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mercredi 22 avril 2015

LE CHILI SURPRIS PAR UNE ÉRUPTION !!!


Le Chili surpris par l'éruption du volcan Calbuco

Le Chili compte environ 90 volcans actifs, parmi lesquels le Calbuco est considéré comme l'un des plus dangereux.

Le gouvernement chilien a décrété mercredi l'alerte rouge après l'éruption violente et inattendue du volcan Calbuco, inactif depuis 43 ans, ordonnant d'évacuer la population dans un rayon de 20 kilomètres aux alentours.

L'alerte rouge concerne les villes de Puerto Montt et Puerto Varas, situées dans la région de Los Lagos, à environ 1300 kilomètres au sud de Santiago.

Les autorités ont par ailleurs décidé l'état d'exception pour catastrophe dans les localités proches du volcan, et l'armée prendra donc temporairement le contrôle de ces zones.

«Nous avons décrété l'état d'exception pour catastrophe dans la province de Llanquihue et la commune de Puerto Octay», a annoncé le ministre de l'Intérieur Rodrigo Peñailillo.

«Actuellement la zone d'évacuation autour du volcan Calbuco est de 20 kilomètres. La police a déjà donné des instructions et a commencé à évacuer», avait-il expliqué un peu plus tôt, sans préciser le nombre d'habitants devant ainsi être déplacés.

L'évacuation a démarré dans la zone de Ensenada, où vivent plus de 1.500 personnes, a précisé Roberto Peñailillo.

Elle a concerné au départ près de 270 familles, selon les autorités, mais pourrait s'étendre dans les prochaines heures aux villes voisines, ce qui entraînerait le déplacement de milliers d'habitants.

Les classes ont été suspendues dans la région, de même que les vols au départ et à l'arrivée de cette zone.

L'alerte a également été donnée dans le sud de l'Argentine. Les autorités de la ville argentine de Bariloche, située à seulement 100 kilomètres du volcan, ont pris des mesures d'urgence en prévision de la possible arrivée des cendres produites par l'éruption.

La défense civile de Bariloche, qui se trouve à 1630 kilomètres au sud de Buenos Aires, a suspendu les cours dans les écoles et a réquisitionné les établissements sanitaires pour faire face à toute urgence liée à l'éruption.

«Etant donné la vitesse et la direction du vent, on estime que les cendres volcaniques arriveront sur Bariloche et sa région dans les prochaines heures», selon le quotidien local La Cordillera.

L'éruption, qui a démarré vers 18h00, est survenue par surprise, aucun début d'activité n'ayant été enregistré ces derniers jours.

Éruption explosive!

Cela a été une «éruption assez explosive», a raconté le vulcanologue Gabriel Orozco, du Service national de géologie et de mines (Sernageomina), à la télévision nationale.

«Actuellement la colonne éruptive a une hauteur d'environ 10 kilomètres, ou un peu plus», a-t-il ajouté, et «cette éruption va faire retomber une grande quantité de cendres».

«Le risque principal est que cette colonne s'effondre», a-t-il mis garde, sur les rivières avoisinantes.

Retransmises en direct à la télévision, les images montraient en début de soirée une épaisse colonne de fumée blanche s'élevant dans le ciel au-dessus de ce volcan situé près de la côte, d'une altitude de 2003 mètres et inactif depuis 43 ans.

Mais aucune coulée de lave n'était apparente.

À Puerto Montt, les émanations de fumée en provenance du volcan recouvraient toute la ville, paralysée par d'énormes embouteillages et de longues files d'attente devant les stations essence, selon les images de télévision.

«Les gens ont très, très peur», a confié le maire, Gervoy Paredes.

«La situation est assez compliquée pour l'instant» a-t-il ajouté: «le fleuve Blanco serait en train de déborder en raison du dégel» provoqué par l'éruption.

La police chilienne a appelé à «laisser les routes (nationales) dégagées» dans la zone pour faciliter les opérations d'évacuation.

Le ministre de l'Intérieur à lui lancé «un appel au calme à la population, qui doit se maintenir informée».

Il s'agit de la deuxième éruption en quelques semaines enregistrée au Chili, après celle en mars du volcan Villarrica, également situé dans le sud du pays, qui avait entraîné l'évacuation de quelque 3600 personnes.

Le Chili compte environ 90 volcans actifs, parmi lesquels le Calbuco est considéré comme l'un des plus dangereux.

Des images saisissantes !!

mercredi 5 novembre 2014

LE CANON LASER DE BOEING DÉCOUPE LA BANQUISE !


"The flying laser cannon" (Le canon laser volant de Boeing) qui se trouve être déjà opérationel, et tout comme le site anglophone l'indique lui même en cliquant sur Le canon laser de Boeing (Le canon laser volant) que vous pouvez observer en image ci-dessous, pour qu'ensuite ces blocs de glace gigantesque de plus de 700 mètres de longs soient découpés en morceau puis transporté à partir des stations de recherches scientifique jusqu'à des bases militaires secrètes situés aux 2 pôles pour être ensuite embarqué sur des navires militaire, mais aussi sur des navires de recherches scientifique, puis dans des pétroliers et des tankers en direction des pays du golf et désertique ayant les moyens financiers de se procurer de l'eau pour les élites de la population mondiale qui fait pousser la verdure de ses déserts..ils font fondre la banquise pour pouvoir exploiter les réserves de gaz et de pétrole c'est pour cette raison qu'ils sont tous présents dans la zone pour se partager le gateau, évidement ce sera la faute de vous et du réchauffement climatique .

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lundi 27 octobre 2014

LA PLUS GRAVE MENACE DE L'HUMANITÉ...

Illustration de fissures dans le permafrost, un sol gelé pendant plus de deux ans consécutifs 

Réchauffement climatique et dégel du permafrost : "la plus grave menace de l'humanité !"

Le permafrost, soit le nom donné aux sols gelés des régions arctiques, est parfois appelé "bombe à retardement". En dégelant, il libère de grandes quantités de carbone et de méthane. Des gaz qui auraient un effet dévastateur sur la planète, alerte Dorota Retelska, docteure en biologie.

L’effet de serre a déjà élevé la température de la Terre de presque un degré et nous en voyons les conséquences.

Aujourd’hui, les glaces d’Arctique, du Groenland et d’Antarctique fondent vite. Le WWF rapporte que la moitié d’espèces d’animaux vertébrés a déjà disparu.

La spécialiste climat de la Banque mondiale déclarait récemment que moins d’aliments ont pu être cultivés sur la Terre en 2013, et qu’il y en aura de moins en moins ces prochaines décennies. L’eau salée s’infiltre dans les champs situés en bord de mer, les vagues de chaleur et les sécheresses tuent les cultures. L’acidification des océans empêche la croissance des huîtres, et d’autres mollusques marins. Les plages Atlantiques sont érodées, et le moustique tigre tropical a fait son apparition dans le Sud-Est de la France.

Les accords internationaux pourraient mener à une réduction d’émissions de gaz à effet de serre qui limiterait le réchauffement à deux degrés. Ce seuil a été choisi car, au-delà, le climat terrestre risque de se dérégler complètement.

Le permafrost est une bombe à retardement...

Le permafrost, terres gelées du grand Nord, est parfois appelé une bombe à retardement. Il contient un énorme danger. En dégelant, il pourrait libérer une grande quantité de gaz à effet de serre qui ferait monter la température terrestre de plusieurs degrés.

Dans le permafrost sont congelés des restes de plantes et d’animaux anciens, y compris des dépouilles de mammouth. Dès que le sol dégèle, ces débris fermentent et le gaz carbonique et le méthane s’échappent dans l’atmosphère. Le méthane cause un effet de serre 23 fois plus important que le gaz carbonique (sur 100 ans).

Le permafrost va-t-il dégeler ? En Alaska, il dégèle et occasionne des glissements de terrains. La Sibérie se couvre de petits lacs de fonte de permafrost. Une partie du permafrost se trouvant sous les mers s’est dangereusement réchauffée et des bulles de méthane s’échappent du fond.

Il s'agirait d'un cataclysme planétaire...

J’ai interrogé le spécialiste russe du permafrost, le professeur Sergey Zimov. Il pense que si la température terrestre augmente de 3-4 degrés, le permafrost va dégeler sur plusieurs dizaines de mètres de profondeur avant la fin du siècle.

Actuellement, il se réchauffe et fond en surface. S'il dégèle, il libérera dans l'atmosphère les gaz à effet de serre qu'il contient. La température sur Terre pourrait alors augmenter de plusieurs degrés ou dizaines de degrés supplémentaires.

Avec des vagues de chaleur insoutenables pour l’Humain ? Des tempêtes dix fois plus importantes que les cyclones d’aujourd’hui ? Quelle partie de la planète resterait alors habitable ? Où pourrions-nous encore cultiver de la nourriture ? Il s’agirait d’un cataclysme planétaire qui bouleverserait totalement les conditions de vie sur Terre.

Si nous laissons le réchauffement augmenter, nous risquons cet avenir-là. 

Arrêter le réchauffement avant le drame...

Nous vivons déjà le changement climatique. Nous verrons ses conséquences au cours des prochaines décennies. Mais pouvons limiter les dégâts et laisser un monde vivable à nos enfants.

Il vaut mieux arrêter le réchauffement avant que le permafrost ne dégèle, et que les glaciers ne se détachent. Certains glaciers sont déjà fissurés au point que leur détachement de leur base est inéluctable. Tôt ou tard, ils partiront à la dérive et fonderont, élevant le niveau de la mer. Le permafrost sous-marin est proche de 0 degrés, émet des bulles de méthane et s'approche d’un point de non-retour.


Le permafrost est recouvert par une couche de terre qui dégèle en été (Flickr/U.S. Geological Survey/CC)

Les spécialistes du méthane (le groupe d'urgence du méthane arctique) conseillent d’arrêter tout de suite les émissions de gaz carbonique et de planter énormément d’arbres pour capter le gaz carbonique de l’air. L’effet de serre diminuerait, ainsi la température terrestre reviendrait à la normale, et le permafrost resterait gelé.

On peut tous réduire notre empreinte carbone...
Si nous le savons, nous pouvons tous réduire l’effet de serre

Moi, je pédale, j’ai acheté des croquettes végétaliennes à mon chat, je recycle mes ordures. j’ai pris un appartement plus petit et mieux isolé. Je voyage moins, j’essaie de manger bio et local. Je cultive mon potager et je participe à la construction de maisons écologiques. J’achète moins d’objets, des objets écologiques, locaux, ou au vide-grenier. J’ai réduit mon empreinte carbone de trois fois environ. L’index CO2 qui apparaît sur les objets de consommation facilitera bientôt les choix.

Selon l’ONU, nous sommes face à la plus grave menace de l’histoire de l’Humanité. Il est important d’agir vite.

La conférence COP 21, qui se déroulera à Paris en décembre 2015, sera peut-être l’événement le plus important du monde, car un accord limitant fortement les émissions de gaz à effet de serre éloignerait la menace de dégel de permafrost et d’un emballement cataclysmique du climat.

Mais sera-t-il suffisant ?

Source : Dorota Retelska
Docteure en biologie

mardi 16 septembre 2014

LA FACE CACHÉE DU PIPELINE DE TRANS-CANADA


Il est gros. Très gros...

En fait, le pipeline Énergie Est de la compagnie TransCanada serait le plus grand jamais construit en Amérique du Nord s’il voyait le jour. Une toute nouvelle vidéo produite par le Conseil des Canadiens et Équiterre expose les principales controverses entourant ce projet.

Saviez-vous, par exemple, que ce pipeline traverserait plus de 900 cours d'eau, y compris les sources d'eau potable de millions de Canadiens? Et qu’il entraînerait une augmentation de la production des sables bitumineux de 40 %? La "Face cachée d’Énergie Est" répond à vos questions en 4 minutes. N’hésitez pas à partager pour révéler l'autre côté de la médaille!


Pour en savoir plus, consultez : www.equiterre.org/sablesbitumineux

dimanche 15 septembre 2013

FUKUSHIMA : L'IRRADIATION TOUCHERA LA CÔTE OUEST AMÉRICAINE EN 2014


Un panache radioactif d’eau dans l’océan Pacifique à partir de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, qui a été paralysée par le séisme et le tsunami 2011 atteindra probablement les eaux côtières des États-Unis à partir de 2014, selon une nouvelle étude. Le long voyage des particules radioactives pourrait aider les chercheurs à mieux comprendre comment les courants marins circulent dans le monde entier.

Les Simulations de l’océan (par ordinateur) ont montré que le panache de césium-137 radioactif libéré par la catastrophe de Fukushima ,en 2011, pourrait commencer à verser dans les eaux côtières des États-Unis à compter de début 2014 et le pic de 2016. Heureusement, deux courants océaniques au large de la côte orientale du Japon - le courant de Kuroshio et l’extension du Kuroshio - a dilué la matière radioactive tellement que sa concentration est tombé bien au-dessous des niveaux de sécurité de l’Organisation mondiale de la Santé dans les quatre mois suivant l’incident de Fukushima. Mais ça aurait pu être une histoire différente si une catastrophe nucléaire avait frappé de l’autre côté du Japon.

"L’impact environnemental aurait pu être pire si l’eau contaminée aurait été libéré dans un autre environnement océanique où la circulation était moins énergique et turbulent», a déclaré Vincent Rossi, un océanographe et chercheur post-doctoral à l’Institut de physique interdisciplinaire et Systèmes complexes, en Espagne.

Communiqué de l’eau radioactive de Fukushima a pris son temps,voyageant à travers le Pacifique. Par comparaison, le rayonnement atmosphérique de la centrale de Fukushima a commencé à atteindre la côte ouest américaine au sein de quelques jours seulement, de l’arrière en cas de catastrophe en 2011.


Suivi de la trajectoire de la radioactivité...

Le panache radioactif a trois sources différentes: des particules radioactives tombent de l’atmosphère dans l’océan, l’eau contaminée directement sortie de l’usine, et l’eau qui a été contaminé par des particules radioactives de lixiviation du sol contaminé.

Cette projection informatique montre l’ampleur estimée de la plume de la centrale de Fukushima du déversement d’eau radioactive ,jusqu’en en 2014. L’étendue des eaux côtières américaines est indiquée par une ligne noire, avec une boîte noire renfermant Hawaii (en bas au centre).

La libération de césium 137 de Fukushima en de plus turbulent courants orientale du Japon signifie la matière radioactive est diluée au point de poser peu de danger pour l’homme au moment où il quitte les eaux côtières du Japon . Rossi a travaillé avec d’anciens collègues au changement climatique au Centre de recherche de l’Université de New South Wales en Australie, pour simuler la propagation de la radioactivité de Fukushima dans les océans -( une étude détaillée dans le numéro d’Octobre de la revue Deep-Sea Research Part 1 ).

Les chercheurs ont en moyenne 27 essais expérimentaux de leur modèle – chaque terme de départ dans une année différente – afin de veiller à ce que la propagation simulée du césium -137 comme un «traceur» n’a pas été particulièrement affecté par les conditions initiales de l’océan. De nombreux océanographes préfèrent utiliser le césium -137 pour suivre les courants océaniques , car il agit comme un traceur passif dans l’eau de mer , ce qui signifie qu’elle n’interagit pas beaucoup d’autres choses, et se désintègre lentement avec une longue demi- vie de 30 ans .


Voici l’endroit ou l’eau en provenance des réacteurs endommagés fuit vers l’océan Pacifique…l’eau est en ébullition.

«Un des avantages de ce traceur est sa longue demi-vie et notre capacité à mesurer assez précisément , de sorte qu’il peut être utilisé à l’avenir pour tester nos modèles de circulation océanique et de voir comment ils représentent la réalité au fil du temps ", a déclaré Rossi LiveScience . " A l’époque , il y a 20 ans, nous pouvions sortir , prenez les mesures partout dans le Pacifique et les comparer à notre modèle. "

Voyagez à travers le Pacifique

L’ équipe s’est concentrée sur la prévision de la trajectoire de la radioactivité jusqu’à ce qu’il atteigne les eaux du plateau continental qui s’étend de la côte américaine à environ 180 miles (300 kilomètres) au large des côtes. Environ 10 à 30 becquerels (unités de radioactivité représentant x désintégration par seconde) par mètre cube de césium -137 pourrait atteindre la côte US et les eaux côtières du nord du Canada et de l’Oregon entre 2014 et 2020. ( Ces niveaux sont bien en deçà des limites de la US Environmental Protection Agency pour l’eau potable ).

Par comparaison, la côte de la Californie peut recevoir seulement 10 à 20 becquerels par mètre cube 2016-2025 . C’est plus lent, moins d’impact provient des courants du Pacifique participant du panache radioactif vers le bas en dessous de la surface de l’océan dans un voyage lent vers la côte californienne, ce que Rossi a expliqué .

Une grande partie du panache radioactif de la version initiale de Fukushima ne sera même pas atteindre les eaux côtières américaines sitôt. Au lieu de cela , la majorité de la césium -137 restera dans la gyre du Pacifique Nord – une région de l’océan qui circule lentement dans le sens horaire et a piégé des débris dans son centre pour former le " Garbage Patch Great Pacific " – et continuent d’être dilué pendant environ une dix ans après la publication initiale de Fukushima en 2011. ( On s’attend à L’eau du courant de fuite de la centrale prenne un chemin semblable à long terme pour suivre le panache initial libéré, Rossi a dit. )

Mais le panache finira par échapper à la gyre du Pacifique Nord en une forme encore plus diluée. Environ 25 pour cent de la radioactivité initialement publié se rendra à l’océan Indien et du Pacifique Sud sur deux à trois ans après la catastrophe de Fukushima ,ce que le modèle a montré.

dimanche 8 septembre 2013

DES PRÉPARATIFS EN VUES DE CATASTROPHES ?


"Des milliers de travailleurs des services publics, des dirigeants d'entreprise, des agents de la Garde nationale, des experts de l'anti-terrorisme du FBI et des responsables d'organismes gouvernementaux des États-Unis, du Canada et du Mexique, se préparent à un exercice d'urgence en novembre [13 et 14] qui simulera une attaque physique et des cyber-attaques qui pourraient bousiller de larges sections de la grille électrique".



jeudi 15 août 2013

DOIT-ON SE PRÉPARER POUR UN "KILLSHOT"?


Dans un article du mois dernier, on pouvait déjà constater que le soleil s'était réveillé de sa léthargie apparente et il vient tout juste de refaire parler de lui ces derniers jours. Nous assistions dans le même temps à une tension extrême entre les deux Corée qui ne s'est pas totalement apaisée Ces deux signes peuvent être mis en relation avec le Killshot, évoqué il y a près de 10 ans par le major Ed Dames aujourd'hui retraité et exerçant dans le civil dans son domaine de "remote viewing".


Il évoquait alors une série d'éruptions solaires massives qui viendraient frapper la terre et serait d'un telle force qu'elle grillerait tout les alimentations électriques et laisserait une bonne partie de la terre à l'âge de pierre mais il ne fut pas en mesure d'estimer une date pour ces événements à l'époque (ce n'est plus le cas). Bien évidemment, la NASA et les autorités se gardent bien d'en parler ou alors c'est pour décrédibiliser l'information mais c'est une possibilité que bien des scientifiques évoquent, d'autant qu'il y a eu au moins un précédant.

En 1859, une tempête solaire massive à touché la terre. Elle fut la plus forte jamais enregistré à cette époque (supérieur à X10) et elle atteignit la terre en à peine 17H (autant dire que l'ont a peu de temps pour s'y préparer lorsque cela arrive). La violence de la tempête provoqua des courants électriques qui grillèrent littéralement les réseaux télégraphiques. Heureusement, à l'époque les conséquences furent bien moins importantes car la vie quotidienne des gens n'était pas dépendante de l’électricité. Or. aujourd'hui notre civilisation est tellement dépendante des technologies modernes qu'une panne complète dépassant quelques jours serait tout simplement catastrophique.


Tout d'abord voyons certaines des prévisions du major Dames qui se sont avérés exacts :

- La disparition progressive des abeilles.
- Le coup de semonce (tempête solaire X45 du 4 Novembre 2003, la plus forte jamais enregistrée, heureusement non dirigée vers la terre).
- Les Attentats de Madrid en 2004.
- Le Tsunami de 2004 en Indonésie.
- Le séisme 8,6 du 28 Mars 2005 en Indonésie.
- Une Nouvelle souche de champignon qui attaquerait les productions agricoles et qui s'étendrait dans le monde.
- Le tsunami de 2011 au Japon.
- La grippe aviaire.

Voici ses autres prévisions qui n'ont pas encore eu lieu :

- Crash économique mondial, précédé d'une forte hausse de la valeur de l'or.
- Une pandémie mondiale concomitante au crash.
- Un conflit armée entre Israël et l'Iran.
- Une bombe nucléaire déclenchée par la Corée du Nord dans un accès de colère.
- l’atterrissage en urgence d'un véhicule spatial à cause de chutes de débris spatiaux (météorites) vers la Terre.
- Le killshot (les deux derniers événements étant les deux derniers annoncés avant que cela n'arrive).

Il y aurait d'autres prévisions dont le major n'aurait pas le droit de parler au public apparemment car elles pourraient constituer une menace pour la sécurité nationale (c'est lui qui le dit...). Nous avons, par contre, visionné des séances de "remote viewing" qui indiqueraient que des météorites pourraient bien s'écraser près des zones côtières et que celles ci provoqueraient des exodes massifs. (Les "remote viewers" ayant principalement fait des recherches sur l'Amérique du Nord, impossible de savoir si ces événements concernerait également le reste de la terre).

Le killshot par contre est annoncé comme un événement global et le major est de plus en plus préoccupé par l'imminence de cet événement. Les déclarations qu'il a fait lors de l'émission de radio Coast to Coast du 23 Avril 2013 sont intéressantes à plusieurs titres. Certaines ne nous étonnent pas tandis que d'autres mnous paraissent très suspectes, nous allons y venir...

Voici le résumé de l'émission :

"Dans la seconde moitié du programme, le professeur de "remote viewing" Ed Dames a parlé de ses prédictions concernant la Corée du Nord qui serait susceptible d'utiliser une arme nucléaire lors d'un accès de colère et la façon dont un effondrement économique mondial arriverait en même temps qu'une pandémie dans un avenir pas si lointain. Dames a affirmé que son équipe a découvert le «réel plan» du gouvernement nord-coréen. Selon lui, ils ont mis au point de petits dispositifs nucléaires qui seraient transportés par sous-marin pour être placé au large des côtes de territoires américains. Si les Etats-Unis attaquent la Corée du Nord, dit-il, ces armes nucléaires secrètement placés exploseraient en représailles.

Malgré ce danger imminent, Dames mis en avant qu'il est "beaucoup plus préoccupé" par une pandémie mondiale se déclarant de manière concomitante à un effondrement économique mondial, et se poursuivant d'une éruption solaire dévastatrice qui frapperait la planète. À ce sujet, il a déploré que l'émergence récente de la grippe aviaire H7N9 en Chine "pourrait réellement être un candidat potentiel" pour cette pandémie. En outre, il a exprimé sa préoccupation concernant la comète ISON qui pourrait être le facteur déclenchant du killshot, dont il a mis en garde depuis des années. "Toutes ces choses s’emboîtent comme les pièces d'un puzzle," a t-il indiqué. Dans la mesure ou la comète est censé passer près du soleil en Novembre, Dames suppose que fin 2013 ou début 2014, pourrait être le moment ou ces événements se dérouleront. "Même le Dr Doom commence à avoir peur désormais», se dit-il, «et quand le Dr Doom prend peur, se devrait être une alerte rouge pour beaucoup de gens."

Alors autant pour le crash économique, il est évident qu'on y aura droit à un moment ou un autre, tout le monde s'y attend à part ceux qui préfèrent fermer les yeux en attendant que ça passe.

La pandémie associée parait crédible et l'hiver prochain pourrait être décisive (encore une grippe créer en laboratoire... certainement, à suivre). Les événements passés et présents nous montrent que le soleil peut faire de gros dégâts et qu'il produit des éruptions de plus en plus fortes, un "Killshot" est donc possible.


Par contre, pour le coup des nord-coréens qui viendraient mettre des bombes nucléaires aux États-Unis, très franchement, nous n'y croyons pas. Ne voudrait-on pas nous faire croire que de futurs explosions nucléaires aux État-Unis proviendrait des coréens alors que ce serait un coup monté des américains (les "false flags" sont un grand classique chez eux). Une opération de ce type ("ring of fire") avait d'ailleurs été évoquée impliquant l'implantation de bombes nucléaires dans plusieurs villes du territoire américain qui seraient un jour déclenchées pour mettre en place un état policier, des mesures répressives contre la population (camps FEMA, confiscation des armes, la loi martiale etc..), et en fonction de l'origine des menaces, des mesures pourraient être logiquement entreprises en représailles par les américains (attaques particulièrement en Corée du Nord et en Iran, les deux bêtes noires des USA et de la mafia mondialiste).

À la lumière de ces nouvelles déclarations, soit les "remote viewers" n'ont pas compris l'origine de la menace attribuée faussement aux nord-coréens sinon on cherche délibérément à nous induire en erreur...

Dans l'absolue, on peut aussi se dire que l'ensemble de ces menaces sont crédibles mais qu'elles pourraient être provoqués par l'homme : un crash mondiale (aucun soucis), une pandémie (ça a déjà été fait), des explosions nucléaires ("ring of fire" en est un exemple). La seule menace qui est difficilement falsifiable est le Killshot lui-même (même si des explosions EMP, accompagnés de coupure des centrales électriques feraient peut être illusion).

Que ces menaces soient d'origine naturelle ou fabriqués par les hommes, dans les deux cas, l'avenir parait bien sombre d'après les prédictions des remote viewers.

D'ailleurs, lorsque l'on voit à quel point la planète est en train de changer avec de la neige au mois de Mai en Écosse, un tsunami de neige aux États-Unis, le réveil de plusieurs volcans, des morts inexpliqués et massives d'animaux partout dans le monde, l'augmentation constante du nombre de séismes et j'en passe! Ainsi que les signes annonciateurs du Killshot, indéniables... Or, on ne peut que constater que quelque chose ne tourne pas rond sur la planète bleu et que ça ne va probablement pas aller en s'arrangeant.

Autre fait dérangeant, Ed Dames n'a fait aucune autre prédiction pour après le Killshot...

Pourquoi cela? La fin du monde qu'on nous annonçait soit disant pour le 21 décembre n'était pas la fin du monde mais la fin d'un monde et le début d'un autre : ces événements, s'ils ont lieu, amorceront-t-ils des changements majeurs pour notre civilisation ?

On constate que ce premier semestre 2013 a déjà permis d'amorcer des changements ; certains d'ordre météorologiques, d'autres d'ordre plus terre à terre, avec de plus en plus de catastrophes et de scandales qui émergent...

On assiste à une vrai prise de conscience de la population sur bien des sujets. Les gens se rendent davantage compte que les gouvernements et les médias les manipulent depuis longtemps, trop longtemps.

D'ailleurs, la théorie fumeuse de la fin de monde pour 2012 a été en grande partie orchestrée par les médias, tantôt à coup d’émissions à la télé, tantôt avec des articles aux titres cataclysmiques sans oublier le film 2012. Une fois que la sauce a pris, le bouche à oreille et internet à fait le reste. Ils ont dû se dire qu'une fois cette théorie éventée, les gens ne prêteraient plus attention aux signes plus inquiétants qui viendraient. Nous ne savons pas clairement ce qui nous attends, l'élite elle a l'air de le savoir et depuis longtemps.

Cet article pointe le doigt sur des éléments qui indiquent que les gouvernements s'attendent à un événement majeur à venir à partir de 2013:

- Les missions spatiales américaines ont été arrêtés à la mi 2011. Après tous les investissements déjà engagés par la NASA pour conquérir l'espace, tout stopper sans raison est suspect : c'est comme s'ils anticipaient de ne plus pouvoir le faire à l'avenir.

- L'Arche de Svalbard contenant une grande partie des semences mondiales a été construite afin de permettre de recommencer l'agriculture après une catastrophe globale. Tout a été fini pour 2012.


- Le montant de la dette des États-Unis est sans cesse repoussé (tout comme celui de la plupart des pays) comme s'ils n'envisageaient pas réellement d'avoir à payer ces dettes un jour (qu'ils n'arriveront de toute façon jamais à faire à moins de faire un braquage à la chypriote...et encore).

- Les gouvernements agissent tous comme si le dollar n'allait plus être la monnaie internationale de référence.

- Des gouvernements telles que les États-Unis, la Russie et la Chine ont creusés sans relâche d'immenses bunkers sous-terrains depuis des années. Tous étaient prêt pour la même période. Les États-Unis ont même creuser une ville sous-terraine sous l'aéroport de Denver pour servir de base de repli pour le gouvernement US.

Ce documentaire, réalisé en 2012 par Jesse Ventura parle à la fois du killshot et de l'aéroport de Denver :


Voici quelques images de bases souterraines :


Pourquoi ces gouvernements auraient dépensés tant d'argent et d'énergie s'ils n'anticipaient pas de manière certaine un cataclysme majeur à venir? Nous verrons dans un prochain article ce qu'implique le Killshot et ce qui peut être fait pour s'y préparer. Les six mois à venir nous permettront de voir vers quoi tout cela va nous mener, gardons espoir.


Sources:

mercredi 7 août 2013

ALERTE À FUKUSHIMA : SITUATION CRITIQUE!!!

Fukushima : "On va pomper une partie de l'eau, mais la radioactivité va rester"

Alerte sur les conséquences à très long terme des fuites d'eau contaminée de la centrale nucléaire accidentée...


Des experts et des élus en train d'inspecter les installations censées contenir les fuites d'eau radioactives, le 6 août 2013, à la centrale nucléaire de Fukushima (Japon). (KYODO KYODO / REUTERS)

Fuite radioactive au Japon. La centrale nucléaire accidentée de Fukushima relâche environ 300 tonnes d'eau contaminée chaque jour dans l'océan Pacifique. Un chiffre révélé, mercredi 7 août, par le gouvernement japonais, convaincu que les fuites durent depuis deux ans.

Pour Jérôme Joly, directeur général adjoint de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, l'impact environnemental des fuites d'eau contaminée reste marginal, comme il le confie à l'AFP. Laura Hameaux ne partage pas cet avis. La porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, livre à francetv info son sentiment sur cette nouvelle évolution concernant le site de Fukushima.

Francetv info : Comment avez-vous accueilli l'information sur les fuites d'eau radioactive quotidienne ?

Laura Hameaux : Pour nous, ce n'est pas une surprise. Nous travaillons avec des experts indépendants depuis le début de la catastrophe. Il ne pouvait pas en être autrement, l'accident de Fukushima ne pouvait qu’empirer. Il ne pouvait pas être réglé en quelques semaines. 

L'élément nouveau, c’est que Tepco [l'exploitant de la centrale] change son fusil d'épaule et reconnaît qu'il y a des fuites, après nous avoir dit le contraire pendant deux ans. Tepco a déversé des tonnes d'eau sur les réacteurs, il était impossible que cela reste confiné. Désormais, il existe un nouveau risque, avec le débordement des nappes phréatiques. 

Quels dangers engendrent ces déversements ?

Ils sont liés à la radioactivité : d'abord, des dangers importants pour la santé. Le directeur du site, [qui y a passé beaucoup de temps après l'accident], est mort d'un cancer. L'autre risque réside dans la pollution importante pour des dizaines, voire des centaines d'années. Le césium [un élément radioactif] possède une demi-vie de 30 ans [c'est-à-dire qu'il perd la moitié de sa radioactivité en 30 ans], mais cela peut prendre des centaines d'années pour que sa radioactivité soit nulle.

Les océans vont être contaminés, et par conséquence toute la chaîne alimentaire de ce milieu aquatique. Les mollusques, notamment, ont la particularité de fixer toutes les matières radioactives, comme les champignons.

Quelle zone géographique pourrait être touchée par cette contamination ?

Il s'agit là d'un autre problème. Les particules radioactives peuvent être transportées sur de très longues distances. Elles suivent les courants et peuvent être véhiculées par les poissons sur leur trajet de migration. 

N'oublions pas aussi que la radioactivité porte atteinte au génome, et que les risques peuvent donc se transmettre de génération en génération. Par exemple, en Ukraine, de nombreux enfants sont malades alors qu’ils sont nés après la catastrophe de Tchernobyl [en 1986].

Les solutions envisagées par l'exploitant Tepco vont-elles permettre d'améliorer la situation ?

Non. Tepco a toujours minimisé les risques, c'est sa stratégie de communication. La société a toujours intérêt à laisser penser qu'elle maîtrise la situation. Mais concrètement, injecter des solutions chimiques pour solidifier les nappes phréatiques ou faire croire que l'on peut pomper toute l'eau contaminée, il s'agit là de chimères. Cela ne règle rien.

On va pouvoir pomper une partie de l'eau, mais la radioactivité va rester. On ne peut pas la faire disparaître. Il n'y a pas de solution. C'est pour cela qu'on s'est inquiété depuis le début. Les ennuis ne font que commencer.


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mardi 6 août 2013

FUKUSHIMA : LA SITUATION EST CRITIQUE !!!


Plus de deux ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima, la situation reste explosive et l’Autorité de régulation nucléaire japonaise (NRA) a décrété ce matin une « situation d’urgence ».

La raison de cette décision, de l’eau hautement radioactive qui se déverse dans l’océan Pacifique et qui dépasse les limites légales d’écoulement. Tepco, l’opérateur de la centrale endommagée n’est pas en mesure d’en trouver la source et l’on ne connaît pas les conséquences de son écoulement sur la biodiversité marine. Toutefois, les poissons et autres formes de vie pourraient rapidement être affectées suivis des hommes qui consommeront leur chair.

Tepco a estimé dimanche que vingt à quarante mille milliards de becquerels se sont déversés dans l’océan depuis mai 2011. L’opérateur n’a admis qu’au lendemain d’élections sénatoriales en juillet dernier que de l’eau chargée de tritium, de strontium, de césium et d’autres éléments radioactifs se déversait dans l’océan. L’opérateur tentait alors de rassurer la population en déclarant que l’analyse de l’eau de mer « ne montrait pas d’augmentation anormale des taux de radioactivité » bien que le niveau de radioactivité dépassait de plusieurs dizaines de milliers de fois la dose limite admise pour l’eau de mer.

Tepco tente de colmater les fuites en injectant un produit chimique sous terre afin de solidifier les sols, mais qui ne serait pas efficace au niveau des nappes phréatiques selon le quotidien japonais Asahi.

jeudi 1 novembre 2012

SANDY : RÉSULTAT DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE?


Sandy : un avant-goût du réchauffement climatique? 

On l’a appelée Sandy, mais surtout, la « Frankenstorm » en raison d’une collision inhabituelle entre le chaud et le froid. Mais à quel point inhabituel? Au point de dire qu’elle était amplifiée par le réchauffement climatique... et qu’il y en aura d’autres comme elle? Retour sur des éléments de réponses publiés au fur et à mesure depuis lundi.

29 octobre, 9 h 30 : Pour le militant environnemental Bill McKibben, il ne fait aucun doute que cette « Frankenstorm » est le résultat de l’action de l’homme sur le climat. « Vous ne pouvez pas, comme les climatosceptiques se plaisent à le dire, blâmer le réchauffement planétaire pour n’importe quel ouragan... Mais quand l’océan est chaud — et à ce moment, la température de surface de l’océan au large du Nord-Est [des États-Unis] est de cinq degrés [Fahrenheit] au-dessus de la normale — une tempête comme Sandy peut rester au nord plus longtemps et avec plus de force... Frankenstorm est un nom adéquat pour Sandy, et de fait pour beaucoup d’autres tempêtes et sécheresses et canicules à présent. Ils sont liés les uns aux autres par quelque sinistre combinaison du naturel et de l’artificiel. »

Et il y aura d’autres tempêtes, poursuit McKibben : « Mon État natal [le Vermont] a subi le plus gros d’Irene, la tempête “record” de l’an dernier... Je sais maintenant quel pouvoir un océan plus chaud peut receler et à quelle distance la douleur peut s’étendre. Et revivant cette peur, je commence à sentir ce que le futur pourrait être, alors que de plus en plus de gens dans le monde font face à des assauts encore plus fréquents des forces de ce monde-pas-si-naturel. »

29 octobre, 10 h : Pour le météorologue Stu Ostro, du Weather Channel (28 octobre), spécialiste des événements extrêmes, « l’histoire est en train de s’écrire ». « Rassemblement d’une combinaison météorologiquement renversante : une des tempêtes tropicales les plus étendues [jamais observées]; un virage abrupt à gauche en direction du New Jersey, sans précédent dans les bases de données historiques, alors que l’empêche d’aller se perdre en mer un ensemble qui comprend une crête exceptionnellement puissante de haute pression au-dessus du Groenland; un cyclone tropical au cœur chaud, enveloppé dans une tempête du nordet (nor’easter) plus large; et éventuellement, de l’humidité tropicale et de l’air arctique se combinant pour produire de la neige dans les montagnes intérieures. C’est une situation extraordinaire, et je ne suis pas sujet à l’hyperbole. »

29 octobre, 11 h : Quant à ce front froid de l’Arctique venu compliquer les choses, il ne surgit pas de nulle part. Ses semblables ont été plus nombreux ces dernières années, et il est possible que ce soit lié à la fonte des glaces. Fonte qui, cette année, atteint un nouveau record, ce qui pourrait altérer la météo, soulignait dès le 30 septembre Andrew Freedman, du blogue Climate Central. 


Il en profitait pour pointer une étude parue ce printemps, sous la direction de Jennifer Francis de l’Université Rutgers, liant les changements climatiques rapides que vit l’Arctique aux événements extrêmes des États-Unis et de l'Europe. « Pourrait conduire à une probabilité plus élevée d’événements météorologiques extrêmes ». 

29 octobre, 13 h : La même Jennifer Francis intervient sur le blogue DotEarth du journaliste Andrew Revkin (28 octobre), à propos du lien possible entre la fonte record des glaces de l’Arctique et la tempête record qu’est Sandy. « Le type de courant-jet (jet-stream) (...) qui a été en place depuis deux semaines (...) est exactement du type, très amplifié, que je m’attends à voir davantage en réponse à la perte de glace et au réchauffement accru dans l’Arctique. […] Il se pourrait que le réchauffement généralisé, de pair avec des températures élevées à la surface de l’océan, ait allongé la saison des tempêtes tropicales, rendant plus probable la formation d’une Sandy et son déplacement si loin vers le nord, lui fournissant l’opportunité d’interagir avec un puissant courant-jet... »

29 octobre, 14 h 30 : Réchauffement climatique signifie nécessairement davantage de tempêtes majeures, convient Kevin Trenbeth, du Centre de recherche atmosphérique des États-Unis (28 octobre). Mais le lien avec l’Arctique, pour lui, c’est autre chose. « Les températures à la surface de l’océan, le long de la côte, sont d’au moins 5 degrés Fahrenheit au-dessus de la moyenne, et un de ces degrés provient du réchauffement planétaire. Il en résulte de plus violentes tempêtes et davantage de précipitations. Mais pour ce qui est du lien avec l’Arctique, je n’y crois pas (...) Il y a plusieurs possibilités dans l’hémisphère nord. L’une peut être la fonte de la calotte glaciaire de l’Arctique, une autre peut être le rétrécissement de la couche d’ozone et sûrement des événements dans la stratosphère. »

29 octobre, 16 h 15 : Depuis un mois, au moins trois études ont tracé un lien entre réchauffement climatique et la météo telle qu'elle est en train de se transformer.

La première (Nature Geoscience, 30 septembre) conclut que les systèmes de haute pression d’été, au-dessus des océans, vont s’intensifier au cours du prochain siècle à cause de l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

La deuxième (Geophysical Research Letters, 10 octobre), révèle que les systèmes atmosphériques au-dessus de l’Arctique ont été altérés par la fonte des glaces, avec des impacts imprévisibles sur la météo au-dessus de l’Europe et de l’Amérique du Nord.

La troisième (PNAS, 15 octobre) conclut que les ouragans du type de Katrina, qui a dévasté la Nouvelle-Orléans en 2005, sont deux fois plus nombreux (depuis 1923) dans les années « chaudes » que dans les « froides ».

29 octobre, 20 h 50 : Cela dit, rappelle l’auteur Adam Frank, la question est complexe. C’est récemment, rappelle-t-il, que les chercheurs ont commencé à prendre le problème de « l’attribution » au sérieux — c’est-à-dire la possibilité que certains événements météo puissent être attribués au réchauffement climatique, et la possibilité qu’on puisse calculer cette probabilité. Mais... « il existe une hiérarchie d’événements dont les scientifiques ont le sentiment qu’ils les comprennent assez bien pour établir des liens avec les changements climatiques. La hausse globale des températures et les canicules figurent en haut de cette liste, mais les ouragans, en bas. »

29 octobre, 22 h 30 : Bill McKibben, encore — fondateur de 350.org, et ce que les États-Unis ont de plus proche d’un chef de file environnemental. Se référant à l’année qui s’achève — records de chaleur aux États-Unis, fonte de l’Arctique, et à présent cette tempête — il déclarait ce matin : « S’il n’y a jamais eu quelque chose pour nous réveiller, c'est le moment. »

30 octobre, 7 h 30 : Sans commentaires.

climateprogress 
9:41pm 
CNN's meteorologist just said: "There's no one that's not 300 years old that has seen anything like this."

30 octobre, 13 h 20 : La leçon servira peut-être à New York — qui n'avait pas connu de tel ouragan depuis plus d'un siècle — pour s'adapter à une hausse prévisible du niveau des eaux, écrit ce matin le New York Times. « Avec des mers plus élevées, même une tempête ordinaire pourrait se révéler aussi désastreuse qu'une rare tempête majeure comme Sandy, suggèrent ces experts. Si les eaux montaient de 4 pieds [1 mètre 20] d'ici aux années 2080, 34 % des rues de la ville seraient dans la zone à risque d'inondation, prévenait une étude commandée en 2011 par l'État, contre seulement 11 % maintenant. »

30 octobre, 16 h 15 : Un bon texte de vulgarisation de la revue Quartz sur les liens, connus et inconnus, entre réchauffement climatique et ouragans.

30 octobre, 16 h 30 : L'éditorialiste du Star-Ledger, un des principaux quotidiens du New Jersey, qui a littéralement reçu Sandy en plein visage, s'inquiète lui aussi : « Plus personne ne parle des changements climatiques. Mais soyons sérieux : cet ouragan est exactement la sorte d'événement dont les scientifiques nous ont prévenus. Certes, les climatosceptiques vous diront qu'un ouragan comme Sandy aurait pu nous frapper de toute façon, et que des tempêtes de ce type se produisaient longtemps avant la révolution industrielle. C'est vrai. Mais lorsque nous voyons une série sans fin d'événements météo briser des records à travers le monde, toute personne saine d'esprit doit admettre que quelque chose va terriblement de travers. » 

Quelques clichés des ravages causés pas Sandy....








mardi 30 octobre 2012

L'OURAGAN SANDY POURRAIT INFLUER SUR LES ÉLECTIONS AUX USA! UN COUP DE HAARP?


Alors que nous indiquions récemment que l’ouragan Sandy pourrait ne pas être totalement dû aux caprices de Dame Nature, ses conséquences sur l’île de Cuba étant loin d ’être négligeables - le projet Haarp pouvant alors éventuellement être mis en cause en tant que véritable « arme climatique » - nous apprenons désormais que l’ouragan pourrait avoir des incidences non négligeables sur les élections présidentielles américaines … rien que cela !!!

Sandy pourrait en tout premier lieu empêcher des électeurs de voter par anticipation, une procédure sur laquelle misent beaucoup les démocrates.

Précisons parallèlement que la technologie développée dans le cadre du High-frequency Active Aural Research Program (HAARP), est capable quant à elle de provoquer des phénomènes tels que des sécheresses, des ouragans, des tremblements de terre et des inondations …

En tout état de cause, l’ouragan, qui a déjà causé la mort de 44 personnes dans les Caraïbes (un en Jamaïque, un aux Bahamas, 29 en Haïti, 11 à Cuba et deux en République dominicaine), risque de frapper une large part du territoire américain en tout début de semaine …. la dernière de la campagne électorale pour l’élection présidentielle du 6 novembre.

« Sandy est un cyclone tropical très étendu », indique ainsi le Centre américain de surveillance des ouragans (NHC). « Comparé à Irene », qui avait touché en août 2011 la côte atlantique et inondé des villes entières, laissant derrière lui 47 morts, « on attend un impact plus important par rapport à la montée des eaux, est-il également indiqué.

L’ouragan remonte actuellement vers le nord parallèlement à la côte américaine, et devrait rencontrer mardi des fronts froids descendants, ce qui devrait la renforcer et la faire bifurquer vers l’ouest et les côtes américaines.

Lundi ou mardi, elle pourrait toucher jusqu’à un tiers du territoire américain, des États de Caroline (est) jusqu’à ceux du nord-est et, à l’intérieur des terres, jusqu’à l’Ohio.

Le service américain de météorologie s’attend non seulement à « d’importantes précipitations, des vents violents et des montées des eaux significatives » sur la côte allant de la Virginie à New York mais également à d’importantes chutes de neige à l’intérieur des terres.

Le gouverneur de l’État de New York a déclaré l’état d’urgence, le maire de la ville, Michael Bloomblerg, a invité quant à lui les habitants à bien s’informer.

Le maire de la capitale, Washington, Vincent Gray, a lui aussi déclaré l’état d’urgence, également déclenché dans le Maryland, la Pennsylvanie, la Virginie et un comté de Caroline du Nord.


À dix jours de l’élection présidentielle US du 6 novembre, le candidat républicain Mitt Romney et du vice-président démocrate Joe Biden ont chacun dû annuler leurs déplacements, prévus respectivement dimanche et samedi, à Virginia Beach en Virginie.

Le président Barack Obama a demandé à l’agence fédérale de gestion des crises (Fema) de s’assurer qu’elle puisse aider les zones potentiellement affectées, en se tenant régulièrement informée de la situation.

Jeudi matin, à l’heure où un ouragan approchait des rives de Cuba – phénomène météorologique qui s’était d’ores et déjà produit fin août, mettant en péril la convention républicaine (tout de même …) – nous pouvions raisonnablement nous interroger sur l’éventualité que les Etats-Unis usent d’une nouvelle arme climatique telle que le projet HAARP.

Le fait que l’île de Cuba soit « visée » par un ouragan n’ est peut-être pas totalement dû au hasard avais-je déjà laissé entendre … Certains et non des moindres – tel que Hugo Chavez accusant les États-Unis d’avoir user d’une arme telle que HAARP pour provoquer le séisme d’Haïti, le but ultime pouvant être d’obtenir la main-mise sur Cuba et le pétrole du Venezuela … tout en réalisant un « test » grandeur nature d’une opération conduisant à l’anéantissement de l’Iran …grand allier du Venezuela. 

- La tempête Isaac met en péril la convention du parti républicain

Le 22 août 2012 dernier, la presse annonçait que la tempête tropicale Isaac se dirigeait vers Haïti et Cuba et pourrait se transformer en ouragan … provoquant notamment l’annulation d’une série d’audiences des accusés du 11-Septembre sur la base américaine de Guantanamo à Cuba, audiences déjà reportées deux fois, en raison du ramadan d’abord, puis pour des raisons techniques.

Une alerte à l’ouragan avait été lancée pour Haïti. Les prévisionnistes indiquant que Isaac pourrait déverser 51 centimètres de pluies sur Haïti, alors que nombre de personnes vivent encore dans des bidonvilles à la suite du tremblement de terre.

Les dépêches d’agences indiquaient par ailleurs qu’Isaac présentait aussi potentiellement une menace à la convention du parti républicain américain organisée en Floride.

«Il faudrait des conditions « idéales » pour que cette tempête devienne un ouragan à proximité de Tampa au moment de la convention, mais c’est une des possibilités décrites par nos modèles de prévisions», estimait parallèlement le météorologue Jeffrey Masters. 

- Quand le Parlement européen s’alarme lui aussi …


Un document faisant office de rapport du parlement européen sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère, explique parfaitement en quoi consiste le programme Haarp, « n’hésitant pas à révéler ses objectifs les plus obscurs » indique par ailleurs le site Mecanopolis.

Lequel précise que la Commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense a rendu ce rapport en date du 14 Janvier 1999. La commission ajoutant et recommandant : « L’opinion publique ignore pratiquement tout du projet HAARP et il est important qu’elle soit mise au courant ».

Mme Maj Britt Theorin, députée européenne, rapporteur du dossier indique clairement dans le document que « depuis les années 50, les États-Unis procèdent à des explosions nucléaires dans les ceintures de Van Allen afin d’examiner les effets des impulsions électromagnétiques qu’elles déclenchent sur les communications radio et le fonctionnement des équipements radars ». 

« Ces explosions ont généré de nouvelles ceintures de rayonnement magnétique qui ont pratiquement entouré la terre tout entière » ajoute par ailleurs le rapport.

« Le champ magnétique terrestre pourrait s’étendre sur de vastes zones et empêcher toute communication radio. Certaines scientifiques américains estiment qu’il faudra plusieurs centaines d’années avant que les ceintures de Van Allen retrouvent leur état initial » s’alarme-t-elle encore. Ajoutant que « HAARP peut bouleverser les conditions climatiques » et que « tout l’écosystème peut être menacé, en particulier dans l’Antarctique où il est fragile. »

En raison de l’ampleur de ces incidences sur l’environnement, HAARP constitue un problème global et il faudrait évaluer si les avantages que procure ce système compensent les risques encourus. 

« Ses incidences écologiques et éthiques doivent être évaluées avant la poursuite des travaux de recherche et la réalisation d’essais » était-il encore suggéré. 

Le rapport indiquant très clairement que « ces travaux de recherche doivent être considérés comme extrêmement néfastes pour l’environnement et la vie humaine ». 

Une série d’accords internationaux ("la convention sur l’interdiction d’utiliser à des fins militaires ou à d’autres fins hostiles des processus modifiant l’environnement, le traité sur l’Antarctique, l’accord établissant les principes des activités des États en matière de recherche spatiale, en ce compris la lune et d’autres corps spatiaux ainsi que la convention des Nations unies sur le droit maritime) font que HAARP est un projet hautement contestable non seulement sur les plans humain et politique mais aussi du point de vue légal. En vertu du traité sur l’Antarctique, l’Antarctique ne peut être utilisée qu’à des fins pacifiques, ce qui signifie que HAARP enfreint le droit international » indiquait également le texte.

lundi 29 octobre 2012

LA TEMPÊTE "SANDY" SURNOMMÉE : "THE FRANKENSTORM"

L'art du "fake" : Photo montage de l'ouragan Sandy à New York. (DR)

La tempête Sandy a touché terre lundi soir dans l'État américain du New Jersey... La tempête post-tropicale Sandy se déplaçait à environ 44 km/h et génèra des vents de 150 km/h et des pluies diluviennes.

Maintenant, au moment où nous publions cet article, soir de pleine lune, la tempête Sandy, surnommée "Frankenstorm" touche déjà les provinces de l'Ontario et du Québec au Canada en poursuivant de faire ses ravages sur son chemin...

Durant ce temps, aux États-Unis, plus de 1,5 million de foyers sont déjà privés d'électricité et d'importantes inondations touchent plusieurs villes côtières. Les eaux ont commencé à submerger des quartiers entiers du sud de Manhattan, des trombes d'eau s'engloutissant notamment dans le secteur de Battery Park.

Le président Barack Obama a décrété l'état d'urgence dans une dizaine d'États, dont New York, le Maryland et le Massachusetts, ainsi que dans le District de Columbia, ce qui permettra au gouvernement fédéral d'allouer rapidement des fonds et les ressources nécessaires aux sinistrés et aux services d'urgence.

Lors d'une conférence de presse, ce lundi, le président a lancé un appel à la solidarité des Américains.

Cette dépression de fin de saison est selon les experts l'un des plus vastes et puissants cyclones à avoir été observés sur la côte est des États-Unis.

La mégatempête a frappé l'une des zones les plus peuplées d'Amérique du Nord. On estime qu'environ 60 millions de personnes seront affectées par le cyclone, rebaptisé "Frankenstorm" par les météorologues américains.
New York, presque une ville fantôme

Au cours d'un point de presse, en fin d'après-midi, le maire de New York, Michael Bloomberg, a demandé aux 375 000 personnes situées dans des zones à risque de prendre au sérieux l'ordre d'évacuation émis la veille, affirmant que cela permettrait de sauver des vies.

L'ordre d'évacuation touche notamment une partie de Lower Manhattan et des Rockaways, une région côtière basse dans l'arrondissement de Queens. M. Bloomberg a en outre recommandé aux New-Yorkais de rester à l'intérieur.

Le gouverneur de l'État de New York, Andrew Cuomo, a pour sa part annoncé la fermeture de plusieurs ponts dans l'agglomération de New York, dont certains reliant l'île de Manhattan à Long Island et à Brooklyn, en raison de la violence des vents. Plus tôt, il avait fait fermer deux des principaux tunnels routiers de New York, les tunnels Holland et Battery, paralysant encore davantage la ville, dont les transports publics - métro, bus et trains - sont suspendus depuis dimanche en raison des risques d'inondations.

Les autorités ont précisé que le réseau de transports en commun, le plus important en Amérique avec 8,5 millions de passagers par jour, ne verrait son service rétabli que 12 heures après la fin de la tempête.

La Bourse de New York a en outre été fermée et le restera jusqu'à mercredi. C'est la première fois que Wall Street est fermée pour cause d'intempéries depuis l'ouragan Gloria, en 1985.

Le siège des Nations unies, les théâtres de Broadway, les parcs, les aires de jeux, les plages, le port et les écoles ont également fermés, tout comme les casinos du New Jersey pour ce beau lundi d'octobre...

Des dizaines d'abris d'urgence ont été répertoriés

Les policiers ont aussi érigé un périmètre de sécurité dans le secteur d'un édifice en construction sur lequel une grue s'est effondrée.

La garde nationale a par ailleurs été mobilisée, alors que des dizaines de milliers de fonctionnaires, d'enseignants et d'étudiants sont en congé.

Des villes comme Philadelphie ou Washington ont elles aussi interrompu les services de transport en commun, pendant que des habitants et employés de réseaux de transport empilaient des sacs de sable pour tenter de contenir d'éventuelles inondations.

Les épiceries et les supermarchés de la côte est ont été pris d'assaut par les résidents qui voulaient stocker des vivres, en prévision de pannes de courant qui pourraient durer quelques jours, selon les secteurs touchés.
Des dizaines de milliards de dollars de dégâts anticipés...

Selon les premières estimations de la société spécialisée Eqecat, la tempête Sandy pourrait causer de 10 à 20 milliards de dollars de dégâts et entraîner 5 à 10 milliards de pertes pour les assureurs.

En comparaison, les dégâts causés par l'ouragan Irène, en 2011, ont été évalués à 10 milliards de dollars tandis qu'Ike, qui avait frappé les États-Unis en 2008, avait coûté 20 milliards de dollars à l'économie américaine.

Cocktail climatique

Sandy, un ouragan typique de fin d'été provenant des Tropiques, devient un système particulièrement menaçant à la rencontre d'autres phénomènes climatiques.

Ce cocktail vient de la descente d'un front de haute pression centré autour du Groenland et d'un front froid hivernal provenant de l'Ouest qui dirigeront l'ouragan vers la terre ferme plutôt que vers le large.

Ce monstre climatique devrait entraîner des précipitations pouvant atteindre 30 centimètres de pluie ou 60 centimètres de neige avec des vents de plus de 100 km/h.

Centrales Nucléaires

''En raison de la taille de l'ouragan Sandy, il pourrait y avoir un impact sur les centrales côtières et dans les terres'', a dit au téléphone aujourd'hui Neil Sheehan, porte-paroles basé à Philadelphie de la Commission de Régulation nucléaire américaine. ''Nous allons laisser des inspecteurs sur les sites si nous apprenions qu'elles pourraient être visées directement.''

La commission s'est réunie aujourd'hui pour discuter des précautions nécessaires à prendre par rapport à la tempête, a dit Sheehan. Les centrales devront commencer à être stoppées si la vitesse du vent dépasse certaines limites, a-t-il dit.



Curieuse activité H.A.A.R.P.

L'ouragan de sable qui est décrit comme le "pire tempête depuis 100 ans" et éventuellement muter en super-tempête statut une fois il se combine avec une masse d'air polaire sur l'est des États-Unis qui lui permet de causer des dommages étendus et le chaos. 

Une intense activité HAARP a été enregistré sur la côte Est des Etats-Unis avant le passage de l'ouragan Sandy.

Selon haarpstatus.com "une lectures insolite d'ondes H.A.A.R.P. continuent de se produirent dans le nord-est avec un temps de grande longueur d'onde ce depuis le 19 Octobre, avec un pic il y a quelques jours. 

Sandy s'est développé à partir d'une onde tropicale allongée dans la mer de l'ouest des Caraïbes le 22 Octobre 2012. Il est ensuite devenu une dépression tropicale, rapidement renforcée, et a été mis au niveau de "tempête tropicale" six heures plus tard. Sandy se déplaçait lentement vers le nord en direction des Grandes Antilles et progressivement renforcé. Par la suite il s'est déplacé vers la côte est des États-Unis continuant de faire ravage, avant d'entrer enfin par les terre de l'État de New York et poursuivre sa route vers l'Ontario et le Québec, via les voies du St-Laurent! Sandy est vite considérée comme un ouragan imprévisible autant qu'insolite de par son ampleur et ses comportements.

La réalité de la modification du temps n'est pas la théorie du complot

Dès avant les années 50, les techniques de modification du climat ont existé. En fait, la menace d '«armes météorologiques" était si imminent que les Nations Unies ont jugé nécessaire de rédiger un traité garantissant qu'aucune nation ne utiliser ces "nouveaux moyens de guerre" contre l'autre. C'est d'ailleurs pourquoi le  l'ONU s'intéresse au dossier très sérieux de la  la modification de la température ou du climat et compte faire un traité officiel avec tous le pays concernés à ce sujet...

Dès 1976 les Nations Unies établisse un traités qui défini les "armes météorologiques» comme suit : «[...] le terme "techniques de modification environnementale" désigne toute technique ayant pour but de modifier - grâce à une manipulation délibérée des processus naturels la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, et de son espace environnant...»

Est-ce que H.A.A.R.P. serait en cause de la tempête Sandy?


Maintenant le comble...
La Station Spatiale aurait filmée
un OVNI au dessus de l'ouragan Sandy !

vendredi 19 octobre 2012

CANADA : UNE PSEUDO-EXPÉRIENCE SCIENTIFIQUE TOURNE À LA CATASTROPHE!!!


Une initiative scientifique pour le moins maladroite a entraîné la pollution de dix mille kilomètres carrés de l’océan Pacifique.

Au coeur du scandale, un géo-ingénieur américain à la réputation sulfureuse…

L’idée de Russ George, dont il faut bien reconnaître le caractère saugrenu ou en tout cas risqué ? Déverser cent dix tonnes de sulfate de fer dans l’océan Pacifique, au large de la Colombie-britannique (Canada), pour officiellement… augmenter les populations locales de saumons ! Effectué en catimini en juillet dernier, cet épandage sur lequel nos confrères du Guardianont mené l’enquête visait en réalité à générer une poussée de planctons capables d’absorber d’importantes quantités deCO2 (dioxyde de carbone) et à la monnayer en crédits carbone.

Abjecte et cynique, la démarche a hélas de graves conséquences puisque d’après les images satellites, quelque dix mille kilomètres carrés d’océan sont aujourd’hui infestés. La biodiversité de la région, déjà menacée entre autres par le gigantesque afflux de déchets consécutif au tsunami qui a ravagé une partie des côtes orientales japonaises en mars 2011, pourrait lui payer un très lourd tribut sur la durée.

L’initiative de M. George, à l’origine d’une véritable « marée de fer », pollution d’un nouveau genre dont la planète se serait volontiers passée, est d’autant plus condamnable que la fertilisation des océans est une pratique strictement encadrée par deux moratoires onusiens. Soulignons en outre que les spécialistes redoutent désormais une succession de marées toxiques qui pourraient dépeupler des zones entières et aggraver l’acidification des océans.


« L’histoire est pleine d’exemples de manipulations écologiques qui ont se sont retournées contre nous »
« Il est difficile, sinon impossible, de détecter et de mesurer l’importance des effets qui devraient se manifester dans des mois voire les années à venir », a néanmoins concédé John Cullen, membre de l’Université de Dalhousie (Canada) cité par le quotidien, selon lequel « certains effets possibles, comme la privation en oxygène des eaux profondes et l’altération d’importantes chaînes alimentaires, devraient suffire à faire passer l’envie de manipuler les océans ». Et de rappeler non sans raison que « l’histoire est pleine d’exemples de manipulations écologiques qui ont se sont retournées contre nous ».

Membre de l’ETC Group, fonds dédié à la surveillance technologique qui a été le premier à détecter la contamination, Silvia Ribeiro n’a de son côté pas caché son indignation, prônant dans les colonnes du Guardian, si d’aventure la culpabilité de M. George était avérée, « une réponse légale prompte contre son comportement et une action forte des gouvernements canadien et américain ». « Il est maintenant plus urgent que jamais que les pouvoirs publics interdisent fermement ce genre d’expériences de geo-ingénierie en plein air, qui donnent un prétexte aux décideurs et à l’industrie pour éviter de diminuer leurs émissions liées aux essences fossiles », a-t-elle ajouté.

L’entrepreneur, lui, a jadis dirigé l’entreprise Planktos, spécialisée dans la fertilisation océanique, mais dont les velléités ont toutes été stoppées par les gouvernements concernés. Ses bateaux ont même été interdits des ports équatoriens et espagnols… Il soutient néanmoins qu’Ottawa, par ailleurs réfractaire à un durcissement des moratoires onusiens en vigueur, était au courant de son projet et aurait même autorisé son équipe à s’appuyer sur des images satellites de l’agence spatiale canadienne.

Le conseil indigène d’un village de l’archipel de Haida Gwaii, au large de la Colombie-britannique, a enfin voté son projet, mais en méconnaissance de cause. Il reste que dès lors, M. George pourrait bien ne pas être inquiété par la justice…

source : Spread the Truth