vendredi 21 novembre 2014

LA COMÈTE 67P TRANSMET DES SIGNAUX RADIO !!!


"L’Agence Spatiale Européenne (ESA) a aujourd’hui confirmé qu’elle recevait un mystérieux signal en provenance de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko". (Date de l’annonce officielle : 11 Novembre 2014, par l'ESA.

N'est-ce pas fascinant et troublant à la fois!  La Comète 67P émait des signaux radio! À l'avis de Scott C. Waring c’est la façon dont une espèce extraterrestre communique avec une autre ... Une forme de télépathie combinée à des signaux radio primitifs.

D'une certaine manière, il est difficile de savoir avec exactitude s'il s'agit bien d'un message transmit par des "extraterrestres". Enfin, si c'est le cas, il y en a qui s'intéressent sérieusement à décoder ces insolites signaux.

Parce que ce signal a été transformé en transmissions radio, (une technologie primitive), pour envoyer ce curieux message, certains croient que le message a du être créé spécifiquement pour l’humanité. Énigme....

Obtenir une copie du message complet et le traduire pourrait peut-être s'avérer d’une importance capitale. Surtout si le message est d'origine "extraterrestre". (Est-ce que le message est amical? Ou une menace de ce qui est à venir?)

Cela d'autaut plus qu'une rumeur circule comme quoi il y a effectivement une présence estraterrestre sur la Comète 67P ! Nous rapportons la rumeur, sans vraiment pouvoir la soutenir de quelque manière, sinon qu'il y a ce genre de photos qui circulenet, aussi ;


Dans un communiqué l'ESA décrit le signal comme étant quelque chose comme un « chant mystérieux » et a publié en ligne quelques extraits d'un enregistrement de ce signal et annonce : "Écoutez la comète chanter".

Cette confirmation vient après des mois de rumeurs que la mission Rosetta avait été originellement lancée pour explorer ce signal radio détecté sur la comète il y a plus de 20 ans.

L’ESA a précisé que la sonde qui s'est posée avec succès sur la comète ne marque que le premier volet d'une grande opération et précise que l'importance de cet atterrissage ira bien au delà d’avoir simplement posé une sonde humaine sur une comète.



lundi 17 novembre 2014

FACEBOOK : "BIG BROTHER"


SUR FACEBOOK VOUS NE SEREZ PLUS PROPRIÉTAIRE DE VOS DONNÉES PERSONNELLES!

Facebook a modifié sa politique de vie privée, dont la nouvelle version entrera en vigueur le 20 novembre. Si la CNIL aura certainement des choses à en redire, la principale nouveauté est imperceptible mais fondamentale. L'internaute n'est plus dit « propriétaire » des données qu'il communique volontairement ou non à Facebook.


En parallèle d'une publication très grand public sur la confidentialité des publications faites par ses membres, Facebook a annoncé jeudi une importante mise à jour de sa politique de vie privée, désormais affichée avec beaucoup plus de clarté, en tout cas sur le plan de la mise en page. Car sur le fond, il n'est pas certain que le texte proposé soit plus explicite qu'auparavant sur les données collectées par Facebook et sur leur utilisation. 

La nouvelle politique est soumise pour avis aux internautes avant d'entrer en vigueur... dès le 20 novembre prochain. Un délai très court qui ne permettra sans doute pas à la CNIL et à ses homologues d'en dire un mot. Or si l'on se réfère aux recommandations faites à Google en septembre dernier - et que le géant américain prend bien soin de ne pas suivre, plusieurs points devraient poser problème au régulateur, particulièrement exigeant. 

Ainsi par exemple, il était demandé à Google d'avoir un « langage clair, précis, qui n'offre aucune ambiguïté », en détaillant de façon exhaustives toutes les collectes et utilisations de données personnelles, et en évitant toutes les formules ambigus qui ne font que donner des exemples non limitatifs. Or la nouvelle « politique d'utilisation des données » de Facebook use et abuse de ces formulations floues, dès le premier chapitre :

Nous recueillons le contenu ainsi que d'autres types d'informations que vous fournissez lorsque vous avez recours à nos services, notamment lorsque vous créez un compte, créez ou partagez du contenu ou encore lorsque vous communiquez avec d'autres utilisateurs. Ceci peut comprendre des informations concernant le contenu que vous partagez, telles que le lieu d'une photo ou encore la date à laquelle un fichier a été créé. Nous recueillons également des informations concernant la manière dont vous utilisez nos services, telles que les types de contenu que vous consultez ou avec lesquels vous interagissez, ou encore la fréquence et la durée de vos activités.

Juridiquement, Facebook veut fort logiquement éviter d'avoir un énoncé exhaustif, non seulement parce qu'il serait trop lourd à lire ou livrerait trop d'informations aux concurrents sur ses méthodes, mais aussi parce qu'il ne veut pas engager sa responsabilité en cas d'oubli. Lorsqu'il le faut, Facebook sait toutefois être très explicite, en particulier lorsqu'il s'agit des données remontées par les appareils :

Voici quelques exemples d'informations sur les appareils que nous recueillons :

Des données telles que le système d'exploitation, la version du matériel, les paramètres de l'appareil, les noms et les types de fichier et de logiciel, le niveau de la batterie et l'intensité du signal, ainsi que les numéros d'identification de l'appareil

Les données d'emplacement de l'appareil, notamment les données d'emplacement géographique précises recueillies à travers les signaux GPS, Bluetooth ou Wi-Fi

Des informations de connexion telles que le nom de votre opérateur mobile ou de votre fournisseur d'accès à Internet, le type de navigateur que vous utilisez, votre langue et le fuseau horaire dans lequel vous vous situez, votre numéro de téléphone mobile et votre adresse IP.

En revanche, dans ses recommandations à Google, le G29 (qui regroupe les CNIL européennes) demandait aussi à ce que les internautes soient informés de l'identité des partenaires avec lesquelles des informations sont partagées, et qu'il y ait un « consentement éclairé » lorsqu'il y a croisement de données entre prestataires. Or la politique de vie privée proposée par Facebook est loin d'être exemplaire en la matière, puisqu'elle dit simplement que :

Nous partageons des informations avec les fournisseurs, prestataires de service et autres partenaires qui collaborent avec nous partout dans le monde, par exemple en offrant des services d'infrastructure technique, en analysant l'utilisation de nos services, en évaluant l'efficacité de nos publicités et de nos services, en fournissant un service d'assistance à la clientèle, en facilitant les divers processus de paiement ou encore en menant diverses enquêtes et études. Ces partenaires doivent adhérer aux obligations de confidentialité les plus strictes en accord avec la présente Politique d'utilisation des données et les accords que nous avons signés avec eux.Mais aucune liste de ces prestataires n'est publiée, ni l'accord-type qui est à signer.

Les données personnelles, propriété ou droit de la personnalité ? 

De façon en apparence plus anecdotique mais fondamentale sur le plan de la doctrine juridique, l'ancienne politique de vie privée affirmait l'existence d'un droit de propriété des utilisateurs sur leurs données personnelles, en stipulant que « vous restez toujours propriétaire des informations vous concernant que nous recevons, même si vous nous donnez l'autorisation de les utiliser ». Cette formulation a disparu de la nouvelle politique. 

Dans un rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) de juin 2014 qu'avait parfaitement commenté Lionel Maurel, le CNNum avait écarté l'idée de reconnaître un droit de propriété des internautes sur leurs propres données personnelles, qui aurait eu l'avantage de leur reconnaître le droit de vendre ces données, ou de créer une taxation sur le capital de données personnelles détenues par les exploitants. Le Conseil avait rejeté la proposition pour trois raisons :

« Parce qu'elle renvoie à l'individu la responsabilité de gérer et protéger ses données, renforce l'individualisme et nie le rapport de force entre consommateurs et entreprises » ;

« Parce qu'elle ne pourrait que générer des revenus anecdotiques pour les usagers et susciter à l'inverse un marché de la gestion protectrice des données numériques » ;

« Parce qu'elle déboucherait à un renforcement des inégalités entre citoyens en capacité de gérer, protéger et monétiser leurs données et ceux qui, par manque de littératie, de temps, d'argent ou autre, abandonneraient ces fonctions au marché. »Il existe deux écoles s'agissant de la vision dite « patrimoniale » (droit de propriété) des données personnelles. Si certains estiment qu'elle permettrait de sortir d'une collecte gratuite et illimitée des droits, et de créer un mécanisme dissuasif de (maigre) rémunération des internautes dont les données sont ainsi exploitées, d'autres y sont fortement opposés et y voient un piège. 

« Il y a tout lieu de penser que le recours à la propriété privée en matière de données personnelles aboutirait à un résultat exactement inverse de celui avancé par les promoteurs de cette approche « patrimoniale ». Le propre de la propriété est d'être cessible et transférable : c'est même sa fonction première en tant qu'institution sociale », résumait Lionel Maurel. « En réalité, la conception patrimoniale des données personnelles repose sur un individualisme méthodologique, typiquement libéral, postulant que la meilleure façon de gérer un écosystème consiste à laisser les acteurs individuels prendre des décisions à leur niveau ». 

Dans sa nouvelle politique, Facebook ne qualifie plus la nature juridique des données personnelles. Elles restent un attribut des droits de la personnalité, sur lesquelles les individus peuvent exercer leurs droits d'accès et de rectification, et qui ne peuvent être collectées qu'en suivant les restrictions imposées par la loi et le régulateur. 

Est-ce une option heureuse ? Le débat reste ouvert.

dimanche 16 novembre 2014

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL : "L'INVISIBLE EMPIRE "


"L'Invisible Empire", est un documentaire (2h14) sur le Nouvel Ordre Mondial et l'agenda secret de l'élite mondiale, démontré par Jason Bermas, qui dévoile les mensonges, manipulations diverses, trahisons, décisions politico-financières de l’ombre, ayant pour objectif la mise en place de ce que toutes les puissantes personnalités du pouvoir de la planète ont travaillé depuis des années pour établir un gouvernement mondial oppressif. (VO sous-titrée en français)


Jason Bermas, réalisateur du film et acolyte d’Alex Jones d'Infowars, a déjà travaillé sur Loose Change. Avec Invisible Empire, il met au jour les divers mensonges, manipulations, trahisons, décisions politico-financières des élites, ayant pour finalité la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Alex Jones est la figure de proue d’un mouvement qui a su rallier des célébrités telles que Charlie Sheen, Jesse Ventura, le défunt Aaron Russo ainsi que plusieurs autres américains. L’animateur de talk-radio s’est aussi rallié une partie de la communauté scientifique et économique dissidente des États-Unis et du Canada. Alex Jones est un des leaders d’une coalition grandissante de mouvements sociaux comme 911truth. Il défend la thèse d’un calendrier de globalisation planifié par une élite oligarchique internationale qui a pour but final d’asservir la population mondiale à jamais pour le bénéfice de cette même élite. Il est présenté dans la plupart des médias des États-Unis comme un conspirationniste. Sa grande popularité toutefois ne fait aucun doute chez le grand public.

Un film à voir ne serait-ce que pour comprendre davantage l’ampleur de l’influence des décideurs, sans pour autant sombrer dans un complotisme délirant ni perdre son esprit critique, car effectivement, la volonté grandissante d’un grand nombre de personnes influentes dans la création d’un Nouvel Ordre Mondial se fait largement ressentir lorsque l’on prend le temps d’étudier la question. Que se cache-t-il vraiment derrière cette globalisation aboutissant à un ordre mondial ? Est-ce vraiment bénéfique ou réellement néfaste ?

Invisible Empire dénonce et accuse les promoteurs du mondialisme à travers leurs propres mots et leurs propres documents. La tyrannie dans le monde n’est pas une chose à venir, elle est déjà en place et se concrétise actuellement. Nous ne sommes pas dans une quelconque théorie du complot, mais bien dans les faits.

Le Nouvel Ordre Mondial s'organise à la vue de tous. Des bureaucrates non élus démocratiquement mettent en place des unions régionales et de grands blocs géo-économique standardisés à travers de grands blocs continentaux unifiés.


Témoin de leur plan pour une taxe mondiale et une société de surveillance dans laquelle chaque homme, femme et enfant pourrait avoir une puce électronique implantée dès la naissance, Jason Berma expose le Nouvel Ordre Mondial minutieusement en montrant comment les élites ont non seulement concouru à créer un gouvernement dictatorial mondial en privé, et ont déclaré publiquement leur ordre du jour des centaines de fois aux yeux de tous.

En mettant en valeur les paroles de personnes telles que Paul Wolfowitz, l’amiral Michael Mullen, David Cameron, Gordon Brown et beaucoup d’autres, ce film réveillera même les plus ardents sceptiques et dévoilera l'accélération manifestement visible et réelle de la mise en place d’un régime autoritaire planétaire qui a l’intention de contrôler et de réglementer tous les aspects de notre existence.

Invisible Empire démontre sans aucun doute possible la façon dont les élites ont ouvertement conspiré pour insidieusement modeler le monde à leur convenance via d’influents groupes tel que le CFR, l’Organisation des Nations Unies, la Commission Trilatérale, et le groupe Bilderberg, entre-autres.


Le film retrace la lignée de l’évolution de la gouvernance mondiale de Samuel Zane Batten de 1919, Manifeste du Nouvel Ordre Mondial, par le biais de la vision d’Hitler, à l’incarnation moderne de la conspiration qui a prise ses racines dans la perfidie de personnes telles que George H.W Bush, David Rockefeller et Henry Kissinger.

Il dévoile plusieurs aberrations et manipulations au niveau étatique dans un but d’asservissement de la population mondiale telles que la gestion des finances, la drogue, le terrorisme sous fausse bannière, les escroqueries bancaires, les assassinats commandités, l’hostilité totale à la notion de vraie liberté, le mouvement écologiste bidon qui est entraîné par la fraude du réchauffement climatique, les populations micropucées par les puces electroniques RFID, les réseaux de prostitution dirigés par et pour l’élite, les pratiques occultes, etc.

Plus qu’un film, il est l’aboutissement de nombreuses années de recherche par Jason Berma sur le fonctionnement interne de cette mise en place du Nouvel Ordre Mondial.


Jason Bermas analyse l'évolution des États-Unis, pays qui transite peu à peu d'une démocratie républicaine à un empire autoritaire, voire même totalitaire, sous le contrôle total d'une Oligarchie Financière Mondialisée. Le réalisateur se base sur l'histoire, les discours et les actes de ces hommes affamés de pouvoir qui semblent n'avoir aucun scrupule ni aucune limite pour forger le monde selon leurs visions. Il est évident qu'aucune chaîne de télévision n'abordera ce sujet plus que dérangeant. Obama, Bush, JFK, Roosevelt, Gordon Brown, Barroso, Kissinger, Brezinski, Sarkozy, et bien plus encore, sont évoqués durant ce documentaire.

Le Nouvel Ordre Mondial n'est pas prévu pour l'intérêt des peuples comme les puissants et les médiamenteurs veulent nous le faire croire, mais pour celui des élites mondiales qui manipulent les populations, ainsi que l'Histoire, l'économie, les médias, les politiques, les industriels, etc., sans que nous nous en rendions compte, comme l'asservissement des européens via l'U.E.

samedi 15 novembre 2014

LA GUERRE SECRÈTE


En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur : "Chemtrails : La Guerre Secrète"


Documentaire de www.tankerenemy.com
Sous-titré en français par l'association : www.cielvoile.fr.
(Nous remercions tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap). 
Source : Ciel Voilé

mardi 11 novembre 2014

MONSANTO : "PETITE HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ LA PLUS DIABOLIQUE"


L’entreprise Monsanto est derrière de nombreuses entreprises et des lois hyper-protectionnistes, allant jusqu’à l’absurdité totale, que l’entreprise elle-même fait voter aux USA et dans le reste du Monde, par des moyens suspects, des Lois qui vont contre l’intérêt général.

Je vous rappelle que le Traité transatlantique signé récemment par Bruxelles est un traité qui est surtout avantageux pour les entreprises comme Monsanto, qui seront prochainement bien disposées à détruire l’Europe, or, si l’Europe a été faite pour les Américains, nous en sommes les habitants et il est de notre devoir, de notre pouvoir, de chasser hors de nos pays des OGM dont le peuple ne veut pas, cependant les USA ont fait une proposition à l’Ukraine, quelques milliards de dollars de prêts en échange de cultures OGM sur le territoire Ukrainien, une porte d’entrée sur l’Europe, on comprend désormais les vraies raisons du conflit Ukraino-Russe, et l’opposition de la Russie qui considère les OGM comme une « arme bactériologique », et il y a encore des malfaisants qui affirment que les OGM inoffensifs ? Avant d’affirmer de telles choses, je voudrais que tous ceux qui affirment que les OGM sont inoffensifs mangent et boivent des produits OGM pendant deux ans sous contrôle médical, nous verrons ensuite si leur santé se détériore ou non.


À cela j’ajoute, que l’argument de l’entreprise Monsanto, et de ses abominables vendus qui sacrifient la vie d’enfants, de femmes et d’hommes, d’abeilles, mères de toutes vies, d’animaux, d’insectes, de plantes… car ils sont payés grassement par cette entreprise, sous la table, et qui vise à déclarer que nous faisons partie d’une secte parce que nous défendons le vivant, ces gens-là, médecins, journalistes, homme politiques, sont des traîtres à la vie, à la nature, au vivant et devraient être emprisonnés pour complicité de crime contre l’humanité. Ces gens-là ont accès aux médias et à la presse, et manipulent honteusement l’opinion publique pour la persuader du bien-fondé des OGM ; dans le monde entier, les agricultures biologiques sont à la fois plus nourrissantes et saines, alors que les OGM, sont moins nourrissants, contre nature et dangereux pour ceux qui les côtoient et qui les consomment.

Les études du professeur Séralini le démontrent, lui même menacé pour avoir mené son étude sur deux ans sur des rats saints en les nourrissant exclusivement de maïs Monsanto avec, et sans RoundUp, obtenant comme résultat d’énormes tumeurs et la mort de ses sujets dans d’atroces souffrances.

Cette étude faite dans le plus grand secret, n’a pas plu à l’entreprise Monsanto, qui a protesté contre ses résultats, les rendant douteux, Monsanto, tellement habitué à falsifier ses études, nous le verrons dans cet article.

Ironie du sort, Monsanto a obtenu du président Hollande 3 millions d’euros des deniers publics pour refaire une étude démontrant que ses OGM sont inoffensifs, on croit rêver, vous comprendrez, à la lumière de cet article comment l’entreprise Monsanto fait ses études et fournit ses « résultats », notamment en demandant l’aide d’autres entreprises qui lui appartiennent.

La volonté de Monsanto est bien d’anéantir notre planète dans un seul but, soumettre la population à un contrôle total de l’alimentation dans le monde entier et si nous continuons à laisser agir les entreprises productrices d’OGM, nous deviendrons dépendrons des ressources alimentaires de Monsanto et tomberons malades.

Il faut aussi s’intéresser aux axes de recherche de l’entreprise Monsanto actuellement, sur l’agriculture, la vaccination et la génétique humaine pour se rendre compte qu’il s’agit bel et bien d’un agenda de contrôle et partout où il arrive quelque chose de mauvais et de peu naturel dans le monde, on peut être sûr que l’entreprise Monsanto n’est pas loin.

Cet article est une prise de conscience, diffusez-le avant qu’il ne soit retiré par les mêmes qui vous empoisonnent.

Protégez notre, votre planète, vos enfants, et tous les êtres vivants qui partagent cette terre avec vous.


L’Histoire complète de l’entreprise Monsanto, la société la plus diabolique

De toutes les mégacorporations, Monsanto a automatiquement surpassé ses rivaux, gagnant le titre de « société la plus diabolique sur Terre! » non content de se reposer sur son trône d’anéantissement, elle reste concentrée sur un développement de moyens novateurs, plus scientifiques, pour contrôler la planète et ses habitants.

1901 : L’entreprise créée par John Francis Queeny, un membre de « l’ordre des Chevaliers de la Malte »Knights of Malta, pharmacien de 30 ans et marié avec Olga Mendez Monsanto, d’après laquelle il nomma ses travaux de recherche,c’est ainsi que Monsanto a vu le jour. Le premier produit de l’entreprise Monsanto fut la saccharine (ou E954), vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel.

Alors que le gouvernement connaissait la toxicité de la saccharine au point d’attaquer Monsanto en justice pour en arrêter sa fabrication, il perdit son procès contre Monsanto ouvrant ainsi la Boîte de Pandore, étant ainsi libre d’empoisonner le monde à travers les boissons non alcoolisées.

1920 : Monsanto produit des produits chimiques industriels et des médicaments, devenant le plus grand fabricant du monde d’aspirine, acide acétylsalicylique (toxique bien sûr). C’est aussi à cette période que la planète a commencé à se détériorer avec l’apparition des « biphényles polychlorés (PCB) ».


« Les PCB sont considérés comme des produits industriels chimiques étonnants, une huile qui ne brûlerait pas, imperméable à la dégradation et avec des applications presque illimitées. Aujourd’hui, on considère les PCB comme une des menaces chimiques les plus toxiques de la planète. Largement utilisé comme lubrifiants, des liquides hydrauliques, réduisant les quantités d’huiles en les intégrants, ce sont aussi des revêtements imperméables et des mastics liquides. Les PCB sont de puissants cancérigènes et sont liés à des troubles du système immunitaire et reproducteur, liés au développement de l’individu. Le centre de fabrication des PCB était l’usine Monsanto à la périphérie de l’Est de la ville de St Louis, Illinois, qui avait le taux le plus élevé de morts d’enfants prématurés de l’État. » (1)

Bien que les PCB aient enfin été interdits après cinquante ans à cause de leur dangerosité et entraînant une telle dévastation, ils sont toujours présents dans le sang et les tissus animal et humain à travers le monde. Les documents présentés par la justice ont montré plus tard que Monsanto connaissait très bien les effets mortels, mais les a criminellement cachés au public pour garder la main mise sur un produit phare et juteux !

1930 : L’entreprise Monsanto crée son premier maïs hybride et en y incorporant des détergents, des savons, des produits de nettoyage industriels, des caoutchoucs synthétiques et des plastiques, tous toxiques bien évidemment!

1940 : Monsanto entreprend des recherches sur l’uranium à utiliser sur le Projet Manhattan, celui de la première bombe atomique, qui sera plus tard lancée sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de Japonais, des militaires américains et coréens, et empoisonnant des millions de personnes.

L’entreprise continue à détruire ce qui l’entoure en mettant au point des pesticides pour l’agriculture contenant des toxines mortelles, comme la dioxine, qui empoisonne la nourriture et l’approvisionnement en eau. Monsanto a refusé d’admettre que cette dioxine a été intensément utilisée dans de nombreux produits si elle l’avait admis, elle aurait été forcée de reconnaître que Monsanto avait créé un Enfer environnemental sur terre.


1950 : En étroite collaboration avec Walt Disney Entreprise, Monsanto crée diverses attractions à Disney’s « Tomorrowland » (le monde de demain) à Disneyland California. Les attractions en question célèbreraient la grandeur de la chimie et du plastique dans la « Maison du Futur », construite entièrement avec des plastiques toxiques non biodégradables tandis que Monsanto avait affirmé le contraire.

« Après un total de 20 millions de visiteurs de 1957 à 1967, Disney a fini par détruire la « Maison du Futur », mais a découvert qu’elle résistait à la démolition. D’après le Magazine Monsanto, les boules au bout des grues ont carrément rebondi sur la structure en fibre de verre, matière en polyester renforcé. Les torches, marteaux-piqueurs, tronçonneuses et pelles mécaniques ont eu le même problème. Finalement, on a utilisé des câbles pour serrer des parties de la maison démantelée par morceau pour être la transporter par camion loin de Disneyland. » (2)

La vision de l’avenir de Monsanto chez Disney :

 

1960 : Monsanto, avec son partenaire « DOW Chemical », produit à partir de la dioxine l’Agent Orange dont l’utilisation est exclusivement réservée pour la guerre du Viêt-Nam. Cet Agent Orange a contaminé plus de 3 millions de personnes , tué un demi-million de vietnamiens, provoqué des malformations chez un demi-million de nouveaux-nés vietnamiens et a fait souffrir des milliers de vétérans militaires américains qui succombent à ses effets encore à ce jour !

Monsanto est à nouveau attaqué en justice et des dossiers, des notes internes indiquent que l’entreprise Monsanto connaissait parfaitement les effets mortels de la dioxine se trouvant dans l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement américain.

Outrageusement, la cour autorise Monsanto de présenter sa propre « recherche » qui conclut que la dioxine est inoffensive et ne pose aucun problème de santé. La plainte est déboutée et Monsanto repart sans condamnation. Or, plus tard, la vérité éclate au grand jour, Monsanto a menti sur les résultats de ses propres recherches, et on a conclu que la dioxine tue très efficacement.

- Je profite de ce passage traduit pour ajouter que l’entreprise Monsanto agit de la même façon avec la France en 2014, en protestant contre les études du Professeur Seralini sur la toxicité scientifiquement prouvée du maïs OGM Monsanto avec et sans RoundUp, et que Monsanto a encore obtenu du gouvernement de F. Hollande, 3 millions d’euros pour démontrer que ce maïs est inoffensif, le scénario est toujours en place et encore une fois les autorités servent les intérêts de Monsanto au détriment de la santé des citoyens.

Une note interne présentée lors d’un procès en 2002 reconnaît

« Que les preuves démontrant la persistance de ces composés chimiques et leur présence universelle dont des résidus dans l’environnement sont incontestables… » le public et les pressions légales pour les éliminer et empêcher la contamination mondiale sont inévitables. Le sujet fait boule de neige. Où allons-nous d’ici ?

Les alternatives de l’entreprise Monsanto : faites faillite ; retirez et vendez votre enfer tant que vous le pouvez et ne faire rien d’autre; essayez de rester en activité ; ayez des produits alternatifs. » (3)

Le partenaire de Monsanto, I.G. Farben, fabricant de l’aspirine Bayer et producteur du gaz chimique, « Zyklon-B » qui servit aux chambres à Gaz du Troisième Reich. Ensemble, les deux entreprises utilisent leur expertise collective pour présenter l’aspartame au public, une autre neurotoxine très mortelle dans les rations alimentaires. Lorsque la question se pose sur la toxicité de la saccharine, Monsanto profite de cette occasion pour présenter un autre de ses poisons mortels sur un public très naïf.

1970 : Monsanto se met en partenariat avec G.D. SEARLE, qui fait de nombreuses études internes qui affirment l’innocuité de l’aspartame, alors que la propre recherche scientifique de la FDA révèle clairement que l’aspartame provoque des tumeurs et des trous massifs dans le cerveau des rats, avant de les euthanasier. La FDA intente un procès devant un grand jury contre G.D. SEARLE pour avoir « sciemment falsifié le résultat des découvertes et pour avoir dissimulé des faits matériels substantiels et sur la fabrication de fausses déclarations » en ce qui concerne l’aspartame et les normes de sécurité le concernant.

Pendant ce temps, SEARLE persuade stratégiquement Donald Rumsfeld qui a été ministre de la Défense nationale pendant le mandat de Gerald Ford et celui de George W. Bush, pour en devenir le PDG. L’objectif principal de SEARLE avec Rumsfeld, est de se servir de son influence politique et de son expérience considérable dans les milieux d’affaires pour soudoyer et coopérer avec la FDA (Food and Drug Administration) et s’attirer ses faveurs… pour Monsanto.

Quelques mois plus tard, Samuel Skinner, Procureur Général en charge du dossier Aspartame, reçoit « une offre qu’il ne peut pas refuser » provenant de l’entreprise Monsanto, et se retire de l’enquête en démissionnant de son poste et de ses fonctions de Procureur Général pour aller travailler pour le cabinet juridique de SEARLE.

Cette combine machiavélique permet à SEARLE de gagner juste assez de temps pour que la loi sur la limitation sur l’aspartame vienne à manquer et l’enquête du jury d’accusation est brusquement et commodément abandonnée.

1980 : Parmi la recherche indiscutable qui dénonce les effets toxiques de l’aspartame, tandis que le commissaire de la FDA, le Docteur Jere Goyan était sur le point de signer une pétition retirant l’aspartame du marché, Donald Rumsfeld appela Ronald Reagan le jour suivant son entrée en fonction pour une faveur. Le président Reagan renvoya le Docteur Goyan peu coopérant à son goût et nomma le Docteur Arthur Hull Hayes pour prendre la tête de la FDA ; celui-ci pencha rapidement en faveur de SEARLE et de Monsanto et la Sucrette (NutraSweet), approuvée pour la consommation humaine et dans tous les produits dérivés et lyophilisés. Cela devient tristement ironique alors que R. Reagan est un consommateur de bonbons qui contiennent de l’aspartame et qui sera atteint d’Alzheimer durant son deuxième mandat, un des nombreux effets terrifiants de la consommation d’aspartame.

La véritable intention de SEARLE était de faire accepter l’Aspartame comme exhausteur de goût des boissons non alcoolisées. Mais depuis, des études ont démontré que ces boissons, sodas ou autres qui contiennent de l’aspartame, qu’on expose aux températures excédant 85 degrés Fahrenheit, « se transforment en des toxines connues, comme la Diketopiperazine (DKP), le méthyle, l’alcool, le formaldéhyde » (4), devenant plusieurs fois plus mortel que sa forme en poudre non chauffée!

SEARLE peut prouver que l’aspartame liquide, quoi qu’incroyablement mortel, crée une dépendance plus importante que le crack ou la cocaïne, la NSDA (Association Nationale des Boissons non alcoolisées) est persuadée que ses profits montant en flèche ont un lien avec la vente de boissons non alcoolisées lancées avec l’aspartame et que cela compenserait facilement n’importe quelle responsabilité future. Ainsi, l’avidité de l’entreprise progresse et l’insoupçonnable boisson, consommée par des consommateurs mal informés,auront des problèmes de santé sans le savoir.

Coca Cola mène la danse à nouveau (souvenez-vous de la saccharine en 1901) et commence à empoisonner les consommateurs de Coca Light avec de l’aspartame dès 1983. Les ventes montent également en flèche dès que des millions de consommateurs ne peuvent plus s’en passer. Le reste de l’industrie de la boisson non alcoolisée aime ce qu’il voit et fait rapidement de même, oubliant commodément toutes leurs réserves initiales, que l’aspartame est un produit chimique mortel. Il y a de l’argent à faire, beaucoup, c’est tout ce qui compte vraiment pour eux de toute façon!

En 1985, SEARLE, imperturbable aux accusations de corruption et aux accusations multiples d’enquêtes frauduleuses, Monsanto achète l’entreprise et crée une nouvelle filiale d’aspartame appelée l’Entreprise « NutraSweet ou Sucrette ». Alors que de nombreux scientifiques indépendants et des chercheurs continuent à tirer la sonnette d’alarme sur les effets toxiques de l’aspartame, l’entreprise Monsanto continue l’offensive, soudoyant le National Cancer Institute et fournissant ses propres documents frauduleux à présenter au NCI pour affirmer que le formaldéhyde ne provoque pas le cancer, et donc l’aspartame peut rester le marché.

- À nouveau j’ouvre une parenthèse, avec ces comportements, il est clair que personne ne peut faire confiance à l’entreprise Monsanto qui privilégie le profit au détriment de la santé du consommateur, Monsanto qui est visiblement habitué à falsifier et à cacher les véritables effets de ses produits.


Les effets connus de l’ingestion de l’aspartame sont :

- « Manie, colère, violence, cécité, douleur articulaire, fatigue, prise de poids, douleur à la poitrine, coma, insomnie, engourdissement, dépression, bourdonnements d’oreilles, faiblesse, spasmes, irritabilité, nausée, surdité, perte de mémoire, éruptions, vertiges, maux de tête, anxiété, palpitations, défaillance, crampes, diarrhée, panique, combustion dans la bouche. Ces Maladies incluent le diabète, MME, le lupus, l’épilepsie, Parkinson, des tumeurs, l’avortement, l’infertilité, la fibromyalgie, la mort d’enfant en bas âge, l’Alzheimer … Source : U.S. Food & Drug Administration.(5)

Près de 80 % des plaintes déposées à la FDA quant aux additifs alimentaires concernent l’aspartame, qui est désormais dans plus de 5 000 produits dont les produits de régime, les sodas light, les sodas et les boissons sportives, les bonbons à la menthe, le chewing-gum, les desserts glacés, des cookies, des gâteaux, des vitamines, des produits pharmaceutiques, des boissons lactées, des thés instantanés, des cafés, le yaourt, des aliments pour bébés et beaucoup, beaucoup plus! (6) lisez bien les étiquettes des produits et n’achetez rien qui contient ce tueur terrifiant!

Malgré tous les décès et les maladies, Le Dr. Arthur Hull président du FDA démissionna dans une nébuleuse de corruption, mais fut immédiatement engagé par la société de relations publiques SEARLE, comme « consultant scientifique senior ». Non, ce n’est pas une plaisanterie! Monsanto, la FDA et de nombreuses agences de santé gouvernementales régulatrices sont devenues la même société! Il semble que le seul prérequis pour devenir un commissaire de la FDA (Food & Drug administration) est qu’il passe du temps à Monsanto ou dans un des cartels pharmaceutiques du crime organisé.

1990 : Monsanto dépense des millions à se battre contre l’état et la législation fédérale qui l’accusent de rejeter de la dioxine, des pesticides et autres poisons cancérigènes dans les systèmes d’eau potable. Monsanto est attaqué en justice des centaines de fois pour provoquer des maladies à ses ouvriers agricoles, aux citoyens des zones environnantes et pour des malformations de naissance chez les bébés.

Avec leurs cercueils remplis de milliards de dollars de profits, on considère que 100 millions de dollars est la base du coût de la gestion des affaires juridiques de l’entreprise. Grâce à la FDA, le Congrès et la Maison-Blanche, les affaires de l’entreprise Monsanto se portent bien. Si bien que Monsanto est attaqué en justice pour avoir donné du fer radioactif à 829 femmes enceintes lors d’une étude, juste pour voir ce qui pouvait leur arriver.

En 1994, la FDA approuve une nouvelle fois la dernière monstruosité de l’entreprise Monsanto,l’Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), produite à partir d’une bactérie d’EColi génétiquement modifiée. En dépit de l’évidente prise de conscience de ses dangers par la communauté scientifique. Bien sûr, Monsanto prétend que cela guérit des maladies du lait, que c’est plein d’antibiotiques et d’hormones et que c’est non seulement inoffensif, mais en réalité bon pour votre santé!

- Je profite à nouveau de cette révélation pour rappeler au lecteur les alertes à la bactérie E.coli ou Escherichia coli dont la faute a été rejetée médiatiquement sur le concombre, alors que cette Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), est, je le suppose, éventuellement responsable, et que la bactérie devait se trouver dans ses déjections, mais comment des déjections de vaches peuvent-elles se retrouver sur des champs de concombres ? Pourtant, personne n’a évoqué ce détail de l’hormone de croissance OGM, pour une raison ou pour une autre, et cela, en toute ignorance des autorités sanitaires et surtout des éleveurs auquel Monsanto avait encore une fois fait croire à la science et au progrès de l’élevage. À nouveau, la firme Monsanto a caché la vérité au consommateur en dépit de la sécurité de celui-ci et en détournant l’information qui n’est jamais sortie que « l’Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), est produite à partir d’une bactérie d’EColi génétiquement modifiée. » 

Pire encore, les entreprises laitières qui ne veulent pas utiliser cette hormone de croissance et qui étiquettent leurs produits “sans rBGH” sont poursuivies en justice par Monsanto, en prétendant que c’est de la concurrence déloyale envers ceux qui l’utilisent. En substance, Monsanto dit :

- « oui, nous savons que le rBGH rend les gens malades, mais il n’est pas correct que vous fassiez de la publicité sur ce qui n’est pas dans vos produits. »

L’année suivante, l’entreprise diabolique commence à mettre des OGM tolérants à leur herbicide toxique le RoundUp. Le RoundUpReady d’huile de canola est opérationnel (la graine de colza), le soja OGM, le maïs OGM et le coton BT OGM commencent à arriver sur le marché, annoncé comme étant des alternatives plus sûres, plus saines comparées à leurs rivaux non-OGM biologiques donc organiques. Apparemment, la propagande fonctionne bien et aujourd’hui plus de 80 % de canola sur le marché est une variété OGM Monsanto.


Ce que vous devez absolument éviter dans votre alimentation c’est le soja OGM, le maïs OGM , le blé et l’huile de canola ou colza OGM, bien que de nombreux ‘experts de santé « naturels » affirment que le Colza est une huile saine. Elle ne l’est pas, mais vous la trouverez dans nombre de produits sur des étagères de magasin d’alimentation.

Comme ces OGM ont été créés pour « s’autopolliniser », ils n’ont pas besoin de la nature ou des abeilles pour le faire pour eux. Il y a un sombre ordre du jour à ceci et cela doit bien sûr anéantir la population d’abeilles du monde pour ne laisser que les OGM.

Monsanto sait que les oiseaux et particulièrement les abeilles, sont une entorse, une clé à leur monopole de contrôle en raison de leur capacité à polliniser créant ainsi naturellement des produits alimentaires sans le recours de Monsanto qui souhaite « la domination complète et le contrôle de l’alimentation dans le monde. » Lorsque les abeilles essayent de féconder avec du pollen une plante OGM ou une fleur, elles sont empoisonnées et meurent. En fait, l’effondrement et la destruction des colonies d’abeilles ont été reconnus et ont continué depuis la naissance des OGM.

Pour contrecarrer les accusations de génocide délibéré sur les abeilles, l’entreprise Monsanto rachète diaboliquement la société Beeologics, la plus grande entreprise de recherche sur les abeilles, dédiées justement à la recherche et à l’étude de ce génocide organisé, qui pointaient du doigt Monsanto comme le monstre et le coupable principal de ce massacre organisé et prémédité! Après cet achat :

- « Des abeilles, quelles abeilles ? »

- Comme le lecteur pourra le noter, à chaque fois qu’on accuse la multinationale Monsanto, elle achète et corrompt.

Précédemment, l’entreprise Monsanto a acheté un ministre, Procureur général pour qu’il arrête de l’attaquer sur le sucre artificiel, l’aspartame, à présent, Monsanto achète un centre de recherche sur les abeilles qui indiquait son agenda de destruction délibéré de l’espèce humaine et de la nature. Chacun doit comprendre que sans abeilles, la vie n’est pas possible, mais avec Monsanto elle l’est, donc l’entreprise Monsanto organise un contrôle de la nourriture dans et pour le monde, pour contrôler les populations selon son bon vouloir et au détriment de la vie sur terre.

Nous sommes dans un scénario de fin du monde catastrophique, et Monsanto achète le silence de chacun avec des millions de dollars ? La question que je pose :

- Citoyens, allez-vous laisser cette entreprise diabolique détruire l’héritage de vos enfants ?

- Il est désormais prouvé que les abeilles qui pollinisent rapportent à la ruche du glyphosate, l’ingrédient principal de l’herbicide Round Up, qui leur fait perdre l’appétit, et la capacité d’apprendre, publiée par le « Journal of experimental biology » une étude similaire a été dirigée à l’Université de Buenos Aires en Argentine, révélant des résultats similaires, mais à différents niveaux. Il est certain que les abeilles sont tellement perturbées, qu’elles perdent la faculté de trouver et de récolter du pollen et du fructose et sont touchées par un CCD « Colony collapse disorder » soit le symptôme de la destruction de la colonie et tout cela à cause du RoundUp. Un apiculteur avec 55 ans d’expérience déclare dans la revue Mother Earth News, être témoin de cette destruction massive à la fin de la saison d’épandage du RoundUp, des colonies entières étaient complètement décimées, a-t-il systématiquement observé.

Au milieu des années 90, l’entreprise Monsanto décide de réinventer sa diabolique entreprise vers une direction concentrée sur l’approvisionnement en nourriture biotechnologique artificielle dans le monde et ainsi en préservant son produit phare, le RoundUp, qui lui permet de faire des bénéfices colossaux et surtout de ne rien perdre face à des herbicides moins toxiques. Voyez-vous, le RoundUp est tellement toxique qu’il efface d’un revers de la main, une récolte non-OGM, des insectes, des animaux, la santé humaine et l’environnement en même temps. Très efficace en effet!

Parce que les semences « RoundUp ready », sont produites pour être des pesticides toxiques se faisant passer pour de la nourriture, ils ont été interdits dans l’UE, mais pas en Amérique! Y a-t-il un rapport entre cela et le fait que des Américains, malgré le haut coût et la disponibilité de services médicaux, soient collectivement les gens les plus malades dans le monde ? Bien sûr que non !

Comme c’était le plan de l’entreprise Monsanto depuis le début, toute semence non-Monsanto serait détruite, forçant des fermiers dans le monde entier à utiliser seulement son toxique « ex-terminator »de semences. Et Monsanto s’est assuré que les fermiers qui refusent d’entrer dans sa combine, soient privés d’exploitation et de leur business, ou plus simplement poursuivi en justice, quand portées par le vent, les semences « ex-terminator » contaminent par leur pollen, des graines et des récoltes biologiques.

Apportant à l’entreprise un monopole virtuel de destruction de semences organiques et le RoundUp a travaillé comme une main empoisonnée dans un gant de velours. La récolte OGM ne peut survivre dans un environnement non-chimique donc, les fermiers ont été forcés d’acheter les graines OGM et le RoudUp.

Le but de Monsanto est d’acheter à coût de milliards de dollars à l’échelle mondiale, autant d’entreprises de semences que possible pour les transformer en des entreprises OGM, afin de supprimer tous les rivaux et les aliments biologiques de la surface de la terre. Du point de vue de l’entreprise Monsanto, tous les produits alimentaires doivent être sous leur contrôle et OGM ou c’est qu’ils ne sont pas bons à manger !

- Il y a deux différences fondamentales entre une tomate OGM et une tomate biologique, la première, la tomate OGM n’a aucun goût, aucune saveur, la seconde, sa valeur nutritive n’est pas comparable à celle d’une tomate biologique, beaucoup plus nourrissante sans les inconvénients des poisons toxiques ; où est le progrès que propose l’entreprise Monsanto ?

Monsanto feint d’être choqué dès que la communauté scientifique formule des critiques sur les semences OGM modifiées avec des gènes de porcs malades, de vaches, d’araignées, de singes, de poisson, des vaccins et des virus, qui seraient en fait bons à consommer.

Vous pensez que l’entreprise est tellement fière de ses produits alimentaires OGM qu’elle les servirait à ses salariés, comble de la réalité, elle ne le fait pas. En fait, Monsanto a interdit de servir des aliments OGM dans les cafétérias réservées à ses salariés. Monsanto a sans conviction répondu « nous croyons au choix. » Ce que l’entreprise Monsanto veut vraiment dire est « nous ne voulons pas tuer ceux qui nous aident. »

- Mais cela ne nous gêne pas si les consommateurs tombent malades en s’alimentant avec des OGM.


2000 : Monsanto contrôle la plus grande partie du marché OGM mondial. À son tour, le gouvernement américain dépense des centaines de millions pour financer la pulvérisation de RoundUp, cause d’une dévastation environnementale massive. Les poissons et les animaux meurent par milliers dans les jours suivant la pulvérisation de maladies respiratoires et le taux de cancers monte en flèche chez les humains. Mais on considère que c’est une simple coïncidence ce qui implique une continuité de la pulvérisation. Si vous pensiez que Monsanto et la FDA ne faisaient qu’un, eh bien vous pouvez ajouter le gouvernement américain à cette liste désolante.

Le monstre se développe : l’entreprise Monsanto fusionne avec « Pharmacia » et « Upjohn » et se sépare de son activité chimique pour se rebaptiser en entreprise agricole.

Oui, vous lisez bien, une entreprise chimique dont les produits ont dévasté l’environnement, tué des millions de gens, la faune sauvage et la flore au fil des années, qui maintenant veut que l’on croit qu’elle produit des produits alimentaires sûrs et nutritifs qui ne tueront plus les gens ?

C’est difficile à croire, alors que la multinationale Monsanto continue à se développer à travers des fusions secrètes et des partenariats tous aussi discrets, mais avec la même intention de destruction du vivant.

Parce que son rival DuPont (autre producteur d’OGM) est une trop grande société concurrente, les deux ne peuvent pour fusionner, mais forment, au lieu de cela, un partenariat furtif où chacun consent à abandonner des poursuites judiciaires les opposant l’une à l’autre et commencent à partager des technologies OGM pour leur avantage mutuel. En termes simples, ensemble ils seraient beaucoup trop puissants et politiquement connectés pour que quoi que ce soit puisse les empêcher de posséder un monopole virtuel de l’agriculture mondiale.

- « Contrôlez l’approvisionnement en nourriture et vous contrôlez le peuple ! »


Tout n’est pas rose pour l’entreprise Monsanto, ce monstre est poursuivi à plusieurs reprises en justice pour 100 millions de dollars de dommages et intérêts, pour avoir causé, maladies, difformités et morts d’enfants en bas âge, en diffusant illégalement et de toutes les façons possibles et imaginables dans le sol et les nappes phréatiques, des PCB, tout en mentant sans cesse concernant la sécurité de ses produits – vous savez les affaires courantes, l’habitude pour Monsanto quoi…

Monsanto persiste et signe, et s’avère difficile à éliminer, car il commence à intenter des procès insensés contre des fermiers, exploitants agricoles, tout en affirmant qu’ils empiètent sur leurs brevets de graines OGM. Dans pratiquement toutes les affaires, des OGMs indésirables sont portés par le vent sur les terres des fermiers en contaminant leur récolte organique .

Non seulement ces monstrueux OGM anéantissent les récoltes biologiques et organiques des fermiers, mais les procès les conduisent à la faillite, tandis que la Cour suprême rend systématiquement des décisions en faveur de l’entreprise Monsanto.

En même temps, le Monstre commence à déposer des brevets sur des techniques d’élevage de porcs, revendiquant de ce fait, que tout élevage de porcs ressemblant à son brevet se rend coupable de vol de méthode. À ce point, il est facile d’imaginer que tous les élevages de porcs dans le monde copient Monsanto et se rendent coupables juridiquement de vol de méthode et de brevet.

Je tiens à signaler que l’entreprise Monsanto agit dans le cadre non pas de la logique, mais dans celui de la Loi, ainsi, en légalisant « l’illégalisable », Monsanto se rend propriétaire des idées les plus logiques, les plus communes à tous, dans le monde agricole, il se rend propriétaire des idées les plus anciennes sur l’élevage et l’agriculture afin de toucher des royalties sur tout ce qui se fait dans l’univers agricole mondial, et toujours dans le cadre de la loi, une loi faite pour des voyous qui va ruiner tous les exploitants de la terre et le pire, est le Traité transatlantique qui va donner à Monsanto le moyen de piller les terres des paysans français et européens avec ces brevets aberrants. Voilà ce que nos députés européens ont signé en faveur de l’entreprise Monsanto à notre insu.

Alors que le terrorisme mondial s’étend en Inde et que plus de 100 000 fermiers, sont mis en faillite par des mauvaises récoltes OGM, ces fermiers se suicident en buvant du RoundUp pour que leurs familles aient droit aux paiements de l’assurance décès. En réponse, le monstre profite de la situation dramatique en convoquant les médias pour leur confier un nouveau projet, celui d’assister des petits fermiers indiens en faisant don des mêmes semences OGM qui en premier lieu, était la cause des échecs des récoltes dans le pays! Forbes nomme alors Monsanto « l’entreprise de l’année. ».

- Sur le chiffre des 100 000 fermiers indiens suicidés, ce chiffre officiel ne prend pas en compte les femmes des agriculteurs qui se suicident également, et qui doubleraient le chiffre officiel, et il ne prend pas plus en compte les notes de la police qui déterminent si les suicidés sont des agriculteurs ou pas, ou si les morts sont des suicidés ou pas, ce qui, remis dans le contexte, ferait exploser les chiffres. L’Inde qui vient de démontrer que la culture organique offrait plus de rendement et de santé aux exploitants et aux consommateurs, revient peu à peu sur l’entreprise Monsanto. À Madagascar, « un système bio quadruple le rendement des rizières… (reunion.1ère.fr)

De tous ces Produits alimentaires, la société qui se prétend biologique, organique, naturelle et écologique est tout sauf écologique. Monsanto ne veut pas soutenir la [1] Proposition 37, la mesure Californienne imposant l’étiquetage OGM sur les produits alimentaires contenant des OGM que Monsanto et ses amis producteurs d’OGM ont finalement aidé à supprimer.

- 25 états ont réclamé cette Proposition 37 à Washington, cette demande a été rejetée. Si les OGM sont si naturels et si bons pour le consommateur comme l’affirme Monsanto et consort, pourquoi le lui cacher ?

Parce que la société Whole Foods market, qui vend soi-disant du bio, dort dans le lit de Monsanto depuis longtemps, bourrant secrètement ses étagères avec des tarifs excessifs, et qui a frauduleusement fait de la publicité mensongère sur des produits alimentaires « naturels et biologiques(organique) » de la merde chargée en OGM, en pesticides, rBGH, en hormones et en antibiotiques. Ainsi, bien sûr, ils ne veulent pas l’étiquetage obligatoire sur leurs produits, car cela les exposerait comme de parfaits Fraudeurs avec leurs saloperies de marchandise alimentaires !

Plus de vingt entreprises favorables à biotechnologie incluant WalMart, Pepsico et ConAgra ont récemment rencontré le FDA en faveur des lois d’étiquetage obligatoires, ceci après avoir combattu bec et ongles pour supprimer la proposition 37, Whole Foods voit une occasion de sauver la face et devient la première chaîne d’épicerie à annoncer l’étiquetage obligatoire de ses produits OGM (organisme génétiquement modifié) … en 2018!

Et si vous pensez que ces entreprises ont soudainement nourri une conscience, réfléchissez. Ils réagissent simplement au tollé du public sur la défaite de la Proposition 37 et en ouvrant des lois « ÉTIQUETANT les OGM » pour contourner n’importe quel changement véritable, gardant ainsi le statu quo intact.

Et pour prolonger l’insulte à la blessure mondiale, Monsanto et ses complices/partenaires Archer Daniels Midland, Sodexo and Tyson Foods écrivent et parrainent la Loi de Modernisation de Sécurité alimentaire de 2009 : HR 875. Cette loi criminelle propose aux fermes industrielles de production alimentaire un monopole virtuel et le contrôle de tous les produits alimentaires cultivés n’importe où dans le monde, dont un contrôle sur une arrière-cour de jardin et imposent des pénalités dures et des peines de prison à ceux qui n’utilisent pas de produits chimiques et des engrais OGM. Le président Obama a décidé que cette loi semblait raisonnable, c’est pourquoi il l’a validée.

Avec cette Loi, Monsanto prétend que seuls les OGM sont sûrs et que les aliments biologiques sont potentiellement responsables de répandre et de diffuser des maladies, ce qui doit être éradiqué de l’existence pour la sécurité du monde.

Si manger des boules de pesticide OGM est leur idée de nourriture saine, j’aimerais penser que le reste du monde est assez intelligent pour ne pas souscrire à cette philosophie.

De nouvelles révélations quant aux vraies intentions de Monsanto qui a fait voter la ridicule Loi « HR 933 Continuing Resolution, aka Monsanto Protection Act» qu’Obama le robot Monsanto a signé. Cette loi qui déclare que peu importe à quel point les OGM de Monsanto sont nuisibles et peu importe combien de dévastation de l’environnement Monsanto répand sur le pays, des cours fédérales américaines ne peuvent pas l’empêcher de continuer à planter ses OGM n’importe où il le choisit. Oui, Obama a signé une disposition qui place Monsanto au-dessus de n’importe quelle loi et le rend plus puissant que le gouvernement lui-même. Nous devons nous demander qui est vraiment responsable du pays, parce que ce n’est pas certainement Obama!

De nombreux pays continuent d’accuser Monsanto de crimes contre l’humanité et à bannir cette entreprise, en lui disant « de dégager et de rester en dehors du pays! »

La recherche sur les origines latines du nom lui-même, « mon saint, » peut expliquer pourquoi les critiques s’y réfèrent souvent comme « MonSatan « . Mais plus intéressant du point de vue de la conspiration est que les francs-maçons et autres sociétés ésotériques assument les nombres assignés à chaque lettre dans notre alphabet latin et dans un système à six nombres. Sous ce même système de nombre, la valeur de l’entreprise Monsanto est le 6-6-6, soit le nombre de « la Bête », le diable.

Sachez qu’on peut encore réagir. Le Mal perd toujours à la fin une fois qu’il est largement exposé à la lumière de vérité comme c’est le cas aujourd’hui. Le fait que l’entreprise Monsanto mène le gouvernement à la baguette en ordonnant une législation exclusive pour protéger son leadership prouve ce point. Étant expulsés ailleurs, les États-Unis sont le dernier rempart de Monsanto, pour ainsi dire.

J’en profite pour rectifier l’auteur de cet article qui croit naïvement que les pays du monde rejettent Monsanto, à part la Russie, la Chine et un peu l’Inde, l’Europe se fait investir par Monsanto malgré le rejet citoyen et réussit à s’imposer en fraudant, en faisant voter des lois contradictoires pour s’implanter en France et ailleurs, en falsifiant, comme Monsanto le fait depuis le début, les études sur ses semences en intégrant les OGM de force dans la nourriture sans que personne ne le sache, la lécithine de soja est-elle OGM ou pas ? l’Amidon de maïs est-il OGM ou pas ? Le lait du chocolat ou autre préparation est-il OGM ou pas en France ? Starbuck Coffee appartient à Monsanto, le lait utilisé est OGM, Coca Cola et Pepsi appartiennent à Monsanto, le sucre est-il de l’aspartame, une neurotoxine OGM produite par l’entreprise Monsanto ? Les farines animales qu’on donne au bétail sont-elles conçues à partir d’OGM, les maïs alimentaires exclusivement réservés à l’élevage sont-ils OGM ? Monsanto est comme une gangrène, il est partout et je suis navré de contredire l’auteur de ce courageux article, l’entreprise Monsanto est déjà en France.

Pourtant, même si aux USA beaucoup ont commencé à rendre les coups en protestant contre et rejetant les monstrueux OGM, choisissant de cultiver leurs propres produits alimentaires et acheter auprès des marchés de fermiers locaux au lieu des chaînes d’épicerie Monsanto.

Le réveil du peuple, qui commence aussi à voir qu’il a été trompé par des d’entreprises malhonnêtes et des criminels fédéraux et gouvernementaux empoisonnés par trop de pouvoir, de contrôle et l’avidité, qui a finalement abouti à la création de l’entreprise, la bête monstrueuse hors de contrôle.


Liste des employés et ex employés travaillant dans l’administration OBAM

Toby Moffet Consultant Monsanto US Congressman
Dennis DeConcini Conseiller légal de Monsanto US Senateur
Margaret Miller Superviser d’un laboratoire Directrice de la FDA, HFS
Marcia Hale Dir. des affaires gouvernementales Employée Senior à la Maison Blanche
Mickey Cantor Membre de la Direction Monsanto Ministère du Commerce
Virginia Weldon Attaché de presse CSA et Gore’s SDR...

La liste est longue, pas moins d’une vingtaine de personnes viennent de chez Monsato et sont des conseillers du Président Obama et l’influence sur sa politique.

Traduction assurée par Philippe A. Jandrok
Par E. Hanzai
Sources : http://www.espritsciencemetaphysiques.com/entreprise-monsanto-lhistoire-complete.html


lundi 10 novembre 2014

LA FIN DES ABEILLES !!!


Rapport: Le taux de mortalité des abeilles est actuellement trop élevé pour la survie de l’espèce

Le taux de mortalité des abeilles est actuellement trop élevé

Un rapport surprenant du gouvernement publié la semaine dernière admet que les colonies d’abeilles sont en train de mourir avec un taux de mortalité trop élevé pour «garantir leur survie à long terme».

Il a été bien démontré que le principal facteur menant à cette extinction est la présence d’insecticides à base de néonicotinoïdes, il est sûr que ces insecticides sont vendus et / ou utilisés par des sociétés comme Monsanto, Syngenta, Bayer, Dupont et leurs produits. Source image: Matt Romack Photography

Une étude récente d’Harvard publiée le 27 Mars de cette année a définitivement affirmé les recherches effectuées depuis des années par les scientifiques en dehors des États-Unis : les néonicotinoïdes sont [soulignement ajouté] le problème de l’effondrement d’une colonie (Colony Collapse Disorder ou CCD). L’étude a montré que 50% des colonies peuplées par les abeilles qui avaient été en contact avec ces pesticides se sont effondrées contrairement à seulement 1 à 6 de celles qui ne sont pas en contact avec les néonicotinoïdes.

L’Union européenne comprend que la mort des abeilles est une mort sans précédent pour les êtres humains et la terre-mère étant donné qu’ils ont interdit les insecticides néonicotinoïdes.
Toutefois, les politiques américaines refusent de croire que le problème est l’insecticide néonicotinoïde qui continue à prospérer aux Etats-Unis.

Ces sociétés avec des armées de lobbyistes et de politiciens achetés et payés, comme Monsanto, font la sourde oreille et suggèrent que «les acariens» sont la cause de la mortalité des abeilles, une situation tellement grave qu’elle peut entrainer l’extinction des abeilles si elle continue comme ça. C’est une dangereuse rhétorique contre la science, un négationnisme à la frontière scientifique causé par l’établissement d’agrochimistes américains.

Alors, est-ce que les acariens ont été la cause de l’extinction des abeilles pendant ces 14 millions d’années passées et ont survécu jusqu’à maintenant avant que les humains inventent des produits chimiques néonicotinoïdes? Bien sûr que non. Il semble que les choses étrangères à la Terre comme les néonicotinoïdes peuvent provoquer une perte tellement drastique à l’essentiel sur notre planète et la solution est évidente : informez les gens et dites leurs que si nous continuons à laisser les abeilles mourir à ce rythme, nous n’aurons pratiquement plus de fruits à manger. Et juste au passage, cessez d’utiliser les néonicotinoïdes.

Si nous n’arrêtons pas ce mouvement bientôt ,alors une société comme Monsanto réussira sans doute à profiter de l’absence des abeilles pour polliniser, créer des fruits et tenter de monopoliser les produits de la nature parce que les fruits seront ensuite pollinisés manuellement ou traités avec des moyens plus complexes. Même si cela peut sembler tiré par les cheveux, en l’absence d’abeilles sachant que la pollinisation manuelle est une méthode de production à forte intensité, des micro-drones de pollinisateurs verraient certainement le jour dans l’avenir si rien n’est fait pour sauver les abeilles. Cette technologie est déjà presque là :

Si vous lisez cet article, il y a de fortes chances qu’aucune de ces informations ne soit nouvelle pour vous. Si les abeilles ne retrouvent pas la santé pour la survie de l’espèce, vous pouvez dire au revoir à tous ces aliments (sauf si vous voulez consommer des produits pollinisées manuellement et génétiquement modifiés de Monsanto à cause de la disparition des abeilles) :

• Pommes
• Mangues
• Kiwis
• Prunes
• Pêches
• Nectarines
• Goyaves
• Fruits d’églantier
• Grenades
• Poires
• Les groseilles rouges et noires (cassis)
• Luzerne
• Gombos
• Fraises
• Oignons
• Les noix de cajou
• Cactus
• Les figues de barbarie
• Abricots
• Piments
• Avocats
• Fruits de la Passion
• Haricots de Lima
• Haricots
• Haricots « petits rouges » (haricots Adzuki)
• Haricots verts
• Les orchidées
• Pommes-cannelle
• Cerises
• Céleris
• Café
• Noyers (les noix)
• Coton
• Litchis
• Lin
• Acérola, utilisé dans les suppléments de vitamine C
• Noix de macadamia
• Huile de Tournesol
• Haricots Goa
• Citrons
• Sarrasin
• Figues
• Fenouil
• La lime (Citrus aurantifolia)
• Coing
• Carottes
• Kakis
• L’huile de palme
• La nèfle du Japon
• Durian
• Concombre
• Noisettes
• Cantaloup
• Coriandre
• Carvi
• Châtaigne
• Pastèque
• Pommes étoiles
• Noix de coco
• Mandarines
• Les mûres de Boysen
• Carambole
• Les noix du Brésil
• Betteraves
• Graines de moutarde
• Colza
• Brocoli
• Chou-fleur
• Chou
• Choux de Bruxelles
• Bok Choy (chou chinois)
• Navets
• Pois cajan, pois-congo ou ambrevade
• Le pois sabre ou haricot sabre
• Les piments, poivrons rouges, poivrons, piments verts
• Papaye
• Aubergines
• Sésame
• Aubergine
• Framboises
• Les baies de sureau
• Mûres
• Les trèfles
• Tamarin
• Cacao
• Dolique à œil noir (la cornille)
• Vanille
• Cranberries
• Tomates
• Raisin

DÉCOUVERTE D'UN ASTÉROÏDE POTENTIELLEMENT DANGEREUX !

© Photo: East News/Science Photo Library

Des chercheurs sibériens découvrent un nouvel astéroïde dangereux

Par La Voix de la Russie | Des chercheurs sibériens ont découvert un nouvel astéroïde présentant un danger pour la Terre. La découverte a été faite par le réseau de télescopes-robots MASTER créé par l'Université Lomonossov de Moscou de concert avec des Universités de Sibérie et l'observatoire de Poulkovo de Saint-Pétersbourg.

Si cet astéroïde percute la Terre la puissance de l'explosion sera 1 000 fois supérieure à celle du météorite de Tchéliabinsk, déclarent les spécialistes.

Le membre de l'équipe MASTER Denis Denissenko fut le premier à détecter сet "hôte indésirable". Après avoir consulté la liste des objets célestes suspects établie par le télescope-robot installé dans le Caucase, il a envoyé les coordonnées de l'astéroïde au Centre des petites planètes de l'Union astronomique internationale. Peu de temps après la découverte a été confirmée par un astronome britannique. Ensuite les spécialistes ont pris au moins une centaine de mesures du nouveau corps spatial baptisé 2014 UR 116. Il a été établi qu'il était potentiellement dangereux pour trois planètes : la Terre, Mars et Vénus. Pour l'heure il est impossible de prédire sa trajectoire car elle pourrait changer sous l'impact d'autres corps célestes.

Selon les chercheurs, la taille de l'astéroïde avoisine 370 ou 390 mètres et c'est grave s'il percute la Terre, a expliqué à La Voix de la Russie le directeur de l'observatoire astronomique de l'Université d'Irkoutsk Sergueï Yazev :

« Cet astéroïde passe de temps en temps à côté de la Terre, de Mars et de Vénus. Les observations menées au cours de deux premiers jours après sa découverte témoignent qu'il entre dans la catégorie d'astéroïdes présentant une menace à la Terre. Cela ne signigie pas qu'il la percutera obligatoirement. Il ne s'agit que d'une classification des astronomes : quand l'orbite franchit une certaine ligne critique par rapport à l'orbite de la Terre, l'objet est qualifié de potentiellement dangereux ».

Dans la classification des astronomes, cette distance critique constitue moins de 0,05 unité astronomique, soit environ 19,5 distances entre la Terre et la Lune. La taille de l'objet revêt également une importance : pour être dangereux, le corps doit mesurer plus de 100-150 mètres. Sa collision avec la Terre pourrait provoquer des destructions substantielles au sol ou un tsunami immense s'il tombe dans l'océan.

À l'heure actuelle environ 5 000 objets de ce genre ont été recensés. 2014 UR 116 est le troisième astéroïde dangereux découvert par le système de téléscopes MASTER. Les deux autres mesurent 250 et 125 mètres. Si les objets de cette taille entrent en collision avec la Terre, l'énergie d'explosion sera des milliers de fois supérieure à celle du météorite de Tchéliabinsk. Celui-ci a explosé au-dessus de la ville de Tchéliabinsk, dans l'Oural, en février 2013. Son plus grand fragment est tombé dans le lac Tchebarkoul. Plus tard il a été découvert par les plongeurs et renfloué. À Tchéliabinsk l'onde de choc a soufflé les vitres dans de nombreux bâtiments et plus de 1 500 habitants blessés ont eu besoin de soins médicaux.

Les spécialistes se proposent d'étudier plus en détail l'astéroïde découvert pas les astronomes russes. C'est seulement après avoir calculé son orbite qu'on pourra dire s'il représente une menace réelle. En tout état de cause, il est plus grand que le fameux astéroïde Apophis dont le diamètre est d'environ 270 mètres.

dimanche 9 novembre 2014

DES MILLIONS D'ABEILLES RETROUVÉES MORTES AU CANADA !!!


37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada, après la plantation d’un grand champ de maïs OGM !!!

Des millions d’abeilles sont tombées raides mortes, quelques semaines après la plantation d’un champ de maïs OGM en Ontario, Canada. L’apiculteur local, David Schuit qui produit du miel à Elmwood a perdu environ 37 millions d’abeilles qui représentent au total à peu près 600 ruches.

« Une fois qu’ils ont commencé à planter le maïs, elles sont mortes par millions », a déclaré Schuit. Bien que de nombreux apiculteurs accusent les néonicotinoïdes d’être la cause de l’effondrement des colonies d’abeilles et que de nombreux pays de l’UE ont interdit les néonicotinoïdes qui sont une classe d’insecticides qui agissent sur le système nerveux des insectes, le ministère américain de l’agriculture ne parvient pas à interdire les insecticides néonicotinoïdes, fabriqués par Bayer CropScience Inc.

Deux des insecticides de Bayer les plus vendus, l’Imidaclopride et la Clothianidine, sont connus pour entrer dans le pollen et le nectar, et peuvent endommager les insectes utiles comme les abeilles. La commercialisation de ces pesticides a également coïncidé avec l’effondrement des colonies à grande échelle dans de nombreux pays européens et aux États-Unis.

Nathan Carey, un autre paysan, dit que le printemps dernier il a remarqué qu’il n’y avait pas assez d’abeilles sur son exploitation agricole et il croit qu’il y a une forte corrélation entre la disparition des insectes et l’utilisation d’insecticides.


Dans le passé, de nombreux scientifiques ont eu du mal à déterminer la cause de ces effondrements massifs, un phénomène qu’ils appellent « syndrome d’effondrement ». Aux États-Unis, les abeilles sont en déclin terminal depuis 7 années consécutives.

Des scientifiques américains ont trouvé 121 pesticides différents dans des échantillons de ces insectes, de cire et de pollen, rendant crédible l’idée que les pesticides sont un problème majeur. «Nous croyons que certaines interactions subtiles entre la nutrition, l’exposition aux pesticides et autres facteurs de stress convergent pour tuer des colonies », a déclaré Jeffery Pettis, de l’ARS le laboratoire de recherche sur les abeilles.

L’effondrement de la population mondiale est une menace majeure pour les cultures. On estime qu’un tiers de tout ce que nous mangeons dépend de pollinisation des ces travailleuses, ce qui signifie que les abeilles contribuent à plus de 30 milliards à l’économie mondiale.

Une nouvelle étude publiée dans le Journal Proceedings of the National Academy of Sciences a révélé que les pesticides néonicotinoïdes tuent les abeilles en endommageant leur système immunitaire ce qui les rend incapables de lutter contre les maladies et les bactéries.

Après la signalisation des pertes importantes ces insectes à cause de l’exposition à l’imidaclopride, on a interdit son utilisation pour le maïs et le tournesol, malgré les protestations de Bayer. La France a également rejeté la demande de Bayer pour la clothianidine, et d’autres pays, comme l’Italie, ont également interdit certains néonicotinoïdes.

Après un nombre record de décès de ces insectes au Royaume-Unis, l’Union Européenne a interdit plusieurs pesticides, dont les pesticides néonicotinoïdes.

Disparition des pollinisateurs et mort de l'homme