement du nucléaire.
C’est le cas de l’Autriche, de la Suède, de la Belgique ou de l’Allemagne. Mais que connaissons-nous exactement ? Comment les populations peuvent-elles avoir une vision claire d’un domaine couvert depuis toujours par le secret ? Pourquoi ce déficit démocratique sur une question politique et environnementale majeure ? Nous partons en quête de « la vérité sur les déchets » en France, en Allemagne, aux États-Unis et en Russie… Les scientifiques de la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité) nous accompagnent sur les sites nucléaires.
À l’aide des mesures et des prélèvements qu’ils effectuent sur le terrain, d’analyses et de rencontres avec des travailleurs du nucléaire et des opposants, nous tentons de répondre aux questions que tout le monde se pose.
• Les déchets sont-ils dangereux ?
• Comment sont-ils gérés depuis l’origine du nucléaire ?
• Existe-t-il une solution pour les déchets ?
Nous allons également à la rencontre des responsables politiques (Corinne Lepage, ancienne ministre de l’Environnement, Robert Alvarez, ancien conseiller énergétique de l’administration Clinton) et industriels (Areva, EDF) pour tenter de résoudre d’autres interrogations.
• Les populations sont-elles informées des dangers des déchets ?
• Le nucléaire peut-il être démocratique ?
• Qui détient réellement le pouvoir ?
• Quels sont les vrais enjeux politiques et industriels ?
• Les déchets menacent-ils l’avenir du nucléaire ?
En partant à la quête de « la vérité sur les déchets », nous abordons le sujet tabou du nucléaire par sa zone la plus sombre. Ce film a l’ambition de donner enfin à chacun les clefs pour comprendre des choix qui pèsent lourd dans l’avenir de l’humanité.
Source : http://cequevousdevezsavoir.com/
Pour poursuivre le dernier documentaire portant sur La bataille de Tchernobyl, voila pour vous un excellent documentaire de Arte sur les déchets nucléaire. Comme inscrit sur la pochette « L’obligation de subir nous donne le droit de savoir ».
Oui mais, sommes nous vraiment encore obligé de subir? Subissons nous vraiment? Car pour subir il faut être dans une position de faiblesse ou le rapport de force n’est pas à notre avantage. Selon moi, si la majorité des gens étaient mieux informés sur le nucléaire, ce rapport de force changerait car les populations sont beaucoup plus nombreuse que les lobbyistes du nucléaire et elles refuseraient de financer cette industrie de la mort. La sagesse passe par la connaissance de la vérité.
Voila un héritage du nucléaire et de ses déchets : http://cequevousdevezsavoir.wordpress.com/2010/08/26/le-scandale-des-armes-a-luranium-appauvri/
Titre : Déchets : le cauchemar du nucléaire
Réalisateur : Eric Guéret
Auteurs : Laure Noualhat et Eric Guéret
Production : ARTE France, Bonne pioche, en association avec Sundance Channel
Présentation :
En pleine prise de conscience des menaces de réchauffement climatique, les industriels et certains politiques nous présentent l’énergie nucléaire comme la solution d’avenir, une énergie propre, maîtrisée, sans impact sur l’environnement et la santé. Parfois même, une énergie qui s’inscrit dans le « développement durable ». Mais l’énergie nucléaire est-elle aussi propre qu’on nous le dit ?
Car les déchets sont le point faible du nucléaire, son talon d’Achille, son pire cauchemar.
Entre les pro et les anti-nucléaires, le débat fait rage. Faut-il oui ou non relancer cette énergie que la plupart des pays européens avaient déjà décidé d’abandonner ? Au cœur des débats, la crainte des déchets nucléaires, partagée par tous. Car les déchets sont le point faible du nucléaire, son talon d’Achille, son pire cauchemar.
Les populations en ont peur, les scientifiques ne trouvent pas de solution acceptable, les industriels tentent de nous rassurer et les politiques évitent le sujet. Pourtant, les quelques pays européens qui ont ouvert le débat sur la contamination des déchets (radioactifs pendant des milliers d’années), ont décidé de sortir progressivement du nucléaire.
C’est le cas de l’Autriche, de la Suède, de la Belgique ou de l’Allemagne. Mais que connaissons-nous exactement ? Comment les populations peuvent-elles avoir une vision claire d’un domaine couvert depuis toujours par le secret ? Pourquoi ce déficit démocratique sur une question politique et environnementale majeure ? Nous partons en quête de « la vérité sur les déchets » en France, en Allemagne, aux États-Unis et en Russie… Les scientifiques de la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité) nous accompagnent sur les sites nucléaires.
À l’aide des mesures et des prélèvements qu’ils effectuent sur le terrain, d’analyses et de rencontres avec des travailleurs du nucléaire et des opposants, nous tentons de répondre aux questions que tout le monde se pose.
• Les déchets sont-ils dangereux ?
• Comment sont-ils gérés depuis l’origine du nucléaire ?
• Existe-t-il une solution pour les déchets ?
Nous allons également à la rencontre des responsables politiques (Corinne Lepage, ancienne ministre de l’Environnement, Robert Alvarez, ancien conseiller énergétique de l’administration Clinton) et industriels (Areva, EDF) pour tenter de résoudre d’autres interrogations.
• Les populations sont-elles informées des dangers des déchets ?
• Le nucléaire peut-il être démocratique ?
• Qui détient réellement le pouvoir ?
• Quels sont les vrais enjeux politiques et industriels ?
• Les déchets menacent-ils l’avenir du nucléaire ?
En partant à la quête de « la vérité sur les déchets », nous abordons le sujet tabou du nucléaire par sa zone la plus sombre. Ce film a l’ambition de donner enfin à chacun les clefs pour comprendre des choix qui pèsent lourd dans l’avenir de l’humanité.
Source : http://cequevousdevezsavoir.com/
Libellés :
catastrophes,
danger,
intoxication,
irradiation,
nucléaire
mercredi 23 mars 2011
mardi 22 mars 2011
FERMETURE TEMPORAIRE... DOCUMENTATIONS À VENIR...
Malgré l'arrêt momentanée de l'activité journalière de notre blog, d'ici au 21 juin nous vous proposerons tout de même de lire quelques nouvelles publications, de la documentation sur divers sujets chauds, ou d'actualité...
Afin de vous aider à repérer les dates de ces nouvelles publications voici l'agenda que nous nous sommes fixé...
1 avril
15 avril
1 mai
15 mai
1 juin
15 juin
21 juin = retour à notre activité normale
Alors... c'est un rendez-vous
En espérant que vous saurez vous accommoder de cette situation...
Merci de votre compréhension
Les Agents sans Secret
Afin de vous aider à repérer les dates de ces nouvelles publications voici l'agenda que nous nous sommes fixé...
1 avril
15 avril
1 mai
15 mai
1 juin
15 juin
21 juin = retour à notre activité normale
Alors... c'est un rendez-vous
En espérant que vous saurez vous accommoder de cette situation...
Merci de votre compréhension
Les Agents sans Secret
lundi 21 mars 2011
ATTENTION ! ATTENTION ! FERMETURE TEMPORAIRE DU BLOG DES AGENTS SANS SECRET....
Tel que nous vous l'avions annoncé, dès ce soir, notre blog met fin à son activité pour un temps... pour une période indéterminée...
FERMETURE TEMPORAIRE DU BLOG DES AGENTS SANS SECRET ?
Après maints débats et maintes réflexions il a été décidé de stopper momentanément le blog des Agents sans Secret pour la période du printemps... Nous devrions donc reprendre nos activités au cours de l'été. Donc : autours du 21 juin...
D'ici là, il n'est pas question non plus de complètement vous abandonner! Nous avons prévus vous faire signe de temps à autres... (surtout s'il y a des évènements incontournables).
D'ailleurs, à causes des récents évènements d'ampleur, comme le tsunami et la menace nucléaire, nous n'avons pas communiqué tout les articles que nous vous avions promis... Mais, ce n'est que partie remise!
De fait, nous prévoyons mettre quelques documents chocs, deux fois par mois ; genre : "lots d'informations en bloc"
Nous espérons que vous saurez vous accommoder de nos décisions... Elles ont été prisent en prenant en considération nos lecteurs. Nous vous remercions tous pour votre soutient.
Les Agents sans Secret
FERMETURE TEMPORAIRE DU BLOG DES AGENTS SANS SECRET ?
Après maints débats et maintes réflexions il a été décidé de stopper momentanément le blog des Agents sans Secret pour la période du printemps... Nous devrions donc reprendre nos activités au cours de l'été. Donc : autours du 21 juin...
D'ici là, il n'est pas question non plus de complètement vous abandonner! Nous avons prévus vous faire signe de temps à autres... (surtout s'il y a des évènements incontournables).
D'ailleurs, à causes des récents évènements d'ampleur, comme le tsunami et la menace nucléaire, nous n'avons pas communiqué tout les articles que nous vous avions promis... Mais, ce n'est que partie remise!
De fait, nous prévoyons mettre quelques documents chocs, deux fois par mois ; genre : "lots d'informations en bloc"
Nous espérons que vous saurez vous accommoder de nos décisions... Elles ont été prisent en prenant en considération nos lecteurs. Nous vous remercions tous pour votre soutient.
Les Agents sans Secret
L'EAU NOIRE DU TSUNAMI...
Retour sur le tsunami du Japon...
Attaque atomique des Américains sur le Japon ?
On se demande sous quel effet cette vague était aussi noire lors du tsunami qui a eu lieu au Japon le 11 mars 2011 ? Quels sorte de résidus pouvait-elle charier du fond de l'océan ? Qu'est-ce qui remonte à la surface pour que la vague soit si noire ?!
On aurait pu le comprendre si la mer avait déjà tout charié sur son passage terrestre, mais là elle est déjà noire avant même de déborder sur les terres ! Curieux, non ?
Les américains, désespérés de ne pouvoir payer leurs dettes envers le Japon ont-ils eut recourt à la technologie H.A.A.R.P. ? (Benjamin Fulford aurait-il raison ?)
N.B. : N'oubliez pas que le Japon s'est opposé régulièrement aux USA ces dernières années, et qu'il détient de nombreuses dettes des USA...
Remarquez bien la couleur noire de l'eau...
Maintenant... Comparez la couleur de la vague du Tsunami du 11 mars 2011 avec la couleur la couleur des vagues du tsunami qui s'est produit en Thaïlande en 2004.
voyez ce surfer prisonnier du tsunami :
Source : http://www.lepouvoirmondial.com/
Attaque atomique des Américains sur le Japon ?
On se demande sous quel effet cette vague était aussi noire lors du tsunami qui a eu lieu au Japon le 11 mars 2011 ? Quels sorte de résidus pouvait-elle charier du fond de l'océan ? Qu'est-ce qui remonte à la surface pour que la vague soit si noire ?!
On aurait pu le comprendre si la mer avait déjà tout charié sur son passage terrestre, mais là elle est déjà noire avant même de déborder sur les terres ! Curieux, non ?
Les américains, désespérés de ne pouvoir payer leurs dettes envers le Japon ont-ils eut recourt à la technologie H.A.A.R.P. ? (Benjamin Fulford aurait-il raison ?)
N.B. : N'oubliez pas que le Japon s'est opposé régulièrement aux USA ces dernières années, et qu'il détient de nombreuses dettes des USA...
Remarquez bien la couleur noire de l'eau...
Maintenant... Comparez la couleur de la vague du Tsunami du 11 mars 2011 avec la couleur la couleur des vagues du tsunami qui s'est produit en Thaïlande en 2004.
voyez ce surfer prisonnier du tsunami :
Source : http://www.lepouvoirmondial.com/
Libellés :
désastres,
inondations,
insolite,
tsunami
LES PROPOS DE BENJAMIN FULFORD ET L'HEURE DE L'ULTIMATUM
Fils d'un diplomate canadien, Benjamin Fulford s'est révolté contre l'éducation qu'il avait reçue et, à l'âge de 17 ans, s'est frayé un chemin en bateau jusqu'au cœur de l'Amazonie pour y vivre dans une tribu d'anciens cannibales. Tout en continuant à chercher des réponses à ses questions et à essayer de mieux comprendre la société occidentale, il a passé quelque temps en Argentine dans une communauté qui vivait en autarcie, avant de diriger ses pas vers le Japon pour y suivre un cursus universitaire.
Homme à principes, courageux, et demeurant après toutes ces années un idéaliste incurable, il a démissionné de sa situation de Directeur du Bureau Asie-Pacifique du Magazine Forbes après avoir mené une enquête sur un scandale que son rédacteur en chef refusait de publier. Alors qu'il approfondissait par ailleurs ses propres recherches sur les affaires de notre globe, il a mis à jour sans aide extérieure le réseau complexe du contrôle de la finance mondiale, aux mains des Rockefeller et des Rothschild -- mais aussi l'existence d'armes biologiques à cible raciale telles que le [virus du] SRAS
Ce sont ces plans de dépeuplement de la planète qui ont perturbé certaines factions importantes et puissantes au Japon, à Taïwan et en Chine. Les choses ont atteint un paroxysme lorsque Benjamin, après avoir été abordé par un bien réel Ninja d'aujourd'hui, est devenu le premier Occidental en 500 ans à être admis dans les rangs des sociétés secrètes orientales, un vaste groupe qui rassemble six millions de membres. Agissant en tant que leur porte-parole, il est entré en scène pour transmettre un message simple aux Illuminati :
Reconnaissez que votre temps est terminé, retirez-vous sans bagarre et permettez au monde de prospérer comme il le devrait -- ou bien assumez les conséquences [d'avoir à vos trousses] jusqu'à 100 000 assassins professionnels qui ne peuvent pas souffrir l'élite autoproclamée qui gouverne cette planète.
Ce message a d'abord été communiqué en juillet 2007 via le Dr. Henry Makow et Jeff Rense. Project Camelot s'est rendu au Japon pour rencontrer personnellement Benjamin Fulford. Notre entretien exhaustif présente l'histoire qui sous-tend tout ceci, une histoire proprement incroyable et aux importantes retombées -- et il permettra aussi aux Illuminati, dont nous sommes sûrs qu'ils regardent avec attention nos vidéos, de se voir rappeler que l'ultimatum est réel, sérieux et toujours en cours.
Aidé par sa vision optimiste et contagieuse de l'avenir, Benjamin est fin prêt à se voir confier la tâche de prochain ministre des finances du Japon. La manière dont il dépenserait les 5 000 milliards de dollars de devises étrangères engrangés pour éradiquer la pauvreté dans le monde paraît plausible et incite à la réflexion car ce sont des mesures concrètes, bien loin de la rhétorique, destinées à réparer les dommages, étalés sur des générations, causés par l'impitoyable élite au pouvoir.
Voici un homme qui possède une profonde compréhension de l'Orient comme de l'Occident, un historien de l'économie mondiale dont les idées se situent loin des sentiers battus, un pacifiste qui ne craint pas de parler comme un guerrier.
Dans cette vidéo exhaustive en trois parties (2h40 en tout), les premièreS (1 heure, ici présente) et deuxième parties traitent de l'histoire de la finance mondiale et du passionnant récit de la vie de Benjamin qui le mène à être contacté par le Ninja. La troisième partie, elle, renferme les détails de l'"Ultimatum" lui-même...
Source : AntiNouvelOrdreMondial
Homme à principes, courageux, et demeurant après toutes ces années un idéaliste incurable, il a démissionné de sa situation de Directeur du Bureau Asie-Pacifique du Magazine Forbes après avoir mené une enquête sur un scandale que son rédacteur en chef refusait de publier. Alors qu'il approfondissait par ailleurs ses propres recherches sur les affaires de notre globe, il a mis à jour sans aide extérieure le réseau complexe du contrôle de la finance mondiale, aux mains des Rockefeller et des Rothschild -- mais aussi l'existence d'armes biologiques à cible raciale telles que le [virus du] SRAS
Ce sont ces plans de dépeuplement de la planète qui ont perturbé certaines factions importantes et puissantes au Japon, à Taïwan et en Chine. Les choses ont atteint un paroxysme lorsque Benjamin, après avoir été abordé par un bien réel Ninja d'aujourd'hui, est devenu le premier Occidental en 500 ans à être admis dans les rangs des sociétés secrètes orientales, un vaste groupe qui rassemble six millions de membres. Agissant en tant que leur porte-parole, il est entré en scène pour transmettre un message simple aux Illuminati :
Reconnaissez que votre temps est terminé, retirez-vous sans bagarre et permettez au monde de prospérer comme il le devrait -- ou bien assumez les conséquences [d'avoir à vos trousses] jusqu'à 100 000 assassins professionnels qui ne peuvent pas souffrir l'élite autoproclamée qui gouverne cette planète.
Ce message a d'abord été communiqué en juillet 2007 via le Dr. Henry Makow et Jeff Rense. Project Camelot s'est rendu au Japon pour rencontrer personnellement Benjamin Fulford. Notre entretien exhaustif présente l'histoire qui sous-tend tout ceci, une histoire proprement incroyable et aux importantes retombées -- et il permettra aussi aux Illuminati, dont nous sommes sûrs qu'ils regardent avec attention nos vidéos, de se voir rappeler que l'ultimatum est réel, sérieux et toujours en cours.
Aidé par sa vision optimiste et contagieuse de l'avenir, Benjamin est fin prêt à se voir confier la tâche de prochain ministre des finances du Japon. La manière dont il dépenserait les 5 000 milliards de dollars de devises étrangères engrangés pour éradiquer la pauvreté dans le monde paraît plausible et incite à la réflexion car ce sont des mesures concrètes, bien loin de la rhétorique, destinées à réparer les dommages, étalés sur des générations, causés par l'impitoyable élite au pouvoir.
Voici un homme qui possède une profonde compréhension de l'Orient comme de l'Occident, un historien de l'économie mondiale dont les idées se situent loin des sentiers battus, un pacifiste qui ne craint pas de parler comme un guerrier.
Dans cette vidéo exhaustive en trois parties (2h40 en tout), les premièreS (1 heure, ici présente) et deuxième parties traitent de l'histoire de la finance mondiale et du passionnant récit de la vie de Benjamin qui le mène à être contacté par le Ninja. La troisième partie, elle, renferme les détails de l'"Ultimatum" lui-même...
Source : AntiNouvelOrdreMondial
dimanche 20 mars 2011
L'ULTIMATUM DE LA SOCIÉTÉ DU DRAGON BLANC : LA LIBÉRATION DE L'HUMANITÉ
Benjamin Fulford dénonce l'attaque de l'empire contre Japon, et prononce un ultimatum cinglant, posé par la Société du Dragon Blanc. Mais aussi et surtout : il annonce la libération de l'humanité! Il annonce la fin des pouvoirs de l'élite. Très sérieusement, il annonce un changement drastique, radical, qui libérera enfin l'humanité aliénée et exploitée.
Cet ultimatum prononcé par Fulford est vraiment étonnant... Ces accusions sans détour vis-à-vis l'élite qui contrôle notre planète et empoisonne l’existence de l'humanité sont justes et franchement convaincantes... Difficile de ne pas être d'accord avec lui et de ne pas souhaiter que tout cela est vrai... Pour une fois c'est une nouvelle encourageante... C'est mieux que d'entendre parler d'Apocalypse!
/!\ Fulford - Fin de l'ultimatum 18Mars2011 par Ali-Fredo
SOURCE : jabamiah-antinouvelordremondial
Cet ultimatum prononcé par Fulford est vraiment étonnant... Ces accusions sans détour vis-à-vis l'élite qui contrôle notre planète et empoisonne l’existence de l'humanité sont justes et franchement convaincantes... Difficile de ne pas être d'accord avec lui et de ne pas souhaiter que tout cela est vrai... Pour une fois c'est une nouvelle encourageante... C'est mieux que d'entendre parler d'Apocalypse!
/!\ Fulford - Fin de l'ultimatum 18Mars2011 par Ali-Fredo
SOURCE : jabamiah-antinouvelordremondial
Libellés :
insolite,
mots dits,
nouvel ordre
samedi 19 mars 2011
AVANT & APRÈS LE SÉISME
PHOTOGRAPHIES SATELLITES TRÈS ÉVOCATRICES : AVANT ET APRÈS LES SÉISMES QUI ONT FRAPPÉ LE JAPON... (utilisez le curseur et faites glisser la barre centrale pour avoir une vue d'ensemble sur l'ensemble de la vue aérienne) :
http://www.nytimes.com/interactive/2011/03/13/world/asia/satellite-photos-japan-before-and-after-tsunami.html
http://www.nytimes.com/interactive/2011/03/13/world/asia/satellite-photos-japan-before-and-after-tsunami.html
Libellés :
cataclysmes,
catastrophes,
désastres,
radioactivité,
séismes,
tsunami
vendredi 18 mars 2011
INONDATIONS ET GLISSEMENTS DE TERRAIN AUX PHILIPPINES
Philippines: Importantes inondations et nombreux glissements de terrain.
Des inondations torrentielles et des glissements de terrain sont survenus dans les régions de Visayas et Mindanao.
Le bureau de la défense civile a confirmé hier que les villages de Palo et Leyte ont du être évacué suite aux inondations et aux tornades qui ont frappé la région. Des glissements de terrain sont survenus à Bohol, Samar Et Misamis en raison des pluies continues qui ont fait débordé les rivières.
Le Conseil National de gestion des réductions des risques (NDRRMC) atteste qu'un nombre important d'habitations ont été détruite par les inondations et les glissements de terrain, et que de très nombreux champs de riz sont sous les eaux, les récoltes anéanties. Les dégâts sont considérables.
10 morts 14 000 personnes évacuées...
Les glissements de terrains et les inondations ont tué 10 personnes, 14000 ont dû être évacuées.
Dans la province de Bohol un jeune garçon de 13 ans et un vieil homme se sont noyés. Une famille entière a été enseveli par une coulée de boue.
Dans les 7 provinces du centre c'est plus de 14 000 personnes qui ont dû être évacuées en raison des pluies diluviennes et des inondations dangereuses provoquant de nombreux glissements de terrain.
Source: "GMA News" via http://naturealerte.blogspot.com/
Libellés :
bouleversements,
catastrophes,
inondations,
séismes
jeudi 17 mars 2011
SITUATION CRITIQUE AU JAPON !
COURSE CONTRE LA MONTRE POUR REFROIDIR LES RÉACTEURS DE FUKUSHIMA
Jérôme Rivet
Agence France-Presse
Tokyo
Le Japon luttait jeudi par tous les moyens pour tenter de refroidir les réacteurs de la centrale de Fukushima, mais le pessimisme ne cessait de se renforcer dans le monde, provoquant une fuite en nombre des étrangers de Tokyo.
Six jours après le séisme le plus fort jamais enregistré au Japon suivi du tsunami, le nombre de morts confirmés a dépassé 5000. Les recherches se poursuivaient, dans la neige et le froid, pour retrouver les milliers de disparus.
Les autorités devaient également faire face à l'impatience grandissante des 500 000 personnes sinistrées, confrontées à un manque d'eau potable et de vivres malgré la mobilisation sans précédent de 80 000 soldats, policiers et secouristes dans le nord-est dévasté.
Mais c'est la crise nucléaire, la plus grave dans le monde depuis Tchernobyl en 1986, qui inquiète surtout.
Pour la première fois, quatre hélicoptères de l'armée japonaise ont déversé jeudi matin plusieurs tonnes d'eau de mer sur les réacteurs les plus endommagés, principalement le 3.
L'objectif était notamment de remplir la piscine de combustible usagé qui a été endommagée par une explosion et des incendies.
L'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco) a indiqué ne pas être en mesure de déterminer la quantité d'eau ayant rempli la piscine, faute de pouvoir l'observer de visu.
Des experts étrangers estiment également que la piscine du réacteur 4 est désormais quasiment asséchée, ce qui a pour effet de provoquer des niveaux «extrêmement élevés» de radiations, selon le président de l'Autorité américaine de régulation nucléaire (NRC), Gregory Jaczko.
La fusion de ce combustible pourrait entraîner des rejets de radioactivité de même ampleur que la catastrophe de Tchernobyl, estiment les experts.
Les ouvriers de Tepco, aidés de pompiers et de policiers, devaient également essayer d'atteindre le réservoir en recourant à des camions citerne équipés d'un canon à eau.
Tepco espérait aussi rétablir l'alimentation électrique de la centrale, ce qui «permettrait de remettre en route les pompes refroidissant les réacteurs et de remplir les piscines».
Les systèmes de refroidissement étaient tombés en panne vendredi à la suite du séisme de magnitude 9, le plus fort jamais enregistré au Japon, suivi d'un tsunami qui a dévasté les côtes du nord-est du pays.
L'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a estimé mercredi que les prochaines 48 heures allaient être cruciales.
Le président américain Barack Obama a proposé à Tokyo d'envoyer davantage d'experts nucléaires au Japon. La France a également offert une «offre de coopération massive» avec la mise à disposition de pompes, d'engins robotisés et une aide à la radioprotection.
Devant la menace d'un accident nucléaire majeur, la plupart des ambassades ont recommandé à leurs ressortissants de s'éloigner de la zone pour se replier vers le sud, dans la région d'Osaka, ou bien de quitter le Japon.
La Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Suisse, l'Italie et l'Australie ont également conseillé à leurs ressortissants de quitter le nord et la région de Tokyo. La France, comme la Belgique et la Russie vont envoyer des avions supplémentaires afin d'évacuer les familles souhaitant quitter le pays.
Pour sa part, la Chine a demandé au Japon de fournir des informations «oppportunes et précises» afin de calmer une opinion publique inquiète de l'arrivée dans le pays d'éventuels rejets radioactifs.
L'ambassade des États-Unis a fixé la zone de risque à 80 km autour de la centrale.
Les autorités nippones n'ont pour l'instant établi un périmètre de sécurité que de 30 km et le gouvernement a affirmé mercredi que les radiations au-delà de la zone d'exclusion des 20 km «ne posent pas de danger immédiat pour la santé».
Par précaution, 10 000 personnes de la préfecture de Fukushima seront soumises à des tests de radioactivité dans 26 centres d'examen.
Alors qu'un vent de panique souffle de l'étranger, la population japonaise, notamment à Tokyo, reste étonnamment calme et disciplinée, dans l'attente de nouvelles instructions du gouvernement.
Les vents devraient rester favorables jeudi et repousser vers l'océan Pacifique les rejets radioactifs de la centrale.
En revanche, un froid intense et d'importantes chutes de neige ont encore dégradé les conditions de vie et de travail pour les 500 000 sinistrés du séisme et du tsunami et les 80 000 secouristes mobilisés dans le nord-est.
Des millions de Japonais sont privés d'eau, de chauffage et de nourriture en quantités suffisantes.
De plus, une coupure d'électricité à grande échelle pourrait affecter l'est du pays jeudi dans la soirée si la consommation n'était pas réduite, a averti le ministre de l'Industrie.
Le bilan officiel du séisme et du tsunami s'établissait jeudi à 5321 morts et 9329 disparus. Mais dans la seule ville d'Ishinomaki, le nombre de disparus s'élèverait à 10 000, selon un responsable local.
Le yen a atteint un nouveau record depuis la Seconde guerre mondiale face au dollar, des investisseurs spéculant sur l'éventuel rapatriement massif de fonds par les compagnies d'assurance japonaise.
De nombreuses manifestations de solidarité avec le Japon sont organisées à l'étranger, comme au Pérou, ancienne terre de forte immigration nippone, qui a décrété une journée de deuil national vendredi prochain.
OPPORTUNISME DE LADY GAGA...
La chanteuse américaine Lady Gaga, qui ne manque pas de profiter de l'occasion pour l'attention sur elle et mousser sa popularité, a annoncé avoir collecté 250.000 dollars en deux jours pour les victimes du séisme en vendant des bracelets en caoutchouc. (c'est moins cher que ce que lui couterait n'importe laquelle promo!)
ACCIDENT NUCLÉAIRE : LES RISQUES POUR L'ENVIRONNEMENT
Agence France-Presse
Sols, eau, végétaux, animaux... Si un accident nucléaire comme celui en cours à Fukushima libère des produits radioactifs dans l'atmosphère, c'est l'ensemble de l'environnement qui risque d'être contaminé.
Il est toutefois difficile d'évaluer le risque pour la centrale de Fukushima car la contamination serait vraisemblablement différente de celle provoquée par l'explosion du réacteur de Tchernobyl en 1986.
En Ukraine, la déflagration avait projeté des débris nucléaires à plus d'un kilomètre de haut et libéré un panache de particules et de gaz contaminés qui avait disséminé des éléments radioactifs sur la plupart des pays d'Europe.
Au Japon, les six réacteurs de la centrale sont à l'arrêt, et le risque d'explosion lié à un emballement de la réaction nucléaire semble écarté. Une contamination de l'environnement serait donc plus localisée, mais aussi plus forte.
«On s'attend à avoir des retombées plus importantes dans le voisinage immédiat de Fukushima que ce qu'on a eu dans le voisinage de Tchernobyl», explique à l'AFP Didier Champion, directeur de l'environnement à l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN).
«L'inconvénient, c'est qu'on a un territoire qui est plus fortement contaminé à 10 ou 20 km, peut-être au-delà. L'avantage, par contre, ça veut dire moins de contamination à plus grande distance», ajoute-t-il.
LES PRINCIPALES SOURCES DE CONTAMINATION...
Un accident nucléaire peut libérer une grande variété d'éléments radioactifs, mais les deux principales sources de contamination sont l'iode-131 et le césium-137.
- L'iode-131
Ce produit de la fission nucléaire dans les réacteurs constitue le principal danger de contamination à court terme en cas de rejets dans l'atmosphère. Il se volatilise en vapeur violette à faible température, un peu au-dessus de 100 °C.
C'est un élément redouté car il est volatil et donc très mobile. Il se propage rapidement dans l'environnement: dispersion dans l'atmosphère, dépôt au sol ou sur les feuilles de végétaux, captation par les racines, ingestion par l'animal et éventuellement consommation par l'homme.
Ingéré par les mammifères en période de lactation, l'iode se retrouve très rapidement dans le lait (quelques heures après l'ingestion).
Il se concentre dans la glande thyroïde, raison pour laquelle il est prévu de distribuer des pastilles d'iode stable en cas de contamination pour saturer cette glande et empêcher l'iode radioactif de s'y fixer.
Contrepartie de sa grande radioactivité, l'iode-131 une vie très courte, la moitié de ses atomes se désintégrant naturellement en huit jours (période radioactive). Sa radioactivité est ainsi divisée par 2.000 tous les trimestres.
- Le césium-137
Cet élément, l'un des plus importants produits de la fission nucléaire, est la principale source de contamination de la chaîne alimentaire due aux essais nucléaires et à l'accident de Tchernobyl.
Contrairement à l'iode-131, il est peu mobile et s'enfonce lentement dans le sol, où il est fixé par les minéraux.
La contamination se fait d'abord par les feuilles, puis les racines. Les champignons et le gibier sont les plus contaminés par le césium. Il peut se concentrer dans la chaîne alimentaire, par exemple dans la chair des poissons.
Sa période radioactive est beaucoup plus longue que celle de l'iode-131 (30 ans) et il peut donc contaminer durablement l'environnement.
LES DANGERS POUR L'ENVIRONNEMENT ET LA POPULATION...
- L'alimentation humaine et animale
Selon Didier Champion, la priorité aux abords de la centrale est de surveiller «la contamination des denrées alimentaires» par dépôt des particules radioactives sur les feuilles, qu'il s'agisse des légumes consommés directement par la population, ou des végétaux consommés par le bétail. En raison de la rapide transmission de l'iode radioactive au lait, cette denrée fait également partie des «produits les plus sensibles dans l'immédiat». Mercredi, l'UE a recommandé le contrôle des aliments importés du Japon.
- Les zones bâties
Que les éléments radioactifs contenus dans l'atmosphère retombent naturellement ou qu'ils soient lessivés par la pluie, ils peuvent former des dépôts dans les zones urbaines (routes, maisons, etc). «Le problème principal c'est que ces dépôts deviennent à nouveau une source de rayonnement, qui peut conduire à des doses durables», explique M. Champion.
- L'eau
Hormis les citernes d'eau de pluie, la contamination de l'eau reste a priori un enjeu «secondaire», selon l'expert de l'IRSN.
L'océan Pacifique voisin de la centrale constitue un «réservoir» où les produits radioactifs devraient se diluer. Concernant les rivières et aux autres sources d'eau potable, l'eau s'y écoule en permanence et le dépôt radioactif est rapidement évacué.
Quant à la nappe phréatique, il faut plusieurs années pour que la contamination migre dans le sol. Le césium-137 migre très peu et l'iode se désintègre bien avant d'avoir pu l'atteindre.
Source : Cyberpresse
Jérôme Rivet
Agence France-Presse
Tokyo
Le Japon luttait jeudi par tous les moyens pour tenter de refroidir les réacteurs de la centrale de Fukushima, mais le pessimisme ne cessait de se renforcer dans le monde, provoquant une fuite en nombre des étrangers de Tokyo.
Six jours après le séisme le plus fort jamais enregistré au Japon suivi du tsunami, le nombre de morts confirmés a dépassé 5000. Les recherches se poursuivaient, dans la neige et le froid, pour retrouver les milliers de disparus.
Les autorités devaient également faire face à l'impatience grandissante des 500 000 personnes sinistrées, confrontées à un manque d'eau potable et de vivres malgré la mobilisation sans précédent de 80 000 soldats, policiers et secouristes dans le nord-est dévasté.
Mais c'est la crise nucléaire, la plus grave dans le monde depuis Tchernobyl en 1986, qui inquiète surtout.
Pour la première fois, quatre hélicoptères de l'armée japonaise ont déversé jeudi matin plusieurs tonnes d'eau de mer sur les réacteurs les plus endommagés, principalement le 3.
L'objectif était notamment de remplir la piscine de combustible usagé qui a été endommagée par une explosion et des incendies.
L'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco) a indiqué ne pas être en mesure de déterminer la quantité d'eau ayant rempli la piscine, faute de pouvoir l'observer de visu.
Des experts étrangers estiment également que la piscine du réacteur 4 est désormais quasiment asséchée, ce qui a pour effet de provoquer des niveaux «extrêmement élevés» de radiations, selon le président de l'Autorité américaine de régulation nucléaire (NRC), Gregory Jaczko.
La fusion de ce combustible pourrait entraîner des rejets de radioactivité de même ampleur que la catastrophe de Tchernobyl, estiment les experts.
Les ouvriers de Tepco, aidés de pompiers et de policiers, devaient également essayer d'atteindre le réservoir en recourant à des camions citerne équipés d'un canon à eau.
Tepco espérait aussi rétablir l'alimentation électrique de la centrale, ce qui «permettrait de remettre en route les pompes refroidissant les réacteurs et de remplir les piscines».
Les systèmes de refroidissement étaient tombés en panne vendredi à la suite du séisme de magnitude 9, le plus fort jamais enregistré au Japon, suivi d'un tsunami qui a dévasté les côtes du nord-est du pays.
L'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a estimé mercredi que les prochaines 48 heures allaient être cruciales.
Le président américain Barack Obama a proposé à Tokyo d'envoyer davantage d'experts nucléaires au Japon. La France a également offert une «offre de coopération massive» avec la mise à disposition de pompes, d'engins robotisés et une aide à la radioprotection.
Devant la menace d'un accident nucléaire majeur, la plupart des ambassades ont recommandé à leurs ressortissants de s'éloigner de la zone pour se replier vers le sud, dans la région d'Osaka, ou bien de quitter le Japon.
La Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Suisse, l'Italie et l'Australie ont également conseillé à leurs ressortissants de quitter le nord et la région de Tokyo. La France, comme la Belgique et la Russie vont envoyer des avions supplémentaires afin d'évacuer les familles souhaitant quitter le pays.
Pour sa part, la Chine a demandé au Japon de fournir des informations «oppportunes et précises» afin de calmer une opinion publique inquiète de l'arrivée dans le pays d'éventuels rejets radioactifs.
L'ambassade des États-Unis a fixé la zone de risque à 80 km autour de la centrale.
Les autorités nippones n'ont pour l'instant établi un périmètre de sécurité que de 30 km et le gouvernement a affirmé mercredi que les radiations au-delà de la zone d'exclusion des 20 km «ne posent pas de danger immédiat pour la santé».
Par précaution, 10 000 personnes de la préfecture de Fukushima seront soumises à des tests de radioactivité dans 26 centres d'examen.
Alors qu'un vent de panique souffle de l'étranger, la population japonaise, notamment à Tokyo, reste étonnamment calme et disciplinée, dans l'attente de nouvelles instructions du gouvernement.
Les vents devraient rester favorables jeudi et repousser vers l'océan Pacifique les rejets radioactifs de la centrale.
En revanche, un froid intense et d'importantes chutes de neige ont encore dégradé les conditions de vie et de travail pour les 500 000 sinistrés du séisme et du tsunami et les 80 000 secouristes mobilisés dans le nord-est.
Des millions de Japonais sont privés d'eau, de chauffage et de nourriture en quantités suffisantes.
De plus, une coupure d'électricité à grande échelle pourrait affecter l'est du pays jeudi dans la soirée si la consommation n'était pas réduite, a averti le ministre de l'Industrie.
Le bilan officiel du séisme et du tsunami s'établissait jeudi à 5321 morts et 9329 disparus. Mais dans la seule ville d'Ishinomaki, le nombre de disparus s'élèverait à 10 000, selon un responsable local.
Le yen a atteint un nouveau record depuis la Seconde guerre mondiale face au dollar, des investisseurs spéculant sur l'éventuel rapatriement massif de fonds par les compagnies d'assurance japonaise.
De nombreuses manifestations de solidarité avec le Japon sont organisées à l'étranger, comme au Pérou, ancienne terre de forte immigration nippone, qui a décrété une journée de deuil national vendredi prochain.
OPPORTUNISME DE LADY GAGA...
La chanteuse américaine Lady Gaga, qui ne manque pas de profiter de l'occasion pour l'attention sur elle et mousser sa popularité, a annoncé avoir collecté 250.000 dollars en deux jours pour les victimes du séisme en vendant des bracelets en caoutchouc. (c'est moins cher que ce que lui couterait n'importe laquelle promo!)
ACCIDENT NUCLÉAIRE : LES RISQUES POUR L'ENVIRONNEMENT
Agence France-Presse
Sols, eau, végétaux, animaux... Si un accident nucléaire comme celui en cours à Fukushima libère des produits radioactifs dans l'atmosphère, c'est l'ensemble de l'environnement qui risque d'être contaminé.
Il est toutefois difficile d'évaluer le risque pour la centrale de Fukushima car la contamination serait vraisemblablement différente de celle provoquée par l'explosion du réacteur de Tchernobyl en 1986.
En Ukraine, la déflagration avait projeté des débris nucléaires à plus d'un kilomètre de haut et libéré un panache de particules et de gaz contaminés qui avait disséminé des éléments radioactifs sur la plupart des pays d'Europe.
Au Japon, les six réacteurs de la centrale sont à l'arrêt, et le risque d'explosion lié à un emballement de la réaction nucléaire semble écarté. Une contamination de l'environnement serait donc plus localisée, mais aussi plus forte.
«On s'attend à avoir des retombées plus importantes dans le voisinage immédiat de Fukushima que ce qu'on a eu dans le voisinage de Tchernobyl», explique à l'AFP Didier Champion, directeur de l'environnement à l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN).
«L'inconvénient, c'est qu'on a un territoire qui est plus fortement contaminé à 10 ou 20 km, peut-être au-delà. L'avantage, par contre, ça veut dire moins de contamination à plus grande distance», ajoute-t-il.
LES PRINCIPALES SOURCES DE CONTAMINATION...
Un accident nucléaire peut libérer une grande variété d'éléments radioactifs, mais les deux principales sources de contamination sont l'iode-131 et le césium-137.
- L'iode-131
Ce produit de la fission nucléaire dans les réacteurs constitue le principal danger de contamination à court terme en cas de rejets dans l'atmosphère. Il se volatilise en vapeur violette à faible température, un peu au-dessus de 100 °C.
C'est un élément redouté car il est volatil et donc très mobile. Il se propage rapidement dans l'environnement: dispersion dans l'atmosphère, dépôt au sol ou sur les feuilles de végétaux, captation par les racines, ingestion par l'animal et éventuellement consommation par l'homme.
Ingéré par les mammifères en période de lactation, l'iode se retrouve très rapidement dans le lait (quelques heures après l'ingestion).
Il se concentre dans la glande thyroïde, raison pour laquelle il est prévu de distribuer des pastilles d'iode stable en cas de contamination pour saturer cette glande et empêcher l'iode radioactif de s'y fixer.
Contrepartie de sa grande radioactivité, l'iode-131 une vie très courte, la moitié de ses atomes se désintégrant naturellement en huit jours (période radioactive). Sa radioactivité est ainsi divisée par 2.000 tous les trimestres.
- Le césium-137
Cet élément, l'un des plus importants produits de la fission nucléaire, est la principale source de contamination de la chaîne alimentaire due aux essais nucléaires et à l'accident de Tchernobyl.
Contrairement à l'iode-131, il est peu mobile et s'enfonce lentement dans le sol, où il est fixé par les minéraux.
La contamination se fait d'abord par les feuilles, puis les racines. Les champignons et le gibier sont les plus contaminés par le césium. Il peut se concentrer dans la chaîne alimentaire, par exemple dans la chair des poissons.
Sa période radioactive est beaucoup plus longue que celle de l'iode-131 (30 ans) et il peut donc contaminer durablement l'environnement.
LES DANGERS POUR L'ENVIRONNEMENT ET LA POPULATION...
- L'alimentation humaine et animale
Selon Didier Champion, la priorité aux abords de la centrale est de surveiller «la contamination des denrées alimentaires» par dépôt des particules radioactives sur les feuilles, qu'il s'agisse des légumes consommés directement par la population, ou des végétaux consommés par le bétail. En raison de la rapide transmission de l'iode radioactive au lait, cette denrée fait également partie des «produits les plus sensibles dans l'immédiat». Mercredi, l'UE a recommandé le contrôle des aliments importés du Japon.
- Les zones bâties
Que les éléments radioactifs contenus dans l'atmosphère retombent naturellement ou qu'ils soient lessivés par la pluie, ils peuvent former des dépôts dans les zones urbaines (routes, maisons, etc). «Le problème principal c'est que ces dépôts deviennent à nouveau une source de rayonnement, qui peut conduire à des doses durables», explique M. Champion.
- L'eau
Hormis les citernes d'eau de pluie, la contamination de l'eau reste a priori un enjeu «secondaire», selon l'expert de l'IRSN.
L'océan Pacifique voisin de la centrale constitue un «réservoir» où les produits radioactifs devraient se diluer. Concernant les rivières et aux autres sources d'eau potable, l'eau s'y écoule en permanence et le dépôt radioactif est rapidement évacué.
Quant à la nappe phréatique, il faut plusieurs années pour que la contamination migre dans le sol. Le césium-137 migre très peu et l'iode se désintègre bien avant d'avoir pu l'atteindre.
Source : Cyberpresse
Libellés :
actualités,
catastrophes,
danger,
nucléaire,
radioactivité
mercredi 16 mars 2011
UNE SECOUSSE DE 4,3, À LACHUTE, AU QUÉBEC !
L'ouest du Québec a connu une petite secousse d'une magnitude de 4,3 sur l'échelle de Richter, selon Ressources naturelles Canada, à 13h36, cet après-midi. Cette secousse s'est particulièrement ressentie près de Hawkesbury et de Lachute et a été ressentie jusqu'à 50 km de l'épicentre.
«C'est une secousse légère, qui a été ressentie à Ottawa, Mirabel, Buckingham, et dans plusieurs localités», dit la sismologue de Ressources naturelles Canada Catherine Woodgold.
Aucun dommage n'est à déplorer, selon la Sûreté du Québec, qui a reçu plusieurs appels de gens leur décrivant la secousse. «Il n'y a vraiment rien de spécial», dit Benoit Richard de la SQ.
Les secousses de cette amplitude sont très fréquentes au Québec. Il s'agit de séismes intraplaque qui n'ont rien d'exceptionnel: chaque année, l'est du Canada connaît en moyenne quatre séismes d'une amplitude de 4, et 30 d'une amplitude de 3.
L'ouest du Canada est à l'inverse une zone de subduction et présente plus de risque d'avoir de fortes secousses. Pour le Québec, on n'excèdera pas une amplitude de 6, dit Catherine Wodgold.
article d'Anabelle Nicoud
Source : "La Presse"
Par ailleurs, les sismologues et spécialistes de la question ne cachent pas qu'ils sont aux aguets, surtout parce qu'il y a présentement une plus forte activité sismique, et volcanique, partout sur le globe...
Sans vouloir en faire mention, ils estiment que les tempêtes solaires, ainsi que la "super lune" du 19 mars, ont peut-être une influence considérable sur notre planète et en craignent les répercussions... (voir aussi notre article à ce sujet "Les astres provoquent-ils des désastres" : cliquez ici)
«C'est une secousse légère, qui a été ressentie à Ottawa, Mirabel, Buckingham, et dans plusieurs localités», dit la sismologue de Ressources naturelles Canada Catherine Woodgold.
Aucun dommage n'est à déplorer, selon la Sûreté du Québec, qui a reçu plusieurs appels de gens leur décrivant la secousse. «Il n'y a vraiment rien de spécial», dit Benoit Richard de la SQ.
Les secousses de cette amplitude sont très fréquentes au Québec. Il s'agit de séismes intraplaque qui n'ont rien d'exceptionnel: chaque année, l'est du Canada connaît en moyenne quatre séismes d'une amplitude de 4, et 30 d'une amplitude de 3.
L'ouest du Canada est à l'inverse une zone de subduction et présente plus de risque d'avoir de fortes secousses. Pour le Québec, on n'excèdera pas une amplitude de 6, dit Catherine Wodgold.
article d'Anabelle Nicoud
Source : "La Presse"
Par ailleurs, les sismologues et spécialistes de la question ne cachent pas qu'ils sont aux aguets, surtout parce qu'il y a présentement une plus forte activité sismique, et volcanique, partout sur le globe...
Sans vouloir en faire mention, ils estiment que les tempêtes solaires, ainsi que la "super lune" du 19 mars, ont peut-être une influence considérable sur notre planète et en craignent les répercussions... (voir aussi notre article à ce sujet "Les astres provoquent-ils des désastres" : cliquez ici)
Libellés :
actualités,
tremblement de terre
SITUATION CRITIQUE AU JAPON...
Les incidents n'en finissent plus à la centrale accidentée. Dans la nuit du mardi 15 mars au mercredi 16 mars, deux nouveaux incendies s'étaient déclarés dans les réacteurs 3 et 4 de la centrale nucléaire de Fukushima. De la fumée blanche s'échappaient d'un des réacteurs mercredi matin.
Les niveaux de radiations avaient atteint un pic vers 2h45 du matin obligeant le gouvernement à évacuer tout le personnel restant.
Mercredi 16 mars 2011 au matin (heure française), Tepco, l'exploitant de la centrale a annoncé quela pression et la température dans le réacteur 2 avaient baissé.
Le Japon songeaient à disperser de l'acide borique sur le réacteur 4. L'acide borique a la propriété d'absorber les neutrons et donc de limiter les réactions chimiques.
La menace d'une catastrophe nucléaire s'accroît sur le Japon. Après le séisme et le tsunami qui ont frappé l'île vendredi, les accidents s'accumulent à la centrale nucléaire de Fukushima, à 250 km de Tokyo.
Explosions sur les réacteurs 1, 2 et 3, surchauffe dans les réacteurs 5 et 6, enceintes de confinement endommagées...
Sur le site, la radioactivité a atteint «un niveau de l'ordre du millisievert» dans la nuit. Le gouvernement a fait évacuer temporairement les employés, dont l'héroïsme a été salué par les médias japonais. Des seuils anormalement élevés de radioactivité ont été mesurés jusqu'à Tokyo. Mardi soir, un nouvel incendie s'est déclenché dans le réacteur 4 et un nouveau séisme de magnitude 6 a frappé le pays mercredi matin.
Partout dans le monde, les dirigeants s'inquiètent d'une possible catastrophe, alors que les mouvements écologistes relancent le débat sur la dangerosité du nucléaire.
Le risque sanitaire augmente en fonction de la dose de radiations reçues et du temps passé à l’intérieur de la centrale. Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), « des taux de radioactivité allant jusqu’à 400 millisieverts ont été signalés sur place ». A partir d’une dose de 100 millisieverts, les salariés s’exposent à un risque accru de contracter un cancer. « à plus fortes doses, votre corps réagit rapidement, souligne Julien Collet. Vous êtes victime de vomissements, de brûlures et de défaillances d’organes. »
À L'HEURE QU'IL EST, BEAUCOUP D'EFFORTS SONT FAIT AFIN DE RÉSOUDRE LA SITUATION, DU MOINS STOPPER L’HÉMORRAGIE ! EN CE MOMENT, LE JAPON ET MÊME LE RESTE DU MONDE ENTIER A DE QUOI ÊTRE INQUIET DE LA SITUATION...
DES IMAGES QUI VALENT MILLE MOTS :
Source : http://www.leparisien.fr
Les niveaux de radiations avaient atteint un pic vers 2h45 du matin obligeant le gouvernement à évacuer tout le personnel restant.
Mercredi 16 mars 2011 au matin (heure française), Tepco, l'exploitant de la centrale a annoncé quela pression et la température dans le réacteur 2 avaient baissé.
Le Japon songeaient à disperser de l'acide borique sur le réacteur 4. L'acide borique a la propriété d'absorber les neutrons et donc de limiter les réactions chimiques.
La menace d'une catastrophe nucléaire s'accroît sur le Japon. Après le séisme et le tsunami qui ont frappé l'île vendredi, les accidents s'accumulent à la centrale nucléaire de Fukushima, à 250 km de Tokyo.
Explosions sur les réacteurs 1, 2 et 3, surchauffe dans les réacteurs 5 et 6, enceintes de confinement endommagées...
Sur le site, la radioactivité a atteint «un niveau de l'ordre du millisievert» dans la nuit. Le gouvernement a fait évacuer temporairement les employés, dont l'héroïsme a été salué par les médias japonais. Des seuils anormalement élevés de radioactivité ont été mesurés jusqu'à Tokyo. Mardi soir, un nouvel incendie s'est déclenché dans le réacteur 4 et un nouveau séisme de magnitude 6 a frappé le pays mercredi matin.
Partout dans le monde, les dirigeants s'inquiètent d'une possible catastrophe, alors que les mouvements écologistes relancent le débat sur la dangerosité du nucléaire.
Le risque sanitaire augmente en fonction de la dose de radiations reçues et du temps passé à l’intérieur de la centrale. Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), « des taux de radioactivité allant jusqu’à 400 millisieverts ont été signalés sur place ». A partir d’une dose de 100 millisieverts, les salariés s’exposent à un risque accru de contracter un cancer. « à plus fortes doses, votre corps réagit rapidement, souligne Julien Collet. Vous êtes victime de vomissements, de brûlures et de défaillances d’organes. »
À L'HEURE QU'IL EST, BEAUCOUP D'EFFORTS SONT FAIT AFIN DE RÉSOUDRE LA SITUATION, DU MOINS STOPPER L’HÉMORRAGIE ! EN CE MOMENT, LE JAPON ET MÊME LE RESTE DU MONDE ENTIER A DE QUOI ÊTRE INQUIET DE LA SITUATION...
DES IMAGES QUI VALENT MILLE MOTS :
Source : http://www.leparisien.fr
Libellés :
danger,
nucléaire,
radioactivité
mardi 15 mars 2011
LES ASTRES PROVOQUENT-ILS DES DÉSASTRES ?
"Super pleine lune", équinoxe et séisme...
Le 19 Mars : Super Pleine Lune
Le 20 Mars : Équinoxe du Printemps
Le 19 mars prochain, la Lune nous apparaîtra beaucoup plus imposante qu’à son habitude. En effet, elle s’approchera considérablement de la Terre. Ce phénomène a été observé pour la dernière fois il y a 19 ans.
Pour les amoureux du ciel, cet événement est exceptionnel. Le 19 mars prochain, la Lune sera précisément à 356.577 kilomètres de la Terre. Elle n’a pas été aussi proche de nous depuis... 1992 ! On peut alors parler de "périgée". Dans le ciel, il sera possible ce soir-là d’observer une "super pleine Lune". Notre satellite naturel apparaîtra jusqu’à 14% plus gros et 30% plus brillant.
Si le spectacle est généralement apprécié et que certains se réjouissent de cet événement céleste inusité. Les plus superstitieux y voient les signes avant-coureurs de catastrophes prévisibles en se référant au passé, et certains expriment leurs inquiétudes.
En effet, suite à des phénomènes similaires dans le passé, des catastrophes naturelles se sont produites. Les dernières "super pleine Lune" de 1955, 1974 et 1992 ont été suivies de nombreux événements climatiques meurtriers pour des milliers de personnes. Par exemple, le cyclone Tracy qui, en 1974, a dévasté la ville australienne de Darwin.
Par ailleurs, certains observateurs soupçonnent le tsunami qui s’est produit le 26 décembre 2004 au lendemain de Noël et le séisme de magnitude 9 sur l’échelle de Richter enregistré en Indonésie en janvier 2005, d’être liés à l’activité de la Lune, qui se rapprochait.
Ce point de vue n'est évidemment pas partagé par les scientifiques. Ils se veulent rassurant auprès de la population et ne voient comme conséquence possible de la présence de cette super pleine lune qu'un accroissement de l'ampleur des marées.
De son côté, l’institut Russe de géophysique a indiqué, ce 9 mars, la probabilité d’un méga tremblement de Terre du côté de l’Amérique centrale et du sud des États-Unis. Date prévue : le 20 mars soit. Comme par hasard, précisément à l'heure de l’équinoxe de printemps et sous le regard de la Super Lune du 19 mars! Et encore... Il y a aussi certains scientifiques qui prévoient que le basculement des pôles va se produire au cour de l'Équinoxe!
Cependant la voix officielle de la majorité scientifique estime que cette vision des choses est fausse, que le danger est surestimé. Selon eux, il n’y a à ce jour aucune preuve qu’une catastrophe suivra cette nouvelle pleine Lune spectaculaire, qu’il s’agisse de séismes, de tsunamis ou d’éruptions volcaniques.
Pete Wheeler de l’« International Center for Radio Astronomy », cité par le Telegraph, se veut rassurant. Il pense simplement que "seule la marée va subir des modifications : lorsqu’elle sera basse elle sera beaucoup plus basse que d’habitude et lorsqu’elle sera haute, elle le sera beaucoup plus que d’habitude également. Mais rien de plus, il n’y a pas de quoi s’inquiéter".
Source: http://www.sur-la-toile.com/
Le danger est surestimé, selon d'autres scientifiques...
Libellés :
danger,
lune,
phénomènes célestes 3
lundi 14 mars 2011
DES VOLCANS QUI SE RÉVEILLENT...
LA CEINTURE DE FEU DU PACIFIQUE
En Indonésie :
Quelques heures après le tremblement de terre magnitude 8,9 qui a frappé le Japon, le volcan Karangetang est entré en éruption en Indonésie, crachant de la lave et des nuages de gaz. Le volcan, qui culmine à 1.784 mètres, est situé à Siau sur l'île des Célèbes, dans l'est de l'Indonésie. Sa dernière éruption en août dernier avait fait quatre morts.
À Hawaï :
Hier le volcan Kilauea sur l’île de Hawaii a craché une colonne de lave à plus de 50 mètres de hauteur, soit plus de deux fois plus haut que le jet de roche fondue qu’il a craché dans le ciel lorsque le volcan s’est à nouveau réveillé samedi. Alors que son éruption se poursuit à deux endroits distincts ( par le cratére et par la fissure de Kamoamoa), l’activité sismique devient de plus en plus vigoureuse et les émissions nocives de dioxyde de souffre ont atteint un pic de 10 000 tonnes par jour, soit 30 fois plus que les niveaux du week-end dernier, avant de chuter à nouveau de plus de moitié, d’après les scientifiques du US Geological Survey.
Le dernier épisode volcanique a commencé par l’effondrement du sol du cratère Pu’u O’o et par l’ouverture de la fissure de Kamoamoa de 485 mètres de long le 5 mars dernier.
Les laves fondues chauffant à plus de 1100°C dans les fissures de Kamoamoa ont détruit près de 30 hectares de forêts tropicales depuis samedi et ont enseveli plus de 65 hectares des parcs nationaux de l’île.
À Bali :
Un tremblement de terre de magnitude 6,5 a secoué vendredi matin l'île indonésienne de Bali.
Selon l'Institut de géophysique américain (USGS), ce séisme a eu lieu à 00h08 heure locale au large et son hypocentre a été localisé à 260 km de l'île de Bali, à une profondeur de 510 km.
Aucun rapport n'était disponible en ce qui concerne les pertes humaines et matérielles causés par la secousse.
Quatre volcans entrent en éruptions presque simultanément que le séisme du Japon
Tous ces volcans sont situés le long de l'Anneau du Feu, la chaîne de volcans entourant le bassin du Pacifique.
En Russie :
Deux volcans dans l'Est de la Russie, le Kamchatka et le Sheveluch, puis le Karangetang en Indonésie, et enfin le Sakurajima au Japon sont éntrés en eruption. Ces éruptions ont eu lieu quelques heures après le tremblement de terre de magnitude 8,9 au Japon.
Selon les médias russes, le panache de l'éruption du Kamchatka et du Sheveluch a recouvert la ville d'Oust-Kamczatsk. Plus de cinq mille personnes ont été contraint de rester cloitrés dans leurs maisons. Les autorités ont recommandé l'interdiction formelle de l'ouverture des fenêtres. La population, cependant, n'a pas été évacués, et les experts disent que la poussière ne constitue pas un grand danger
"les vagues sismiques crées par le séisme Japonais ont occasionné un stress magmatique tout le long des failles terrestres de la région" nous explique Kevin Martin " cette pression a provoqué une instabilité des chambres magmatiques des volcans situés le long de la chaine, provoquant des éruptions dans différents endroits".
Source: Nature Alerte.com
Les premières sources émanent du site : "lesmoutonsenragés.wordpress.com" ainsi que du site du journal le figaro sur : "lefigaro.fr"
En Indonésie :
Quelques heures après le tremblement de terre magnitude 8,9 qui a frappé le Japon, le volcan Karangetang est entré en éruption en Indonésie, crachant de la lave et des nuages de gaz. Le volcan, qui culmine à 1.784 mètres, est situé à Siau sur l'île des Célèbes, dans l'est de l'Indonésie. Sa dernière éruption en août dernier avait fait quatre morts.
À Hawaï :
Hier le volcan Kilauea sur l’île de Hawaii a craché une colonne de lave à plus de 50 mètres de hauteur, soit plus de deux fois plus haut que le jet de roche fondue qu’il a craché dans le ciel lorsque le volcan s’est à nouveau réveillé samedi. Alors que son éruption se poursuit à deux endroits distincts ( par le cratére et par la fissure de Kamoamoa), l’activité sismique devient de plus en plus vigoureuse et les émissions nocives de dioxyde de souffre ont atteint un pic de 10 000 tonnes par jour, soit 30 fois plus que les niveaux du week-end dernier, avant de chuter à nouveau de plus de moitié, d’après les scientifiques du US Geological Survey.
Le dernier épisode volcanique a commencé par l’effondrement du sol du cratère Pu’u O’o et par l’ouverture de la fissure de Kamoamoa de 485 mètres de long le 5 mars dernier.
Les laves fondues chauffant à plus de 1100°C dans les fissures de Kamoamoa ont détruit près de 30 hectares de forêts tropicales depuis samedi et ont enseveli plus de 65 hectares des parcs nationaux de l’île.
À Bali :
Un tremblement de terre de magnitude 6,5 a secoué vendredi matin l'île indonésienne de Bali.
Selon l'Institut de géophysique américain (USGS), ce séisme a eu lieu à 00h08 heure locale au large et son hypocentre a été localisé à 260 km de l'île de Bali, à une profondeur de 510 km.
Aucun rapport n'était disponible en ce qui concerne les pertes humaines et matérielles causés par la secousse.
Quatre volcans entrent en éruptions presque simultanément que le séisme du Japon
Tous ces volcans sont situés le long de l'Anneau du Feu, la chaîne de volcans entourant le bassin du Pacifique.
En Russie :
Deux volcans dans l'Est de la Russie, le Kamchatka et le Sheveluch, puis le Karangetang en Indonésie, et enfin le Sakurajima au Japon sont éntrés en eruption. Ces éruptions ont eu lieu quelques heures après le tremblement de terre de magnitude 8,9 au Japon.
Selon les médias russes, le panache de l'éruption du Kamchatka et du Sheveluch a recouvert la ville d'Oust-Kamczatsk. Plus de cinq mille personnes ont été contraint de rester cloitrés dans leurs maisons. Les autorités ont recommandé l'interdiction formelle de l'ouverture des fenêtres. La population, cependant, n'a pas été évacués, et les experts disent que la poussière ne constitue pas un grand danger
"les vagues sismiques crées par le séisme Japonais ont occasionné un stress magmatique tout le long des failles terrestres de la région" nous explique Kevin Martin " cette pression a provoqué une instabilité des chambres magmatiques des volcans situés le long de la chaine, provoquant des éruptions dans différents endroits".
Source: Nature Alerte.com
Les premières sources émanent du site : "lesmoutonsenragés.wordpress.com" ainsi que du site du journal le figaro sur : "lefigaro.fr"
Libellés :
actualités,
cataclysmes,
catastrophes,
danger,
volcans
LE JAPON EST MENACÉ PAR LES RADIATIONS...
L’EXPLOSION DU RÉACTEUR DE LA CENTRALE FUKUSHIMA
Explosion centrale nucléaire.japon par bisetro
LA MENACE DE RADIATIONS NUCLÉAIRES AUGMENTE!
14 mars 2011* Les nouvelles de dernières minutes disent que 3 réacteurs sont actuellement en difficulté et qu'un quatrième pourrait aussi représenter une menace. À confirmer au cours de la journée. Un expert en qualité de l'air, le professeur Menachem Luria, a déclaré dans les médias que la situation actuelle au Japon concernant les réacteurs nucléaires est beaucoup plus dangereuse que l'incident de Chernobyl.
Les niveaux d'eau ont chuté abruptement lundi à l'intérieur d'un réacteur nucléaire laissant les barres d'uranium complètement exposées et augmentant ainsi le risque d'exposition et ce, quelques heures après qu'une explosion d'hydrogène ait ravagé le bâtiment abritant un autre réacteur. Les niveaux d'eau ont été restaurés après la première baisse, mais les tiges ont resté exposées dans la nuit de lundi après le deuxième épisode.
Les risques de propagation de radiations nucléaires sont accrus ainsi que la possibilité d'un grave désastre.Selon le gouvernement japonais, il n'y a pas de preuves d'exposition à des radiations nocives. Les autorités semblent confiantes et se veulent rassurantes, tandis que des experts estiment que les risques d'un accident nucléaire de grande ampleur n'est pas du tout écarté.
Des militaires américains ont mesuré de faibles niveaux de radiation et le gouvernement américain a choisi de ne pas envoyer sa flotte de navires dans le secteur, craignant les radiations.
Source : Conscience du Peuple
Explosion centrale nucléaire.japon par bisetro
LA MENACE DE RADIATIONS NUCLÉAIRES AUGMENTE!
14 mars 2011* Les nouvelles de dernières minutes disent que 3 réacteurs sont actuellement en difficulté et qu'un quatrième pourrait aussi représenter une menace. À confirmer au cours de la journée. Un expert en qualité de l'air, le professeur Menachem Luria, a déclaré dans les médias que la situation actuelle au Japon concernant les réacteurs nucléaires est beaucoup plus dangereuse que l'incident de Chernobyl.
Les niveaux d'eau ont chuté abruptement lundi à l'intérieur d'un réacteur nucléaire laissant les barres d'uranium complètement exposées et augmentant ainsi le risque d'exposition et ce, quelques heures après qu'une explosion d'hydrogène ait ravagé le bâtiment abritant un autre réacteur. Les niveaux d'eau ont été restaurés après la première baisse, mais les tiges ont resté exposées dans la nuit de lundi après le deuxième épisode.
Les risques de propagation de radiations nucléaires sont accrus ainsi que la possibilité d'un grave désastre.Selon le gouvernement japonais, il n'y a pas de preuves d'exposition à des radiations nocives. Les autorités semblent confiantes et se veulent rassurantes, tandis que des experts estiment que les risques d'un accident nucléaire de grande ampleur n'est pas du tout écarté.
Des militaires américains ont mesuré de faibles niveaux de radiation et le gouvernement américain a choisi de ne pas envoyer sa flotte de navires dans le secteur, craignant les radiations.
Source : Conscience du Peuple
Libellés :
actualités,
catastrophes,
désastres,
nucléaire,
radioactivité
LA PÉNURIE TOUCHE LE JAPON...
LES ÉPICERIES SE VIDENT AU JAPON!
Déjà, même à Tokyo, les bouteilles d'eau et la nourriture commence à manquer... Les gens ont littéralement vidé les magasins où l'on pouvait encore trouver des génératrices au gaz, des piles ou d'autres sources d'énergie...
Malgré l'habituelle abondance de produits de toutes sortes que l'on peut trouver au Japon, voilà que les magasins sont vides et que les gens commencent à avoir de la misère à s'approvisionner en en eau, en nourriture, en médicaments, etc...
Photographies : Rikki Kasso
Déjà, même à Tokyo, les bouteilles d'eau et la nourriture commence à manquer... Les gens ont littéralement vidé les magasins où l'on pouvait encore trouver des génératrices au gaz, des piles ou d'autres sources d'énergie...
Malgré l'habituelle abondance de produits de toutes sortes que l'on peut trouver au Japon, voilà que les magasins sont vides et que les gens commencent à avoir de la misère à s'approvisionner en en eau, en nourriture, en médicaments, etc...
Photographies : Rikki Kasso
Libellés :
actualités,
alimentation,
commerce,
consommation
dimanche 13 mars 2011
UN DEUXIÈME TSUNAMI SE DIRIGE VERS LES CÔTES DU JAPON !
ALERTE AU TSUNAMI !
Au moment où fut sonnée cette alerte, de la fumée a commencée à s'échapper d'une centrale (à 21h15 ce 13 mars 2011, on signale une explosion d'hydrogène dans le réacteur de la centrale de Fukushima). Pas moins de 6 centrales nucléaires fragilisées par le passage du premier tsunami risquent de causer de graves dégâts...
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 13 MARS 2011 : Fusion en cours et risque d’explosion sur un deuxième réacteur de la centrale de Fukushima Daiichi - des conséquences gravissimes !
Selon nos dernières informations, après le coeur réacteur n°1, ce serait au tour du coeur du réacteur n°3 de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi d’entrer en fusion et de risquer l’explosion. (Il y a eut effectivement une explosion qui s'est produite). Suite à la défaillance des systèmes de refroidissement, les barres de combustibles, qui mesurent 3,71 mètres, seraient découvertes sur une hauteur de 3 mètres ! (au moment où on se parle, les dégâts ne sont pas encore constatés)
D’ores et déjà (avant l'explosion), la radioactivité atteint un niveau 400 fois supérieur à la normale à la préfecture de Miyagi, distante de 80 km !
Les conditions étaient réunies pour une fusion du coeur... d’autant plus que ce réacteur fonctionne au MOX, un combustible extrêmement dangereux à base de plutonium, qui entre plus facilement en fusion que les combustibles classiques. La toxicité de ce radioélément est redoutable : il suffit d’en inhaler une particule pour développer un cancer du poumon.
C’est une catastrophe majeure qui se profile, alors même que l’agence météorologique japonaise annonce que des répliques séismiques sévères sont à craindre dans les prochains jours !
Pour le moment, ça va de catastrophe en catastrophe...
Au moment où fut sonnée cette alerte, de la fumée a commencée à s'échapper d'une centrale (à 21h15 ce 13 mars 2011, on signale une explosion d'hydrogène dans le réacteur de la centrale de Fukushima). Pas moins de 6 centrales nucléaires fragilisées par le passage du premier tsunami risquent de causer de graves dégâts...
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 13 MARS 2011 : Fusion en cours et risque d’explosion sur un deuxième réacteur de la centrale de Fukushima Daiichi - des conséquences gravissimes !
Selon nos dernières informations, après le coeur réacteur n°1, ce serait au tour du coeur du réacteur n°3 de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi d’entrer en fusion et de risquer l’explosion. (Il y a eut effectivement une explosion qui s'est produite). Suite à la défaillance des systèmes de refroidissement, les barres de combustibles, qui mesurent 3,71 mètres, seraient découvertes sur une hauteur de 3 mètres ! (au moment où on se parle, les dégâts ne sont pas encore constatés)
D’ores et déjà (avant l'explosion), la radioactivité atteint un niveau 400 fois supérieur à la normale à la préfecture de Miyagi, distante de 80 km !
Les conditions étaient réunies pour une fusion du coeur... d’autant plus que ce réacteur fonctionne au MOX, un combustible extrêmement dangereux à base de plutonium, qui entre plus facilement en fusion que les combustibles classiques. La toxicité de ce radioélément est redoutable : il suffit d’en inhaler une particule pour développer un cancer du poumon.
C’est une catastrophe majeure qui se profile, alors même que l’agence météorologique japonaise annonce que des répliques séismiques sévères sont à craindre dans les prochains jours !
Pour le moment, ça va de catastrophe en catastrophe...
Libellés :
actualités,
catastrophes,
désastres,
nucléaire,
radioactivité,
tsunami
VENTS RADIOACTIFS
CARTE APPROXIMATIVE DES RETOMBÉES NUCLÉAIRES
ÉTAT D'URGENCE DANS UNE DEUXIÈME CENTRALE NUCLÉAIRE AU JAPON
Agence France-Presse
Vienne
Le Japon restait dimanche sous la menace d'un grave accident nucléaire, deux jours après le séisme et le tsunami dévastateurs qui ont frappé la côte nord-est du pays. La situation s'est encore aggravée à la centrale Fukushima Dai-ichi, où un second réacteur suscitait une vive inquiétude.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a annoncé dimanche avoir été informée par le Japon qu'une deuxième centrale électrique, celle d'Onagawa, était placée en état d'urgence des niveaux de radioactivités supérieurs aux seuils autorisés ayant été constatés. Elle a précisé que les trois réacteurs de la centrale étaient sous contrôle.
Le système de refroidissement de la centrale nucléaire de Tokai Dai-Ni (à 120 km au nord de Tokyo) a été endommagé par le tremblement de terre. D'après la Compagnie japonaise de l'énergie atomique (JAPC), l'une des deux pompes est hors service mais la seconde fonctionne normalement. La JAPC affirme qu'il n'y a aucun risque de fuite radioactive.
Parallèlement, l'électricien TEPCO et le gouvernement ont annoncé que le courant allait être rationné de façon étalée dans plusieurs villes du pays, dont Tokyo. Des coupures quotidiennes de trois heures débuteront ainsi lundi. Le ministre du Commerce Banri Kaieda a précisé que TEPCO s'attendait à une baisse de la production de 25 pour cent.
A Fukushima, les autorités ont reconnu dimanche qu'une fusion partielle était «possible» dans le coeur du réacteur No3 et prévenu qu'une nouvelle explosion à l'hydrogène risquait de se produire au cours des efforts pour le refroidir. Les opérateurs de l'électricien TEPCO, qui exploite la centrale, luttaient toujours dimanche pour refroidir les réacteurs menacés en injectant de l'eau de mer, un dernier recours pour éviter une fusion du coeur, c'est-à-dire une fonte des combustibles à l'intérieur de ces réacteurs.
Une fusion totale, soit la perte de contrôle du réacteur, pourrait provoquer une fuite d'uranium et de matières dangereuses dans l'environnement, entraînant une pollution radioactive majeure.
Le séisme de vendredi a provoqué une défaillance du système de refroidissement de la centrale de Fukushima Dai-ichi, à 270km au nord-est de Tokyo, coupant l'alimentation électrique et affectant la station de pompage. Trois réacteurs ont été automatiquement arrêtés et connaissent des problèmes de refroidissement.
Après le réacteur No1, le No3 connaissait une situation préoccupante dimanche. Le secrétaire général du gouvernement japonais Yukio Edano a expliqué que les opérateurs tentaient de refroidir et d'abaisser la pression dans ce réacteur, comme ils l'avaient fait la veille pour le No1. «Nous prenons des mesures sur le réacteur 3 sur la base d'une possibilité semblable» de fusion partielle du coeur, a-t-il expliqué.
Dimanche, les opérateurs de TEPCO ont ainsi procédé à des rejets d'air légèrement radioactif pour abaisser la pression, tout en injectant de l'eau pour réduire la température, selon M. Edano. Il a précisé que les niveaux de radioactivité à l'extérieur de la centrale avaient brièvement dépassé les seuils légaux, mais avaient décliné depuis de façon significative. Il a aussi reconnu que des barres de combustible avaient brièvement été exposées, laissant entendre qu'à un moment, elles n'étaient plus recouvertes par l'eau de refroidissement.
Comme la veille, une explosion à l'hydrogène risquait de se produire lors de ses efforts. «Au risque d'accroître encore l'inquiétude de la population, nous ne pouvons exclure la possibilité d'une explosion», a admis M. Edano. Mais «s'il se produit une explosion, néanmoins, il n'y aurait pas d'impact significatif sur la santé humaine», a-t-il affirmé.
Samedi, une explosion était survenue au niveau du réacteur No1 de la centrale, provoquant l'effondrement des murs du bâtiment. L'explosion s'était produite alors que les opérateurs, faute de courant électrique et les valves et les pompes de la centrale ayant été endommagées par le tsunami, tentaient de refroidir le coeur du réacteur en injectant de l'eau de mer borée dans l'enceinte de confinement. Lorsque de l'hydrogène a été relâché pour diminuer la pression à l'intérieur du réacteur, une réaction s'est apparemment produite avec l'oxygène, contenu dans l'air ou l'eau de refroidissement, provoquant l'explosion.
Plus de 170.000 personnes ont été évacuées par précaution autour de la centrale, même si Yukio Edano affirmait que le niveau de radioactivité relâché jusqu'à présent était peu important et ne posait pas de menace pour la santé. Des pastilles d'iode ont été distribuées pour prévenir des cancers de la thyroïde provoqués par de l'iode radioactive.
Dans un centre d'évacuation de Koriyama, à 60km de la centrale de Fukushima et à 190 kilomètres au nord de la capitale, des médecins avaient déjà examiné quelque 1.500 personnes pour vérifier qu'elles n'avaient pas été irradiées. Dimanche, quelque dizaines de personnes attendaient devant des tentes bleues installées sur un parking devant un gymnase pour être contrôlées.
Selon la préfecture de Fukushima, citée par l'agence de presse Kyodo, 19 personnes évacuées dans un rayon de trois kilomètres autour de la centrale de Fukushima Dai-ichi ont été exposées à des radiations, en plus des trois autres dont l'exposition était déjà confirmée.
Et jusqu'à 160 autres personnes, dont 60 patients âgés et personnels médicaux qui attendaient d'être évacués dans la ville voisine de Futabe et une centaine de personnes qui étaient évacuées par autocar, pourraient avoir été exposées, selon Ryo Miyake, un porte-parole de l'agence nucléaire nippone. Les personnes concernées ont été conduites à l'hôpital.
Après le séisme vendredi, les autorités nippones avaient placé au total cinq réacteurs, dont ceux de Fukushima Dai-ichi en état d'urgence. La liste a été portée dimanche à six, dont trois à la centrale Dai-ichi et trois dans un complexe voisin. Le Japon possède au total 55 réacteurs dans 17 complexes nucléaires.
LA SITUATION EST GRAVE, SELON LE PREMIER MINISTRE JAPONAIS
Agence France-Presse
Tokyo
Le premier ministre japonais Naoto Kan a déclaré dimanche que la situation à la centrale nucléaire de Fukushima restait grave et prévenu que le pays risquait de connaître des coupures de courant à grande échelle, après le séisme et le tsunami qui ont ravagé le nord-est.
Lors d'une conférence de presse, M. Kan a reconnu que le Japon traversait sa plus grave crise depuis la Seconde guerre mondiale.
Il a par ailleurs annoncé que plus de 12 000 personnes avaient été secourues dans les zones sinistrées de la côte Pacifique, où les morts et les disparus se comptent par milliers.
«La situation à la centrale nucléaire de Fukushima, qui vous cause des inquiétudes, continue d'être grave», a déclaré le Premier ministre.
L'angoisse a redoublé dimanche à propos de ce site, situé à 250 km de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitants.
Une explosion s'est produite samedi dans le réacteur 1 et le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, a déclaré «ne pas exclure qu'une explosion puisse se produire au niveau du réacteur 3 en raison d'une possible accumulation d'hydrogène». Il a toutefois assuré que même dans ce cas, il n'y aurait «pas de problèmes pour le réacteur».
Première conséquence de ces problèmes à répétition: l'approvisionnement en électricité va être fortement perturbé, a souligné le Premier ministre.
«Les réseaux des compagnies d'électricité Tokyo Electric Power et Tohoku Electric Power se trouvent dans une situation extrêmement difficile pour l'approvisionnement», a-t-il dit, en reconnaissant qu'il y avait un risque «de coupures à grande échelle».
Le gouvernement va autoriser Tepco à planifier des interruptions par rotation, afin d'éviter que des régions entières ne soient plongées dans le noir de façon imprévisible.
M. Kan a appelé les citoyens et entreprises, à réduire fortement leur consommation, afin d'économiser les ressources.
Les dix réacteurs des centrales Fukushima N°1 et Fukushima N°2, situées dans la zone dévastée par les secousses telluriques, sont actuellement à l'arrêt et ne pourront pas être remis en service rapidement.
La compagnie d'électricité japonaise Tokyo Electric Power (Tepco), qui dessert la capitale et sa région, avait déjà appelé samedi les particuliers à réduire leur consommation, estimant que la demande en électricité risque d'excéder les capacités.
Tepco a en outre demandé aux compagnies desservant les autres régions du Japon de lui apporter de l'aide, a indiqué l'agence Kyodo.
«Je considère que la situation actuelle avec le séisme, le tsunami et les centrales nucléaires comme étant d'une certaine manière la plus grave crise en 65 ans, depuis la Seconde guerre mondiale», a déclaré M. Kan.
JAPON ; PRÈS DE 600 000 PERSONNES ÉVACUÉES...
Agence France-Presse
Genève
Quelque 590 000 personnes ont été évacuées en trois jours au Japon meurtri par un terrible séisme suivi d'un tsunami, tandis que l'inquiétude grandit à propos de réacteurs de plusieurs centrales nucléaires, a indiqué dimanche l'ONU.
«Environ 380 000 personnes ont été évacuées des zones touchées par le séisme et le tsunami et sont abritées dans 2050 centres d'évacuation», indique le Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) dans un document faisant une mise à jour des opérations de secours.
«Les autorités ont également évacué 210 000 autres personnes vivant dans un rayon de 20 km autour de la centrale de fukushima», écrit Ocha, citant l'Organisation internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Alors que les équipes de secours venus du monde entier, comme des Etats-Unis, de la Suisse, de l'Australie et du Mexique, se déploient pour venir en aide aux très nombreuses victimes et tenter de retrouver des disparus, l'ONU signale que les opérations de sauvetage sont «entravés par des répliques incessantes, des alertes au tsunami et des incendies».
Les Nations Unies soulignent aussi que «de nombreuses régions le long de la côte nord-est restent isolées et inaccessibles».
Malgré tout, les sauveteurs ont pu secourir 3000 personnes jusqu'à présent, précisent-elles.
Des milliers de personnes sont toujours portées disparues après le tsunami provoqué par le séisme de magnitude 8,9 selon l'Institut de géophysique américain (USGS), le plus fort dans l'histoire du pays qui a fait probablement plus de 10 000 morts.
Les sept experts onusiens spécialisés dans l'évaluation des désastres sont arrivés à Tokyo, où ils vont soutenir les experts japonais à coordonner l'action des équipes internationales de sauvetage, selon l'ONU.
Des millions de foyers sont sont privés d'électricité et de gaz, s'inquiète l'ONU, soulignant qu'en raison de l'hiver les températures descendent à un degré Celsius durant la nuit.
Source : via "Cyberpresse"
POUR VOIR DES PHOTOS IMPRESSIONANTES DU JAPON : AVANT ET APRÈS LE PASSAGE DU TSUNAMI...
http://www.nytimes.com/interactive/2011/03/13/world/asia/satellite-photos-japan-before-and-after-tsunami.html
ÉTAT D'URGENCE DANS UNE DEUXIÈME CENTRALE NUCLÉAIRE AU JAPON
Agence France-Presse
Vienne
Le Japon restait dimanche sous la menace d'un grave accident nucléaire, deux jours après le séisme et le tsunami dévastateurs qui ont frappé la côte nord-est du pays. La situation s'est encore aggravée à la centrale Fukushima Dai-ichi, où un second réacteur suscitait une vive inquiétude.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a annoncé dimanche avoir été informée par le Japon qu'une deuxième centrale électrique, celle d'Onagawa, était placée en état d'urgence des niveaux de radioactivités supérieurs aux seuils autorisés ayant été constatés. Elle a précisé que les trois réacteurs de la centrale étaient sous contrôle.
Le système de refroidissement de la centrale nucléaire de Tokai Dai-Ni (à 120 km au nord de Tokyo) a été endommagé par le tremblement de terre. D'après la Compagnie japonaise de l'énergie atomique (JAPC), l'une des deux pompes est hors service mais la seconde fonctionne normalement. La JAPC affirme qu'il n'y a aucun risque de fuite radioactive.
Parallèlement, l'électricien TEPCO et le gouvernement ont annoncé que le courant allait être rationné de façon étalée dans plusieurs villes du pays, dont Tokyo. Des coupures quotidiennes de trois heures débuteront ainsi lundi. Le ministre du Commerce Banri Kaieda a précisé que TEPCO s'attendait à une baisse de la production de 25 pour cent.
A Fukushima, les autorités ont reconnu dimanche qu'une fusion partielle était «possible» dans le coeur du réacteur No3 et prévenu qu'une nouvelle explosion à l'hydrogène risquait de se produire au cours des efforts pour le refroidir. Les opérateurs de l'électricien TEPCO, qui exploite la centrale, luttaient toujours dimanche pour refroidir les réacteurs menacés en injectant de l'eau de mer, un dernier recours pour éviter une fusion du coeur, c'est-à-dire une fonte des combustibles à l'intérieur de ces réacteurs.
Une fusion totale, soit la perte de contrôle du réacteur, pourrait provoquer une fuite d'uranium et de matières dangereuses dans l'environnement, entraînant une pollution radioactive majeure.
Le séisme de vendredi a provoqué une défaillance du système de refroidissement de la centrale de Fukushima Dai-ichi, à 270km au nord-est de Tokyo, coupant l'alimentation électrique et affectant la station de pompage. Trois réacteurs ont été automatiquement arrêtés et connaissent des problèmes de refroidissement.
Après le réacteur No1, le No3 connaissait une situation préoccupante dimanche. Le secrétaire général du gouvernement japonais Yukio Edano a expliqué que les opérateurs tentaient de refroidir et d'abaisser la pression dans ce réacteur, comme ils l'avaient fait la veille pour le No1. «Nous prenons des mesures sur le réacteur 3 sur la base d'une possibilité semblable» de fusion partielle du coeur, a-t-il expliqué.
Dimanche, les opérateurs de TEPCO ont ainsi procédé à des rejets d'air légèrement radioactif pour abaisser la pression, tout en injectant de l'eau pour réduire la température, selon M. Edano. Il a précisé que les niveaux de radioactivité à l'extérieur de la centrale avaient brièvement dépassé les seuils légaux, mais avaient décliné depuis de façon significative. Il a aussi reconnu que des barres de combustible avaient brièvement été exposées, laissant entendre qu'à un moment, elles n'étaient plus recouvertes par l'eau de refroidissement.
Comme la veille, une explosion à l'hydrogène risquait de se produire lors de ses efforts. «Au risque d'accroître encore l'inquiétude de la population, nous ne pouvons exclure la possibilité d'une explosion», a admis M. Edano. Mais «s'il se produit une explosion, néanmoins, il n'y aurait pas d'impact significatif sur la santé humaine», a-t-il affirmé.
Samedi, une explosion était survenue au niveau du réacteur No1 de la centrale, provoquant l'effondrement des murs du bâtiment. L'explosion s'était produite alors que les opérateurs, faute de courant électrique et les valves et les pompes de la centrale ayant été endommagées par le tsunami, tentaient de refroidir le coeur du réacteur en injectant de l'eau de mer borée dans l'enceinte de confinement. Lorsque de l'hydrogène a été relâché pour diminuer la pression à l'intérieur du réacteur, une réaction s'est apparemment produite avec l'oxygène, contenu dans l'air ou l'eau de refroidissement, provoquant l'explosion.
Plus de 170.000 personnes ont été évacuées par précaution autour de la centrale, même si Yukio Edano affirmait que le niveau de radioactivité relâché jusqu'à présent était peu important et ne posait pas de menace pour la santé. Des pastilles d'iode ont été distribuées pour prévenir des cancers de la thyroïde provoqués par de l'iode radioactive.
Dans un centre d'évacuation de Koriyama, à 60km de la centrale de Fukushima et à 190 kilomètres au nord de la capitale, des médecins avaient déjà examiné quelque 1.500 personnes pour vérifier qu'elles n'avaient pas été irradiées. Dimanche, quelque dizaines de personnes attendaient devant des tentes bleues installées sur un parking devant un gymnase pour être contrôlées.
Selon la préfecture de Fukushima, citée par l'agence de presse Kyodo, 19 personnes évacuées dans un rayon de trois kilomètres autour de la centrale de Fukushima Dai-ichi ont été exposées à des radiations, en plus des trois autres dont l'exposition était déjà confirmée.
Et jusqu'à 160 autres personnes, dont 60 patients âgés et personnels médicaux qui attendaient d'être évacués dans la ville voisine de Futabe et une centaine de personnes qui étaient évacuées par autocar, pourraient avoir été exposées, selon Ryo Miyake, un porte-parole de l'agence nucléaire nippone. Les personnes concernées ont été conduites à l'hôpital.
Après le séisme vendredi, les autorités nippones avaient placé au total cinq réacteurs, dont ceux de Fukushima Dai-ichi en état d'urgence. La liste a été portée dimanche à six, dont trois à la centrale Dai-ichi et trois dans un complexe voisin. Le Japon possède au total 55 réacteurs dans 17 complexes nucléaires.
LA SITUATION EST GRAVE, SELON LE PREMIER MINISTRE JAPONAIS
Agence France-Presse
Tokyo
Le premier ministre japonais Naoto Kan a déclaré dimanche que la situation à la centrale nucléaire de Fukushima restait grave et prévenu que le pays risquait de connaître des coupures de courant à grande échelle, après le séisme et le tsunami qui ont ravagé le nord-est.
Lors d'une conférence de presse, M. Kan a reconnu que le Japon traversait sa plus grave crise depuis la Seconde guerre mondiale.
Il a par ailleurs annoncé que plus de 12 000 personnes avaient été secourues dans les zones sinistrées de la côte Pacifique, où les morts et les disparus se comptent par milliers.
«La situation à la centrale nucléaire de Fukushima, qui vous cause des inquiétudes, continue d'être grave», a déclaré le Premier ministre.
L'angoisse a redoublé dimanche à propos de ce site, situé à 250 km de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitants.
Une explosion s'est produite samedi dans le réacteur 1 et le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, a déclaré «ne pas exclure qu'une explosion puisse se produire au niveau du réacteur 3 en raison d'une possible accumulation d'hydrogène». Il a toutefois assuré que même dans ce cas, il n'y aurait «pas de problèmes pour le réacteur».
Première conséquence de ces problèmes à répétition: l'approvisionnement en électricité va être fortement perturbé, a souligné le Premier ministre.
«Les réseaux des compagnies d'électricité Tokyo Electric Power et Tohoku Electric Power se trouvent dans une situation extrêmement difficile pour l'approvisionnement», a-t-il dit, en reconnaissant qu'il y avait un risque «de coupures à grande échelle».
Le gouvernement va autoriser Tepco à planifier des interruptions par rotation, afin d'éviter que des régions entières ne soient plongées dans le noir de façon imprévisible.
M. Kan a appelé les citoyens et entreprises, à réduire fortement leur consommation, afin d'économiser les ressources.
Les dix réacteurs des centrales Fukushima N°1 et Fukushima N°2, situées dans la zone dévastée par les secousses telluriques, sont actuellement à l'arrêt et ne pourront pas être remis en service rapidement.
La compagnie d'électricité japonaise Tokyo Electric Power (Tepco), qui dessert la capitale et sa région, avait déjà appelé samedi les particuliers à réduire leur consommation, estimant que la demande en électricité risque d'excéder les capacités.
Tepco a en outre demandé aux compagnies desservant les autres régions du Japon de lui apporter de l'aide, a indiqué l'agence Kyodo.
«Je considère que la situation actuelle avec le séisme, le tsunami et les centrales nucléaires comme étant d'une certaine manière la plus grave crise en 65 ans, depuis la Seconde guerre mondiale», a déclaré M. Kan.
JAPON ; PRÈS DE 600 000 PERSONNES ÉVACUÉES...
Agence France-Presse
Genève
Quelque 590 000 personnes ont été évacuées en trois jours au Japon meurtri par un terrible séisme suivi d'un tsunami, tandis que l'inquiétude grandit à propos de réacteurs de plusieurs centrales nucléaires, a indiqué dimanche l'ONU.
«Environ 380 000 personnes ont été évacuées des zones touchées par le séisme et le tsunami et sont abritées dans 2050 centres d'évacuation», indique le Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) dans un document faisant une mise à jour des opérations de secours.
«Les autorités ont également évacué 210 000 autres personnes vivant dans un rayon de 20 km autour de la centrale de fukushima», écrit Ocha, citant l'Organisation internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Alors que les équipes de secours venus du monde entier, comme des Etats-Unis, de la Suisse, de l'Australie et du Mexique, se déploient pour venir en aide aux très nombreuses victimes et tenter de retrouver des disparus, l'ONU signale que les opérations de sauvetage sont «entravés par des répliques incessantes, des alertes au tsunami et des incendies».
Les Nations Unies soulignent aussi que «de nombreuses régions le long de la côte nord-est restent isolées et inaccessibles».
Malgré tout, les sauveteurs ont pu secourir 3000 personnes jusqu'à présent, précisent-elles.
Des milliers de personnes sont toujours portées disparues après le tsunami provoqué par le séisme de magnitude 8,9 selon l'Institut de géophysique américain (USGS), le plus fort dans l'histoire du pays qui a fait probablement plus de 10 000 morts.
Les sept experts onusiens spécialisés dans l'évaluation des désastres sont arrivés à Tokyo, où ils vont soutenir les experts japonais à coordonner l'action des équipes internationales de sauvetage, selon l'ONU.
Des millions de foyers sont sont privés d'électricité et de gaz, s'inquiète l'ONU, soulignant qu'en raison de l'hiver les températures descendent à un degré Celsius durant la nuit.
Source : via "Cyberpresse"
POUR VOIR DES PHOTOS IMPRESSIONANTES DU JAPON : AVANT ET APRÈS LE PASSAGE DU TSUNAMI...
http://www.nytimes.com/interactive/2011/03/13/world/asia/satellite-photos-japan-before-and-after-tsunami.html
Libellés :
catastrophes,
désastres,
nucléaire,
radioactivité
samedi 12 mars 2011
DES RÉACTEURS NUCLÉAIRES QUI MENACENT LE JAPON
Séisme Japon – Le toit du réacteur nucléaire de Fukushima s’est effondré
MINUTE PAR MINUTE – Un nuage blanc s’élève au-dessus de la centrale, où une explosion s’est produite. Les télévisions nippones conseillent aux riverains de se calfeutrer.
9h25 : Le toit et les murs du bâtiment du réacteur de Fukushima se sont effondrés, a annoncé la préfecture locale.
Les télévisions nippones conseillent aux riverains de se calfeutrer, dans un périmètre «plus large que les 10 km de zone évacuée». Les experts et les journalistes de la chaîne conseillent aussi aux personnes à l’extérieur de se protéger les voies respiratoires avec une serviette mouillée et de se couvrir au maximum pour éviter les contacts directs de la peau avec l’air.
9h00 : Une explosion a été entendue à la centrale nucléaire de Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon, et un nuage blanc s’élève au-dessus du site. Plusieurs employés ont été blessés par la déflagration. Cette installation est située à 250 kilomètres au nord de Tokyo (cf. carte ci-dessous).
Les images de la télévision japonaise :
8h43 : Le bilan humain provisoire s’élève à 703 morts. Quelque 784 personnes sont par ailleurs toujours portées disparues et 1128 blessés ont été signalés.
6h49 : L’Agence de sécurité nucléaire estime qu’une fusion pourrait être en cours dans le réacteur N°1 de la centrale nucléaire Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon.
Un porte-parole de la compagnie d’électricité Tokyo Electric Power (Tepco), exploitante du site, a cependant affirmé qu’un tel phénomène «n’était pas en cours» et que la compagnie tentait «de faire remonter le niveau d’eau», pour refroidir le réacteur.
Des dysfonctionnements du système de refroidissement de ce réacteur numéro 1 avaient auparavant été signalés, ainsi qu’une élévation anormale de la pression interne. Tepco avait alors reçu des autorités l’instruction de laisser s’échapper des vapeurs comportant des substances radioactives pour faire descendre la pression, après avoir évacué la zone dans un rayon de 10 kilomètres.
Par ailleurs, du césium radioactif a été détecté aux alentours de cette centrale, a assuré l’agence Kyodo, citant les responsables de la sûreté nucléaire.
source : area51.blogspot
MINUTE PAR MINUTE – Un nuage blanc s’élève au-dessus de la centrale, où une explosion s’est produite. Les télévisions nippones conseillent aux riverains de se calfeutrer.
9h25 : Le toit et les murs du bâtiment du réacteur de Fukushima se sont effondrés, a annoncé la préfecture locale.
Les télévisions nippones conseillent aux riverains de se calfeutrer, dans un périmètre «plus large que les 10 km de zone évacuée». Les experts et les journalistes de la chaîne conseillent aussi aux personnes à l’extérieur de se protéger les voies respiratoires avec une serviette mouillée et de se couvrir au maximum pour éviter les contacts directs de la peau avec l’air.
9h00 : Une explosion a été entendue à la centrale nucléaire de Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon, et un nuage blanc s’élève au-dessus du site. Plusieurs employés ont été blessés par la déflagration. Cette installation est située à 250 kilomètres au nord de Tokyo (cf. carte ci-dessous).
Les images de la télévision japonaise :
8h43 : Le bilan humain provisoire s’élève à 703 morts. Quelque 784 personnes sont par ailleurs toujours portées disparues et 1128 blessés ont été signalés.
6h49 : L’Agence de sécurité nucléaire estime qu’une fusion pourrait être en cours dans le réacteur N°1 de la centrale nucléaire Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon.
Un porte-parole de la compagnie d’électricité Tokyo Electric Power (Tepco), exploitante du site, a cependant affirmé qu’un tel phénomène «n’était pas en cours» et que la compagnie tentait «de faire remonter le niveau d’eau», pour refroidir le réacteur.
Des dysfonctionnements du système de refroidissement de ce réacteur numéro 1 avaient auparavant été signalés, ainsi qu’une élévation anormale de la pression interne. Tepco avait alors reçu des autorités l’instruction de laisser s’échapper des vapeurs comportant des substances radioactives pour faire descendre la pression, après avoir évacué la zone dans un rayon de 10 kilomètres.
Par ailleurs, du césium radioactif a été détecté aux alentours de cette centrale, a assuré l’agence Kyodo, citant les responsables de la sûreté nucléaire.
source : area51.blogspot
Libellés :
actualités,
catastrophes,
désastres,
nucléaire,
radioactivité
Inscription à :
Articles (Atom)