mardi 30 octobre 2012

ENQUÊTE SUR « H.A.A.R.P. »


Comme toujours, les États-Unis (et ses complices) nous mentent... Ils ont secrètement travaillé sur une invention hors du commun, ayant les capacités de contrer les attaques de missiles, de brouiller ou couper les télécommunications, d’influer sur le climat ou même sur l’esprit humain!

Et quoi encore ! Il est plutôt difficile d’obtenir de l’information sur les projets concernant H.A.A.R.P (High Frequency Active Auroral Research Program).

Le projet HAARP est l'un des dossiers favoris des adeptes de la théorie du complot. Une rapide recherche sur le web permet de constater, sur les sites dédiés à mettre à jour diverses « conspirations », que d'autres intentions sont prêtées à ce projet. Sa capacité d'influencer l'ionosphère serait beaucoup plus importante qu'officiellement admise. Ces 180 antennes (selon le site officiel qui parle de 48 en 2003 et de 180 dans le futur) permettraient un jour de faire des recherches pour pouvoir modifier la météorologie, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l'ionosphère. 

Les principaux arguments à cet effet sont l'implication du ministère de la défense des États-Unis dans le projet, le manque d'explications précises sur l'utilité d'une telle installation et les doutes émis par plusieurs scientifiques internationaux.

JESS VENTURA ENQUÊTE...

Bon... on vous l’accorde... les documentaires réalisés par Jess Ventura ont une allure de TV show qui s’intéresse surtout à donner un spectacle sensationnaliste... Mais encore, on peut du moins le féliciter pour avoir aborder la plupart des sujets chauds, et avoir tenter de répondre aux question que le public se posait sur la plupart des sujets que les médias évitent d’aborder...



HAARP : LA NOUVELLE ARME ABSOLUE



Haarp, c'est quoi ? 
Les militaires américains sont passés maîtres dans l'art de camoufler leurs opérations secrètes sous le couvert de recherches pacifiques. Ainsi, HAARP signifie "High Atmosphere Auroral Rechearch Program" ("programme de recherche sur les aurores boréales en haute atmosphère"), un nom calculé pour ne faire peur à personne, avec un budget apparemment pas trop élevé (30 millions de dollars par an officiellement). 

En réalité, depuis plus de quinze ans, se déroule sous ce couvert un projet gigantesque de construction d'une nouvelle arme terrifiante. La première réalisation est une station située à Gakona en en Alaska, station dont la puissance double régulièrement au fur et à mesure que de nouvelles installations voient le jour (960 kW en 2003, 3,6 mégawatts en 2006, 20 mégawatts en 2008). D'autres stations sont en construction. Mais cela ne constitue que la partie émergée de l'iceberg. L'île américaine de Diego Garcia, au sud ouest de l'inde, serait un autre maillon de HAARP. Il y en aurait un autre à Pine Gap, en Australie.

L'objectif réel de HAARP est simple : pouvoir atteindre et bombarder à volonté n'importe quel point de la terre et de l'espace proche avec un faisceau d'énergie directif ultra-puissant... sans utiliser de satellite ! Mais en fait Haarp marche si bien qu'un grand nombre de nouveaux objectifs sont apparut possibles et sont en cours de développement / tests :

- Détruire en vol les missiles, fusées, avions et satellites,
- Mettre HS des installation electriques civiles et militaires
- Communiquer avec les sous-marin même à grande profondeur
- Provoquer des incendies dans des installations industrielles
- Interdire les communications radio sur une zone donnée, à volonté
- Scanner le sol et les océans à grande profondeur
- Manipuler à distance l'esprit des gens et le comportement des foules (si, si !)
- Réaliser un bouclier antimissile pour les USA
- Attaquer des cibles au sol
- Et même... contrôler le climat et créer une arme climatique

Ces objectifs ne sont pas bien sûr avoués par les américains, car ils sont contraire à la convention ENMOD de 1977 qui interdit les modifications de la biosphère à des fins hostiles. Notons cependant que les nations-unis ont récemment, sur l'instigation des américains, exclu de leur ordre du jour les changements climatiques résultant des programmes militaires. Cependant, les USA n'ont pu empêcher quelques informations de filtrer, et cela a commencé à alarmer les autorités de certains pays.

En février 1998, le Comité des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du parlement européen a tenu une audience publique à Bruxelles au sujet de HAARP. Ce comité à présenté au parlement européen en 1999 une motion stipulant que "HAARP... en vertu de son impact étendu sur l'environnement , constitue une préoccupation mondiale... [le comité] demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évalués par un organisme international indépendant... [le comité] regrette le refus réitéré des États-Unis d'apporter des preuves à l'audience publique concernant les risques pour l'environnement et le public du programme HAARP". Cette requête fut rejetée sous le prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s'immiscer dans les liens entre l'environnement et la défense. La vérité, c'est que Bruxelles ne souhaitait pas entrer en conflit ouvert avec Washington... Retenons une chose : HAARP, c'est du sérieux.

La Douma, le parlement Russe, s'est également inquiétée de HAARP : en 2002 ses membres ont exprimé leur vive inquiétude en évoquant "un saut qualitatif considérable en matière d'armement". Le rapporteur a indiqué trois sites prévus pour HAARP : Alaska, Groënland et Norvège. Un appel contresigné par 90 députés de la Douma a été transmis à l'ONU ainsi qu'au parlement et leaders des pays adhérents à l'ONU.

Comment ça marche ?
HAARP utilise les propriétés de l'ionosphère, une couche atmosphérique située à 270 Km d'altitude environ, qui possède la propriété de réfléchir les ondes radio. Les radio-amateurs connaissent bien l'ionosphère, c'est elle qui leur permet d'établir par exemple des liaisons radio transatlantiques, sans satellite. L'ionosphère est ainsi une sorte de miroir radio naturel, qui renvoie vers le sol les ondes radio (de certaines fréquences précises) émises depuis la terre. L'ionosphère est ainsi appelée parce que ce sont des ions (des atomes électrisés) qui réfléchissent les ondes.


Seulement l'ionosphère est capricieuse. Les conditions radio et les fréquences changent d'heure en heure, voire de minute en minute, et sont sujettes aux variations de l'activité solaire. C'est d'ailleurs dans l'ionosphère que se produisent les aurores boréales, ou aurores polaires.

D'où l'idée : et si on pouvait, avec un émetteur HF de forte puissance, contrôler l'ionosphère, au moins sur une petite portion (quelques centaines de kilomètres carrés), et la transformer en un miroir parfait, et même en un miroir parabolique parfait, est-ce qu'on ne pourrait pas en profiter pour envoyer un second faisceau d'ondes, bien plus puissant, qui se réfléchirait sur ce miroir pour frapper toute cible désignée avec une précision de quelques mètres ?

Dit comme ça, ça parait simple, mais les détails techniques sont très compliqués. Les américains, toutefois, semblent y être parvenus. La station de Gakona (Alaska), malgré sa gigantesque puissance HF émise, ne sert qu'à amorcer dans l'ionosphère les conditions radio pour que d'autres stations, bien plus puissantes (!) (on parle ici de gigawatts émises par radio) et opérant dans d'autres gammes de fréquence (VLF et ELF), puissent utiliser le miroir ainsi créé pour atteindre instantanément une cible au sol, en vol ou dans l'espace, partout dans le monde, et avec une puissance telle que la cible est immédiatement vaporisée. Haarp a ceci de "merveilleux" que le miroir ionosphérique fonctionne dans les deux sens et permet aussi de créer un radar parfait, donc de suivre la cible en même temps qu'on la détruit. Et comme l'ionosphère se désionise très rapidement, aucune preuve ne peut être apportée quant à l'auteur du tir. Ni vu ni connu ! Mais s'il n'y avait que ça...

De nombreux experts en armement et scientifiques ont fait part de leur vive inquiétude face à HAARP, y compris au parlement européen. Le physicien allemand Zielinsky et le chimiste Richard William affirment que les énormes puissances mises en jeu sont susceptibles d'influencer la météorologie d'un pays et d'y provoquer des effets catastrophiques. Gratan Healy, expert en énergie, a été chargé par des parlementaires de rassembler des preuves sur cette arme terrifiante.

La station de Gakona


Elle s'étend sur plusieurs hectares à Gakona, une petite localité au sud d'Anchorage. Elle est située tout à coté des immenses réserves de gaz et de pétrole de la société (écran) ARCO, qui est ... propriétaire des brevets HAARP. L'installation est reliée à l'un des plus puissants ordinateurs de la planète, sur le campus de l'université D'Alaska, dans le Butrovich building. Elle est protégée par un réseau de défense antiaérien comparable à celui de Washington : des batteries de missile sol-air sont disséminés partout en Alaska dans le seul but de protéger la station de Gakona. La photo ci-contre ne montre qu'une partie des installations, elle a été "caviardée", mais hélas je n'en ai pas trouvée de meilleure.

HAARP dispose (actuellement) de 48 énormes antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur de 1 mégawatt. Le projet à terme prévoit 360 antennes de 3 mégawatts chacune, soit 1 gigawatt ! (Et rappelons que c'est uniquement pour créer le "miroir" qui sera utilisé par des installations secrètes dont la puissance est largement supérieure... et reste inconnue).

Les émetteurs HF sont alimentés en énergie par 6 turbines brûlant 95 tonnes de diesel par jour. L'installation rejette 7 tonnes de déchets par jour.

En 2005, la société BAE Systems Advanced Technologies Inc, située à Washington D.C. s'est vue attribuer un contrat ferme de 35 mllions de dollars TTC dans le cadre des des contrats hors limitation d'attribution et de de volume ( N00014-02-D-0479 ) pour construire des transmetteurs haute fréquence dans la cadre du projet de rechercher HAARP, de recherche d'activation aurorale par hautes fréquences, situé à Gakoma, et opérant grâce à un système d'antennes émettrices. Le travail sera effectué à 72 % à Dallas, Texas, et à 28 % à Washington et il était prévu que tout serait achevé en juin 2007. Le Bureau des Recherches Navales, Washington S.C. est la structure chargée de gérer ce contrat. Bien sûr, ce n'est que l'un des multiples contrats liés à HAARP...

À quoi ça sert ?


Au début, il s'agissait simplement de faibles énergies: on utilisait des ondes HF émises depuis Gakoma pour ioniser l'ionosphère et créer un miroir sur lequel on envoyait des ondes ELF, utilisées pour communiquer par exemple avec les sous-marins : les ondes de très basses fréquences, ou ELF, ont en effet la propriété de pouvoir pénétrer plusieurs kilomètres sous terre ou sous la mer. Seulement ces ondes sont très peu directives, et il faut des antennes de plusieurs kilomètres de long (les sous-marins nucléaires traînent derrière eux des fil d'antenne de cette longueur).

Avec Haarp, l'ionosphère permet enfin de focaliser les ELF et d'envoyer des puissances gigantesques (on sait faire des émetteurs extraordinairement puissants dans ces gammes d'ondes) directement vers les sous-marins. Les applications sont incroyables puisque on parle même de recharger des batteries à distance...

Très rapidement, les militaires américains se sont aperçus que HAARP marchait super bien et que d'autres applications étaient envisageables : tout d'abord un "radar ELF" capable de scanner le sous-sol de la terre entière à la recherche de bases secrètes, et les mers à la recherche de sous-marins (qui ne donc sont plus du tout invisibles pour les américains, ce qui fout en l'air une bonne partie de la stratégie de dissuasion nucléaire, au moins française).

Enfin HAARP permet de créer une arme EMP, une arme à impulsion éléctromagnétique... sans faire péter de bombe atomique dans l'espace. Les armes EMP anéantissent instantanément toutes les communications et dispositfs électronique chez l'ennemi. Une arme EMP a été utilisée contre l'Irak en 1991 au cours de la guerre du gofe, ce qui explique pourquoi Saddam et sa clique se sont rendus si vite.

Mais le "jeu" ne s'est pas arrêté là : les américains ont très vite compris qu'ils pouvaient utiliser des énergies encore plus intenses pour détruire carrément des cibles terrestres ou aériennes... Et même carrément contrôler la météorologie ?

Contrôler le climat ?


Pour un scientifique comme moi, ça paraît dingue. Les énergies mises en oeuvre dans la nature sont en effet sans commune mesure avec les énergies humaines... . Mais il faut reconnaître que lorsque l'on voit ce que HAARP est capable de faire avec des nuages (voir ci-dessus)... On se met à douter. Et si les ricains avaient vraiment la capacité de créer / influencer des ouragans et des tornades ?

Mais attention, il y a beaucoup de phénomènes "amusants" et parfaitement naturels dans notre atmosphère. Je peux donner une explication à la photo de gauche : probablement des ondes de température, provoqués par le vent et le relief.

Il est possible que ce
tte histoire de contrôle du climat soit du vent. Peut-être s'agit-il simplement d'une opération de désinformation, destinée à détourner l'attention des véritables buts de HAARP.

Cette opération se déroulerait en trois temps : 1) les ricains laissent filtrer l'info comme quoi HAARP peut servir à manipuler le climat, 2) des soucoupistes et autres adeptes de la "conspiration" s'emparent de l'info. 3) les ricains les ridiculisent en faisant appel à n'importe quel expert météo qui affirmera que pour créer une tornade l'énergie nécessaire ne se chiffre ni en mégawatts ni même en gigawatts, mais en téra watts (milliers de gigawats) ou même d'avantage. Et c'est vrai !

MAIS... il est possible aussi qu'en agissant à certains endroits et moment clefs, même avec une énergie limitée comme celle de HAARP, on déclenche de dangereux phénomènes météo. Alors, le contrôle du climat, info ou intox ? Nous n'en savons rien... Ce qui est vrai, c'est que HAARP existe et que les américains s'en servent et y investissent des centaines de millions de dollars chaque année... ce qui est vrai aussi, c'est que le climat n'est plus ce qu'il était... et la Terre connait de plus en plus de cataclysmes, tremblements de terre, tsunamis, ouragans, etc...

Encore plus fort : manipulation mentale...


Un certain nombre de personnes se sont engagées dans un véritable jeu de détective afin de déterminer les véritables but de HAARP : Rosalie Bertelle, scientifique et consultante pour le parlement européen, et Nick Begish, écologiste qui avec Jeanne Manning, Journaliste indépendante, est l'auteur du livre "Les Anges ne jouent pas de cette HAARP", qui fit grand bruit...

Selon eux, les armes EMP (et à plus forte raison, HAARP) ont un effet psychologique perturbant sur l'être humain. Il se pourrait que HAARP, arme polyvalente s'il en est, puisse aussi être utilisée dans ce but. Une arme "psychotronique" utilisant une onde ELF (ultra basse fréquence) de forte puissance, capable de manipuler mentalement les populations à leur insu. Les ondes ELF sont en effet, comme l'avait découvert dès 1952 le professeur Jose Delgado de l'uniersité de Yale, capables de d'interférer avec les fréquences cérébrales et de provoquer la synthèse de substances neurochimiques altérant les émotions : peur, dépression, colère... Ceci pourrait expliquer pourquoi lors de la guerre du golfe, des milliers de militaires irakiens se sont rendus sans combattre...

Et c'est un fait que les molécules d'ADN et ARN, à cause de leur longueur, sont particulièrement sensibles aux hautes fréquences modulées en basse fréquence. Il est possible que des maladies affectant le système d'orientation des cétacés, les faisant s'échouer par troupeaux entiers sur les côtes (ce qui ne s'était jamais vu auparavant) soient causés par les essais HAARP pour communiquer avec les sous-marins.

Et cela fait des décennies que l'on sait qu'en plaçant la tête dans l'axe du guide d'onde d'un radar, dont la porteuse est modulée en fréquence, on entend nettement la modulation "dans sa tête", (ce qui ne doit pas être bon pour la santé...

Le texte suivant est extrait d'une revue interne du pentagone : "The revolution in military affairs - Strategic Studies Institute, US army War College", il a de quoi faire frémir :

"Nos valeurs changent et la technologie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l'armement psychologique étaient encore primitifs.

Alors que nous entrons de plein pied dans l'ère de l'électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire d'évaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant [toute technologie] pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis tant à l'intérieur du pays qu'à un niveau international...

Dès que ce sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée... Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d'armement comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psychotechnologiques avancées..."

On notera que HAARP n'est pas cité dans ce texte, mais si l'on sait lire entre les lignes... Il faut savoir aussi, qu'au mépris des conventions internationales, les américains expérimentent depuis plus de quarante ans des armes psychologiques, sous divers noms de code : Argus (1968), Solar Power Satellite (1968-1978), Space Shuttle Experiments (1985), Mighty Oaks (1986), Desert Storm (1991)...

HAARP, la première arme de "mind control" (contrôle de la pensée) à l'échelle mondiale ?

En tout cas, si c'est vrai, HAARP est vraiment l'arme absolue. Et si c'est faux, les autres capacités de ce projet sont tout aussi terrifiantes. On ne peut pas le laisser sans contrôle international !

H.A.A.R.P. : DES TROUS DANS LE CIEL


De la théorie du complot et de la géo-ingénierie militaire


Dans un rapport du Parlement européen du 14 janvier 1999 sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère, émis par la Commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense, on peut lire à plusieurs reprises des énoncés concernant le projet HAARPpour le moins détonants.

Aujourd’hui, en 2012, il est devenu patent pour quiconque lève les yeux au ciel, que le climat global connaît des dérèglements majeurs, incompréhensibles et hautement préjudiciables à la vie sur Terre pour les Terriens. Or, il suffit d’évoquer HAARP, entre autres, pour être aussitôt accusé de "théoricien du complot" ou, pire, de "révisionniste". En ce cas, le Parlement européen, dès 1999, devrait également être qualifié comme tel.

Ce rapport, après avoir énuméré les changements géostratégiques majeurs survenus depuis la fin de la Guerre Froide, ainsi que les diverses recommandations, tant au niveau militaire que civil, émises par diverses organisations nationales et internationales concernant l’urgence d’unir les forces en présence en vue de prévenir les désastres écologiques en cours, en vient assez rapidement au projet HAARP :

"Considérant que la recherche militaire porte actuellement sur la manipulation de l’environnement à des fins militaires, et ce en dépit des conventions existantes ; c’est le cas, par exemple, du système HAARP basé en Alaska."

En clair, cela signifie que dès 1999, il y a donc pratiquement dix ans, un organe transnational comme la Commission européenne savait que les militaires américains menaient des recherches sur la manipulation du climat. Pourtant, les responsables de la communication de HAARP ont toujours clamé qu’il ne s’agissait là que de recherches scientifiques, à des fins de détection de ressources minières et de communication.

Plus loin, on peut lire que le rapport...

27. considère que le projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Project), en raison de son impact général sur l’environnement, pose des problèmes globaux et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organe international indépendant avant la poursuite des travaux de recherche et la réalisation d’essais ; déplore que le gouvernement des États-Unis ait à maintes reprises refusé d’envoyer un représentant pour apporter un témoignage sur les risques que comporte pour l’environnement et la population le projet HAARP financé actuellement en Alaska, durant l’audition publique ou à l’occasion d’une réunion subséquente de sa commission compétente

28. demande à l’organe chargé de l’évaluation des choix scientifiques et technologiques (STOA) d’accepter d’examiner les preuves scientifiques et techniques fournies par tous les résultats existants de la recherche sur le programme HAARP aux fins d’évaluer la nature et l’ampleur exactes du danger que HAARPreprésente pour l’environnement local et global et pour la santé publique en général

29. invite la Commission à examiner les incidences sur l’environnement et la santé publique du programme HAARP pour l’Antarctique, en coopération avec les gouvernements de Suède, de Finlande, de Norvège et de la Fédération de Russie, et à faire apport au Parlement sur le résultat de ses investigations. 

"Implications juridiques, écologiques et éthiques", "risques", "la nature et l’ampleur exactes du dangerque HAARP représente pour l’environnement local et global et pour la santé publique en général", "incidences sur l’environnement et la santé publique".

Les mots sont lâchés. S’agit-il d’un complot de l’UE visant à discréditer HAARP et, de manière générale, les recherches secrètes menées par les forces armées américaines visant à s’approprier le contrôle du climat sur la Terre ?

Pour écrire et publier ce rapport, les rapporteurs de cette commission se sont-ils basés sur des rumeurs colportées par les fameux "théoriciens du complot" ?

On peut penser qu’il ne s’agit pas là de mots écrits au hasard, car les dangers évoqués sont globaux, tant au niveau environnemental que pour les populations. (Rappelons que nous qu'à ce moment-là, nous sommes en 1999). (Rappelons aussi que les porte-parole de HAARP et de cette famille de technologies ont toujours soutenu qu’il n’y avait là que recherches scientifiques, HAARP étant un laboratoire grandeur nature, pour expérimenter des travaux de recherche fondamentales, notamment en matière de détection de gisements de ressources naturelles dans les grands fonds et de communication tant civile que militaire utilisant la ionosphère comme vecteur). 

Dans le même rapport, au paragraphe suivant, le "Complot" franchit un pas supplémentaire : 

30. demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire au niveau global tout projet de recherche et de développement, tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres au développement d’armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme ; un tel accord devrait également interdire toute possibilité d’utilisation réelle ou potentielle de tels systèmes. » 

Est-ce à dire que des personnes, au sein ou à l’extérieur de la Communauté européenne ont eu vent, d’une manière ou d’une autre, de recherches concrètes dans ces domaines ? Nous y voilà, au cœur de la "théorie du complot".

Des recherches seraient menées, pire, des essais auraient été, ou seraient en passe d’être effectués, en vue de contrôler à distance, de manipuler, par l’utilisation de procédés chimiques, électriques, sonores ou autres? En 1999 ?

Ce qui est remarquable dans ce rapport, c’est qu’il est question, en majeure partie, du Traité de non-prolifération des armes nucléaires, et que ce qui concerne ces aspects « nouveaux » d’"armes non létales" y sont distribués de manière presque aléatoire. Mais peut-on, quoi qu’il en soit, taxer ces fonctionnaires de l’UE, dans un rapport officiel, d’amateurisme, peut-on les accuser de comploter dans leur coin, d’émettre des hypothèses non fondées, d’imaginer des doctrines qui n’auraient d’existence que dans leurs cerveaux malades ? 

Ce caractère de distribution apparemment aléatoire des faits concernant les technologies électromagnétiques militaires au sein de ce rapport se poursuit au chapitre des "Motifs".

Ainsi, les rapporteurs, après avoir exposé les dangers absolus que font peser sur les populations le dérèglement climatique, après avoir rappelé les nombreuses rencontres internationales autour des thèmes des ressources en eau et du changement climatique, en viennent à énumérer les types d’armes et les impacts environnementaux des forces armées en temps de guerre et en temps de paix.

Au chapitre des armes non létales, page 16, au milieu des armes acoustiques à infrasons, de la mousse paralysante et de certains produits chimiques :

"Les rayonnements électromagnétiques peuvent être utilisés pour neutraliser les systèmes de données, de navigation et de communication."

Plus loin...
"Durant la guerre du Golfe, les États-Unis ont utilisé des armes à fréquence radio pour neutraliser le système d’approvisionnement en énergie de l’Irak (15), alors que l’on ignorait tout de leurs effets antipersonnel."

Toutes ces affirmations (puisque nous ne sommes plus là dans une série d’hypothèses) sont sourcées et vérifiables. Quid d’un quelconque complot ? 

Enfin, à la page 21 de ce même rapport, on entre dans le vif du sujet, avec un paragraphe consacré à HAARP, intitulé « HAARP - Un système d’armement modifiant le climat ». C’est à n’y plus rien comprendre ! Dès 1999, la Communauté européenne paraît bien assurée qu’il s’agit là non pas d’un laboratoire grandeur nature qui devra apporter des progrès notables à l’humanité, mais bel et bien d’un système d’armement modifiant le climat ! Voyons la suite : 

Une énumération des applications de ces technologies, "clairement militaires", selon le rapport, et de l’histoire de leur champ d’expérimentation, à savoir la ionosphère constituant le bouclier électromagnétique de la Terre.

En vrac :
-réchauffer des parties de l’ionosphère ;
-ce qui crée des trous dans l’ionosphère et des "lentilles" artificielles ;
-contrôler des énergies gigantesques ;
-cette technique peut avoir des conséquences terribles

HAARP permet d’envoyer à un endroit déterminé des millions de fois plus d’énergie que tout autre émetteur traditionnel ;
-améliore la communication avec les sous-marins ;
-permet de manipuler les conditions météorologiques mondiales ;
-perturber les communications est également possible ;
-bloquer la communication globale tout en conservant ses propres possibilités de communications ;
-radiographie de la terre sur une profondeur de plusieurs kilomètres (tomographie terrestre pénétrante) ;
-le radar transhorizon qui identifie des objets à grande distance au-delà de la ligne d’horizon ;

Depuis les années 50, les États-Unis procèdent à des explosions nucléaires dans les ceintures de Van Allen(27) afin d’examiner les effets des impulsions électromagnétiques qu’elles déclenchent sur les communications radio et le fonctionnement des équipements radars...

Les trous dans l’ionosphère causés par les ondes radio puissantes qui y sont envoyées constituent un autre effet très grave d’HAARP...

HAARP est lié à la recherche spatiale intensive menée depuis cinquante ans à des fins clairement militaires, par exemple en tant qu’élément de la "guerre des étoiles" en vue du contrôle de la haute atmosphère et des communications ;

HAARP constitue un problème global !

Voilà le cœur du sujet. Même si les Américains ont refusé systématiquement de se rendre à toutes les auditions organisées autour de HAARP, les données dont nous disposions en 1999 semblent assez claires, précises et sourcées pour figurer dans un rapport officiel de l’UE. 

Aujourd’hui, que font les militaires de H.A.A.R.P., et de ce réseau gigantesque installé sur toute la planète ? Ont-ils sagement renoncé à toute velléité de contrôle global du climat, des ressources, le tout agrémenté du contrôle des populations avec les mêmes technologies ? Quel est l’état "réel" de notre ionosphère, après les multitudes d’explosions, de bombardements que celle-ci a subis? Sachant qu’ils investissent des centaines de millions de dollars depuis les années 50, est-il raisonnable d’imaginer un seul instant qu’ils ne s’en servent pas? 

La suite du chapitre "Motifs" de ce rapport consiste en une série de recommandations, dans le sens d’une coopération accrue des militaires à la réparation des sites endommagés du fait des activités militaires, des dangers généraux que font courir à l’environnement les armes, missiles et stratégies militaires et à la proposition de la création de "soldats de l’environnement" ; tout ceci paraît bien faible et présente peu d’espoir d’être un jour réalisé, au vu des données dont nous disposions à l’époque concernant HAARP et le secret entourant ces technologies, d’autant que les États-Unis d’Amérique possèdent l’armée la plus puissante au monde. 

Enfin, au chapitre des propositions de résolution, le rapport...

11. considère que le système militaire américain de manipulation ionosphérique, HAARP, lequel est basé en Alaska et ne représente qu’une partie du développement et de l’usage d’armes électromagnétiques à des fins de sécurité tant extérieure qu’intérieure, constitue un exemple d’une nouvelle menace militaire particulièrement grave pour l’environnement et la santé humaine au niveau planétaire, sachant que ce système tente de pénétrer dans la partie hautement sensible et énergétique de la biosphère à des fins militaires, alors que toutes ses conséquences ne sont pas connues ; invite la Commission, le Conseil et les États membres à exercer des pressions sur le gouvernement des États-Unis, de la Russie et de tous les autres États engagés dans de telles activités pour qu’ils mettent un terme à ces dernières et qu’un accord global soit établi contre de telles armes ; 

12. demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire au niveau global tout projet de recherche et de développement, tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres au développement d’armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme ; un tel accord devrait également interdire toute possibilité d’utilisation réelle ou potentielle de tels systèmes.

On ne peut être plus clair ! L’on sait d’autre part que les États-Unis n’ont absolument pas tenu compte de ces recommandations, les agissements des militaires échappant le plus souvent à toute législation et à tout contrôle.

Nous sommes en 2008, soit un peu plus de huit ans après que ce rapport fut publié. En tant que Terriens, préoccupés par les conditions d’existence à venir sur la planète Terre, nous sommes en droit de nous poser des questions et, le cas échéant, de mener les actions qui s’imposent. 

Les forces armées américaines se sont-elles servies, et se servent-elles au quotidien, de ces technologies de modification et de contrôle climatique ? Pire, ont-elles mis en œuvre des stratégies de contrôle des populations, par l’utilisation d’ondes sonores et/ou électromagnétiques ? 

Au vu de ce qui précède, et qui ne constitue probablement que l’une parmi les nombreuses tentatives d’enrayer ce processus fou qui consiste à dégrader le bouclier électromagnétique terrestre en vue de s’approprier le contrôle global du climat, en clair « scier la branche sur laquelle nous sommes assis », je réponds par l’affirmative : 

Oui, les militaires, depuis un peu plus de cinquante ans, mènent des recherches en ce sens. 

Oui, ils ont franchi le pas, et bombardent régulièrement, si ce n’est de manière permanente, notre seule protection contre les rayonnements cosmiques, la ionosphère. 

Oui, nous devons tenter, par tous les moyens à notre disposition, de stopper ces agissements dignes du plus mauvais scénario de science-fiction. 

Il n’y a plus aucun doute désormais. Et s’il y a jamais eu une "théorie du complot", celle-ci a été inventée et mise au point par ceux qui refusent tout contrôle et échappent à toute législation, qui maintiennent dans le secret le plus opaque leurs agissements, et qui prônent aujourd’hui ouvertement la « dépopulation ». 

Source : rapport du 14 janvier 1999 sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère, émis par la Commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense de l’Union européenne, consultable en ligne à l’adresse suivante : http://minilien.com/?1iHhXxuZJR


COOPÉRATIONS... 

Les Rôles de H.A.A.R.P. + l’Agenda 21 + Google dans la mise en marche du sinistre Plan du contrôle de la population... (en anglais)



DES SIGNES POUR QUI SAIT LES VOIR...
Des images qui valent mille mots...



4 commentaires:

  1. j'ai 79 ans,particpé a trois explosions nucléaires en 60/61 ex.ingénieur en electronique aeronautique NWS
    avec le recul tout cela est plausible, alors qu'attendent
    les puissants de ce monde pour réduire E I ?

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  2. j'ai 36984 ans, j'ai vu 25 explosions nucléaires dans mon salon et mon chat est passé par toutes les couleurs de l'arc en ciel. j'ai compris !
    C'est pars ce que L'OTAN en emporte le vent !!! il faut que tout le monde sache !

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  3. J'ai 66 ans, je n'ai vu aucune explosion nucléaire directement, et c'est tant mieux, mais je me fous des hurluberlus sans noms qui passent leur temps à se manifester avec des absurdités aux fins de déni de la vérité sur ce projet HAARP. Autant que le vent les emporte loin de ce blog, ça nous fera des vacances !

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