Né dans la nuit du 9 au 10 juillet 1856, à minuit précises, dans la petite ville de Smiljan en Autriche-Hongrie, il devint l'un des inventeurs les plus extraordinaires des temps modernes. Prix Nobel, auteur de plus de 900 brevets traitant de nouvelles méthodes pour aborder la conversion de l'énergie, récipiendaire de quatorze doctorats des universités du monde entier et maîtrisant 12 langues, il mourut triste et oublié le 7 janvier 1943.
Hormis le fait qu'il est doté d'une mémoire photographique hors pair, il a le talent nécessaire pour expliquer dans un langage adéquat et compréhensible sa vision de l'univers dans lequel il évolue. Il suffit de voir comment il définit l'électricité et le magnétisme :
"Un monde infinitésimal, constitué de molécules et de leurs atomes tournant sur eux-mêmes et se déplaçant le long de leurs orbites, à la manière des corps célestes, entraînant avec eux l'éther en le faisant probablement tourner ou, en d'autres termes, porteurs de charges statiques, me semble l'explication la plus probable, et celle qui rend le mieux compte de la plupart des phénomènes observés. Les rotations des molécules autour d'elles-mêmes et de leur éther définissent les tensions de l'éther ou tensions électrostatiques; l'égalisation des tensions de l'éther crée d'autres mouvements ou courants électriques, et les mouvements orbitaux produisent les effets de l'électromagnétisme et du magnétisme permanent."
Entre 1882 et 1888, il a breveté plusieurs dispositifs qui utilisaient des champs magnétiques tournants pour transmettre de l'électricité par courants alternatifs. En fait, il lança les idées qui permirent de concevoir tout le matériel moderne de génération et de transport de l'électricité. Il devint citoyen américain le 30 juillet 1891 et c'est dans ces années qu'il inventa un système générant des tensions extrêmement élevées : la bobine Tesla.
Entre 1891 et 1893, il breveta le système sans fil Tesla (radio télégraphe) et mit au point des lampes électroniques froides. C'est en 1892 que Nikola Tesla, un soir d'orage, constata un phénomène naturel qui influença ses recherches ultérieures : "Le ciel se chargeait de nuages noirs, mais la pluie ne tombait toujours pas, quand, tout à coup, il y eut un éclair, et tout de suite après, le déluge.(...) Manifestement les deux phénomènes avaient un lien étroit de cause à effet. Après quelque réflexion je conclus que l'énergie électrique contenue dans la précipitation d'eau était insignifiante, et que l'éclair jouait le même rôle de déclenchement qu'un commutateur.(...) Si l'on parvenait à produire des orages électriques de l'intensité voulue, on pourrait modifier la planète entière et les conditions de vie à sa surface.(...) S'il était en notre pouvoir de le bouleverser (le cycle de l'eau) où et quand c'est nécessaire, on pourrait contrôler à volonté cet élément vital qu'est l'eau."
Entre 1896 et 1898, il publia une théorie toujours valable sur la radioactivité et l'énergie rayonnante. Au cours de ces années, il mit au point des tubes à vide à potentiel élevé (les ancêtres des lampes fluorescentes que le monde entier utilise aujourd'hui). Il mena de pair cette étude avec celle de la transmission d'énergie sans fil : la radio. Une expérience lui montra que l'électricité, lorsqu'elle est soumise à de hautes fréquences, a tendance à s'écouler plus facilement à travers le gaz plutôt que par le métal, sous certaines conditions. Ces conditions correspondent à celle de l'atmosphère à une altitude élevée. À contrario, la basse atmosphère se comporte comme un parfait isolant.
Vers 1898, il construisit des transformateurs à hautes fréquences capables de produire des forces électromotrices de plusieurs millions de volts. C'est alors qu'il s'aperçut que les courants produits par ces bobines étaient conduits librement, même dans l'atmosphère.
Il ne voit alors plus de limite de quantité et de distance dans la transmission d'énergie électrique par le biais de l'atmosphère. Il va jusqu'à supposer à la suite d'une expérience qui fut les prémisses de la transmission par micro-ondes, qu'à plus grande échelle, ce transfert aérien d'énergie pourrait provoquer une illumination de l'atmosphère, à l'image de nos lampes fluorescentes. De plus, grâce aux réactions chimiques que provoquent ces émissions, on pourrait extraire de l'azote de l'air et fabriquer un engrais rentable.
En 1899, il présenta à la marine américaine un sous-marin électrique à commande radio. Il publia la même année des documents expliquant sa découverte de la résonnance terrestre et de la loi de la propagation de courants conducteurs à travers le globe.
Au cours de l'été de 1899, Tesla construisit et essaya l'un des dispositifs les plus incroyables que l'humanité ait vu. Tesla avait choisi les montagnes Rocheuses à cause de leurs fréquents orages électriques. L'idée de Tesla était de se brancher sur les nuages très chargés à partir de la terre. Il avait déjà établi que les éclairs de ces orages semblaient se décharger selon une forme d'onde stationnaire particulière qui encerclait la planète entière. Tesla avait convaincu le Colonel John Jacob Astor (du renommé Waldorf Astoria) de jouer 30 000$ sur son essai d'été.
En 1971, Oleg Jefimenko, un savant de la West Virginia University, annonçait la mise au point du premier moteur alimenté par le champ électrique de la Terre. Il avançait que son moteur pouvait servir à écarter la pénurie d'énergie qui frappait alors l'occident. Cependant les détails de son invention furent vite mis sous silence. On sait que son système faisait appel à un moteur électrostatique pour produire du mouvement et, donc, de l'énergie.
Son premier générateur aurait fonctionné avec un câble soulevé par un ballon qui devait servir à court-circuiter les différences de tension relevées à la surface de la Terre et à une altitude de 500 mètres. Son système produisait environ 75 watts d'énergie continuelle avec comme seule source d'énergie le champ électrique de la Terre. Ultérieurement, ce système aurait exploité le différentiel des champs magnétiques terrestres non seulement à des altitudes différentes (il mettrait à profit les processus de conductivité de haute altitude et de sous terrain nouvellement découverts), mais aussi à différentes latitudes hémisphériques. Ce procédé rendrait l'électricité bon marché n'importe où sur la Terre, sans le problème du transport et des câbles.
Nikola Tesla déclarait : "Les courants alternatifs, particulièrement ceux de fréquence élevée, traversent avec une facilité étonnante les gaz, même peu raréfiés. Les strates supérieures de l'atmosphère étant raréfiées, les seules difficultés à surmonter pour atteindre une distance de plusieurs kilomètres dans l'espace sont de nature purement mécanique. Il ne fait aucun doute qu'avec les potentiels énormes que l'on peut atteindre en utilisant les hautes fréquences et le procédé d'isolation à l'huile, les décharges lumineuses peuvent traverser de nombreux kilomètres d'air raréfié;
Grâce à cette énergie de plusieurs centaines de milliers de chevaux-vapeur, les moteurs ou les lampes pourront être actionnés à des distances considérables des sources fixes.(...) Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l'univers. L'idée n'est pas nouvelle. Nous la trouvons dans le mythe d'Anthée, qui tire de l'énergie de la Terre. À travers tout l'espace se trouve de l'énergie. Cette énergie est-elle statique ou cinétique? Si elle est statique, nos espoirs sont vains; si elle est cinétique - et nous savons qu'elle l'est - les hommes réussiront bientôt à connecter leurs machines aux grands rouages de la nature. "
Cette invention n'eut pas de suite publique, comme celle de Nikola Tesla qui fut empêché par le banquier J.P. Morgan (1837-1913), lequel coupa les fonds à l'inventeur et fit obstacle à tout nouveau financement. Ce veto ne posait pas de problème à J.P. Morgan, étant donné qu'il était membre du "Comité des 300". Cet organisme a été créé en 1729 par la BEIMC (British East India Merchant Company) pour s'occuper des affaires bancaires et commerciales internationales, et compte les représentants les plus importants des nations occidentales. J. Pierpont Morgan est à l'origine de la General Electric Company. Son but était de s'assurer le contrôle de la future électrification de l'Amérique, ce qu'il fait en implantant les systèmes qu'il finance avant ses concurrents, rendant le prix de tout changement prohibitif.
Mais ces travaux n'étaient que la partie apparente de l'iceberg... En 1956, la revue "Interavia" publia l'article intitulé : "Vers la locomotion aérienne... sans contrainte et sans poids". Cet article expose les possibilités de l'"électrogravitativité". Nous nous intéresserons ici seulement à l'extrait qui traite de l'exploitation des champs électromagnétiques :
"Dans le cas des automobiles, des trains, des navires, les difficultés qu'implique la transmission de l'énergie du moteur aux roues ou hélices cesseront tout simplement d'exister. La construction des ponts, des immeubles, etc.; se trouvera considérablement simplifiée par le recours à l'annihilation induite du poids. D'autres aspects des travaux entrepris suggèrent la possibilité d'une action sur la pousse des végétaux, de nouvelles techniques thérapeutiques, de systèmes de chauffage permanent sans combustible à l'intention des habitations et établissements industriels, de nouvelles sources d'énergie industrielle, de nouvelles méthodes de construction, d'un secteur entièrement nouveau de la chimie.[...] Cette nouvelle science [...] offre dans le domaine des communications des possibilités qui confondent l'imagination. Il existe apparemment dans l'éther une catégorie insoupçonnée d'ondes électriques identiques fondamentalement aux ondes électromagnétiques de la radio. Des ondes électrogravitatives ont été produites et émises à travers des couches concentriques constituées par les matériaux de blindage électromagnétique et électrostatique les plus efficaces, sans aucune perte apparente de puissance."
Tesla avait déjà découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées d'énergie électrique n'importe où sur terre avec des pertes négligeables
Si, à l'instar de Tesla, l'on considère la planète comme une sphère de fluide électrique, on peut comprendre comment un circuit résonnant utilisant la Terre comme conducteur pourrait générer de très hautes tensions aux antipodes d'émetteurs à très basses fréquences (TBF) situés sur ou sous terre.
Il est intéressant de constater que le quartier général (d'un coût de 10 milliards de dollars) du North American Air Defense (NORAD) est enfoui à un kilomètre et demi sous le mont Cheyenne. L'antipode de sa station se situerait près d'un petit groupe d'îles dans la partie sud de l'océan indien. Se pourrait-il que les sous-marins électriques ultras secrets des Américains rechargent leurs batteries à plasma dynamique à cet endroit?
En plein centre de l'Australie, très près du tropique du Capricorne, à précisément 23° 48" Sud sur 133° 43" Est, se situe le centre TBF de l'American Defense Advanced Research Project Agency (DARPA), appelé communément base de Pine Gap. Cette base est installée sur le puits d'eau le plus profond et le plus droit jamais foré en Australie. Il a une profondeur d'au moins 8 535 mètres. Il pourrait servir d'antenne souterraine pour la diffusion d'électricité à très basse fréquence à son antipode qui se situe très près du Tropique du Cancer, au centre du seuil atlantique.
L'émetteur situé au nord de West-Cape, toujours en Australie, prés de la Baie d'Exmouth, a, quand à lui, son antipode qui se trouve être au centre du "Triangle des Bermudes"...
En Russie, l'émetteur TBF de Riga, sur la côte Baltique, émet depuis octobre 1976 un signal d'une extrême largeur de bande qui dure de dix secondes à quelque fois trois minutes. Est-ce simplement un dispositif de brouillage de fréquences? Presque à la même époque, selon un rapport d'Edward Campbell du "London Evening News" en juin 1978, "les Russes avaient fait la chasse dans tout le pays à toute personne qui avait connu ou rencontré Tesla".
Il est intéressant de consulter la "Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles", signée par les pays membres de l'ONU à Genève et entrant en vigueur le 5 octobre 1978 et d'y relever :
"Reconnaissant que les progrès de la science et de la technique peuvent ouvrir de nouvelles possibilités en ce qui concerne la modification de l'environnement, (...)
Conscients du fait que l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques pourrait améliorer les relations entre l'homme et la nature et contribuer à protéger et à améliorer l'environnement pour le bien des générations actuelles et à venir,
Reconnaissant, toutefois, que l'utilisation de ces techniques à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles pourrait avoir des effets extrêmement préjudiciables au bien-être de l'homme,
Désireux d'interdire efficacement l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, afin d'éliminer les dangers que cette utilisation présente pour l'humanité, et affirmant leur volonté d'oeuvrer à la réalisation de cet objectif,(...)
Article I
1. Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de causer des destructions, des dommages ou des préjudices à tout autre État partie. (...)
En fin de l'article premier, l'expression "techniques de modification de l'environnement" désigne toute technique ayant pour objet de modifier - grâce à une manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphére, son hydrosphére et son atmosphère, ou l'espace extra-atmosphérique.
La maîtrise de la nature
C'est en 1892 que Nikola Tesla, un soir d'orage, constata un phénomène naturel qui influença ses recherches ultérieures :
"Le ciel se chargeait de nuages noirs, mais la pluie ne tombait toujours pas, quand, tout à coup, il y eut un éclair, et tout de suite après, le déluge.(...)
Manifestement les deux phénomènes avaient un lien étroit de cause à effet. Après quelque réflexion je conclus que l'énergie électrique contenue dans la précipitation d'eau était insignifiante, et que l'éclair jouait le même rôle de déclenchement qu'un commutateur.(...) Si l'on parvenait à produire des orages électriques de l'intensité voulue, on pourrait modifier la planète entière et les conditions de vie à sa surface.(...) S'il était en notre pouvoir de le bouleverser (le cycle de l'eau) où et quand c'est nécessaire, on pourrait contrôler à volonté cet élément vital qu'est l'eau. "
Les ondes stationnaires participent à cette modification climatique. Elles sont créées par l'émission de puissants champs magnétiques à très basse fréquence, champs qui sont dirigés vers le noyau de la terre. L'énergie tellurique de ce dernier alimente cette onde et on obtient une triode qui joue le rôle d'amplificateur, c'est ce que Tesla appelle son "émetteur amplifié". Suivant la fréquence et la direction de cette onde, celle-ci peut soit se décharger dans le manteau terrestre, provoquant un tremblement de terre ordinaire, soit ioniser l'atmosphère et donc manipuler le climat, brouiller les signaux hertziens et même influer sur le comportement des êtres vivants.
Zbigniew Brzezinski, ministre des affaires étrangères de Ronald Reagan et créateur, en 1972, avec David Rockfeller, de la Commission trilatérale, déclare ceci : "Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l'espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs."
Un des problèmes posés par ces ondes stationnaires est qu'en interférant entre elles provoquent un chaos climatique. Cela est arrivé le 4 février 1983, jour où les ondes ELF (Emited Low Fréquency, onde de très basse fréquence) envoyées par les américains sont entrées en contact avec des ondes stationnaires envoyées par les soviétiques.
El Niño, courant chaud parcourant le pacifique et contribuant à équilibrer les structures météorologiques une fois tous les dix ans de façon naturelle en régulant les alizés de l'océan pacifique, a été beaucoup plus violent cette année-là.
On peut lire dans le "Washington Post" du 6 mars 1983 : "Pour des raisons inconnues, les alizés se sont mis à souffler dans la direction opposée, ce qui a provoqué une sécheresse en Australie et des pluies diluviennes au Pérou. Ils ont également provoqué de fortes pluies, des tornades, des coulées de boue dans le sud de la Californie. (...) El Niño de 1983 est le résultat d'énormes ondes stationnaires émises par les Russes. Leurs propriétés permettent de verrouiller les mécanismes météorologiques en créant un bouchon, ce qui empêche les alizés de suivre leur trajectoire habituelle."
Cette année-là, de nombreux pays dans le monde présentent des dégâts importants alors que l'Union Soviétique a connu un des hivers les plus doux du siècle. Cette stratégie fait partie d'un plan amorcé par Lénine et qui avait pour but de réchauffer la Sibérie afin d'y développer des cultures. Le problème est que provoquer un type de temps dans un endroit n'est possible qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit.
Toulours dans le "Washington Post", mais cette fois du 15 mars 1983 : "Un rapport de la National Science Foundation décrit la mort ou la fuite des 17 millions d'oiseaux que compte l'archipel des Christmas Islands".
Des millions de petits crabes rouges sont apparus sur les côtes sud de la Californie, les migrations des poissons sont irrégulières, les coraux du Pacifique, du Panama, des îles Galapagos, de Colombie, des îles de Polynésien et de l'ouest des Philippines meurent à un rythme plus élevé qu'à l'habitude.
Pour tous ces phénomènes on cite El Niño, ou ce qui l'a provoqué, comme possible responsable. Ce qui est certain c'est que, comme le cite l'étude menée par Sheppard et Einsenbud, tous deux membres de l'Institut de l'Environnement du New York University Medical Center : "(... il existe une influence réciproque entre un champ magnétique ELF et l'équilibre ions-calcium. La plupart des 2500 espèces connues de coraux (...) produisent du carbonate de calcium. Il est probable que cette production de calcium a été perturbée par les ondes stationnaires ELF.(...) Des champs électriques ou magnétiques de faible puissance sont capables de faire apparaître des changements neurophysiologiques et des troubles du comportement."
La commission pour l'environnement rend les émissions de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et l'effet de serre qui en découle comme principales responsables des catastrophes climatiques qui s'intensifient, et de la future mais inéluctable immersion des zones côtières. Seulement ces changements climatiques sont apparus brutalement alors que l'homme brûle de façon croissante mais quasi régulière toute sorte de matériaux depuis la préhistoire. En fait, les causes sont tout autres, comme nous venons de le voir. Elles sont le résultat d'une lutte visant non seulement à tourmenter des pays concurrents ou ennemis, mais aussi à améliorer les conditions climatiques de son propre pays. Cette tourmente climatique qui a forcément des effets sur l'économie, peut aussi en avoir sur le comportement des populations, indirectement et directement... c'est la guerre psychotronique.
Tesla et les enseignements de Swami Vivekananda
Nikola Tesla a utilisé la terminologie Sanskrite ancienne dans ses descriptions de phénomènes naturels. Dès 1891 Tesla a décrit l'univers comme un système cinétique rempli d'énergie qui pourrait être harnaché à tout emplacement. Ses concepts, pendant les années suivantes, ont été grandement influencés par les enseignements de Swami Vivekananda. Swami Vivekananda était le premier d'une succession de yogi de l'est à qui a apporté la philosophie Védique et religion l'ouest.
Après avoir rencontré le Swami et après une étude soutenue des opinions orientales des mécanismes qui conduisent le monde matériel, Tesla a commencé utiliser les termes Sanskrit comme Akasha ou Prana, et le concept d'un éther lumineux pour décrire la source, l’existence et la construction de la matière. Ce texte tracera le développement de la compréhension de Tesla par rapport à la science Védique, sa correspondance avec Lord Kelvin qui s’intéresse à cette matière, et la relation entre Tesla, Walter Russell, et un ensemble d’autres scientifiques du siècle qui s’intéressent à une compréhension avancé de la physique. Il donnera une description de la pré-condition requise pour les systèmes d'énergie libres envisagés par Tesla.
Science Védique et Swami Vivekananda :
C’est en 1891 que Tesla a fait les commentaires suivants, lors d’un discours devant l'Institut américain d'Ingénieurs Électriques :
« Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l'univers. L'idée n'est pas nouvelle... Nous la trouvons dans le mythe d'Antée, qui tire l'énergie de la Terre ; nous la trouvons parmi les spéculations subtiles de l'un de vos plus grands mathématiciens... À travers tout l'espace se trouve de l'énergie. Cette énergie est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, nos espoirs sont vains ; si elle est cinétique - et nous savons qu'elle l'est alors c'est une simple question de temps avant que les hommes réussissent à connecter leurs machines aux rouages mêmes de la nature. »
Cette description des mécanismes physiques de l'univers a été donnée avant que Tesla soit devenu familier avec la science Védique des Nations de l’Inde orientale, du Tibet, et du Népal. Cette science a d’abord été popularisée aux États-Unis et en occident pendant les trois années de visite de Swami Vivekananda.
Les Vedas sont une collection d'écrits vieux d’au moins 5,000 ans qui consistent en cantiques, prières, mythes, comptabilité historique, dissertations sur les sciences, et la nature de la réalité. La nature de la matière, l’antimatière, et la composition des structures atomiques sont décrites dans les Védas. La langue des Védas est connue comme étant du sanskrit. L'origine du sanskrit n'est pas complètement comprise. Les savants de l'ouest suggèrent qu'il a été apporté dans la chaîne de l’Himalaya et de là, au sud de l’Inde par des migrations de la culture aryenne. Paramahansa Yogananda et d’autres historiens n'adhèrent pas à cette théorie cependant, en signalant qu'il n'y a aucune évidence en Inde pour confirmer de telles suppositions.
Il y a des mots en sanskrit qui décrivent des concepts totalement étrangers à l'esprit de l’homme occidental. Des mots uniques peuvent exiger un paragraphe entier pour une traduction en français. L'usage que fait Tesla de la terminologie Védique pourrait fournir une clef pour interpréter sa vue de l’électromagnétisme et de la nature de l'univers. Mais où est-ce que Tesla a appris les concepts Védiques et la terminologie du sanskrit?
Une révision des biographies bien connues de Cheney, Chasse et Drapier, et O'Neil ne révélaient aucune mention quant à la connaissance que Tesla pouvait avoir du sanskrit. O'Neil inclut cependant l'extrait suivant d'un article inédit appelé "Man's Greatest Achievement"(Le plus grand exploit de l'homme) :
"Là se manifeste dans une existence complètement développée, l’homme, un désir mystérieux, impénétrable et irrésistible : imiter la nature, créer, réaliser de lui même les miracles dont il est témoin... Il a reconnu depuis longtemps que toute la matière perceptible vient d'une substance fondamentale, ou subtilité au-delà de la conception, remplissant tout l'espace, l'Akasha ou éther lumineux, qui sont activés par un dont de vie, Prana, ou la force du créateur, à l’origine de l’existence, dans un cycle sans fin pour toutes choses. La substance fondamentale, jetée dans des tourbillons infinitésimaux de vélocité prodigieuse, devient une matière brute; la force s'affaisse, le mouvement cesse et la matière disparaît, en revenant à la substance fondamentale."
D'après Leland Anderson l'article a été écrit le 13 mai 1907. Anderson a aussi suggéré que c'était à travers l'association avec Swami Vivekananda que Tesla avait pu rentrer en contact avec la terminologie Sanskrite et que John Dobson, de la San Francisco Sidewalk Astronomers Association, avait fait des recherches sur cette connotation. Swami Vivekananda est né à Calcutta, en Inde, en 1863.
Il a été inspiré par son professeur, Ramakrishna pour servir les hommes comme des manifestations visibles de Dieu. Swami Vivekananda a commencé une visite de l'ouest en assistant au Parlement des Religions qui s'est tenu à Chicago en 1893. Pendant ces trois années de visite aux États-Unis et en Europe, Vivekananda rencontra des scientifiques de renom, y compris Lord Kelvin et Nikola Tesla.
Nikola Tesla a été fort impressionné par les explications de Swami au sujet de la cosmogonie Samkhya et de la théorie des cycles donnée par les Hindous. Swami Vivekananda nous apprend qu'il a été frappé en particulier par la ressemblance entre la théorie Samkhya de la matière et de l’énergie et celle de la physique moderne. Le yogi a aussi rencontré à New York Sir William Thompson, puis Lord Kelvin et le professeur.
Swami Vivekananda était plein d'espoir dans le fait que Tesla soit capable de montrer que ce que nous appelons matière est simplement un potentiel d’énergie parce que cela réconcilierait les enseignements des Vedas avec la science moderne. Le Swami s'est rendu compte que "Dans ce cas, la cosmologie Védique serait placée sur des fondations solides".
Tesla comprenait la terminologie Sanskrite et la philosophie. Il a trouvé que c'était un bon moyen de décrire les mécanismes physiques de l'univers comme il les voyait. Il incomberait à ceux qui essaieraient de comprendre la science derrière les inventions de Nikola Tesla, d’étudier le sanskrit et la philosophie des écritures saintes de l’hindouisme.
Tesla a apparemment manqué de montrer l'identité entre l’énergie et la matière. S'il l'avait fait, Swami Vivekananda l’aurait certainement noté. La preuve mathématique de ce principe est venue approximativement dix années plus tard quand Albert Einstein a publié son papier sur la relativité. Ce qui été su en Orient depuis plus de 5,000 ans était alors découvert à l’occident.
L'harmonie entre les théories Védiques et la science occidentale est expliquée par le diagramme suivant :
BRAHMAN = L'ABSOLU
MAHAT OU ISHVARA = ÉNERGIE CRÉATIVE PRIMITIVE
PRANA et AKASHA = ÉNERGIE et MATIÈRE
Brahmane est défini comme étant le seul esprit impersonnel existant (l'Essence Divine) duquel toutes les choses émanent et par lequel elles sont prolongées, et auquel elles reviennent.
Ce concept est très semblable à celui du Grand Esprit tel qu’il est compris par les cultures Amérindiennes. "Ishvara" est le Souverain Suprême : la plus haute conception possible de l'Absolu, qui est au-delà de toute pensée.
"Mahat" se traduit littéralement par "Le Grand", et signifie aussi "l’esprit universel" ou "l’intelligence cosmique".
"Prana" veut dire l'énergie (habituellement traduit par "force de la vie") et "Akasha" veut dire "matière" (habituellement transcrit par le terme "éther"). Dobson signale que les traductions les plus communes pour Akasha et Prana ne sont pas tout à fait correctes, mais Tesla comprenait leurs véritables significations.
Swami Vivekananda
La réunion avec Swami Vivekananda a grandement stimulé l'intérêt de Nikola Tesla dans les sciences orientales. Swami a remarqué plus tard pendant une conférence en Inde :
"...quelques-uns des meilleurs esprits scientifiques du jour m’ont confiés que les conclusions du Vedanta sont admirablement rationnelles. Je tient personnellement de l’un d'eux, qui a à peine le temps de manger, ou de sortir de son laboratoire, mais qui arrêterait le temps pour assister à mes conférences sur le Vedanta, parce que, comme il l'exprime, elles sont scientifiques et elles s’harmonisent exactement avec les aspirations de l'époque et avec les conclusions auxquelles la science moderne aboutie. "
Tesla, Lord Kelvin et Walter Russell :
William S. Thompson était un des éminents scientifiques et ingénieurs des années 1800. Il a développé des analogies entre la chaleur et l’électricité et son travail a influencé les théories développées par James Clerk Maxwell, un des fondateurs de la théorie électromagnétique. Thompson a surveillé la pose couronnée de succès du câble TransAtlantique et pour ce travail a été adoubé Lord Kelvin. Kelvin avait soutenu les théories de Tesla et les systèmes proposés pour la transmission sans fil d’énergie électrique.
La correspondance entre Lord Kelvin et Tesla nous prouve que ce dernier a continué à étudier l’Hindou et la philosophie Védique pendant plusieurs années.
Walter Russell était un des artistes, sculpteurs, écrivains et scientifiques les plus accomplis de ce siècle. Son tableau périodique des éléments a prédit correctement l'emplacement et les caractéristiques des quatre éléments des années avant qu'ils n’aient été découverts dans les laboratoires. Ils sont maintenant connus sous le nom de Deutérium, Tritium, Neptunium, et Plutonium. Russell est entré apparemment dans un état surélevé de conscience après avoir été frappé par un éclair. Il a commencé, pendant plusieurs semaines, à dessiner et à écrire au sujet de la nature basique et la fabrication de l'univers physique. La famille de Russells a appelé finalement le docteur de famille pour déterminer si Russell devrait être interné. Le docteur, en voyant les résultats des semaines de travail de Russells, a dit qu'il ne savait pas ce que Russell faisait, mais qu'il n'était pas dément.
Walter Russell : "On peut noter l'analogie avec les symptômes dont souffraient Tesla, et qu'il décrit lui-même : "Un handicap bizarre dû à l'apparition d'images, souvent accompagnées de forts éclairs de lumière, qui troublaient la vision des objets réels et gênaient mes pensées et mes actes. Ce n'était jamais des créations de mon imagination, mais des images d'objets et de scènes que j'avais réellement vus. Quand un mot était prononcé devant moi, l'image de l'objet qu'il désignait me sautait aux yeux, et j'étais quelque fois incapable de savoir si ce que je voyais était réel ou non, ce qui me causait un profond malaise et une grande angoisse. Aucun des psychologues ou des médecins que j'ai consultés n'a pu expliquer ces phénomènes de manière satisfaisante."
Bien que l’heure et le lieu exact de leur réunion n'aient cependant pas été déterminé, Nikola Tesla et Walter Russell se sont rencontrés et ont discutés de leurs cosmologies respectives. Tesla a reconnu la sagesse et le pouvoir de l'enseignement de Russells et Russell a préconisé d'enfermer ses connaissances dans un coffre-fort pour 1,000 années jusqu'à ce que l'homme fût prêt pour à ça.
Implications socio-économiques de l'énergie gratuite :
Bien que Tesla n'ait pas accepté beaucoup des tenants de la relativité et de la théorie du quantum et n’ait jamais fait le rapport entre la matière et l’énergie, il a reconnu comme possible l’existence d’une énergie libre et illimitée comme il le démontre par la déclaration suivante du 13 mai 1907, pour "Actors, Fair Fund" :
"Que l’homme puisse contrôler les merveilles, n’est-ce pas le plus effrayant de tous les processus de la nature?... S'il pouvait le faire, il aurait des pouvoirs presque illimité et surnaturel... Il pourrait causer des collisions entre les avions et produire ses soleils et ses étoiles, sa chaleur et sa lumière. Il pourrait créer et développer la vie dans toute l’infinité de ses formes... [De tels pouvoirs] le placeraient à côté de son créateur, lui feraient accomplir son destin ultime."
"Si stupéfiant sont les faits dans ces connexions, qu'il paraîtrait que le Créateur lui-même aurait conçu cette planète électriquement..."
Nikola Tesla qui décrit ce qui est maintenant connu comme Résonance Schumann (7.8 Hz)
Nous voyons que Tesla se pose la question, spécule, cherche une réponse. Si Tesla avait développé des sources d'énergie libre ou savait comment manipuler l’espace- temps et la gravité, durant les années les plus productives de sa vie et celles où sa notoriété était la plus importante, (à peu près jusqu'à 1920), il aurait eu des réponses à ses questions.
L'invention le plus mal comprise de Tesla est communément connue sous le nom de "Rayon de la Mort". C'était simplement une arme composée d’un faisceau de particules qu'il a proposé en 1937 et qui a été fabriqué sous contrats avec Alcoa Aluminium et les gouvernements anglais et Italiens. Il a utilisé les techniques de la propulsion électrostatique. Des appareils semblables sont développés aujourd'hui par l'Organisation de l'Initiative de la Défense Stratégique Américaine (Strategic Defense Initiative Organization, SDIO) et le pôle de stratégie de défense de l'Armée Américaine (US Army Strategic Defense Command).
Nous pouvons constater que l’espèce humaine n'a pas encore harnaché le pouvoir infini de l'univers comme l’envisageait Nikola Tesla. Mais la question reste en suspend.
Les appareils d'énergie libres, s'ils sont réalisables, ne concernent pas un domaine marginal des sciences ou des technologies. Leur avènement pourrait révolutionner le statu quo socio-économique sur la planète Terre. À ce moment le gâteau est divisé irrégulièrement. Un cinquième de la population possède 80% des richesses de la planète, et l'écart ne cesse de se creuser. Que faisons-nous pour remédier à cette situation?
L'alternative consiste à diviser le gâteau plus équitablement, ou bien à le rendre plus grand. La première option exige que notre niveau de vie s’abaisse afin que le niveau de vie du tiers-monde puisse augmenter. La deuxième option nous permet de maintenir notre niveau de vie pendant que nous aidons à élever le niveau de vie des nations défavorisées.
Trente mille gens sont affamées à mort tous les jours sur cette planète, la plupart d'eux sont des enfants. Les nations luttent contre les nations, la guerre fait partie de nos vies. Qu'est-ce qui conduit notre économie dans le monde occidental, qu'est qui nous permet de jouir d’un haut niveau de vie, une vie de loisir comparée à nos voisins situés au sud d’une ligne imaginaire appelée frontière? Beaucoup de réponses à la fois économiques, sociales, politiques, et spirituelles peuvent être données. Nous savons que le niveau de vie d’une nation est directement lié à sa consommation d'énergie.
L’énergie dirige l’économie des nations et le but de Tesla était de rendre l’énergie électrique également disponible à tous les occupants de cette planète. Il a continué à promouvoir son plan pour la transmission sans fil d’énergie dans les interviews annuelles qu'il a données jusqu’à son dernier anniversaire en 1940. Le pouvoir électrique autorise le traitement sur place des matières premières. Le pouvoir électrique peut faire fonctionner des pompes afin de puiser l'eau directement dans les régions affectées par la sécheresse. Le pouvoir électrique a délivré de la pauvreté des régions du monde et peut rendre le gâteau plus important, il peut aider à provoquer l'égalité économique nécessaire qui est notre droit à la naissance. Pourquoi est-ce que ce pouvoir n'a pas été rendu également disponible à tous les peuples et les nations? Pourquoi ne pas avoir mis en vente les nombreux appareils d'énergie libres décrits par Tom Bearden, John Bedini, Bruce DePalma, et d’autres qui ne se sont jamais matérialisés?
Après qu’un symposium très réussi célébrant la 100e année après que Nikola Tesla soit arrivé aux États-Unis, une association à but non lucratif a été formé spécifiquement pour encourager et pour poursuivre les recherches dans les inventions et les découvertes de Nikola Tesla. Deux ans après, suite à un deuxième colloque, plusieurs des membres fondateurs ont approché le conseil d'administration avec une proposition pour valider la demande de Tesla que la transmission sans fil d’énergie était possible. Les membres du conseil ont suggéré qu’une autorisation soit obtenue de la FCC, qu’une déclaration de l'impact sur l'environnement soit classée avec l'EPA, et que nous devrions former "notre propre société à but non lucratif". Il a aussi été décidé que puisqu’il n’y avait pas de procédure pour couvrir les recherches, l'organisation ne pourrait pas être impliquée.
Un autre but de l'organisation avait été d’établir un musée nommé le Nikola Tesla Muséum de Science et de Technologie. Nous avons proposé cela alors que 60 à 70 milliards dollars sont donnés annuellement à notre organisation. Nous avions une bonne chance, comme toute autre organisation, d’obtenir un financement, pour un musée ou des activités de recherche. Nous avons pensé que : "Seulement 16% des musées dans ce pays sont des musées de la science, ce musée en l’honneur de Nikola Tesla aidera à l’instruction du public dans les régions technologiques. Avec le besoin de revitalisation économique de l’industrie dans le Colorado, 1986 est l’année pour commencer à encourager l'éducation scientifique dans notre région. Avec les statistiques courantes qui montrent que les États-Unis prennent un retard technologique sur le monde, l'effort d'instruire le public devient plus important, et la montée de conscience publique des inventions de Nikola Tesla en fait un homonyme approprié pour un musée des sciences et de la technologie."
Le conseil s'est déplacé pour ajourner définitivement notre proposition.
Qu'est-ce qui s'était passé? Des 15 à 20 personnes qui avaient été à l’origine de l'organisation, seulement quatre sont restés comme partie du corps gouvernant. Trois de ces membres se sont opposés à faire des recherches. L'esprit collectif du conseil d'administration était devenu l'antithèse du dynamisme que Tesla avait acquis dans sa vie. Contrairement à l'inventeur indépendant et à l’homme d'affaires, le comité a maintenant été composé de membres qui étaient des bureaucrates et des fournisseurs de papier pour les 500 compagnies classées dans Fortune. Tesla n'a pas demandé d’autorisation pour être inventif et se débattait dans des nouvelles aventures audacieuses, le comité a eu besoin d'approbations des plus hautes sources. Les dichotomies étaient sans fin.
La transmission sans fil d'énergie libre n'a pas encore vue le jour. Peut-être que nous ne sommes pas prêts, peut-être que le Monde n'est pas prêt, ou peut-être que ceux qui le dirigent ne veulent pas assumer les risques de déséquilibrer une planète dont l'économie est basée sur la recherche, l'exploitation, la transformation et la commercialisation de l'énergie. Les habitudes ont la vie dure, et les instances gouvernantes, les personnes qui sont au sommet des organisations financières et économiques, en un mot, les maîtres du monde, ne sont pas les plus mal lotis. Ces derniers n'ont aucun intérêt à changer un système qui les enrichis.
Comme la tendance populaire dans les pays civilisé est à l'apathie, à la conservation des avantages acquis, qui d'ailleurs se réduisent comme peau de chagrin. Bien que certaines illusions de progrès sociaux tentent de nous faire croire que nous allons dans le bon sens. Par exemple, la réduction du temps de travail que les entreprises appliquent par le biais de l'annualisation, et qui a pour résultat d'accroître la flexibilité, c'est à dire d'adapter l'employé à l'activité de l'entreprise...
Comme les soulèvements, les guerres, les épurations ethniques ne nous concernent qu'à 13 et à 20 heures, et que de toute façon c'est "loin et ailleurs", et que en plus, lorsque ça se rapproche, nos "amis" d'outre atlantique se précipite à notre secours sous la bannière démocratique, laissant traîné, de ci de là, quelques oreilles indiscrètes.
Comme le tiers monde, qui déborde jusque dans nos rues, n'a pas l'organisation nécessaire pour taper du point sur la table en hurlant "Basta ya!", mais qu'il est tout d'abord un client de premier choix pour écouler les surplus d'armement, puisque il est généralement très soucieux de conserver son intégrité religieuse ou ethnique qui est différente de celle de son voisin, quand elle n'est pas différente à l'intérieur même du pays concerné. Ce dernier est aussi fournisseur de main d'œuvre bon marché puisque peu en peine avec toutes les considérations sociales qui nous occupaient jusqu'alors. Mais rassurons nous, nous sommes nous aussi en train de les perdre grâce à des organisations patronales puissantes, des actionnaires qui font et défont les entreprises d'un clic de souris, et des ouvriers qui ne s'impliquent plus dans l'activité politique ou syndical, la première ayant une image peu glorieuse, de par les affaires sexuelles ou financières qui l'émaillent, la seconde paraissant être en partie sous la coupe de personnes ayant des intérêts opposés à celles qu'elles sont censées défendre, à la lumière des orientations qu'elles prennent et des positions qu'elles défendent.
Dans les vues de Jung au sujet de l’inconscient collectif, les choses se passent quand le temps est juste, nous obtenons ce auquel nous consentons. Alors « Nous avons rencontré l'ennemi, et c'est nous! »
L'INVENTIF NICOLAS TESLA
Nikola Tesla part 1 par sereqet
Nikola Tesla part 2 par sereqet
Nikola Tesla part 3 par sereqet
lundi 18 juillet 2011
NICOLAS TESLA ET L'ÉNERGIE LIBRE
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