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samedi 21 février 2015

CROYEZ-VOUS EN L'EXISTENCE DES "UNIVERS PARALLÈLES" ?


D’où vient l’étrange et furieuse envie des physiciens de croire en l’existence d’univers parallèles
Article de Aurélien Barrau*

Ce n'est pas de la science-fiction, c'est de la science tout court : la multiplicité d'éventualités auxquelles nous sommes confrontés tous les jours pourraient générer autant de réalités parallèles... Les scientifiques les plus éminents tentent d'y voir plus clair.

L'existence des univers parallèles agite la communauté scientifique internationale. En quoi cette question est-elle essentielle dans notre compréhension de la matière ?

Aurélien Barrau : La question de l’existence d’une éventuelle multiplicité d’univers est effectivement en train de devenir une question réellement scientifique. C’est un tournant très intéressant. Cette possibilité fut évoquée tout au long de l’histoire de la philosophie : chez Anaximandre, Épicure, Lucrèce, Bruno, Rabelais, Leibniz, Lewis, Goodman et beaucoup d’autres. Mais depuis peu elle devient également scientifique. Plusieurs circonstances ou théories laissent entrevoir la possibilité de l’existence d’univers multiples.

Ces différents chapelets d’univers sont d’ailleurs compatibles les uns avec les autres, donnant éventuellement naissance à une structure gigogne (en poupées russes) de mondes imbriqués !

L’enjeu de ce « multivers » est triple :

- d’abord, naturellement, il s’agirait d’une révolution, comparable à la révolution copernicienne, dans notre représentation du Cosmos.

- ensuite, contrairement aux apparences, la proposition est pour l’essentiel expérimentalement ou observationnellement testable.

- enfin, d’un point de vue pratique, pour évaluer la pertinence de certaines théories au sein même de notre univers, l’existence d’autre univers peut changer radicalement les conclusions. Ce n’est donc pas qu’une proposition métaphysique.


Au-delà de cette importance évidente à l’échelle cosmologique, c’est aussi une question qui peut être signifiante pour la compréhension de la matière puisque la mécanique quantique, qui la décrit, est également potentiellement génératrice d’univers parallèles.

Quelles différences y-a-t-il entre objet quantique et un autre ?

La mécanique quantique est une de nos théories essentielles et fondamentales. Elle est indispensable à la description du monde microscopique et fonctionne remarquablement bien. Elle nous apprend qu’à petite échelle le monde est « discontinu », qu’il faut renoncer au déterminisme au profit d’une dose de hasard et que les particules élémentaires sont comme douées d’ubiquité.

Un objet quantique se trouve donc, si l’on peut dire, à plusieurs endroits en même temps. Il est régi par des lois qui n’ont rien à voir avec celles dont nous sommes coutumiers ! Et ces lois étranges sont pourtant vérifiées par l’expérience avec une précision sidérante.

Plus d'une dizaine de théories sont actuellement considérées comme valables pour expliquer le lien entre physique quantique, valide pour apprécier l'infiniment petit, et physique classique de la matière. Pourquoi la Théorie de Copenhague est-elle si commode entre les autres ?

Pour être précis, il s’agit davantage d’interprétations de la même théorie que de théories réellement différentes.

L’interprétation dite de Copenhague, est la plus "évidente". Elle suppose que lors d’une mesure opérée sur un système quantique, se produit un phénomène complexe nommé « effondrement de la fonction d’onde ». Ce processus est mathématiquement disgracieux et conceptuellement coûteux. Mais il permet effectivement d’expliquer ce qu’on observe.

Quels éléments tangibles permettent de croire en la théorie d'Everett ?

L’interprétation d’Everett, au contraire de celle de Copenhague, suppose que lors de l’interaction d’un système quantique avec un système classique (ceux dont nous faisons l’expérience quotidienne), s’effectue un embranchement en univers parallèle ! Le système quantique qui était dans deux états à la fois, se trouve placé dans un état bien déterminé dans un univers et dans l’autre état au sein d’un autre univers ! Pour reprendre l’exemple fameux : le chat de Schrödinger serait donc vivant dans un monde et mort dans un autre.

Suivant cette interprétation les univers parallèles pulluleraient : à chaque interaction de ce type – et il y en a un nombre incalculable à chaque instant –, un nouvel univers serait créé.

Il n’y a aujourd’hui aucune indication claire en faveur de cette vision (ni en faveur de celle de Copenhague). Mais elle rallie à sa cause beaucoup de physiciens (en particulier de théoriciens) parce qu’elle est mathématiquement beaucoup plus simple et plus belle que celle de Copenhague.

Pour autant, vous avez récemment imaginé une manière de la vérifier. En quoi consiste-t-elle concrètement ?

Une idée répandue chez les physiciens est qu’il est impossible de trancher expérimentalement entre ces deux interprétations. J’ai en effet récemment montré que c’est inexact. La cosmologie, la science de l’Univers, pourrait permettre de savoir laquelle est correcte.

L’idée est assez simple. Si l’on en croit l’interprétation de Copenhague, il n’y a qu’un seul univers. Au contraire, dans l’interprétation de Everett, chaque éventualité est réelle quelque part. Un monde qui aurait une faible probabilité d’existence, et que la vision de Copenhague considérerait donc comme improbable, pourrait à l’inverse devenir très probable dans la vision de Everett s’il contient beaucoup d’observateurs.

Sans entrer dans les détails, disons qu’il est tout à fait possible que l’interprétation de Everett et ses mondes multiples donnent des prédictions différentes de celle de Copenhague avec un monde unique. C’est une hypothèse réfutable.

A quel moment pourrions-nous réaliser cette expérimentation ? Qu'est-ce qui nous empêche de le faire ? 

En fait le problème est moins celui d’une expérience à réaliser que d’une amélioration de nos modèles pour les confronter avec l’Univers que nous observons. Pour pouvoir faire ce test, il faudrait que nous soyons capables, dans le cadre d’un modèle admis de cosmologie quantique, de calculer toutes les probabilités avec une grande précision. C’est possible en principe mais il faut avouer que nous en sommes encore loin en pratique...

Mais l’histoire des sciences nous invite, en contrepoint d’une modestie de principe, à être aventureux dans nos objectifs !


Y a-t-il d’autres formes d’univers multiples plus accessibles que ceux de la mécanique quantique ?

Oui, absolument !

La théorie de l’inflation cosmologique, par exemple, qui prédit une augmentation considérable des distances juste après le Big Bang et est aujourd’hui bien corroborée par les observations, produit une forme de multivers. Elle génère presque automatiquement une structure en univers-bulles ! Dans des approches plus spéculatives (comme la théorie des cordes), il se peut que ces univers-bulles soient eux-mêmes structurés par des lois différentes …

La gravitation quantique à boucles, théorie importante pour concilier la relativité d’Einstein avec la mécanique quantique, génère quant-à-elle une sorte de multivers « temporel » : les mondes se succèdent dans le temps.

Cela ouvre-t-il des perspectives philosophiques particulières ?

Je pense en effet que cette question des univers multiples a d’importantes résonnances. Elle oblige à s’interroger sur ce que nous attendons de la science. Elle montre qu’une physique sans métaphysique n’a finalement aucun sens. Elle tisse des liens avec d’autres champs cognitifs.

Peut-être sera-t-elle aussi l’occasion de faire cesser quelques remarques insensées comme : « mais ce n’est qu’une théorie » ou « cette théorie est-elle prouvée ? ». En effet, tout notre savoir est théorique et être une théorie n’est évidemment pas une faiblesse ! A contrario, aucune théorie scientifique n’a jamais été et ne sera jamais prouvée, c’est justement ce qui fait sa scientificité...


*Aurélien Barrau est professeur à l’Université Joseph Fourier, membre de l’Institut Universitaire de France et chercheur au Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie du CNRS.

Il a publié en mars 2013 Big Bang et au-delà - Balade en cosmologie (Ed. Dunod) qui explique, dans un langage clair et accessible, les dernières découvertes en cosmologie, et des Univers multiples paru chez Dunod en 2014.

samedi 6 septembre 2014

PREMIÈRE EXPÉRIENCE DE TÉLÉPATHIE RÉUSSIE !


Première expérience de télépathie réussie, selon des chercheurs

Des chercheurs affirment avoir transmis pour la première fois un message mental simple entre deux personnes séparées par des milliers de kilomètres, selon une recherche récemment publiée dans la revue américaine PLOS one.

Pour cette expérience, un des sujets en Inde porte des électrodes sur la tête transmettant via internet ses activités cérébrales comme un électroencéphalogramme, alors qu'il pense des messages très simples comme "bonjour" ou "salut".

L'ordinateur convertit ces impulsions électriques en code binaire, le langage machine, avant de les envoyer à un autre ordinateur qui les transmet au cerveau d'une autre personne en France sous forme de flash lumineux, expliquent ces scientifiques.

Le sujet ne pouvait ni entendre ni voir les mots eux-mêmes mais a été capable d'interpréter les signaux lumineux pour saisir le message.

En fait cela revient à transmettre un message par télépathie...

« Nous voulions voir s'il était possible de communiquer directement entre deux personnes en lisant les activités cérébrales de la première puis en les transmettant à une autre et ce sur de vastes distances via les systèmes de communication existants comme internet », a expliqué Alvaro Pascual-Leone, professeur de neurologie à la faculté de médecine de Harvard, co-auteur de cette expérience.

Des chercheurs de l'université de Barcelone et de la firme espagnole Starlab ainsi que de la société française Axilum Robotics ont également participé à cette recherche parue dansPLOS One daté du 19 août.

Selon ces scientifiques il s'agit d'un premier pas dans l'exploration d'autres moyens de communication.

« Nous pensons que des interfaces directes courantes entre les ordinateurs et le cerveau humain seront possibles dans un avenir pas si éloigné, permettant une communication directe de cerveau à cerveau de façon routinière (...) et créant de nouvelles possibilités dans les relations sociales », concluent ces chercheurs.

Parmi les applications potentielles, ils citent la possibilité de communiquer avec des personnes paralysées et incapables de parler après un accident vasculaire cérébral.

Les scientifiques travaillent depuis une dizaine d'années sur les communications télépathiques.

En 2013, des neurobiologistes de l'Université Duke en Caroline du nord étaient parvenus à faire transmettre par une forme de télépathie des informations entre deux rats.

Comme ils sont tenus de le faire dans les grandes publications scientifiques, plusieurs auteurs signalent des conflits d'intérêt. Ainsi trois des chercheurs sont salariés de la firme de robotique et de neurosciences Starlab à Barcelone, qui a financé une partie de la recherche.

source : La Presse

vendredi 13 septembre 2013

DES SCIENTIFIQUES ONT CRÉÉ UN "MINI-CERVEAU" HUMAIN EN LABORATOIRE !!!


Publiée dans la revue scientifique de référence Nature, la nouvelle a fait l'effet d'une bombe dans le monde médical. Des scientifiques de l'Institut de biologie moléculaire de l'Académie des sciences de Vienne ont réussi à créer un cerveau embryonnaire à partir de cellules souches de peau.

Comment ont-ils fait ?

Bien évidemment, il ne s'agit pas d'un vrai cerveau en miniature. C'est un fait un tissu d'environ 4 mm de diamètre qui présente toutes les caractéristiques d'un cerveau au stade embryonnaire, qui aurait atteint près de 9 semaines de développement. Alors comment ont-ils réussi à créer un tel organe ? En réalité, il n'ont rien fait pour, comme l'explique Dr Juergen Knoblich qui a participé à cette création. "Ce qui est vraiment fascinant c'est l'énorme capacité d'auto-organisation des cellules humaines. [...] Les cellules aiment former les bons tissus et si vous les laissez faire et leur fournissez juste les nutriments dont elles ont besoin, elles le font."

Les scientifiques ont donc placé les cellules souches de peau dans un environnement idéal à leur développement, et elles se sont organisées de manière à créer un cerveau, tout comme elles auraient pu décider de créer un cœur ou un foie.

Pourquoi c'est une révolution ?


L'élément primordial est de pouvoir mieux comprendre, et peut-être soigner, les maladies du cerveau qui sont aujourd'hui très difficiles à traiter. Grâce à la production de ce cerveau embryonnaires, les scientifiques ont pu faire de nombreux tests, notamment concernant la microcéphalie, une maladie neuro-développementale grave mais rare, dont le principal symptôme est un cerveau plus petit que la normale. 

"Notre système permet de remonter aux origines de la maladie" se félicite le Dr Knoblich. "Nous pensons pouvoir générer des tumeurs cérébrales qui pourraient être utilisées par l'industrie pharmaceutique pour tester des médicaments" ajoute-t-il.

Un problème éthique ?


Comme toujours dans ce genre d'avancées, on craint une marchandisation du vivant, des pratiques eugéniques et j'en passe. Alors, y'a-t-il véritablement un risque ?

Non, assure le Dr Knoblich. D'une part, parce qu'il semble impossible à l'heure actuelle de reproduire un cerveau dans son entier, car pour atteindre une taille plus grosse que ses 4 mm il aurait besoin de vaisseaux sanguins. D'autre part, concernant une hypothétique transplantation, "je ne crois pas que cela soit possible et je ne pense pas non plus qu'il serait éthiquement permis de générer un cerveau entier et de l'utiliser pour réparer un cerveau humain." conclut le Dr Knoblich. Nous voilà rassurés ! Ou pas...

source : LeFigaro

mercredi 14 août 2013

DOCUMENT COMPROMETTANT DE LA NASA : DÉPEUPLEMENT DE LA TERRE


NASA : La fin de l'humanité "As We Know It". Des révélations de Deborah Tavares nous préviennent des façons qui ont été prévues par la NASA pour un dépeuplement de la Terre.

Elle explique ce qui est prévu de se produire et les choses auxquelles nous sommes exposés tous les jours qui peuvent être utilisées comme armes silencieuse contre le peuple. Si le dépeuplement est l'objectif ici l’onn propose plusieurs outils qui ont été mis au point pour le faire. Peut-être ces déclarations alarmantes ne sont pas à prendre au pied de la lettre mais sans doute les gens doivent au moins être informés de ces documents...

Nous vous donnons ici la chance de voir cette information et ensuite c’est à vous de prendre vos décisions vous-mêmes, et de décider d'agir ou pas.

À PROPOS DE L’INQUIÉTANT DOCUMENT DE LA NASA CONCERNANT LA GUERRE SILENCIEUSE DE LA DÉPOPULATION : « VOTRE SILENCE EST VOTRE PERMISSION »

WARNING !!! NASA - The End Of The World Leaked Document 2013


The NASA War Document (Your Silence Is Your Permission)


Vous pouvez également télécharger des fichier PDF concernant cette affaire : here (en aglais seulement)
Download PDF Here 
Deborah Tavares Website

lundi 15 juillet 2013

CRÉATION DE LA PREMIÈRE CELLULE ZOMBIE PAR DES CHERCHEURS AMÉRICAINS !


Le Début de la Fin : Création de la première cellule zombie par des chercheurs américains

La science fiction en a rêvé, vous en avez rêvé, les américains l’ont fait ! Ils ont réussi à développer une cellule morte… toujours en fonction… Vous avez dit zombie ? 

On vous explique tout ça… 

Il s’agit d’une première mondiale, les chercheurs n’en reviennent toujours pas d’avoir réussi leur expérience et que les résultats surpassent ce qu’ils avaient imaginé : la cellule morte s’est montrée plus performante que lorsqu’elle était vivante, on imagine le pire…

Les scientifiques du Laboratoire National de Sandia et de l’Université du Nouveau-Mexique ont eu recours à une technique originale. Ils ont enduit des cellules de mammifères avec une solution de silice pour former une sorte de blindage perméable autour de la protéine de la cellule vivante, et permettre ainsi aux chercheurs de confronter la cellule à des températures et des pressions inimaginables pour une cellule vivante.

Chauffée à 400°C, la cellule s’évapore littéralement et laisse dans la silice une réplique tridimensionnelle des structures minéralisées et des fonctionnalités complexes de l’organisme vivant qu’elle était avec une précision quasi atomique, tout en préservant la spirale de l’ADN cellulaire.


Étonnamment, la cellule morte reste capable d’effectuer certaines de ses anciennes fonctions. Parfois, elle les réussit même mieux que lors de son vivant grâce aux propriétés du silice qui lui permettent de résister à des températures et des pressions qu’elle n’aurait jamais pu endurer par exemple.

Le chercheur Bryan Kaehr déclare d’ailleurs : « Nos cellules zombies jettent un pont entre la chimie et la biologie en créant des cellules qui, non seulement ressemblent comme deux gouttes d’eau à elles-mêmes mais sont aussi capables de travailler sans relâche ».


mercredi 26 juin 2013

STAR TRECK 12 = RÉVÉLATIONS SUR LA "PRIME DIRECTIVE" !


Star Trek 12 – "Into the Darkness" – révélations sur la « Prime Directive »

Des informations très importantes ont été « glissées » intentionnellement dans le dernier film de Star Trek « Into the Darkness », ces informations répondent à la question « Pourquoi les Extras Terrestres » ne se font pas plus connaitre en débarquant au vu et su de tout le monde ? »

Une fois n’est pas coutume les super productions hollywoodiennes contiennent des informations vrais censés préparer l’évolution des consciences des "eaters" (les "mangeurs" est le terme utilisé pour définir les masses, les esclaves humains, par les illuminatis…) au monde soit disant ultra futuriste qui en fait est le monde tout court qui nous entoure. La réalité comparée a la matrice dans laquelle nous vivons.

Le début du film est a voir ou a revoir absolument car il explique précisément la "Prime Directive" (Directive Première) de tout être civilisé et avancé spirituellement, a savoir : ne jamais intervenir dans l’évolution d’une espèce sous développée (comme les humains).

On y voit bien plusieurs références historiques (et oui c’est loin d’être un film futuriste, pour moi et beaucoup de gens qui ont accès aux vrais infos, il s’agit d’une parabole directe a notre passé) :

- le peuple primitif vouait un culte a un morceau de papier contenant des inscriptions et un dessin (référence aux religions)

- Le vol de ce morceau de papier (attaque contre leur religion) entraîne la haine et la volonté de détruire physiquement ces voleurs.

- Spock pendant ce temps cherche a prévenir les habitants primitifs de cette planète d’une extinction certaine si leur super volcan explose (intervention autorisée sous condition qu’elle ne soit pas révélée aux habitants primitifs, ce qui s’est passé sur Terre a de multiples reprises depuis la nuit des temps ainsi que récemment Mexique).

- Quand Spock se retrouvé en perdition dans le cratère et que Kirk veut le récupérer mais que le seul moyen est de sortir l’Enterprise de l’eau devant tous les primitifs et en plein jour, Spock lui rappel la « Prime Directive » : ne jamais interférer dans l’évolution d’un peuple primitif car la révélation est trop grande pour leur capacité de compréhension et cela détruit leur évolution naturelle.

- malgré cette directive ultra importante Kirk décide de sauver Spock du coup les primitifs voient le vaisseau spatial.

- Ils jettent le morceau de papier a terre devant lequel quelques minutes avant ils se prosternaient (la religion)

- Ils se mettent a adorer un nouveau Dieu qui est l’Enterprise (les Aliens)

On a ici les explications réelles, simples et logiques de la question que beaucoup de sceptiques se posent : Pourquoi ils ne débarquent pas tout simplement devant tout le monde ?

Il faut savoir que la « Prime Directive » a été abondamment abordée dans les épisodes de toutes les séries Star Trek et ce depuis 1966 date des premiers épisodes. Mais jamais elle n’avais été autant mise en avant et martelée que dans ce dernier film.

Autre révélation qui va certainement vous surprendre, mais qui pourtant est vraie (faites vos recherches évidement, ne prenez pas tout ce que je dis pour acquis), les premiers scénarios de Star Trek en 1966 sont sortis d’un groupe de méditation qui ont reçus ces infos pendant leurs séances.

Aux États-Unis ils appellent ca : "channeling" (transmission), c’est le fait de recevoir des infos par la pensée en provenance d’autres entités extérieures lors de méditations.

Vitesse exponentielle, téléportation, laser, inhibiteur d’inertie, anti-gravité, prime directive, explorations d’autres civilisations, confédération galactique, races de Reptiliens (Klingons), races de Greys, pouvoirs de l’esprit par des êtres supérieurs (Spock)… tout a été écris sous la dictée !

Tout comme beaucoup d’autres super productions, Contact, la Guerre des Etoiles, Battle Star Gallactica, Prométhéus… ce film est truffé d’infos ET de désinformations :

72 missiles capsules, référence aux 72 ans du cycle de la précession des équinoxes, le surhomme Kaan (nom d’une ancienne cité Maya) et ses origines génétiques. Nibiru le nom de la planète des Anunakis placé ici pour volontairement embrouiller les cerveaux des gens sur cette planète décrite dans les tablettes sumériennes.

Autres infos qui devraient vous ravir ou du moins vous intriguer sur la Guerre des Étoiles : « In a Galaxy Far Far away… » MON CUL !

La méthode utilisée est tout le temps la même, assimiler la science a quelque chose de très éloigné dans l’espace ou dans un temps futur, la science a la fiction. Le mot même « science-fiction » est exécrable et diabolique, depuis que vous êtes né on vous martèle les 2 mots associés SCIENCE-FICTION, comment croyez vous que votre cerveau réagit après ???

Vous avez déjà vu un film de science fiction qui se passe il y a 1 million d’années en arrière ?
Non ? Pourquoi ? Posez vous bien la question…

Georges Lucas dans sa série de films la Guerre des Etoiles a commencé par les épisodes 4, 5, 6 et des années après a fait les épisodes 1, 2, 3.
Pourquoi ?

La réponse est que 4, 5, 6 représente notre futur et que 1, 2, 3 représente notre passé !

Dans les épisodes 1, 2, 3, les humains vivent en paix dans le jardin d’Eden (Naboo qui est une référence a la Terre et aux Atlantiens), et les forces du mal prennent le dessus à la fin de l’épisode 3.

Dans les épisodes 4, 5, 6, les humains (et d’autres races) s’organisent en rébellion, luttent et reprennent le dessus pour regagner leur liberté, la lumière gagne a la fin de l’épisode 6 et on revient au jardin d’Eden.

Cette époque du changement, de la grande bataille pour la liberté, c’est maintenant et les soldats de la lumière, c’est VOUS !


source : stopmensonges.com

dimanche 9 juin 2013

L'Ordinateur Quantique : La Nouvelle Révolution Informatique !


pour en savoir plus cliquez sur l'image...

sur l'excellent site : terre sacrée.org

mardi 23 avril 2013

SOURIEZ... VOILÀ LES DRÔNES !!!


Un jour, serez-vous suivi à la trace par des engins volants sans pilotes, munis de caméras ? Les drones risquent bien de se multiplier au dessus de nos têtes. Pour notre "plus grand bonheur"...

Il y avait les caméras de surveillance intelligentes, demain il y aura peut-être mieux pour nous surveiller. Non seulement vous craindrez de croiser un passant muni de Google Glasses, mais en plus, vous craindrez aussi, peut être, les drones. Vous savez, ces petits engins volants, utilisés pour l'instant principalement par l'armée, mais que l'on voit déjà dans les films ou bouquins de science-fiction futuristes. 

Munis de caméras, les drones pourraient bien vous pister, dans la rue, devant chez vous, partout. J'en ai déjà parlé dans un billet sur la reconnaissance faciale : cette technologie, qui permet de reconnaître un individu sur les images d'une caméra ou sur des photographies, devrait être utilisée à terme par les drones, ou véhicules aériens sans pilotes (UAV) de l'armée américaine. 30 000 drones d'ici à 2030, qui permettront de "reconnaître un individu selon sa taille, son âge, son genre et sa couleur de peau".

Levez la tête


L'utilisation de tels drones ne se limitera visiblement pas aux opérations militaires. Selon le maire de New-York, Michael Bloomberg, les drones devraient être également déployés dans les grandes métropoles, pour surveiller les civils. Au nom de la sacro-sainte sécurité, bien sûr.

Pour Michael Bloomberg, il n'y aurait pas de grande différence entre une caméra de surveillance classique et un drone muni de caméras : "quelle différence entre un drone en l'air ou une caméra fixée à un immeuble?". Et d'ajouter, prophétique : "nous allons vers un monde différent, inconnu. Vous ne pourrez pas empêcher la vague de déferler".

Pour l'instant, les technologies de reconnaissance faciale demeurent au stade du développement et sont loin de fonctionner parfaitement. Cela nous laisse donc une petite marge, de 5 à 10 ans, pour profiter pleinement de notre vie privée, avant l'arrivée de ces "drones de sécurité".


Comme l'explique Slate, les associations de défense de la vie privée s'inquiètent de l'utilisation de ces drones, tant aux USA qu'en Europe. L'Epic (Electronic Privacy Information Center) réclame un encadrement strict de leur utilisation (un mandat, obligatoirement utilisé par les policiers).

La CNIL a lancé de son côté une réflexion sur les cadres éthiques et juridiques à mettre en place, notamment concernant la surveillance privée. Car les drones "faits maison" ou les "drones-jouets" pourraient être aussi utilisés par des voisins un tantinet voyeurs. "Dès lors qu'il est équipé d'un appareil photo, d'une caméra mobile, d'un capteur sonore ou encore d'un dispositif de géolocalisation, un drone peut potentiellement porter atteinte à la vie privée, capter et diffuser des données personnelles", rappelle la CNIL. 

"Il pourrait y avoir des dérives contre la vie privée ou des usages pour l’espionnage industriel ou le terrorisme", prévenait récemment Clément Rossignol, physicien au CNRS et vice-président vert de la communauté urbaine de Bordeaux, dans Libération.

Demain, tous suspects ?

Il est bon de savoir qu'aux États-Unis, un programme de recherche, baptisé Trapwire, a pour objectif de développer une technologie permettant de détecter les comportements suspects des citoyens sur les images des caméras de surveillance (et donc, pourquoi pas, des futurs drones civils).

À New-York, la police s'est alliée l'été dernier à Microsoft pour mettre en place un système de prévention du crime, le DAS (Domain Awareness System). Un peu comme dans Minority Report (oui, j'y reviens toujours), les caméras de la ville et des capteurs placés un peu partout permettront de détecter les comportements suspects des habitants, et donc de prévenir les crimes.

En Europe, il existe aussi une armada de programmes de ce genre, financés par l'Union Européenne. Les plus connus s'appellent INDECT et ADABTS. Ils sont encore au stade de la recherche, les technologies développées à coups d'algorithmes sont loin d'être matures, mais d'ici à 2020, les chercheurs européens espèrent pouvoir suivre à la trace un suspect sur les images des caméras et détecter un comportement suspect dans n'importe quel lieu public. 

La reconnaissance faciale, si elle équipe les drones, permettra de suivre davantage quelqu'un à la trace. Le plus beau est que la personne suivie ne s'en apercevra même pas : prenez le système ARGUS-IS (Autonomous Real-Time Ground Ubiquitous Surveillance Imaging System) développé par l'armée américaine. Selon Numerama, ce système de surveillance est capable d'épier un individu à partir d'un drone situé à plus de 6 kilomètres de hauteur, en filmant non stop les rues d'une ville. L'avenir est bel et bien en marche !


Des drones pour surveiller les New-Yorkais

Les avions sans pilote vont surveiller la sécurité dans les rues de grande ville américaine New York prochainement, a déclaré le maire Michael Bloomberg. À son avis, il n'y a pas de différence si une caméra de sécurité est attachée au bâtiment ou placée sur un drone volant. 

Il est prévu que New York sera entièrement contrôlée par les caméras dans 5 ans. Le maire a également noté qu'à l'heure actuelle, les programmes informatiques spéciaux, qui permettront d'établir l'identité d'un passant par son image, se trouvent sur le stade de développement.

jeudi 18 avril 2013

LA NASA A FAIT LA DÉCOUVERTE D'UNE PLANÈTE COMME LA TERRE!!!


Hier soir, la NASA a diffusé en direct sur sa chaîne une annonce d’une énorme importance. L’agence spatiale américaine a découvert des planètes candidates qui remplissent presque toutes les conditions nécessaires pour héberger la vie. Et selon William Borucki, le directeur scientifique du télescope Kepler, il s’agit des 2 meilleures planètes jamais découvertes.

En décembre dernier, il y avait déjà eu beaucoup d’émotions en découvrant une planète potentiellement habitable dans le système solaire de Tau Ceti. Mais la révolution autour du soleil rendait son habitabilité peu probable. Nos nouvelles amies s’appellent Kepler-62-e et Kepler-62-f. elles se trouvent environ à 1200 années lumières de nous. Et elles ont tous les ingrédients correspondant à la soupe primordiale.

Les deux planètes tournent autour de leur étoile, une naine orange, avec une orbite relativement proche l’une de l’autre (du moins quand on compare la distance Terre-Mars). Selon Borucki, Kepler-62-f aurait un climat hawaïen agréable tandis que l’autre planète plus distante aurait un climat similaire à celui de l’Alaska. Oui, ils ont découvert Tatooine et Hoth.

Et les chercheurs sont plein d’espoirs. Selon le co-auteur de l’étude, David Charbonneau de l’Université d’Harvard : C’est la première fois que je me suis dit : "Hé, Kepler-62-f pourrait vraiment héberger la vie. Nous venons de franchir une étape très importante. Pourquoi n’hébergerait-elle pas la vie ?"

Et comme les planètes tournent autour d’une étoile qui a 2,5 milliards d’années de plus que la nôtre (une jeune fille de 5,5 milliards d’année) Borucki pense que si la vie existe, il est logique de penser qu’elle peut héberger une civilisation plus avancée que la nôtre. Il ne nous reste plus qu’à espérer qu’ils cherchent des amis. [NASA]


L'existence d'une nouvelle planète soeur de la Terre hors de notre système solaire est donc confirmée, ce qui porte à trois le nombre de planètes potentiellement habitables découvertes par la communauté scientifique internationale.

C'est la première fois que la sonde américaine Kepler, lancée en mars 2009 et dotée d'un puissant télescope, confirme la présence d'une planète orbitant autour d'une étoile autre que le Soleil dont les caractéristiques sont propices à l'apparition de la vie.

Cette confirmation signifie que les astronomes de la Nasa ont vu passer à trois reprises au moins l'exoplanète devant son étoile. Ils ne peuvent cependant pas dire si une certaine forme de vie s'y trouve mais seulement que les conditions sont requises pour qu'elle puisse s'y développer.

De telles planètes se trouvent à la bonne distance de leur étoile pour une éventuelle présence d'eau à l'état liquide. Par ailleurs, leur température et leur atmosphère sont propices à l'apparition de la vie et à son évolution. "Nous sommes certains qu'elle se trouve dans une zone habitable", a assuré à des journalistes Bill Borucki, expert de la Nasa à propos de Kepler 22.

Celle-ci, 2,4 fois plus massive que la Terre, se trouve à une distance d'environ 600 années-lumière (1 année-lumière = 9.460 milliards de km) et tourne autour de son étoile en 290 jours. Les scientifiques ne savent cependant pas si elle est constituée de roches, gaz ou liquide.

"Si elle dispose d'une surface, la température doit y être agréable", a souligné Bill Borucki. Selon la Nasa, la température près de la surface de l'exoplanète serait de 22 degrés Celsius.

Le Centre national de la recherche scientifique (CNRS, France) avait été le premier en mai à annoncer qu'une des planètes tournant autour de l'étoile naine Gliese 581 pourrait s'avérer "habitable" avec un climat propice à la présence d'eau liquide et à la vie. En août, des astronomes suisses avaient confirmé l'existence d'une autre exoplanète, appelée HD 85512b et située à 36 années-lumière de la Terre contre 20 années-lumière pour Gliese 581d.

Lancée en mars 2009, la sonde Kepler a pour mission de rechercher des planètes soeurs de la Terre susceptibles d'abriter la vie, en observant plus de 100.000 étoiles semblables au Soleil. La Nasa avait annoncé début 2010 que la sonde avait découvert ses cinq premières exoplanètes, mais toutes trop chaudes pour abriter la vie.

Le jour même de la confirmation de l'existence de Kepler 22, des astronomes de l'université de Porto Rico ont diffusé sur internet le classement, en fonction de leur habitabilité, de 47 des près de 700 exoplanètes découvertes depuis 1995 par différentes équipes d'astronomes. Kepler 22 n'y figure pas encore, mais HD 85512b et Gliese 581d y occupent les premières places.
 
merci à : CC 

samedi 26 janvier 2013

CONCEVOIR LE FUTUR : LE FILM




Note : Pour les sous-titres en français... Activez-les via  la touche "CC" sur la barre du lecteur Youtube

jeudi 24 janvier 2013

L'ÈRE DES NANOTECHNOLOGIES...


Les nanotechnologies ont ouvert un nouveau chapitre dans l'histoire des technologies : celui d'une miniaturisation qui confine à l'invisible. Nous n'en sommes pas nécessairement conscients, mais certains matériaux aux propriétés inimaginables il y a encore quelques années ou des objets familiers dotés de fonctions inédites ont déjà fait leur entrée dans nos vies.



lundi 21 janvier 2013

MIRACLES DES NANOTECHNOLOGIES


Un Humain Presque Parfait  
"Les Nanotechnologies"

Aujourd'hui les progrès de la science sont tels qu'ils nous permettent d'imaginer un humain "augmenté". Pour la première fois de notre histoire, nous avons la possibilité de modifier radicalement ce que seront nos enfants, et nos petits-enfants, choisir la couleur des yeux, son intelligence etc...

Dans les laboratoires, un nouvel individu, partiellement reconfiguré, est en train d'être imaginé, testé... fabriqué. Bientôt, promettent certains scientifiques, nous considérerons l'Homo Sapiens (c'est à dire nous !) comme une version charmante, certes, mais totalement démodée ! L'"Homo Technologicus" sera tellement mieux ! C'est précisément ce que propose le marché de l'amélioration de l'être.

Le temps est venu, disent ses promoteurs, de passer à la vitesse supérieure : un corps parfait et sans âge, un cerveau infaillible, une reproduction maîtrisée, et à terme... l'immortalité. Quitte à acheter quelques pièces détachées pour faire du "tuning" avec notre propre corps comme certains le font avec leur automobile. Voyage à la recherche de cet homme du futur... hybride mi-homme mi-machine, humain génétiquement modifié. Un homme presque parfait...

dimanche 20 janvier 2013

PETITE HISTOIRE DES EXPLOSIONS NUCLÉAIRE...


Il y a eut pas moins de 2053 explosions nucléaire depuis 1945!!!

La première explosion d'une bombe atomique eu lieu aux États-Unis en 1945 dans le désert du Nouveau Mexique. C'était le test de "Trinity", la première bombe nucléaire, conçue à Los Alamos. Quelques semaines plus tard étaient larguées deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki.

Après la fin de la seconde guerre mondiale, l'Union Soviétique développa la bombe à son tour. Ce fut le début de la guerre froide et de la course aux armements entre les États-Unis et l'URSS. D'autres pays acquirent ensuite la bombe: la Grande Bretagne en 1952, la France en 1960, la Chine en 1964, l'Inde en 1974, et le Pakistan en 1998. Tous ces pays ont réalisé des tests en faisant exploser des bombes.


Depuis 1945, pas moins de 2053 bombes atomiques ou thermonucléaires ont explosé, dont 520 étaient des essais dits atmosphériques (sur terre, en mer ou dans l'atmosphère), relâchant au total une quantité importante de radioactivité dans l'environnement et l'atmosphère. Ce n'est qu'à partir de 1980 que tous les tests sont devenus souterrains.

Le vidéaste japonais Isao Hashimoto a réalisé une animation pour visualiser ces explosions sur une carte, avec les pays qui en sont responsables. 1 seconde dans l'animation correspond à 1 mois...



La bombe atomique (ou bombe A) est basée sur la fission de l'uranium ou du plutonium. Selon le même principe que le Soleil, la bombe thermonucléaire (ou bombe H) utilise la fusion de l'hydrogène, celle-ci étant amorcée par une bombe A. La bombe A produit une explosion, de la chaleur, des radiations et un nuage caractéristique en forme de champignon. La bombe H produit en plus un soleil artificiel qui s'élève dans le ciel, brulant tout dans un rayon de plusieurs kilomètres.

Avant que la guerre froide prenne fin, Les États-Unis et l'URSS avaient accumulé un stock de près de 30.000 bombes nucléaires, de quoi faire sauter plusieurs fois toute la planète (10.600 ogives pour les Etats-Unis, 18.000 pour l'URSS).

Un documentaire d'Arte sur les essais nucléaires américains dans l'atoll de Bikini, dans le Pacifique:


1946 - Bombes Atomiques à Bikini _ 1de3 par kraft888


1946 - Bombes Atomiques à Bikini _ 2de3 par kraft888


1946 - Bombes Atomiques à Bikini _ 3de3 par kraft888

Source : Syti

lundi 14 janvier 2013

LES ARMES "ÉLECTRO MAGNÉTIQUES"

Les américains, russes, chinois possèdent tous maintenant ces armes EM d'Extrême Basse Fréquences, ou Extrême Haute Fréquence. Qu'adviendrait-il si l'un de ces pays attequerait tous les sytèmes électriques d'un pays. Avec une petite bombe qui coûterait 5000$ à fabriquer. Est-il possible de contrôller l'esprit des gens avec ces armes EM... Une vidéo à voir et faire suivre.

mercredi 31 octobre 2012

H.A.A.R.P. & RÉSONANCE DE SCHUMANN


Une menace pour le climat et l’environnement vibratoire de la planète !!

HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une menace pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et l’ionosphère.

Résonance de Schumann (Fréquences RS) et biocommunications La résonance de Schumann (RS) constitue peut-être le support d’un processus de perception extrasensorielle (PES) de type radar pour tous les êtres vivants. Des fréquences quelconques peuvent être absorbées et ré-émises par tout objet selon des schémas d’interférences spécifiques. Ces « ondes résonnantes » peuvent être modulées intentionnellement en fréquence ou en forme dans le but de transmettre certaines informations (schémas d’interférence).

Le programme américain HAARP


Décodées par le cerveau, elles reviennent presque instantanément sur le « dos » de la résonance de Schumann et sont alors traduites par le cerveau en données conscientes. En outre, la bio information peut être inscrite intentionnellement à distance sur une cible par une interface sensorielle primitive de type radar sur une onde porteuse RS. Tout cela et d’autres mécanismes sont tributaires du fait que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane.

À Sedona, en Arizona, Ben Lonetree (http://sidereal7.org), un ingénieur électricien, observe de manière intensive les fréquences RS, qu’il nomme la « Voix de la Planète », ainsi que le champ magnétique terrestre. Son site Internet livre des relevés atmosphériques et géophysiques en temps réel très fiables. Il a un grande expérience de la technologie IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) et des ondes cérébrales. Il est spécialiste en mesures ELF (très basses fréquences) et en ULF (ultras basses fréquences). 


Rythme et chaos dans l’ionosphère



Le rythme de la vie a évolué de façon continue au fil des ères. Nous vivons dans une matrice complexe de champs oscillants. La moindre fluctuation dans un champ imbriqué provoque des perturbations dans les autres. Des impulsions voyagent tout autour du monde plusieurs fois par seconde entre la surface de la planète et l’ionosphère, envoyant des signaux de coordination à tous les organismes. Ces signaux nous relient au champ électromagnétique global. Du nom de son inventeur, la Résonance de Schumann (RS) est le pouls qui bât la mesure de la vie sur notre planète. Tout comme le battant d’une cloche, les coups de foudre réactivent constamment cette onde stationnaire.

Nous marchons tous à la "cadence de ce tambour cosmique, notre battement de cœur planétaire, qui fixe le tempo de la santé et du bien-être. Endommager ce stimulateur équivaudrait à sonner le glas de la vie telle que nous la connaissons. Or aujourd’hui, sous prétexte de progrès et de défense, ce stimulateur est menacé et de monstrueuses quantités d’argent public sont dépensées pour cette exploitation de l’atmosphère. Des taxes toujours croissantes sont prévues pour financer jusqu’en 2020 cette défense antimissile aberrante, la "guerre des Etoiles", et le faisceau d’énergie HAARP (High-frequency Active Auroral Research Program) qui est déjà opérationnel à Gakona en Alaska.

Le rythme vibratoire de notre environnement, le moteur fondamental de toute vie sur notre petite planète bleue, est menacé par les manipulations humaines de l’ionosphère telle la technologie du programme HAARP. Certains scientifiques sont allés jusqu’à déclarer que la haute atmosphère était "vivante", transmettant une sorte de conscience à tous les êtres vivants. Ainsi que l’ont montré les atteintes à la couche d’ozone et d’autres calamités écologiques, il est dangereux de tripoter Mère Nature. Toucher ce système pourrait le détruire, et nous avec. Il semble évident que les avantages présumés ne justifient pas la prise de tels risques pour notre survie, mais pratiquement aucune recherche sérieuse n’a été menée dans les domaines où des problèmes pourraient se poser.

Il s’avère qu’une partie de l’argent alloué au projet de Guerre des Etoiles de Bush sera utilisée pour de la recherche sur des lasers en orbite... Ce que craignent les Russes... ce sont les intentions américaines de mener, en 2003, des expériences scientifiques à grande échelle avec le programme HAARP basé en Alaska. Quatre-vingt-dix députés russes ont signé une motion contre le programme HAARP, déclarant que ces expériences déboucheraient sur des armes capables de rompre les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et dans les oléo- et gazoducs et d’avoir des effets négatifs sur la santé mentale des populations de régions entières. (Fitrakis, 2002).


L’ionosphère nous protège des radiations mortelles du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio à hautes fréquences on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de déchirer accidentellement le cocon fragile de l’évolution planétaire et humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne d’un stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner, provoquant des dégâts irréversibles. La Strategic Defense Initiative (SDI) place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient d’un mandat pour la sécurité nationale nous ne savons pas exactement ce qu’ils en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il ne soit trop tard pour tout le monde.

Perturbations touchant le climat terrestre

Pour comprendre le fragile équilibre de notre planète il faut voir notre région de l’espace du point de vue astrophysique. Il apparaît alors que la moindre perturbation de notre atmosphère peut provoquer des ruptures dramatiques dans le cours de notre destinée géophysique. Des forces nombreuses et complexes affectent déjà la Terre et en particulier le schéma climatique mondial. À grande échelle, il existe une menace d’ère glaciaire galactique à cause des supernovas, dont les rayons cosmiques génèrent des nuages lorsqu’ils touchent l’atmosphère, la refroidissant. En outre, le système solaire traverse la partie la plus dense de la Galaxie de la Voie Lactée sur un cycle approximatif de 30 millions d’années.

Ce nuage moléculaire dense et les fluctuations des "marées" galactiques de matière lointaine peuvent déstabiliser des comètes dans le nuage d’Oort et les précipiter vers les planètes et le Soleil. Les pluies de petites comètes, appelées "rafales d’impacts" agissent, au fil des millénaires, sur les mouvements des couches de glace et provoquent des extinctions massives. Elles affectent aussi le thermosiphon océanique (apport excessif d’eau douce) qui fonctionne comme un convoyeur océanique global. [cf. Nexus France n° 26, mai-juin 2003 : Réchauffement Climatique et Glaciation].

Cette pompe à sel déplace l’eau chaude vers les zones froides du nord, telles que la côte est des Etats-Unis et l’Europe, et les rend habitables tandis qu’elle rafraîchit les tropiques. Son effondrement aurait pour conséquence l’arrêt de la circulation des eaux chaudes salées du Gulf Stream vers le nord, ouvrant une nouvelle ère glaciaire. Le moteur de l’évolution n’est pas la sélection naturelle, mais le climat et la glace. Au cours des 2,5 derniers millions d’années, les masses de glace ont migré 30 fois depuis la formation de l’isthme de Panama, lequel a bloqué la circulation tropicale entre le Pacifique et l’Atlantique. Ainsi l’eau chaude a été déviée vers le nord, où elle est retombée en neige et a formé les glaciers. Les glaciers avancent ou régressent en fonction des oscillations de la Terre. 

Les sécheresses engendrées par ces cycles glaciaires ont fait régresser les forêts tropicales humides, laissant des savanes, et nos ancêtres ont quitté les forêts, développant leur intelligence pour survivre et devenir les humains modernes. L’intelligence et le pouvoir d’adaptation sont devenus nos caractéristiques parce que nous avons dû survivre dans des climats instables. Mille générations seulement sont passées depuis la dernière ère glaciaire en Europe, alors que la population était incroyablement réduite à cause de la rigueur du climat.

Toutes les recherches montrent que le système climatique terrestre comporte des seuils sensibles qui, lorsqu’ils sont franchis, font basculer le système d’un mode de fonctionnement stable à un autre. Comme on l’a vu avec El Nino, les systèmes océaniques contrôlent les climats des continents. C’est aussi ce que révèlent les sédiments des fonds marins, les couches de glace dans les carottages et le recueil des fossiles. Tous indiquent que le convecteur océanique s’est déjà arrêté dans le passé. On a dit que c’était le talon d’Achille de notre système climatique. D’après les chercheurs, la pompe est en ralentissement et pourrait donner le signal d’un changement brusque et catastrophique.[cf. Nexus France n° 26, idem]. Une étude parue dans Nature en 2002 indique que les courants marins des profondeurs refroidis à 20 %, ce qui n’est pas bon signe. La fonte et la fragmentation des glaciers pourraient accélérer le processus.

L’examen des fossiles prouve qu’un effondrement peut se produire en l’espace d’une décennie et se maintenir pendant des siècles. Cette nouvelle notion de modification climatique rapide est aujourd’hui universellement reconnue. De tels déclenchements peuvent engendrer des variations d’environ 10°C en une décennie, suivies d’une stabilisation sur une vingtaine d’années, puis d’un refroidissement d’environ 20°C au cours des vingt années suivantes.

Les variations ont été moins violentes au cours des derniers 8000 à 10000 ans, mais l’instabilité solaire, l’inclinaison de l’axe et le ralentissement des courants pourraient en précipiter le retour. Il en est de même des manipulations humaines du climat par la technologie et les armes à rayons énergétiques.

Une hausse de la température de 3 à 4°C seulement pourrait déclencher une élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 m en dix ans ! La poursuite du réchauffement et de la fonte des glaces créerait un cycle où les températures connaîtraient des écarts de 8 à 10°C en 30 ans. Ensuite les courants océaniques se déplaceraient et de nouveaux rythmes chaud/froid s’installeraient. De nouvelles mers de faible profondeur réduiraient les terres émergées. Les plaines agricoles seraient noyées, entraînant une diminution des ressources alimentaires. Environ 30 à 40% des terres seraient perdus et l’humanité serait chassée des vallées inondées sur tous les continents. Le commerce et l’industrie seraient noyés. En 2003, l’EPA [ministère US de l’environnement] prédisait une hausse de 1,7 à 5°C au cours des cent prochaines années. Les mers tropicales se sont réchauffées de 1 à 1,44°C au cours des cent dernières années et les glaciers fondent en de nombreux endroits de la Terre.

La recherche indique aussi que le Soleil lui-même est dans un cycle de réchauffement et pourrait être un facteur significatif du réchauffement de la planète (0,55°C par an depuis 1880). Les premiers résultats semblent montrer que le Soleil émet 0,05% de radiations en plus par décade depuis 1970. Cette augmentation estimée de l’émission solaire implique que des vents solaires plus puissants balayent la haute atmosphère terrestre, provoquant son excitation et son ionisation par des particules chargées. 

On peut attribuer au Soleil environ la moitié du réchauffement global de ce dernier siècle. Plus il chauffe, plus il dévie les rayons cosmiques. Si cela persiste pendant des décennies, des fluctuations climatiques spectaculaires pourraient s’en suivre, ainsi que cela s’est produit pendant la "Petite Ere Glaciaire" entre le XIIe et le très froid XVIIe siècle.

L’émission d’énergie par le Soleil varie selon un cycle de 11 ans et a connu deux pointes en 2000 et 2002. Le minimum aura sans doute lieu dans trois ans (La période du minimum solaire n’est pas nécessairement égale à celle du maximum). Ces changements du cycle solaire produisent sur Terre des changements à court terme.

Au-dessus des USA, une augmentation de la couverture nuageuse allant jusqu’à 2% a été observée au moment du maximum solaire. La température de la haute atmosphère est deux fois plus élevée lorsqu’elle est bombardée par un maximum d’émission solaire. Durant ces périodes, l’atmosphère se dilate et s’étend dans l’espace jusqu’à atteindre et dépasser l’orbite de la Station Spatiale Internationale. Cela va jusqu’à augmenter la traînée de la station et nécessite de fréquents ajustements d’orbite utilisant la poussée des navettes.

Il est récemment devenu possible de mesurer l’activité solaire plus facilement et avec plus de précision en dehors de notre atmosphère. Nous pouvons maintenant mesurer l’énergie solaire totale à toutes longueurs d’ondes et en déduire une résultante appelée Total Solar Irradiance (TSI) [éclairement énergétique total de rayonnement solaire]. Il y a un débat sur la question de savoir si les indications d’augmentations actuelles constituent une tendance à long terme ou une aberration passagère. 

Dans une étude récente, les données de six satellites en orbite terrestre à diverses périodes durant 24 années ont été analysées. Richard Willson, un chercheur de la Columbia University qui est affilié à la National Academy of Sciences et à la Goddard Institute for Space Studies, a déniché, dans une série de données, des erreurs qui ont empêché que des études précédentes fassent apparaître la tendance. La nouvelle étude montre que le TSI a augmenté d’environ 0,1 % en 24 ans. Cela n’est pas suffisant pour provoquer des changements climatiques significatifs, affirment Willson et ses associés, sauf si ce taux de changement était maintenu pendant un siècle ou davantage. Sur des laps de temps aussi courts que quelques jours, le TSI peut varier de 0,2 % à cause du nombre et de la taille des taches qui traversent la surface du disque solaire. (Britt, 2003). Cependant les chercheurs estiment que cette variation, dont on dit qu’elle ne peut influencer le climat, est égale à la quantité totale d’énergie utilisée globalement pendant un an par l’humanité.

Manipuler l’ionosphère


Perturber davantage, voire, percer des trous dans l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance météorologique relatifs à ce programme.

Des spéculations récentes ont aussi tenté de faire le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [Ndt : traînées de condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf. Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP.

Certains pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les analyses des "cheveux d’anges" récoltés dans l’atmosphère après une journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère. Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.


En outre, la grande sécheresse qui a affecté de vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, hautement toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications potentielles au contrôle climatique.


C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un "brouillard" électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour toute vie biologique car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles des êtres vivants, provoquant de graves disfonctionnements, comme une pensée irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la mort.

Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une avalanche. Les potentialités des "réchauffeurs d’ionosphère" sont vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc t-il as déjà suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de serre et les "armes non mortelles" qu’au moins les Américains et les Russes pourraient mettre en oeuvre. La "guerre météorologique" implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radar ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent "posséder le temps" et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les communications mondiales.

De récentes informations scientifiques ont déterminé que HAARP est maintenant entièrement opérationnel et possède la potentialité de déclencher des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les conséquences d’une "guerre de l’environnement" parallèlement au débat sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre... 

La Dr Rosalie Bertell confirme que "les scientifiques militaires américains... travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des inondations ciblées... " Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, esquisse divers types d’armes "non conventionnelles" utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une "guerre du temps", indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà "maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980". (Chossudovsky, 2000).

Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu inconnu).

HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit "d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense". Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude de l’US Air Force signale l’utilisation de "modifications ionosphériques induites" en tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).

HAARP et le programme "Joint Vision 2020"


Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en oeuvre des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissiles et de lasers orbitaux "Joint Vision 2020" comme un pas extrêmement dangereux vers la domination mondiale des USA. Le Représentant des USA, Dennis Kucinich, déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision 2020 était déjà un programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002, Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority du House Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à cerner les innovations en matière de conflit armé.


Un détachement spécial des commandement US interarmées du DoD (ministère de la défense) et les Chefs d’Etat Major poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich : En 1998, le commandement interarmées US entreprit un programme conjoint d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint Vision 2020.

HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US Air Force et constitue un élément clef de la stratégie de Joint Vision 2020. Un plan de programmation, le HAARP Joint Service élaboré en février 1990 par le laboratoire de géophysique de l’Air Force et le Navy’s Office of Naval Research expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre autres choses, que HAARP sera utilisé pour générer des ondes de très basses fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface terrestre.

Expériences de rebond lunaire avec H.A.A.R.P.

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Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent de ce que les expériences militaires US, qui consistent à concentrer de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires, pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, "Defense News" rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électro-magnétique durant l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).

Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires tactiques. Le signal de 3000000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète, en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces Spéciales.

Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950 par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska, aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.

Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.). La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les week ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique de 2,81235 Hz...

Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de la Lune ? Quelle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour revenir sur Terre? (Cramer 2001).

La voix de la planète : la résonance de Schumann et ses rapports avec l’être humain


Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer la RS comme étant la "Voix .de la Planète", plutôt que comme le battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont étroitement imbriqués. Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales.

Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’ondes. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes q’ondes cérébrales. Comme ces dernières, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.

Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sidéral en un lieu est l’angle horaire du point vernal en ce lieu. Ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure locale ni le temps solaire vrai]. Il y implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. L’avancée de ses recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio-contrôle, dans l’homéostasie et dans les interactions mentales à distance. Pitkanen suggère que, d’une certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés - dont les noeuds, les liens et les torsions sont entraînés par les forces géomagnétiques - comme générateurs de changements dans la polarité magnétique.

"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de l’entraînement des .neurones dans le cerveau. Ceux-ci sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu’en état de méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta parcourent le cerveau entier, il devient possible que l’être humain et la planète entrent en résonance.

C’est un transfert d’énergie et d’information qui est "incrusté’" dans un champ mais qui n’est pas le champ. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme] semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes alpha.

De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.

Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat. D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane, dont de nombreux pratiquants s’inclinent et se balancent de façon rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés.

Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un niveau plus profond et à créer des "expériences" accompagnant un endoctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités charismatiques ou "mana". 

Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté. N’importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.

Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le corps commence à bouger et les mains à trembler et, lorsqu’il n’y a pas de contrainte ou d’inhibition, le corps entier entre dans un mouvement de résonance qui est le reflet de l’intention de guérison. Par exemple, dans les danses de guérison des Bushmen du Kalahari, des chamans investis de l’énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se mettent à trembler. Lorsqu’ils empoignent une autre personne et l’enlacent, l’autre commence aussi à trembler et peut à son tour en enlacer une autre. L’une après l’autre, toutes commencent à vibrer avec cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise), avant que cela n’atteigne notre culture ou d’autres cultures contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s’exprime par des pratiques plus subtiles, telle que "l’entraînement thérapeutique" (le rapport d’empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).

N’importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence d’énergie de guérison et il n’existe pas de méthode unique idéale. C’est une capacité très naturelle que nos corps sont capables d’activer pour vibrer à l’unisson avec la pulsation de vie.

L’objectif de ce mouvement est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste. On peut à cela donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns aux autres et à la Nature, manifestant l’axiome métaphysique : "Ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l’objet ne font qu’un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont effectivement unies. C.M.Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un phénomène dont l’expérience est familière mais mal comprise qu’il nomme "Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant]. Beaucoup de gens observent ce "son" généré à l’intérieur, particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d’insecte. Anderson ne l’attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à l’état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au rythme normal alpha de 10Hz.

Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui pourraient provenir d’une perte d’accoutumance due à la déstabilisation de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage. Aussi, l’histoire des traumatismes et de l’abus de stupéfiants est fortement associée à l’asymétrie de la fonction hémisphérique. Les structures du lobe temporal, telles que l’hippocampe et l’amygdale cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais traitements et traumatismes de l’enfance. 

Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de la période de rêve éveillé. 

Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)

Champs Electro-Magnétiques, Conscience et ADN


Il est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).

Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du "Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions" (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé "Topological Geometrodynamics" (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.

Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique.


Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle). Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. 

Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).

Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les "wormholes" [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information. L'hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance... L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).

D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi "dézippé" et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.

D’autre part, le physicien Peter Gariaev a proposé un génome fondé sur les ondes, dont le canal d’information principal est le même pour les biophotons et les ondes radio (cf. http://www.emergentmind.org). En 1973, Miller et Webb décrivirent l’ADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En d’autres termes les gènes sont encodés et se manifestent via la lumière et les ondes radio, ou l’holographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schémas d’interférence délocalisés créent des champs d’étalonnage (schémas directeurs) pour l’organisation spatio-temporelle de notre corps. Le système fonctionne comme un bio-ordinateur à ondes. L’ADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloïdal émettant une faible lumière de type laser qui peut être convertie en un signal électroacoustique.

Biosystèmes, Résonance de Schumann et perceptions extra sensorielles Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que d’autres, postulent que :

Des champs électromagnétiques complexes déterminent l’organisation de tous les systèmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des êtres électromagnétiques plutôt que chimiques. L’interaction ondulatoire est la clef qui détermine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystèmes sont sensibles aux champs électromagnétiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de l’environnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les fréquences et amplitudes de champs affectent notre état bio-dynamique.

Les fréquences ELF de la Résonance de Schumann sont intimement liées à celles des ondes cérébrales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de manière subtile, voire forte, la génération des ondes cérébrales. En particulier, cela pourrait conduire à des changements de schémas de fréquences de résonance et aux phénomènes qui en résultent tels que l’homéostasie, les REM, la psi et la guérison.

Pendant une dizaine d’années, Robert Beck... fit des recherches sur l’activité des ondes cérébrales des guérisseurs de toutes cultures et religions, (il énumère les médiums, les chamans, les radiesthésistes, les guérisseurs chrétiens, les voyants, les lecteurs d’ESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indépendamment de leurs systèmes de croyances, manifestaient "des signatures EEG quasi identiques" au moment de leurs actions de "guérison" : une activité d’ondes cérébrales de 7,8 à 8 Hz, qui durait d’une à plusieurs secondes et qui était "synchronisée en phase et en fréquence avec les micro-pulsations géo-électriques de la Terre ; la RS". (Sidorov, 2001). Les cristaux liquides (l’ADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui détectent et décodent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggère que les cristaux liquides (qui sont des éléments intrinsèques des membranes cellulaires) agissent comme des mécanismes de détection, amplification et mémorisation pour les schémas ELF EM de l’environnement. Les protéines tendent à s’orienter selon le EMF (champ électromagnétique) résonnant à 10 Hz et seraient donc très sensibles aux changements d’ELF dans cette gamme. Un champ d’ondes cohérent peut émaner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.

La structure propre et l’organisation des tissus vivants sont cependant gouvernées par la molécule clé qu’est l’ADN. Le système génétique (qui, pour être plus précis, est constitué d’une fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de l’ADN de l’ARN que de la protéine) s’avère être un code complexe, multidimensionnel avec des matériaux (nucléotide) à la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramètres de champs (hologramme EM), tous interdépendants et également sujets aux influences externes de l’environnement. (Sidorov, 2002).


Il existe indéniablement un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.

Réciproquement, des études ont montré que des sujets qui vivent assez longtemps isolés des rythmes électromagnétiques développent des irrégularités croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rétablis de façon spectaculaire par l’intervention d’un faible champ électrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusqu’au moment où des générateurs RS furent installés dans les vaisseaux spatiaux.

Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légère).

Aussi, un des effets de la méditation est de" "calmer l’esprit" c’est une méthode permettant d’installer le "libre cours" (ou périodes de silence thalamique) et d’être entraîné par les rythmes géophysiques naturels. Cette forme d’accord ou de "magnéto-réception" est relayée par la glande pinéale (30% de ses cellules sont sensibles au magnétisme) et les tissus organiques contenant de la magnétite.

Persinger (1989) fait observer que l’activité profonde du lobe temporal existe en équilibre avec la condition géomagnétique globale. Lorsqu’il y a une brusque diminution de l’activité géomagnétique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particulièrement la télépathie et la clairvoyance. Les augmentations de l’activité géomagnétique peuvent réduire le niveau de mélatonine de la glande pinéale et contribuer à réduire les seuils d’attaques corticales. En fait, la mélatonine est en relation avec les désordres du lobe temporal tels que les dépressions et les attaques. (Krippner 1996).

Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance. 

La psi est toujours présente dans l’espace et le temps, attendant d’être activée par une crise, par l’émotion ou par des paramètres de stimulus optimaux en laboratoire. L’activité. géomagnétique est susceptible d’affecter la capacité de détection de cette information par le cerveau, particulièrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et l’accès conscient à cette information. En l’absence de cette activité géomagnétique, l’éveil au stimulus psi serait moins probable et les "capacités de réserves latentes" du cerveau ne seraient pas utilisées. (Krippner 1996).

Sidorov (2001) et d’autres ont suggéré que l’intention humaine fonctionne comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle, peut-être dans la gamme des fréquences ELF électromagnétiques. La synchronisation cérébrale de l’émetteur et du récepteur avec la RS facilite la psi ou "l’entraînement thérapeutique", amplifiant, ré-émettant des formes d’ondes cohérentes dérivées de l’environnement, imitant le schéma d’ondes de l’environnement. Sidorov avance l’hypothèse suivante : Les ondes cérébrales (particulièrement dans la gamme alpha) peuvent être transmises via le système périneural (ou via l’excitation de Frohlich) vers n’importe quelle zone éloignée du corps, et même vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces fréquences peuvent être amplifiées par des ondes RS voisines ou par un mécanisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques).

À leur tour ces fréquences de base peuvent réactiver les processus de guérison interrompus, favoriser la croissance, accélérer les réponses immunitaires et en général provoquer le démarrage des fonctions inhérentes aux tissus corporels en "rééquilibrant ses énergies" (selon la médecine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant l’orientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en déclenchant ainsi des réponses intracellulaires spécifiques. (Sidorov, 2001).

Nous émettons l’hypothèse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. De même que l’eau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergés, cette fréquence non-spécifique est absorbée et ré-émise en schémas interférentiels uniques propres à chaque objet rencontré.

Ce schéma d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, puisque les atomes et molécules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette énergie selon leurs configurations spécifiques. Non seulement cela, mais les "ondes de sonde" peuvent être modulées en fréquence et en forme de manière intentionnelle afin de fournir une information spécifique (schémas d’interférence). Décodées par le cerveau, elles reviennent quasi instantanément "sur le dos" de la RS. Une fois reprises, le cerveau décode le schéma. Dans cette transformation de type Fourier, l’information est traduite en données conscientes, de façon similaire à d’autres processus sensoriels. 

Réciproquement, des effets spécifiques peuvent être empreints comme bio information et "produire une action mystérieuse à distance" lorsque le signal arrive à destination. Sous de bonnes conditions globales (préalables), le schéma peut, à son tour, éviter la dissipation usuelle et s’accoupler à l’onde stationnaire dominante (état de conscience") qui est saisie et portée par la RS.

L’intention mentale peut fonctionner comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle. Accordée à la RS, elle peut porter à des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et d’autres mécanismes dépend de ce que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane, en harmonie avec nos ondes cérébrales.

À l’issue de près de huit décades d’EEG et autres études d’imageries du cerveau, nous sommes contraints d’admettre que nous ne pouvons toujours pas préciser avec certitude d’où proviennent les voltages de l’EEG. Becker ; 1985, pg.88)...

Il est concevable que le système périneural selon Becker ou la matrice LC de l’organisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un réseau de récepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnétiques de Pitkanen, avec encodage spécifique de schémas d’excitation pour différents types d’information... Les réseaux de cristaux liquides omniprésents du corps et leurs possibilités de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espère trouver.

On peut même concevoir que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (Popp et Chang, 1998) leur confèrent un fonctionnement d’antenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-être en agissant non seulement comme un programme régulateur mais aussi un élément de perception "extrasensorielle". (Sidorov, 2002).

Croyez-le ou non, la Terre se comporte comme un énorme circuit électrique. L'atmosphère est en fait un conducteur faible et s'il n'y avait pas de sources de charge, sa charge électrique existant serait diffuser à distance en 10 minutes environ. Il y a une «cavité» définie par la surface de la terre et le bord intérieur des 55 kilomètres en amont de l'ionosphère. À tout moment, une charge électrique importante réside dans cette cavité. Les résonances de Schumann sont des ondes quasi stationnaires, une bande d'ondes électromagnétiques particulières existent dans cette cavité, qui assure l'équilibre de la planète dans le cosmos.


Comme les vagues sur un ressort, ils ne sont pas présents tout le temps, mais doivent être sans cesse "excité". Ils ne sont pas causées par quelque chose d'interne à la Terre, sa croûte ou son noyau. Ils semblent être liés à l'activité électrique dans l'atmosphère, en particulier pendant les périodes d'activité intenses d'orages et d'éclairs. les phénomènes d'orages électriques et de foudres sont sont des régulateurs du champs électromagnétique de la Terre.



ONDES DE CHOC

Donc, la résonance de la terre ou fréquence d'onde est appelé "la Résonance de Schumann", du nom de son découvreur. Cette résonance a été calculée par Schumann en 1952, une série de fréquences, dont la plus basse se situe à environ 10 Hz . Ces fréquences ont ensuite été mesurée par le National Bureau of Standards à Boulder, Colorado dans les années 1960 où le chiffre 7,8 Hz nominal a été découvert avec des harmoniques faisant écho à 5,9 Hz.

"La dite Résonance de Schumann  à Hz 7,83. est devenue une référence surtout à cause des recherches effectuées par le chercheur Robert Beck dont les travaux sur les fréquences extrêmement basses [ELF] font autorité. Il s'est surtout sérieusement intéressé aux résonances de la Terre, et leur incidence sur les fréquences des ondes cérébrales.

La "Résonance" peut être définie comme la fréquence à laquelle un objet plus naturellement veut vibrer. Par exemple: Dans les systèmes cohérents, un objet peut fixer un autre objet en mouvement si elle partage la même fréquence de résonance. Si, par exemple, vous portez un diapason de 100 cycles par seconde et l'amener près d'un autre diapason de cette même fréquence, le diapason second sera mis en branle. Même si elle n'a pas été frappé, la seconde fourche commence à vibrer et émettre un son simplement en étant dans le même domaine à proximité comme le diapason.

Dans le domaine des communications radios, le récepteur et l'émetteur sont synthonisés ensemble, parce qu,ils se trouvent sur la même bande d'ondes... En vérité, ils résonnent à l'unisson, comme l'un étant un diapason émetteur et l'autre un diapason récepteur! Les antennes émettrices sont dont des émetteurs d'ondes, sur certaines fréquences... Et alors, ces fréquences, qui se trouvent dans une certaines bande de fréquences peut être capter par n'importe lequel radio synthonisant la bande de fréquence, et se mettra à entendre les sons qui sont émis sur cette bande...


Ce qu'il faut savoir c'est que : Les cellules vivantes ont un comportement similaire à tout émetteur-récepteur radio. Nos cellules émettent des vibrations, et aussi elles en captent et en subissent l'influence.

Tout dans la nature, vivant et non-vivant, a une fréquences de résonance naturelles! en vérité tout est vibrations, tout est "ondes", et interactions entre ces vibrations, ces fréquences...

La résonance d'une petite goutte d'eau d'environ 1 millimètre de diamètre révèle une fréquence autour de 100 Hz, et approche les 1000 Hz à environ la moitié d'1 millimètre de diamètre!
Les cellules du corps humain ont une résonance qui se situe autour de 1000 KHz.
Les pathogènes : résonnent entre 890 et  910 terahertz
Les lampe germicide"ultra-violet" comme celles qu,on retrouvent dans la plupart des hôpitaux résonnent entre 890 et  910 terahertz
Les nano-particules de l'argent colloïdal résonne curieusement exactement dans la fréquences de résonance se trouvant entre 890 et  910 terahertz

Microbes en résonance avec la terre!

Les scientifiques ont découvert une nouvelle technologie médicale, [étayée par les résultats Horowitz] autres que les antibiotiques, la lutte contre les bactéries, les virus, les champignons, les moisissures, les levures et les parasites. (voir ici pour ceux qui savent lire l'anglais : http://www.freegrab.net/resonance2.htm). Ces nouvelles technologies révolutionnaires sont connues mais gardées secrètes, car la mise en application de ces découvertes pourraient changer complètement notre conception de la santé, de la guérison et faire grand tord aux dogmes entretenus par la médecine dite "moderne", ce malgré des signes flagrants (et alarmants) de la mauvaise santé de la plupart des citoyens du monde... 

HAARP : une menace pour l’humanité et la planète


Les humains que nous sommes possèdent des potentialités extraordinaires que nous avons à peine commencé à étudier et encore moins à comprendre. Des dons de créativité, d’intuition et des talents imprévisibles ou émergents pourraient se stabiliser chez les générations futures. On peut espérer que nous pourrons comprendre notre provenance d’un environnement essentiellement électromagnétique et développer notre potentiel de guérison, de croissance et de communication à distance. Les sommes d’argent faramineuses ont été dépensées pour HAARP et les projets associés (tels que "Star Wars", programme de défense antimissiles), sans que le moindre budget complémentaire soit affecté à l’étude des dangers potentiels. Le coût en dollars et en vies humaines pourrait être stupéfiant comparé aux avantages supposés que pourraient offrir de tels programmes. Durant des millénaires, la RS a donné la mesure régulatrice de la vie sur la planète, notre battement de cœur planétaire qui marque le tempo de la santé et du bien-être.

Mais aujourd’hui, selon la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements de Climat (UNFCCC), signée en 1992 au Sommet de la Terre de Rio de Janeiro, le cœur même de la planète est en danger. L’ONU a condamné l’utilisation hostile de techniques qui modifient l’environnement ou interviennent dans la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotopes, la lithosphère, l’hydrosphère, l’atmosphère ou l’espace extérieur.

Alors pourquoi, méprisant la Convention ENMOD de 1977 ainsi que sa propre charte, les Nations Unies ont-elles décidé d’exclure de leur ordre du jour les changements climatiques résultant de programmes militaire ?

En février 1998, le Comité des Affaires Étrangères, de la Sécurité et de la Politique de Défense du Parlement Européen tint une audience publique à Bruxelles sur la question de HAARP. La "Motion de Résolution " que le Comité présenta au Parlement Européen (document n° A4-0005/99, du 14 janvier 1999) contenait ces termes : Considère que HAARP..., en vertu de son impact étendu sur l’environnement, constitue une préoccupation mondiale et demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évaluées par un organisme international indépendant... ; [le Comité] regrette le refus réitéré de l’administration des États-Unis... d’apporter des preuves à l’audience publique... concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP.

Cependant, la requête du Comité d’établir un "Livre Vert" sur "l’impact des activités militaires sur l’environnement" fut rejetée avec désinvolture sous prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans "les liens entre l’environnement et la défense". Bruxelles se soucia d’éviter un conflit avec Washington.

Bien qu’il n’y ait pas de preuves que HAARP ait été utilisé, les informations scientifiques indiquent que le programme est aujourd’hui entièrement opérationnel. Cela signifie que, potentiellement, HAARP pourrait être utilisé par les militaires US pour modifier sélectivement le climat d’une "nation inamicale" ou d’un "état dévoyé" dans le but de déstabiliser son économie nationale...

La "médecine économique" du FMI et de la Banque Mondiale, très documentée, imposée au Tiers-monde et aux pays de l’ancienne Union Soviétique a fortement contribué à déstabiliser l’agriculture domestique. De son côté, les financements de l’OMC ont soutenu les intérêts d’une poignée de conglomérats biotechniques dans leurs efforts d’imposer les semences génétiquement modifiées aux agriculteurs du monde entier. Il est essentiel de comprendre les liens entre les processus économiques, stratégiques et militaires du Nouvel Ordre Mondial. Dans ce contexte, les manipulations climatiques par le programme HAARP (accidentelles ou délibérées) exacerberaient ces changements en affaiblissant les économies nationales, en détruisant les infrastructures et en menaçant de faillite les fermiers sur de vastes régions...(Chossudovsky,2000).

Espérons que nous prendrons tous conscience de ceci avant que notre technologie ne conduise la planète si loin de son fonctionnement normal que la trajectoire de l’évolution humaine ne soit modifiée à jamais. il est donc plus que jamais important d’étudier aux niveaux les plus subtils les relations entre nos corps et l’environnement électromagnétique et leur interaction avec une technologie susceptible de changer la planète. il semble que l’humanité se trouve confrontée au pénible devoir de décider si l’ionosphère et la Résonance de Schumann seront sauvées ou détruites, si la "’Voix de la Planète" continuera ou non à chanter.

Donc, en résumé : tout est "résonance".......
Références :

Anderson, C.M. (1998), "Ibogaine therapy in chemical dependency and post-traumatic stress disorder a hypothesis involving the fractal nature of fetal REM sleep and interhemispheric reintegration", MAPS, vol. 8, no. 1, Spring 1998, pp.5-14

Beal, J.B. (1996), "Biosystems7 liquid crystals and potential effects of natural and artificial electromagnetic fields (EMFs)", Second Annual Advanced Water Sciences Symposium, Exploratory Session 1, Dallas, Texas

Brin, RobertRoy (Senior Science Writer SPACE. corn) (2003), "Sun’s Output increasing in Possible Trend Fueling Global Warning", March 21,2003, website http://www.space.com.

Chossudovsky, Michel (2000), "Washington’s New World Order Weapons Have the Ability to Trigger Climate Change", November 26,2000, à http://www.globalresearch.ca/articl...

Cramer Guy (2001), "HAARP array may use Moon as a reflector to reach distant targets on Earth to create Nuclear-sized Explosions Without Radiation", disponible à http://www.yfiles.com/HAARP-Moon.htm ; voir aussi le site web du Elfrad Group http://www.elfrad. com/Moon.htm

Fitrakis, Bob (2002), "Scary HAARP Music : Add Russia’s Duma to the list of those worried about US weather experiments", 22 aoôt 2002, Columbus Alive, à http://www.columbusalive.com/- Frey, Allan H. (1962), "Human auditory system response to modulated electromagnetic energy", J. Appt. Physiol. (1962) 17 (4) : 689-692.

Gariaev et al. (2000), "The DNA-wave Biocomputer", MS, lnstitute for the Control of Sciences, Russian Academy of Sciences, Moscou, Russie, Wave Genetics, mc., Toronto, Canada ; voir aussi àhttp://www.emergentmind.org/

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