jeudi 12 février 2015

DES HIÉROGLYPHES DÉCOUVERTS EN AUSTRALIE POURRAIENT RÉÉCRIRE L'HISTOIRE...


Des hiéroglyphes découverts en Australie pourraient réécrire l’histoire

L'histoire est un océan de mensonges. Tout ce qui est enseigné dans les manuels scolaires concernant l'histoire de l'humanité est faux d'un bout à l'autre. 

L'histoire de notre civilisation est bien plus complexe que l'on veut nous faire croire. 

Il y a quelques semaines des chercheurs ont découvert sur un site à Gosford, une ville située proche de Sydney, des glyphes égyptiens. Des hiéroglyphes en Australie, c'est intriguant...

Voici l'article qui fait mention de cette découverte. 
(Nous ne partageons pas la conclusion de l'auteur que nous trouvons un peu trop hâtive). 
Merci à Nicole V. Joseph pour la traduction de l'article :

Avant l’appel téléphonique de Nina Angelo (OAM), je ne savais rien des luttes impliquant la protection du territoire de Kariong (à côté de Gosford) ni que cette partie de la terre avait été mise sur le marché. Une fois arrivé sur le site, j’avais remarqué beaucoup d’arbres marqués et une pancarte "à vendre", quelque part sur une route principale, mais ne connaissant pas toute la région, rien ne m’était resté.

Le territoire à vendre abritait les Glyphes de Gosford, situées près de Kariong, à peu près à 60 km au nord de Sydney. Ce site comporte des hiéroglyphes sculptés à la façon « Egypte Antique » peu connus, mis en lumière par plusieurs chercheurs depuis les dernières décennies. 

Nous sommes convaincus que tout près de ce site, et jamais vus auparavant par des non-Aborigènes depuis leur très récente découverte, se trouve une plateforme rocheuse avec une série de gravures sacrées d’importance considérable. Sur cette grande plateforme, nous avons vu un poisson, un serpent, un dauphin ou une baleine énorme, des cercles ainsi qu’une variété de formes et de symboles.


Il s’agit sans aucun doute d’une impressionnante galerie d’art rupestre ancien Aborigène qui mérite d’être protégé. Il y a une gravure grandeur nature de Durramullan (fils de l’Esprit de la création Biamie) qui est tellement singulière, totalement inattendue et manifestement sacrée, que des décisions ont dû être prises sur la manière de la qualifier publiquement.

Rien ne se rapproche de cela ailleurs en Australie, et c’est tout. C’est tout ce que nous avons convenu de révéler. Les photographies prises tard dans l’après-midi sur ce site, et en particulier celles de Durramullan, ne devraient pas être reproduites ou publiées par quelque média que ce soit mais…

En raison de la réelle possibilité que ce territoire puisse être vendu (bradé) et ensuite acquis, indépendamment des identifiants pour ou contre les Glyphes de Gosford, une approche différente est indispensable.

Nous avons convenu d’adopter une position de catégorisation en nous répartissant tous les sites/reliques « trouvés dans un rayon de 2 km de Sydney » mais cette approche générale ne s’applique pas à cet endroit. Ces gravures et les autres plateformes connexes (l’une est en fait située à l’intérieur de cette zone) sont désormais directement menacées.

La distance entre ce site unique et celui des Glyphes de Gosford est bien trop proche pour être expliquée par coïncidence ou par commodité. Pour ce qui est de déterminer l’authenticité de ce supposé site Egyptien, nous disposons d’un avantage. D’après le Dr. Hans-Dieter von Senff, qui a rédigé une ébauche de document sur le site : 

Ces hiéroglyphes sont réels et existent en Australie depuis au moins 4500 ans. De manière à prouver que ces glyphes proto-Egyptiens ne sont pas des graffiti, comme l’ont soutenu divers "Experts" et "Egyptologues" mais sont les traces écrites laissées par l’homme préhistorique, rédigé dans un langage cohérent et compréhensible qui a toujours du sens, même 4500 ans plus tard. Ce terrain n’est pas un canular, mais une découverte archéologique véritable, comme le prouvera la seconde série de glyphes récemment découverte.

Les critiques qui contestent l’origine de ces gravures dénombrées à plus de 300 ne sont tout simplement pas sensibles à l’ensemble de la situation. Et si elles s’avèrent, en effet, avoir été gravées par les Egyptiens, ces glyphes constitueraient un rôle-clé historique présumés par bien peu dans l’épitaphe de l’histoire australienne.


Les gravures ont été correctement traduites par Ray Johnson qui se veut proto-Egyptien, et accepté comme correctes par le Directeur général du Musée du Caire, le Dr. Dia’ Abou-Ghazi. [1]

Cependant, en dépit de l’approbation de l’expert en résidence du Caire, les universitaires Australiens avec des titres de compétences moins impressionnants sont catégoriques sur le fait qu’il s’agit d’une supercherie.

Le site comprend un Ankh gravé (voir l’image ci-dessus – crédits Steve Strong), un ornement essentiel de Thot, placé le long d’une empreinte de pied d’Ibis (la contrepartie animale de Thot) et de ce que nous croyons être le « Fleuve de la Vie » (River of Life). Deux hommes-Ibis gravés dans le roc, tous les deux de profil avec la tête d’un ibis et le corps d’un être humain, semblent résonner avec le même thème antique Egyptien.

Ce qui nous a vraiment surpris était que, non seulement le rapport synonyme entre les ibis et Thot, mais qu’à l’origine, Thot fut dépeint sous la forme d’un singe. Et c’est cette plus ancienne représentation qui a été trouvée deux fois en Australie, qui élargit les horizons considérablement.

Une statue trouvée à Gympie, considérée comme agissant comme l’une des cinq sentinelles gardant la pyramide aux sept marches de Gympie, est la représentation de Toth dans sa forme plus primaire simiesque et a été vivement débattue et souvent ridiculisée.


La récente découverte d’une gravure de Durramullan, aussi de profil, est moins sujet à la controverse. Le front long et prononcé ainsi que les lèvres saillantes sont évocateurs du babouin ou des grands singes, apparaissant totalement hors de contexte dès lors que la gravure se trouve sur un continent dénué de singe, petit ou grand.

La gravure est ancienne, gravée par un artiste connaisseur de l’animal africain et de la déité égyptienne, censés être inconnus avant l’invasion britannique. Et pour ajouter à la qualité et la quantité de ce partenariat transculturel, il existe deux séries de gravures Aborigènes, l’une contenant 31 personnages humains séparés et distincts et l’autre, 5 silhouettes dont 3 possèdent un corps humain avec ce qui semble être des têtes de crocodile.

C’est pour cette raison et beaucoup d’autres que nous sommes entièrement d’accord avec Robert Lawlor, auteur du très apprécié « Voices of the first day » lorsqu’il fait état de la même séquence et origine.


« Les pratiques religieuses égyptiennes, le panthéon de dieux zoomorphiques, les concepts de mort et de renaissance, la sorcellerie, la magie et la médecine trouvent tous leur origine dans la culture originale du Premier Jour (First Day) » [2]

Nous voyons la présence d’Egyptiens en Australie débuter autour des 5000 ans. En conformité totale avec une histoire du monde qui a vu, pour diverses raisons trop complexes à discuter ici, les marins et les explorateurs Aborigènes, revenir finalement en Australie à peu près à la même période.

Nous pensons que les glyphes et autres vestiges Egyptiens trouvés "dans les 2 heures à Sydney" témoignent d’une spiritualité sabbatique à l’endroit ou la religion et la culture égyptienne a commencé.

Que les Glyphes de Gosford soient si proches du site sacré Durramullan suggère un accord entre les premiers Australiens et un peuple d’un continent distant. La plateforme de Durramullan est indéniablement spéciale et les Glyphes font partie intégrante de cet arrangement unique, non seulement en Australie mais aussi dans le monde entier.

Les gravures ainsi que la crypte égyptienne, dédiées à la mémoire d’un fils de Pharaon, fut construite tout près de la plateforme rocheuse Durramullan et n’a pu être réalisée qu’avec le consentement des Aborigènes locaux.

Bien sûr, si les Aborigènes Australiens ont parcouru le globe à voile dans les temps anciens, ce voyage est soumis à la construction en Australie d’embarcation de haute mer. Tout en haut du sommet sont gravés beaucoup de peintures d’embarcations, dont on prétend à tort qu’ils sont inspirés des bateaux de pêche munis de trépan de Macassan.

De telles déclarations ne peuvent être émises concernant les embarcations pour la haute mer gravées découvertes dans la section Nord du site de Gosford. Le dessin du bateau, avec une proue et une poupe saillante a une fonction première : naviguer à travers de hautes vagues.

Construire un bateau de la forme et des proportions gravé dans le roc serait une perte de temps, d’effort et de ressources, si le vaisseau naviguait en eaux calmes. Plus important encore, cette gravure contribue pour beaucoup à établir les affirmations des Ramindjeri Elders.

Si réellement, comme ils insistent sur le fait que leurs ancêtres ont fait le tour du globe, alors dans la fig.8 cette conception si perfectionnée pourrait servir cet objectif.

Cette gravure ainsi que le compte-rendu de Ramindjeri fournit des réponses à une série de questions non résolues que le milieu universitaire est incapable d’apprécier. Le numéro 35 du très respecté magazine scientifique Cosmos a porté principalement sur la présence du peuple Aborigène Australien en Amérique.

La page de couverture comportait la légende suivante :

« Les Aborigènes ont-ils découvert l’Amérique ? De nouvelles découvertes surprenantes suggèrent que le premier peuple d’Australie est parvenu en Amérique du Sud il y a plus de 11 000 ans » [3]
Bien sûr l’Amérique n’était qu’une escale lorsque les premiers Australiens prirent la mer.

« Le Dr. Raghavendra et les chercheurs du gouvernement Indien appuyés par le projet d’inspection anthropologique de l’Inde ont trouvé que des mutations génétiques uniques étaient partagées entre les Indiens des temps modernes avec les Aborigènes.» [4]

Ils ont « identifié 7 peuples, des tribus de Dravidiens du Centre de l’Indre aux Austro-Asiatiques partageant les traits génétiques qui ne se trouvent que chez les Aborigènes. » [5]

Ces faits, de même que les nouvelles découvertes de liens génétiques Australiens avec un hominidé en Sibérie communément appelé le Denosovan, requièrent le même moyen de transport : le bateau.

Toutefois, le projet du bateau n’est pas tout. Sont également nécessaires les outils à la fois les outils pour la construction d’un tel navire ainsi que les techniques de navigation avant de naviguer vers l’Inde, l’Amérique, l’Asie, l’Egypte ou tout autre destination. La hache est une condition préalable essentielle si l’on veut construire un vaisseau capable de naviguer à travers les océans.

Compte tenu de ces tous ces précédents, cela ne devrait étonner personne que les plus vieilles haches ayant été découvertes se situent à Sahul (le plus large continent Australien qui comprend le PNG, la Tasmanie, etc…)

La hache la plus ancienne fut trouvée à Huon Terrace (PNG) et est datée à 40 000 ans. Lui succède une hache trouvée à Jawoyn land (N.T.), déclarée être âgée de 35 000 ans. Demeurant en Australie, une autre hache fut trouvée à Sandy Creek (QLD, âge : 32 000 ans) et une autre à Malangangerr (N.T. 23,000 ans).

En ce qui confirme l’ancienneté de la technologie des haches, et par association, celle des bateaux, Angel John Gallard a en sa possession un hachoir à main (le précurseur de la hache), qu’il croit être daté de pas moins de 60'000 ans, avec une possibilité réelle de plus de 100'000 ans). La plus vieille hache découverte hors d’Australie fut trouvée à Niah Cave (Sarawak) et sa datation est évaluée à 15 ‘500 ans.

Pour qu’un voyage aussi épique puisse s’accomplir, particulièrement en parcourant le globe dans un aller-retour en huit, les marins Aborigènes devaient s’orienter avec les étoiles. Une fois encore, tout commence ici. Comme annoncé par une équipe scientifique du CSIRO, la plus ancienne construction astronomique a été trouvée à Wurdi Youang (Victoria). « L’étrange disposition de pierres » a « deux points qui s’alignent parfaitement avec le soleil couchant au milieu de l’été ». [6], [7]

Les experts du CSIRO sont d’avis que « le cadran solaire antique Aborigène pourrait bien dépasser l’âge de 10'000 ans » [8]

Ces rocs ne se tiennent debout isolément – deux ensembles de murs trouvés récemment dans les montagnes (the Snowy Mountains), le premier étant aligné Est-Ouest balise la conjonction de planètes et renferme pas moins de 10'000 rocs. Le second mur est au moins quatre fois plus grand et descend le long d’une pente extrêmement raide.

D’ici à "2 heures de Sydney" se trouve un cercle parfaitement aligné de 5 rocs ainsi qu’une autre construction bien plus énigmatique encore, que pour des raisons évidentes nous appellons ‘mini-Stonehenge’. Il est constitué de 46 pierres dans le cercle intérieur et de 18 formant ce que nous ressentons être un amas d’étoiles.

Les quatre directions sont signalées par des formes d’arches avec une pierre horizontale soutenue par des piliers en pierre. Les quatre constructions, bien que séparées par des centaines de kilomètres, servent le même objectif : établir une carte du ciel.

Il y a un motif exposé par ces sites qui semble contredire ouvertement la maxime artistique que nous présumons avoir tenu bon à travers toute l’Australie. Il était de notre croyance que l’art aborigène traditionnel était régional. A l’intérieur de cette zone nous avons trouvé plus de 25 styles/techniques, beaucoup d’entre eux considérées comme la création d’un seul domaine tribal.

Nous avons trouvé des éléments prouvant les styles artistiques des Aborigènes suivants : Panaramitee; X-Ray; Figurative; Mimi; Lightning Brothers; Wandjina; Papunya; Pochoirs à mains (deux sortes); Representational; gravures sur roc; Rock Pecking; Dispositions de pierres; Bands across the body; Symboles Egyptiens; Empreintes d’oiseaux; Engraved shield design (trouvé partout en Australie); Profiled spirits; et d’autres que nous sommes incapables d’identifier. – 


Où cela va-t-il nous mener ? se fier seulement aux manuels et aux universitaires « confus et embrouillés…» Ou il existe une route alternative. Nous avons la conviction que les Premiers Australiens étaient séparés des Africains et qu’ils étaient les premiers homo sapien sapiens.

C’est bien de l’Australie et non de l’Afrique que provenait la première migration et c’est de l’Australie, que la religion, l’égalité des genres, l’astronomie, les inhumations, la voile, la musique, l’art, la démocratie et toutes les nobles recherches débutèrent.

Et, c’est en Australie, en particulier la zone autour des 2 heures de Sydney, la preuve de cet héritage mondial peut encore être découvert. 

By Steve Strong, New Dawn Magazine; | Please visit Wayne Herschel's website for his interpretation of the Egyptian hieroglyphs of Australia;

Traduction Genève, le 10 mai 2014 Nicole V. Joseph

notes: 
1. “The Kariong Glyphs and the Prohibited Egyptians: Research Proves the Kariong Glyphs to Be Genuine and Exposes the Critics as Hoaxters” by Hans-Dieter von Senff, 2011, 99. 
2. Voices of the First Day: Awakening in the Aboriginal Dreamtime by Robert Lawlor, Inner Traditions International, Ltd., 1991, 75. 
3. “Ancient Odyssey” by Jacqui Hayes, Cosmos, 2010, Front Cover. 
4. “First Australians Were Indian: Research,” Sydney Morning Herald, 23 July 2009, 16. 
5. Ibid. 
6. “Wurdi Youang Rocks Could Prove Aborigines Were First Astronomers,” 5 February 2011, www.news.com.au/technology/sci-tech/ancient-aboriginal-eyes-were-on-the-skies/story-fn5fsgyc-1226000523978 
7. Ibid. 
8. Ibid. 

©Copyright New Dawn Magazine, http://www.newdawnmagazine.com.

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