samedi 1 mai 2010

FLUOR STOP !

Le fluor : un outil de contrôle des cerveaux









Malgré le bourrage de crâne auquel nous sommes soumis quasi-quotidiennement, il est maintenant couramment admis que le fluor, loin de renforcer nos dents, opère plutôt une lente destruction elles (80% des enfants américains souffriraient ainsi d’un certain degré de fluorose dentaire). On a toutefois totalement occulté les effets nocifs du fluor sur le cerveau.

Un composant du Prozac et du gaz Sarin

Pourtant de nombreux indices devraient nous alerter. Ainsi, le fluor est notamment un des ingrédients de base du Prozac (chlorhydrate de fluoxétène) et du gaz neurotoxique Sarin (isopropyl-méthyl-phosphoryl-fluoride).

Le fluorure de sodium, résidu et sous produit de la fabrication de l’aluminium est, quant à lui sans doute l’un des plus dangereux composés du fluor. C’est l’ingrédient commun aux raticides, insecticide, produits anesthésiant, hypnotiques, médicament psychotropes, gaz de combat et… dentifrices.
Même en petite quantité, le fluorure de sodium est un poison mortel auquel aucun antidote efficace n’a été trouvé. Rien à voir avec le fluorophosphate de calcium organique, nécessaire à l’organisme et dispensé par la nature pour construire et renforcer nos os et nos dents. Le fluorure de sodium non-organique est un poison.
Si l’on se réfère à la matière médicale homéopathique (Clarke, Boericke, etc.) on peut y lire que les effets de l’intoxication aux dérivés fluorés sur le mental sont: indifférence envers les êtres aimés, insouciance, apathie, état dépressif, confusion et pensées suicidaires.





















La fluor au cœur des expériences nazies

Charles E. Perkins, chimiste américain répondit, en octobre 1954, à une demande d’information technique de la Fondation LEE pour la recherche sur la nutrition, au sujet de ses travaux sur la toxicité du fluor:

« La première expérience de l’eau potable fluorée sur terre a été trouvée dans les camps de concentration et les prisons nazies de l’Allemagne du 3ème Reich. La Gestapo se préoccupait peu de l’effet bénéfique supposé du fluor sur les dents des enfants. Leur intérêt pour l’eau fluorée était de stériliser les humains et de forcer les personnes, dans leurs camps de concentration, à la soumission par une médicalisation de masse ».

Selon ce scientifique, les visées des chimistes allemands étaient même beaucoup plus larges. « Ce plan était de contrôler les populations dans n’importe quel secteur par la médicalisation insidieuse de masse dans les approvisionnements d’eau potable. Et dans ce plan, le fluorure de sodium a occupé une place de premier rang… »


Un poison présent partout… et pas seulement dans les dentifrices


Des doses répétées de quantités infinitésimales de fluor suffisent à réduire à terme, la volonté d’un individu de résister à une domination, par empoisonnement et narcose d’un certain secteur du cerveau, le rendant de ce fait docile à la volonté de ceux qui souhaitent le contrôler. Cette lobotomie chimique, est probablement encore en vigueur dans certaines dictatures. Dans nos pays démocratiques, les intentions ne sont pas moins malintentionnées !

L’exposition aux fluors répandus par voie aérienne est en effet immense. Les composés fluorés sont utilisés dans de très nombreuses applications industrielles (processus de fabrication de divers pesticides, production d’engrais phosphatés, de fonte d’aluminium, d’équipements d’enrichissement d’uranium, combustion de charbon et combustion dans les centrales nucléaires, incinérateurs, gravures à l’eau forte sur verre, raffinage de pétrole et émissions de véhicules automobiles). Il s’agit donc d’une grande menace pour la santé humaine et l’environnement comme cela est démontré par la fluorose endémique enregistrée dans le monde entier.

De nombreux pays ont d’ores et déjà renoncé à la fluoration de l’eau. En France, une telle pratique est interdite, mais les compagnies des eaux annonces cependant une limite de tolérance en fluor plafonnée à 1,5 mg/litre. Enfin, on peut constater que les dentifrices, même s’ils contiennent un faible dosage de fluor dont l’origine n’est pas naturelle, un usage quotidien de ces produits ramène finalement à la même intoxication que par l’eau de boisson.

Il est donc de la plus grande urgence que les fonctions publiques de santé publique cessent de favoriser le fluor soi-disant salutaire à notre santé et que désormais, ils abordent sérieusement la question de sa toxicité.

1 commentaire:

  1. Bonjour,

    J'ai apprécié la lecture de cette article. Pourriez-vous me donner des sources concernant "l'intoxication" dû au fluorure de sodium ?

    Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas dentiste, juste passionné.

    Mon adresse est : lampertjf@gmail.com

    Je vous remercie encore.

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