mardi 31 août 2010

NOUVELLE MONNAIE MONDIALE

NOUVEL ORDRE MONDIAL via la CRISE et la RÉCESSION

Ce n'est pas seulement une rumeur... D’ici peu sera adopté une nouvelle devise monétaire « mondiale » :


nouvel ordre mondial via la crise et la recession
envoyé par samsamsong. - L'info video en direct.

samedi 28 août 2010

LA CLÉ SECRÈTE DU VATICAN












Saint-Pierre, le "prince des apôtres" fut jadis crucifié la tête en bas, à Rome le 13 octobre 64 sous le règne de Néron, dans un cirque romain qui se trouvait à l’emplacement exact du Vatican.

Son supplice eut lieu au pied de l’obélisque qui est aujourd’hui au centre de la place St-Pierre. Sa dépouille mortelle fut redécouverte en 1953.
C’est donc sur un haut lieu de sacrifices humains que fut érigé le Vatican, siège de la plus puissante organisation religieuse du monde.



Pour imager ce propos, qu’il nous soit permis d’ajouter que les fondations du Vatican reposent, au sens propre comme au sens figuré, sur l’acte sacrificiel de celui qui est présenté comme le premier pape de la chrétienté. Cette circonstance est assez troublante pour être signalée.

Rappelons que le sacrifice rituel a toujours été considéré par les sociétés ésotériques anciennes, comme étant le moyen le plus sur de s’attacher les faveurs des Dieux.

Pour bien comprendre la profondeur de ce qui est exposé ici, les lecteurs devront avoir connaissance de l'étendue du pouvoir effectif du Vatican, et de la position exacte qu’il occupe sur la pyramide tronquée, symbole de la réalité structurelle des hiérarchies sur et "au dessus"de la Terre.

Démonstration en a été faite de ce pouvoir, sans aucune ambiguïté, à l’occasion par exemple des funérailles du pape Jean-Paul II. Mais la question du pouvoir du Vatican n’est pas le sujet qui occupe aujourd’hui l’article de Thierry Van De Leur.


Les Clefs de Saint-Pierre…

Le blason du Vatican arbore des clefs croisées, l'une d'or, l’autre d’argent, avec des mécanismes en haut et tournés du coté de l'écu, surmontées de la tiare papale sur champ rouge. Les clefs symbolisent les pouvoirs spirituels et temporels des papes. La tiare papale est surmontée de trois couronnes.

Le Vatican recèle, on s’en doute, de nombreux mystères, le symbolisme y tient une place importante et contient des messages en rapport avec le passé et l’avenir de l’humanité. Messages qui ne demandent qu’à être déchiffrés.


LA SERRURE

En 1667, le Bernin dessina le plan de l’actuelle place St-Pierre, gigantesque ellipse de 240 m de large et 196 m de long dotée de 284 colonnes, 88 pilastres, et 140 statues de Saints, de 3 mètres…

























Vue du ciel, la place a manifestement la forme d’un trou de serrure. Qui de nos jours a remarqué ce détail tellement symbolique ?

La colonnade recèle un autre petit secret : il y a entre l’obélisque et chacune des fontaines un disque de porphyre rouge incrusté dans le pavement. Ces disques indiquent les foyers de l’ellipse que forme les colonnes, et à ces endroits, la colonnade semble n’ être constituée que d’une rangée de colonne, alors qu’il y en a quatre. Illusion voulue par le bernin.
Ainsi, si cette place St-Pierre est un "trou de serrure", alors la question est de savoir ou se trouve la clef ?

Les deux clefs…

En fait, il existe deux clefs, comme dans les armoiries du Vatican ! La clef "spirituelle", en or se trouve en permanence au bon endroit, dans l’axe de la serrure : elle est symbolisée par l’ obélisque égyptien qui se trouve au centre de la place, ce monolithe de granite rouge haut de 25.36 mètres pèse plus de 300 tonnes.

Initialement taillé au 1er siècle avant Jésus Christ à Héliopolis, pour le préfet romain en Égypte Caïus Cornelius Gallus, il sera transporté d'Héliopolis à Rome en 37 sur l’ordre de Caligula qui le fera dresser au centre du cirque de Néron au pied de la colline du Vatican.

Cet obélisque ne porte aucune inscription hiéroglyphique. Caligula le dédia "au divin César Auguste".
En 1586, le pape Sixte Quint (pape de 1585 à 1590) fit déplacer l’obélisque devant la basilique St-Pierre.
L’entreprise qui dura une année entière nécessita plus de 900 hommes et 150 chevaux.

Anecdote : un silence complet avait été exigé durant l’érection de l’obélisque, sous peine de mort.
Le globe de César qui se trouvait sur la pointe de l’obélisque fut remplacé par une croix, reliquaire contenant "parait-il" un morceau de la Sainte Croix.

Cet obélisque égyptien, comme tout les autres, symbolise un rayon de soleil pétrifié !
En général, ces colonnes possédaient toutes un pyramidion en or massif.
Cet obélisque est également un gnomon qui projette son ombre sur un cadran à 8 sections.

Par son déplacement dans le trou de serrure virtuel crée par le Bernin, cette ombre symbolise les tours de clefs d’ouverture et de fermeture du Soleil…

L’obélisque de la place Saint-Pierre est à 2.5 km de la colonne de Trajan sur laquelle trône depuis le XVIe siècle, une statue de Saint-Pierre.
En rejoignant ces deux colonnes, la ligne atteint l’endroit exact d’ou la Pape s’adresse aux chrétiens, sur le coté droit de la place St Pierre.
Ce point est également indiqué par la ligne qui rejoint la pyramide de Rome et cet obélisque. Reste donc à savoir ou se trouve la seconde clef…
Symbole du pouvoir temporel, cette clef est la plus imposante, et aussi la plus ancrée dans la terre, contrairement à la clef obélisque qui se dresse vers les cieux.
La seconde clef, est en fait la Basilique St-Pierre elle même…

En effet vu du ciel, on reconnaît nettement la section d’une clef spéciale… en forme de croix latine.
D’un point de vue structurel, la Basilique s'inscrit parfaitement dans la place "trou de serrure" du Bernin. Tellement parfaitement qu’on peut même affirmer que l’axe de cette clef est matérialisé par la tombe de Saint-Pierre sous le dôme de la Basilique.

Si l’on superpose les plans de la "place serrure" et ceux de la "Basilique clef", la tombe et l’obélisque ne font plus qu’un.
Pour pouvoir "introduire" la Basilique actuelle ou même l’ancienne, dans la "place serrure", il est obligatoire de faire coïncider la tombe et l’obélisque.

Ci dessus à gauche, le Vatican vu par satellite.

La place Saint-Pierre apparaît comme une "serrure".
L'obélisque est la clef bien placée.

À droite, petit montage, la "clef Basilique St Pierre" est entrée dans la serrure...
Il faut imaginer le manche de la clef, avec l'anneau, enfoncé verticalement sous la terre.
Si l'on en croit le symbole, ce serait donc dans les entrailles de Rome que devrait se trouver le secret du pouvoir temporel...

Toujours par le jeu de la superposition, les deux fontaines, de part et d’autres de l’obélisque, correspondent aux branches droites et gauches de la croix latine qui servit de modèle à cette Basilique.
Elles symbolisent probablement les clous dans les mains et le sang du Christ qui s’en échappe…
À 14 mètres de hauteur, les jets de ces fontaines évacuent pour plus de 2.3 millions de litres d’eau à l’heure.

La Basilique actuelle (l’église la plus grande du monde), inaugurée en 1626, a succédé à une autre construite au IV e siècle par l’empereur Constantin.
Elle est bâtie sur l’emplacement exact et dans le même axe.
Déjà, à l’époque, la Basilique de Constantin, était elle même construite sur les ruines du cirque de Néron. Le point exact ou se trouve à présent l’obélisque indiquait l’endroit ou mourut Saint-Pierre, sur le coté droit du cirque.


LE GRAND SECRET DU VATICAN

Concrètement, les deux clefs et la serrure ont été mis en place entre 1586 et 1626. Ils ouvrent le grand secret du Vatican !

C’est la clef d’or spirituelle (obélisque) qui est révélatrice du grand secret du Vatican.
En effet, l’obélisque de la place Saint-Pierre semble détenir le grand secret temporel de l’église. Pour s’en convaincre, il faut se référer à la prophétie des papes, publiée pour la 1ere fois en 1595 par le bénédictin Arnold de Wion.

L’œuvre est attribuée à Saint Malachie d’Armagh, évêque d’Irlande né en 1094 et mort en 1148 à Clairvaux.
Cependant certains chercheurs pensent au contraire que l’ouvrage fut écrit quelques siècles plus tard, par un autre rédacteur illustre, grand ami des papes, lequel aurait rédigé les prophéties quelques mois seulement avant leur première publication.

Quoi qu’il en soit, la prophétie des papes désigne 111 papes sur une période débutant à partir du pontificat de Célestin II (1113-14).
À chacun des ces papes, la prophétie attribue une devise censée le caractériser…
Force est de constater que de nombreuses devises se sont révélées spectaculairement exactes !

À ce jour le Vatican n’a jamais condamné cette prophétie, de plus nombreux sont les souverains pontifes qui firent frapper des médailles à leur effigie avec la devise que leur avait attribuée Malachie.

Cerise sur le gâteau : à Rome, dans l’église Saint-Paul hors les murs, les successeurs de Saint-Pierre figurent dans des médaillons en céramique, il ne reste plus que deux places vacantes correspondant aux deux derniers papes !

Dernièrement, début 2005, un des médaillons vierges, s’est descellé à plusieurs reprises, à la stupéfaction des ouvriers chargés de le re-fixer !

Quel rapport avec l’obélisque du Vatican… ?

Dans un geste symbolique, sûrement dicté par un mystérieux cahier des charges clérical , ce monument fut érigé le 10 septembre 1586 dans l’axe de la basilique et de la tombe de Saint-Pierre, pendant le pontificat de Sixte Quint (1585 - 1590).
La notion d’axe a une importance majeure dans toute cette histoire !
Sur cet axe, par exemple, au début de la nef, est inséré dans le pavement le large disque de porphyre rouge sur lequel Charlemagne s’agenouilla la nuit de noël de l’an 800 quand le pape Léon III le couronna empereur d’Occident.
D’autres souverains suivirent cette étrange pratique…

C’est donc le pape Sixte Quint qui fit poser cet axe symbolique au milieu de la place Saint-Pierre pour marquer une période bien précise en rapport avec la prophétie de Saint-Malachie : Son pontificat… charnière !

En effet, dans sa prophétie, Malachie, a attribué au 73e pape de sa liste, le pape Sixte Quint, la devise la plus compréhensive de toutes : "Axis in médiatatae signi", qui signifie "Axe à la moitié du signe" ou plus probablement "Axe au milieu du présage".

Cette devise a mis la puce à l’oreille d’un interprète génial, Raoul Auclair qui commença alors à analyser mathématiquement ces prophéties : il arriva à la conclusion que la moitié du pontificat de Sixte Quint (entre 1587 - 1588) correspondait à la moitié de la prophétie dont la durée totale serait donc de 888 années.
La moitié (444 années) fut l’occasion d’un geste symbolique : la pose, à partir de 1586, d’une série de 4 obélisques dont le 1er et le plus symbolique au milieu de la place Saint-Pierre.
Le second fut érigé en 1587, il s’agit de l’obélisque de la place de l’Esquilin (piazza de l’Esquilino), devant le chevet de la basilique Sainte-Marie-Maajeure.

En 1588, se fut l’obélisque de la place Saint-Jean de Latran provenant de Karnak, dédié aux pharaons Touthmôsis III et IV.
En 1589, enfin ce fut le tour de l’obélisque de la piazza del Popolo, provenant d’Héliopolis et dédié à Séthi 1er et Ramsès II.

Ces monuments sont placés de telle sorte que chacune des lignes qui les rejoignent à l’obélisque de Saint-Pierre passe par la grande entrée de la colonnade du Bernin (la serrure).
Autrement formulé, on peut penser que si l’obélisque est l’axe de la clef, les quatre monuments réunis représente la clef entière qui pénètre dans la serrure.

Mais revenons à la prophétie…

Si nous prenons comme référence l’érection de l’obélisque sur la place Saint-Pierre comme point de repère de la moitié de la prophétie, alors la seconde période de 444 ans amènera la fin de la prophétie de Saint-Malachie aux alentours de 2031.

Cela laisse une période de 25 ans durant laquelle doivent se succéder les deux derniers chefs de l’église prédit par la prophétie : le pape nouvellement élu, et son successeur, un mystérieux "Pierre le Romain".

Une telle cohérence entre le nombre de pape et la durée de la période ne peut que troubler le lecteur. Cela d’autant plus que l’année 2031 se trouve être très proche de l’anniversaire du bimillénaire de la mort du Christ.

Or, une tradition rapportée par St-Justin, St-Irénée, St-Anastase, St-Hilaire, St-Jérome, et St-Augustin, les pères de l’église, assigne justement à l’église une longévité de 2000 ans à la suite de quoi viendra "une fin des temps", ou "fin de notre monde", une date butoir qui laissera place à un changement radical.

Peut-on imaginer l’existence d’un "mandat occulte" de l’église, comme un pacte d’une durée limitée à 2000 ans, et dont les papes seuls, une fois élus, découvriraient le secret ?

Peut-on imaginer dans ce cas, qu’un pape ait voulu rendre public une trame codée de ce contrat, et qu’il ait passé "commande" de la prophétie des papes à un rédacteur de confiance, quelque soit son nom.
Ainsi la prophétie des papes ne serait pas une prophétie à proprement parler, mais plutôt la transcription cryptée des clauses d’un contrat fantastique que l’église aurait passé avec celui dont elle aurait reçu les clefs du pouvoir…
Dans cette perspective, le Vatican serait non pas soumis aux fils d’un mystérieux destin inéluctable, mais en réalité, il serait tenu de respecter, de suivre à la lettre, et de se conformer à des clauses contractuelles…
Ceci expliquerait alors la précision inouïe de la prophétie des papes…

Cette interprétation a certes de quoi donner le vertige, mais ne dit-on pas que les papes une fois élus, doivent s’isoler un moment dans une petite salle secrète de la bibliothèque du Vatican ?
Une salle souterraine qui ne contiendrait qu’un seul livre et dont ils seraient les seuls à détenir la clef ?
Ne dit-on pas que certains d’entre eux sont ressortis de cette salle en proie à une très vive émotion ?
C’est en tout cas ce que raconte la rumeur, alimentée par le secret absolue qui règne autour de l’élection de chaque nouveau pape.

Quoi qu’il en soit, le rédacteur de la prophétie n’a pas pu inventer cette période de deux millénaires !
En effet pendant les 444 premières années de sa prophétie, 72 souverains pontifes se sont succédés ; pendant la même durée de 444 ans qui a suivi, la prophétie n’en a prévu que 40 !
Comment l’auteur savait-il que trois ou quatre siècles plus tard, la durée de vie allait s’accroître progressivement, entraînant une durée de règne pontifical presque doublée ?

Cette précision visionnaire est peut-être le plus grand mystère des prophéties de Malachie.
En tous cas, s’il ne devait en rester qu’un, ce serait sans doute celui-là…



LA PROPHÉTIE DE ST-MALACHIE ET L’AVENIR DE L'ÉGLISE
Que dit la prophétie sur la période à venir ?

Le texte a assigné au nouveau pape, Benoit XVI, 111e pape de la prophétie, la devise suivante : "De gloria olivae"... de la gloire de l’olivier.

Quel est le lien entre ce pape d’origine allemande et l’olivier?
À n’en pas douter, l’avenir nous le dira, car c’est sous ce signe que Joseph Ratzinger devra honorer sa part du contrat.

Puis, sans numéro, arrive enfin "Pierre le Romain" dont on sait ceci : "Pendant la dernière persécution de la sainte église romaine, siégera Pierre le Romain qui paîtra ses brebis au milieu de grandes tribulations, passées lesquelles la ville aux sept collines sera détruite et le juge terrible jugera son peuple"…

Aucune mention de date…

Ainsi, d’après les prophéties, l’Église se terminera avec un pape qu'on associera à "Pierre le Romain"... La boucle sera alors enfin bouclée. Pierre qui avait été chargé de fonder l’Église, aura également la tâche de la délier.

fin

Jean Paul II lui même n’était pas à l’abri des critiques, voici quelques exemples de photos qui ont franchement défrayé la chronique en leur temps.



Jean Paul II en visite sur le site du sermon de la montagne, le trône pontifical arbore une croix renversée ! Sans aucun doute possible, c’était la un choix volontaire…

















Cela arriva plus souvent qu’on l’imagine d’ailleurs…

Voyage de Jean Paul II en Pologne, on y voit le Christ crucifié face contre la croix !





















Cette photo représente le summum du blasphème pour les croyants, et ce fut la première et dernière fois que l’on vit le pape avec cette croix pontificale !?

Que penser également de cette "Étoile Noire"; étrange œuvre trônant en plein cœur du Vatican !








LE PAPE SIXTE-QUINT : Un Pape hors norme…

Le pape Sixte-Quint qui désigne la moitié de la prophétie des papes ne pouvait pas être un pape ordinaire. L’histoire raconte ceci à son sujet : Véritable force de la nature, pour être élu, il monta toute une comédie.

Il fit semblant d’être aveugle et complètement infirme. Tenant la tête continuellement penchée comme un vieillard, il ne marchait qu’en s’appuyant lourdement sur un bâton, n’ayant plus la force de se soutenir et manquant de s’écrouler à chaque pas.

Il parlait d’une voix imperceptible. Pris d’épouvantable quintes de toux ; il donnait véritablement l’impression d’être sur le point de mourir. Cette comédie dura 13 années et tout le monde avait peu à peu fini par y croire.

Lorsque le conclave eut lieu, les cardinaux, ne parvenant pas à se mettre d’accord sur un candidat, décidèrent de gagner du temps en portant leur voix sur un homme qui semblait ne plus avoir qu’un souffle de vie et ne paraissait guère dangereux.

Lorsqu’ils eurent tous votés et qu’on annonça la nouvelle au futur Sixte-Quint , celui ci se redressa brusquement, jeta ses béquilles et entonna un Te Deum d’une voix de stentor qui terrifia tous les cardinaux.

Le règne du pape le plus étonnant de l’histoire commençait par un drôle de "miracle". Il mourut le 27 août 1590…
La prophétie des papes, une précision fantastique ?

Comme semble le prouver les exemples qui suivent, certaines devises utilisées par Malachie pour dépeindre en deux mots les pontificats des 111 papes de sa liste ne peuvent pas être une coïncidence !

Le premier pape répertorié, Célestin II qui est défini par les mots "Ex Castro Tiberi" c’est-à-dire "Du Château de Tibre", venait effectivement de la petite ville de Citta Di Castello (Château), placée sur le bord du Tibre.

Pie VII : "Aigle ravisseur", fut dépouillé de ses états par Napoléon (l’Aigle Impérial).

Grégoire VII : "de Balnès en Etrurie" était religieux camaldule dont la maison mère se trouvait à Balnès.

Pie IX : "Croix venant de la Croix", fut chassé de ses états par la maison de Savoie dont les armes portent la croix de Savoie.

Léon XIII : "La lumière dans le ciel" ses armoiries portaient une comète !

Benoit XV : "La religion décimée", régna pendant la 1er guerre mondiale.

Paul VI : "La fleur des fleurs" né à Florence dont les armoiries portent un Lys rouge…

Jean Paul 1er : "De la moitié de la Lune", meurt le 28 septembre au milieu du mois lunaire, après 33 jours de règne !

Jean Paul II : "De Dolore Solis" (du travail du Soleil). Naquit un jour d’éclipse solaire, le 18 mai 1920. Il est à l’origine de la première réunion internationale inter-religieuse, réunissant plus de 194 chefs de religions.

Il parcourut plus de 129 pays pendant son pontificat, plus de cinq cents millions de personnes ayant pu le voir durant cette période. Il béatifia 1 340 personnes et canonisa 483 saints, soit plus que pendant les cinq siècles précédents…

La foule innombrable des fidèles lui rendant un vibrant hommage lors de sa mort, réclama la béatification immédiate, afin que son nom demeure marqué en toute lettre dans l’histoire.

Qu’en sera-t-il de Benoît XVI lequel se voit attribué la devise "De gloria olivae", c'est à dire : "de la gloire de l’olivier"… ?










Source : Top Secret : http://www.topsecret.fr/FR/article.php

vendredi 27 août 2010

LE 2ème RAPPORT DU CLUB DE ROME



















L’humanité à un moment décisif – L’interdépendance est totalitaire

L’interdépendance est totalitaire

“Le monde a un cancer et le cancer est l’homme” – A. Gregg tel que cité dans "Mankind at the Turning Point" (1974)

En 1974, le livre "Mankind at the Turning Point" : The Second Report to The Club of Rome [1] (L’humanité à un moment décisif : Le deuxième rapport du Club de Rome) a été publié. Ce rapport indique la nécessité de créer une société "organique" ou véritablement interdépendante comme étant la seule façon de sauver le monde de la problématique mondiale presque sans issue.





Selon le Club de Rome, la problématique mondiale est l’ensemble des problèmes mondiaux interconnectés, tels que, la surpopulation, la pénurie alimentaire, l’épuisement des ressources non renouvelables, dégradation de l’environnement, etc. Avec l’utilisation exponentielle de modèles informatiques absurdes, le déroulement complet de la société et peut-être de la biosphère a été prédit. Sans surprise, la seule solution capable d’éviter la catastrophe mondiale est le développement d’une société organique. Comme il sera démontré, une société mondiale organique est seulement un euphémisme pour un gouvernement mondial totalitaire.

Le Club de Rome est un groupe de réflexion composé d’environ 100 membres, dont des scientifiques, des philosophes, des conseillers politiques et de nombreux autres personnages qui se cachent dans l’ombre du pouvoir.

La croissance organique
Tiré de Mankind at the Turning Point :

« Dans la nature, la croissance organique procède selon un plan directeur », "un plan". Selon ce plan directeur, la diversification les cellules est déterminée par les exigences des divers organes, la taille et la forme des organes et, par conséquent, leurs processus de croissance sont déterminés par leur fonction, qui dépend à son tour sur les besoins de l’organisme entier.

Un tel plan "maître" est manquant dans le processus de croissance et de développement du système mondial. »
- 7

« Le concept de la croissance "organique" de l’humanité, comme nous l’avons proposé dans ce rapport, se veut une contribution à la réalisation de cet objectif. Si l’humanité s’engageait sur la voie de la croissance organique, le monde émergerait comme un système de pièces interdépendantes et harmonieuses, apportant chacun sa propre contribution unique, que ce soit en économie, les ressources ou la culture.
… Une telle approche doit partir et préserver la diversité régionale du monde. Des voies de développement, spécifiques à une région donnée plutôt que basées sur des intérêts nationaux étroits, doivent être conçues pour aboutir à un équilibre durable entre les régions interdépendantes du monde et l’harmonie mondiale – qui sera pour la croissance de l’humanité comme une entité "organique" à partir de son état présent qui est à peine embryonnaire. »


« Apparemment, le système mondial émergeant exige une vue "holistique" à avoir en considérant le développement du monde futur : tout semble dépendre de tout le reste. » – 21


L’interdépendance est la fin de l’indépendance

Bien que rarement soulevé et souvent dénié, le concept de l’interdépendance des nations implique la fin de l’indépendance nationale ou de la souveraineté.

« Et la coopération, enfin, exige que le peuple de toutes les nations envisage un aveu qui risque d’être difficile. Par définition, la coopération a une connotation d’interdépendance. L’interdépendance croissante entre les nations et les régions doivent alors se traduire par une diminution de l’indépendance. Les nations ne peuvent pas être interdépendantes sans que chacune d’entre elles renonce à une partie, ou du moins à reconnaître des limites à sa propre indépendance. » - 111

« … La déclaration reconnue, même involontairement, à l’aube d’une ère de limites à l’indépendance – même pour le plus fort et plus grand pays du monde. » – 114


L’interdépendance est totalitaire

Bertrand Russell, un fervent partisan d’un gouvernement mondial et élitiste d’une couture à l’autre, écrivit dans son livre de 1952 « L’impact des sciences sur la société » [2] que le résultat inévitable d’une société fondée sur une philosophie organique ne peut résulter que dans le totalitarisme.

Citation de L’impact des sciences sur la société :

« L’effet le plus évident et incontournable de la technique scientifique est qu’elle rend la société plus organique, dans le sens de plus en plus d’interdépendance de ses diverses parties … » – 42

« Le totalitarisme a une théorie et une pratique. En pratique, cela signifie qu’un certain groupe, après avoir saisi l’appareil de pouvoir par un moyen ou un autre, en particulier le domaine des armements et de la police, procéde à exploiter leur position avantageuse à l’extrême, gère tout dans le but de leur donnre le maximum de contrôle sur les autres. Mais en tant que théorie, il est quelque chose de différent : c’est la doctrine selon laquelle l’État ou la nation ou la communauté est capable d’une chose différente que celle d’un individu et qui n’est pas constitué de tout ce que les personnes pensent ou ressentent.

Cette doctrine a été particulièrement défendue par Hegel, qui glorifie l’État, et pense que la communauté doit être aussi organique que possible. Dans une communauté organique, pensait-il, l’excellence devrait résider dans l’ensemble. Un individu est un organisme, et nous ne pensons pas que ses parties distinctes ont des objets distincts : s’il a une douleur au gros orteil, il est celui qui souffre, non pas spécialement le gros orteil. Ainsi, dans une société organique, le bien et le mal appartiennent à l’ensemble plutôt qu’aux parties. Il s’agit de la forme théorique du totalitarisme.

… Concrètement, quand on prétend que l’État possède un bien différent de celle des citoyens, la véritable signification est que le bien du gouvernement ou de la classe dirigeante est plus important que celui des autres personnes. Une telle vision ne peut avoir de fondement, sauf dans le pouvoir arbitraire.

Plus important que ces spéculations métaphysiques est la question de savoir si une dictature scientifique, comme nous venons de considérer, peut être stable, ou est plus susceptible d’être stable qu’une démocratie …

… Je ne crois pas que la dictature est une forme durable de société scientifique – à moins que (mais cette réserve est importante), elle peut devenir mondiale. »[
Caractère gras de l’auteur] – 64

Une société organique à l’échelle de la planète entière est exactement ce que le Club de Rome propose.




















Vendre le totalitarisme

Il est intéressant de noter les mots plaisants et apaisants utilisés pour vendre le concept de totalitarisme : "biologique", "holistique", "différencié","harmonieux", "interdépendant", "équilibré" et "durable".
Le même "développement durable" est à la mode ces jours-ci. Le développement durable a été codifié dans le droit international au cours de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (connue sous le nom Sommet de la Terre) en 1992.
Le Secrétaire général et principal organisateur de la conférence était Maurice Strong. Selon son propre livre, Où, sur Terre allons-nous ? [3], il est un membre du "Comité exécutif du Club de Rome".

Création d’un homme nouveau et interdépendance matérielle totale

Comment pouvez-vous faire la transition vers une société organique ? La partie 2 de cette série examinera les désirs du Club de Rome pour changer le système de valeurs de l’homme moderne.

« Une analyse des problèmes et des crises comme indiqué dans les chapitres suivants montre que la restructuration(1)« horizontale » du système mondial est nécessaire, c’est à dire un changement dans les relations entre les nations et les régions, et (2) autant que la structure "verticale" du système du monde est concerné, des changements drastiques dans la strate des normes – qui sont le système de valeurs et les buts de l’homme – sont nécessaires afin de résoudre l’énergie, la nourriture et d’autres crises, à savoir, les changements sociaux et les changements des attitudes individuelles sont nécessaires pour que la transition à la croissance organique soit possible. »

La dernière partie de cette série traitera de la nécessité d’un contrôle total de toutes les ressources par une autorité mondiale.

« Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour la croissance organique durable et le développement du monde fondé sur la répartition globale de l’ensemble des ressources limitées et d’un nouveau système économique mondial. Dans dix ou vingt ans, il sera probablement trop tard … » [Caractère gras de l’auteur] – 69

[1] Citations de Mihajlo Mesarovic et Eduard Pestel, Mankind at the Turning Point : The Second Report to The Club of Rome (1974). ISBN 0-525-03945-7

[2] Citations de Bertrand Russell, The Impact of Science on Society (1952). ISBN 0-415-10906-X

[3] Citations de Maurice Strong, Where on Earth Are We Going ? (2000). ISBN 0-676-97364-7

* Texte basé sur le matériel original de Brent Jessop : « Interdependence is Totalitarian »


QUI SONT LE CLUB DE ROME ?













Le Club de Rome est un groupe de réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu’en développement.

Pilotée à sa création par Aurelio Peccei, un Italien membre du conseil d’administration de Fiat, et Alexander King, un scientifique et fonctionnaire écossais, ancien directeur scientifique de l’Organisation de coopération et de développement économiques, il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l’Accademia dei Lincei le 8 avril 1968.

Les notions de développement durable et d’empreinte écologique font du Club de Rome un précurseur. Si, au XXIe siècle, la majorité s’accorde à prendre en compte les problématiques environnementales, d’autres n’acceptent pas ces analyses qui impliquent beaucoup de remises en question. Ils s’en prennent parfois au Club de Rome, à l’origine de ce qu’ils pensent être du catastrophisme.
Son comité exécutif est constitué de treize membres.
Le Club de Rome se fit connaitre mondialement en 1972 par son premier rapport, The Limits to Growth, traduit en français par l’interrogation Halte à la croissance ?. Son interpellation intervint à l’apogée de la période dite des Trente Glorieuses, une période de croissance sans précédent dans les pays qui se qualifiaient eux-mêmes de développés et qui laissait penser que cette croissance était sans limite imaginable. Le concept de croissance zéro fut à l’origine de la naissance de l’écologie politique.
En 1993, Aurelio Peccei et Ervin Laszlo ont l’idée de créer le Club de Budapest. Le Club de Rome étant constitué de personnalités de très haut niveau des domaines scientifiques, politiques et des affaires, le but était d’instituer un club annexe pour équilibrer la pensée rationnelle dans ce domaine avec l’aspect intuitif qu’apporte la créativité dans les arts, dans la littérature, et dans la spiritualité, en impliquant quelques uns des esprits les plus connus et les plus créatifs de notre temps.[1














Le rapport "The limits to growth" - Halte à la croissance ?
Article détaillé : Halte à la croissance ?.

Ce rapport, commandé en 1970 et publié en 1972 par le Club de Rome, fut aussi appelé Rapport Meadows.
Dans ce rapport, quatre ans après la contestation de la société de consommation de 1968 dans les pays d’économie libérale, pour la première fois, les vertus de la croissance sont remises en cause par des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology au nom d’une prise de conscience d’une pénurie prévisible des sources énergétiques et des conséquences du développement industriel sur l’environnement.
Les conclusions du rapport annoncent un futur inquiétant pour l’humanité. Beaucoup lui ont reproché à l’époque une certaine exagération dans ses prévisions : le rapport ne prévoit aucun épuisement de ressources ou d’événement catastrophique avant 2010 au moins, même dans le scénario le plus défavorable (et ce ne sont alors que les prémices de l’effondrement).

Il fut suivi en 1974 d’un deuxième rapport au Club de Rome : « Stratégie pour demain »[2], dont l’approche fut diversifiée et localisée selon dix grandes régions du monde ayant chacune une situation et des problématiques de développement différentes.

Créer une conscience mondiale unique
L’humanité à un moment décisif – 2e partie

« Les crises modernes sont, en fait, un produit de l’homme, et diffèrent beaucoup de celles du passé en ce sens qu’elles peuvent être réglées. » [Souligné dans l’original] – Mankind at the Turning Point, 1974 (p15)

L’humanité à un moment décisif : Le deuxième rapport du Club de Rome (1974) [1] (Titre original : Mankind at the Turning Point : The Second Report to The Club of Rome) fait état de leur désir de créer un système mondial organique unifié (ou interdépendant).

Ce système est par définition totalitaire, comme cela a été discuté dans la première partie de cette série. Maintenant que nous savons où nous nous dirigeons, la prochaine question est quelle forme la transition prendra t-elle ?

Le Club de Rome est un groupe de réflexion de premier plan composé d’environ 100 membres, dont des scientifiques, des philosophes, des conseillers politiques et de nombreux autres personnages qui se cachent dans l’ombre du pouvoir.
Machines du destin et la fin de l’humanité...

Le point central du document Mankind at the Turning Point est un modèle informatique qui est supposé reproduire les principales caractéristiques de la problématique mondiale. Selon le Club de Rome, la problématique mondiale est l’ensemble de l’emboîtement des problèmes mondiaux, tels que, la surpopulation, la pénurie alimentaire, l’épuisement des ressources non renouvelables, la dégradation de l’environnement, etc...
Sans surprise, leur modèle égoïste, fondé sur des données exponentielles, prédit l’effondrement complet de la société et peut-être de la biosphère. Naturellement, le fait de mettre en œuvre le Club de Rome de la solution d’un gouvernement mondial totalitaire se traduira par la fin possible de l’humanité.

Tiré de Mankind at the Turning Point :

« C’est pourquoi nous nous sommes concentrés sur les efforts, dans ce rapport, sur un certain nombre de questions vitales dans le monde entier dont nous considérons la maîtrise comme étant essentielle pour la survie de l’homme et pour une éventuelle transition vers le développement durable, matériel et spirituel de l’humanité. » [Souligné par l’auteur] – 70

La transition – Création d’une nouvelle humanité

La transition vers ce gouvernement mondial totalitaire sera effectué en changeant les systèmes de valeurs de toute la planète, créant ainsi une conscience mondiale unique.
"Aujourd’hui, il semble que les valeurs fondamentales, qui sont enracinées dans les sociétés humaines de toutes les idéologies et les convictions religieuses, sont ultimement responsables de beaucoup de nos problèmes. Mais si nous voulons éviter les crises futures, alors comment ces valeurs doivent-elles être réajustés ?" [Souligné par l’auteur] – 11

"Une analyse des problèmes et des crises comme indiquée dans les chapitres subséquents montrent (1) qu’une restructuration « horizontale » du système mondial est nécessaire, c’est-à-dire un changement dans les relations entre les nations et les régions et(2) autant que cela la concerne, dans la structure « verticale » du système monde, des changements drastiques dans la strate des normes – donc, dans le système de valeurs et des buts de l’homme – sont nécessaires afin de résoudre les crises de l’énergie, de la nourriture et autres crises, à savoir, les changements sociaux et les changements des attitudes individuelles qui sont nécessaires pour que la transition à la croissance organique prenne place. » [Souligné par l’auteur] – 54
« Les changements dans les attitudes individuelles et sociales que nous recommandons requiert un nouveau type d’éducation …"
– 148

"Le développement d’un cadre international pratique dans lequel la coopération indispensable pour l’émergence d’une nouvelle humanité sur une trajectoire de croissance organique deviendra une nécessité plutôt que d’être laissé à la bonne volonté et de préférence …" [Souligné par l’auteur] – 145

"La transition entre la présente croissance mondiale indifférencié et déséquilibrée et la croissance organique conduira à la création d’une nouvelle humanité [Souligné par l’auteur]. Une telle transition représente une aube, et non pas un châtiment, un début et non la fin. Est-ce que l’humanité aura la sagesse et la volonté pour faire évoluer une stratégie efficace pour réaliser cette transition ? Compte tenu des précédents historiques, on peut légitimement avoir de sérieux doutes – à moins que la transition évolue de par nécessité. Et c’est là que les crises actuelles et futures de l’énergie, la nourriture, des matériaux et le reste, peuvent devenir des détecteurs d’erreurs, des catalyseurs du changement et comme tel, des bénédictions déguisées. Les solutions de ces crises détermineront sur laquelle, parmi les deux voies, l’humanité a choisi de voyager." [souligné dans l’original] – 9

La transition – une conscience mondiale unique

"En ce qui concerne les valeurs individuelles et les attitudes, les leçons suivantes semblent être particulièrement importantes pour la nouvelle éthique mondiale qui est implicite dans les exigences précédentes :

1) Une conscience mondiale doit être mis au point par laquelle chaque individu comprend son rôle en tant que membre de la communauté mondiale… Il doit devenir partie intégrante de la conscience de chaque individu que « l’unité de base de la coopération humaine et donc, de sa survie, est de migrer du niveau national à l’échelle globale. «

2) Une nouvelle éthique dans l’utilisation des ressources matérielles doivent être développés qui se traduira par un style de vie compatible avec l’âge approchant de la rareté … On doit être fiers d’épargne et de conserver plutôt que de dépenser et jeter.

3) Une attitude basée sur l’harmonie plutôt que la conquête envers la nature doit être développée. Ce n’est qu’ainsi que l’homme peut mettre en pratique ce qui est déjà admis en théorie – que l’homme est partie intégrante de la nature.

4) Si l’espèce humaine veut survivre, l’homme doit développer un sentiment d’identification avec les générations futures et être prêt à échanger des bénéfices aux générations futures avec des bénéfices pour lui-même. Si chaque génération vise à maximiser les retombées positives pour elle-même, l’Homo Sapiens est condamné d’avance."
[Souligné par l’auteur] – 147

"Afin de parvenir à un équilibre entre les régions en développement mondial, une vision régionale plus cohérente doit être développé dans différentes parties du monde afin que les « solutions préférables » arrivent de par nécessité plutôt que de bonne volonté… nous parlons d’un sentiment régional d’un destin commun qui trouvera son expression à travers des objectifs et concepts sociétaux et économiques appropriés… Une telle perspective régionale permettra de créer une « masse critique » nécessaire à la mise en œuvre pratique des façons nouvelles et novatrices de fonctionnement dans les domaines culturel, économique et agricole, surtout au niveau rural." [Souligné par l’auteur] – 154

La transition – Réchauffement de la planète et l’humanité nouvelle

Cette méthode de prédiction du destin basée sur de complexes modèles informatiques supposément générés de manière "experte", mais pourtant invérifiables, a ensuite été menée en plein essor par les propagandistes du réchauffement climatique. Tous deux avaient exactement la même intention, faire peur aux gens en leur faisant croire que le monde était sur le point de s’effondrer et que la seule solution est un gouvernement mondial. En réalité, le mythe du réchauffement climatique est une extension du club des activités de Rome.

Tiré de Mankind at the Turning Point :

"Les gouvernements et les organisations internationales sont actuellement trop préoccupés par des alliances militaires et la politique des blocs. Mais ce problème devient d’une importance secondaire … Par conséquent, sauf le suicide, l’humanité sera confrontée à l’épreuve la plus impressionnante de son histoire : la nécessité d’un changement dans la relation homme-nature et l’émergence d’une nouvelle perception de l’humanité comme un système vivant global." [Souligné par l’auteur] – 146

"Précisément parce que les symptômes de ces crises mondiales pourraient devenir pleinement visibles que vers la fin du siècle, le temps est venu d’agir ; lorsque les symptômes apparaitront clairement, le remède ne sera plus possible, comme cela a été démontré à maintes reprises dans le présent rapport. Dans l’avenir, l’histoire ne sera pas axée sur les personnalités et les classes sociales, comme cela a été caractéristique de l’histoire dans le passé, mais sur l’utilisation des ressources et la survie de l’espèce humaine. Le temps d’avoir un effet sur histoire est maintenant."[Souligné par l’auteur] – 146

On ne peut assez souligner l’importance de la citation ci-dessus. La crainte qui a été utilisée pour unifier nos sociétés nationales est passée de la personnalité des types comme Hitler/Saddam Hussein et les communistes/luttes de classes capitalistes à l’unité globale basée sur l’épuisement des ressources et la survie de l’espèce humaine.

En outre, en 1991, dans un livre intitulé La Première Révolution Globale : Un rapport par le Conseil du Club de Rome ("The First Global Revolution : A Report by the Council of The Club of Rome")[2] et co-écrit par l’un des fondateurs du Club de Rome, Alexander King, ils ont admis choisir le réchauffement climatique et d’autres menaces dans le but d’unifier l’humanité sous un gouvernement mondial.

















« Dans la recherche d’un nouvel ennemi pour nous unir [toute l’humanité], nous en sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, des pénuries d’eau, la famine et ainsi de suite, ferait l’affaire. Dans leur totalité et dans leurs interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui, constituant l’ennemi, nous fait tomber dans le piège contre lequel nous avons déjà mis en garde, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est que par des changements d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est alors l’humanité elle-même. » [Souligné par l’auteur]

[1] Citations de Mihajlo Mesarovic et Eduard Pestel, Mankind at the Turning Point : The Second Report to The Club of Rome (1974). ISBN 0-525-03945-7

[2] Citations d’Alexander King et Bertrand Schneider, The First Global Revolution : A Report by the Council of The Club of Rome (1991). ISBN 0-671-71107-5

* Texte basé sur le matériel original de Brent Jessop : « Mankind at the Turning Point, Part 2 – Creating A One World Consciousness »
Traduction par François Marginean


Une économie mondiale planifiée

L’humanité à un moment décisif – 3e partie

« La race humaine est en train de devenir trop pour elle-même et trop pour le monde. » – William Saroyan, citation provenant du livre Mankind at the Turning Point (1974)

Le Club de Rome est un groupe de réflexion de premier plan composé d’environ 100 membres, dont des scientifiques, des philosophes, des conseillers politiques et de nombreux autres personnages qui se cachent dans l’ombre du pouvoir. Cette série d’articles décrit les principales conclusions du livre publié en 1974 : Mankind at the Turning Point : The Second Report to The Club of Rome [1].

La première partie décrit leur désir pour le développement d’un système mondial totalitaire présenté sous l’euphémisme d’une société « organique ». La deuxième partie décrit la nécessité de créer un nouveau système de valeurs pour assurer l’acceptation du gouvernement mondial à venir. Ce nouveau système de valeurs sera basé sur « une conscience du monde ».

Mankind at the Turning Point a utilisé un modèle informatique absurde basé sur des facteurs exponentiels du système mondial dans une tentative de cacher leurs conclusions prédéterminées derrière le voile de la science. L’un des principaux scénarios élaborés par le modèle fut une analyse des prix du pétrole. Ce fut un choix évident en raison de l’importance du pétrole pour l’économie mondiale et de la crise du pétrole du Moyen-Orient qui a débuté l’année précédente (1973).

La conclusion de cette analyse est qu’un prix optimal existe pour le pétrole. Un prix trop élevé favoriserait le développement d’alternatives et entraînerait des pertes à long terme pour les pays exportateurs. Un prix trop bas encouragerait l’utilisation abusive et l’épuisement des ressources qui se traduirait par des pertes à long terme du pays importateurs qui n’auraient pas suffisamment de temps pour développer des alternatives. Par conséquent, il existerait un prix « optimal » du pétrole et la seule façon de l’obtenir serait par la coopération. Naturellement, un prix optimal pourrait exister pour tous les produits et la seule façon d’obtenir ces prix passerait par une économie mondiale planifiée. Après tout, une économie planifiée fonctionnait si bien dans l’Union soviétique, pourquoi ne pas l’étendre au reste du monde ?

Tiré de Mankind at the Turning Point :

« La conclusion ne s’applique pas uniquement au pétrole, mais à l’ensemble des ressources limitées – la nourriture, les engrais, le cuivre et ainsi de suite. La gamme de prix « la plus bénéfique » et le taux d’augmentation appropriée diffèrent pour chaque produit, mais un niveau optimal existe pour tous et doit être déterminé, puis à l’échelle globale, maintenu par tous les participants du système mondial – si nous voulons éviter les crises économiques récurrentes dues à des contraintes de ressources. » [Souligné par l’auteur] – 100

« En effet, rien de moins qu’une intégration complète de toutes les couches, à partir des valeurs individuelles en passant par l’écologie et les ressources minérales – et ce, à l’échelle mondiale – suffira pour apporter une solution aux crises alimentaires mondiales … » [Souligné par l’auteur] – 87

La redistribution de l’Industrie

Insatisfait de la maîtrise des prix des ressources, le rapport souligne également la nécessité d’une redistribution planifiée de l’industrie à travers le monde, en particulier en Asie du Sud.

« Le cinquième scénario – le seul moyen pour éviter une catastrophe sans précédent en Asie du Sud – requiert l’émergence d’un nouvel ordre économique mondial. La diversification industrielle devra être mondiale et soigneusement planifiée avec une attention particulière à la spécificité régionale. L’utilisation la plus efficace du travail et du capital, ainsi que la disponibilité des ressources, devront être évaluées sur une base globale et à long terme. Un tel système ne peut pas être laissée à la merci des intérêts nationaux étroits, mais doit s’appuyer sur des arrangements économiques mondiaux de longue portée… Mais la pression exercée sur la capacité de production alimentaire mondiale serait moindre si les habitudes alimentaires dans la partie riche du monde changeaient, en gaspillant moins. » [Souligné par l’auteur] – 127

Système mondial d’allocation des ressources

Une économie planifiée entraînerait un gouvernement central puissant avec le pouvoir d’affecter des ressources à des régions qu’il décrèterait les plus méritants.
« Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et le développement mondial fondé sur la répartition globale de l’ensemble des ressources limitées et d’un nouveau système économique mondial. Dans dix ou vingt ans d’ici, il sera probablement trop tard… »[Souligné par l’auteur] – 69
« La solution de ces crises ne peut être développée que dans un contexte mondial, avec une reconnaissance complète et explicite du système mondial émergeant et sur une base à long terme. Cela nécessiterait, entre autres changements, un nouvel ordre économique mondial et un système d’allocation des ressources mondiales. »
[Souligné par l’auteur] – 143

Les horreurs de ce système proposé devrait être évidentes pour quiconque, mais pour ceux qui ne peuvent imaginer, voici une citation de L’impact des sciences sur la société("The Impact of Science on Society"[2]) écrit par Bertrand Russell, qui était également un partisan d’un gouvernement mondial.
La citation ci-dessous met en évidence l’un des avantages – selon Russell – d’un tel système d’allocation mondial.
« Pour faire face à ce problème [croissance de la population et diminution de l’approvisionnement alimentaire], il sera nécessaire de trouver des moyens de prévenir une augmentation de la population mondiale. Si cela doit être fait autrement que par des guerres, la peste et les famines, cela demandera une autorité internationale puissante. Cette autorité devrait distribuer la nourriture mondiale aux diverses nations en proportion de leur population au moment de la mise en place de l’autorité en question. Si par la suite une nation augmente sa population, elle ne devrait pas recevoir plus de nourriture. Le motif de ne pas augmenter la population serait donc très convaincant. La méthode préférée d’empêcher une augmentation devrait être laissée à la discrétion de chaque État. ».


[1] Citation de Mihajlo Mesarovic et Eduard Pestel, Mankind at the Turning Point : The Second Report to The Club of Rome (1974). ISBN 0-525-03945-7

[2] Citation de Bertrand Russell, The Impact of Science on Society (1952). ISBN 0-415-10906-X

* Texte basé sur le matériel original de Brent Jessop : « Mankind at the Turning Point, Part 3 – A Planned World Economy »

Traduction par François Marginean
source : « Les 7 du Québec »

jeudi 26 août 2010

WASH !

LA FACE CACHÉE DES PRODUITS ANTIBACTÉRIENS
Le triclosan, largement employé dans les produits antibactériens, serait inutile et nuirait au fonctionnement du système hormonal.













C’est en tout cas ce que soutient un membre du Congrès américain, Edward J. Markey, qui presse une douzaine de fabricants – notamment Colgate-Palmolive, Procter & Gamble, Unilever et Rubbermaid – de cesser d’utiliser cet ingrédient dans plusieurs produits destinés aux consommateurs, particulièrement aux enfants.
La requête du représentant du Massachusetts au Congrès suit la publication d’une mise à jour de la Food and Drug Administration (FDA) à propos du triclosan qui révèle que son innocuité est remise en question à la suite de tests effectués sur des animaux.
Selon certaines études, cette substance nuirait à la régulation du système hormonal et contribuerait à la résistance des bactéries aux antibiotiques. De plus, écrit la FDA, le triclosan ajouté au savon n’apporte aucun avantage pour la santé par rapport à l’utilisation de l’eau et du savon seuls.
D’autres scientifiques estiment que le triclosan, qui aboutit inévitablement dans les cours d’eau, est lié à des perturbations endocriniennes chez les grenouilles, ainsi qu’au déclin de leur population.
Au cours des dernières années, plusieurs voix se sont élevées contre l’utilisation du triclosan dans les produits d’usage courant : l’Association médicale canadienne, par exemple, a demandé au gouvernement fédéral de le bannir dans les produits de consommation parce qu’il contribue à la résistance aux antibiotiques.
Des effets néfastes sur l’environnement ont aussi été évoqués. Le triclosan s’allierait, notamment, au chlore de l’eau pour former du chloroforme, un carcinogène reconnu.
Santé Canada recommande pour sa part d’éviter les savons antibactériens, car « ils détruisent les bonnes comme les mauvaises bactéries et peuvent aggraver le problème de résistance aux antibiotiques ». « L’efficacité et l’innocuité du triclosan soulèvent suffisamment de questions pour qu’on le retire immédiatement des produits de consommation courants », fait valoir Edward J. Markey.
Cependant, malgré les pressions de nombreux experts, la FDA n’entend pas interdire le triclosan ; l’agence américaine publiera les conclusions de sa réévaluation scientifique, accompagnées de nouvelles recommandations s’il y a lieu, en 2011 seulement.

Source : Protegez-vous

lundi 23 août 2010

GOUVERNEMENTS SECRETS

1ère partie



2ème partie


3ème partie


4ème partie


5ème partie


6ème partie


7ème partie

dimanche 22 août 2010

DES NANOTECHNOLOGIES DANS NOTRE ALIMENTATION !



















LES DANGERS DE LA "NANOBOUFFE"

Après les OGM, les nanotechnologies s’invitent dans notre assiette : les nano-aliments, traités avec des nano-pesticides et contenus dans des nano-emballages, se multiplient.
à la clé : de faramineux profits financiers pour les industriels et des risques environnementaux et sanitaires aujourd’hui impossibles à évaluer. Le tout dans une totale - et incroyable - absence de règles et de contrôles.

Des aliments intelligents qui s’adaptent aux goûts du consommateur, des vêtements qui repoussent l’eau, des matériaux qui s’auto-réparent, de la « poussière intelligente » qui enregistre discrètement les conversations... Bienvenue dans le nano-monde ! Un univers où la science bricole des particules invisibles au microscope et empile des atomes à l’échelle du nanomètre, c’est-à-dire un milliardième de mètre.

Les nanotechnologies seront à la base d’une troisième révolution industrielle au cours du 21e siècle, nous promet-on. Une révolution qui passe aussi par nos assiettes. Car ces nanoparticules sont déjà présentes dans les aliments industriels, les pesticides agricoles, les emballages alimentaires, les récipients de stockage... sans contrôle ni étiquetage. Des particules qui, du fait de leur minuscule taille, traversent les barrières biologiques et peuvent circuler dans tout l’organisme : la peau, les tissus, le cerveau...
Alors, prêts pour une nourriture « atomiquement modifiée », aux effets encore inconnus ?

Au moins 106 nano-aliments déjà commercialisés

Difficile de recenser les nano-aliments existants. Les fabricants ont bien compris que les incertitudes qui entourent aujourd’hui les nano-particules peuvent effrayer les consommateurs. Ils ne communiquent pas clairement sur leur utilisation. Selon l’ONG les Amis de la Terre, c’est toute la chaîne alimentaire qui est aujourd’hui « contaminée ». Son rapport intitulé « Du Laboratoire à nos assiettes : les nanotechnologies dans l’alimentation et l’agriculture » dresse la liste de 106 produits alimentaires, du jus de fruit « fortifié » aux compléments alimentaires vitaminés en passant par un « nano-thé ».

L’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset) dénombre tous secteurs confondus 2 000 nanoparticules manufacturées déjà commercialisées, et plus de 600 produits de consommation concernés. Si ces chiffres sont difficilement vérifiables du fait de l’absence de traçabilité, des estimations situent le marché des nano-aliments à plus de 5 milliards de dollars en 2005, avec des prévisions de 20 milliards de dollars pour 2010. Le groupe de consultants Helmut Kaiser prévoit que le recours aux nanotechnologies concernera, d’ici 2015, 40% des aliments industriels.













« Une technologie de confort pour les pays riches »

Du silicate d’aluminium pour empêcher l’agglutination des aliments en poudre, du ketchup épaissi avec du dioxyde de silicium, des vinaigrettes blanchies au dioxyde de titane...
Les nano-aliments nous apporteraient, selon leurs partisans, des avancées culinaires majeures : du chocolat ou des glaces sans lipides et sans sucre, qui conservent le même goût que l’original, une huile (Shemen Industries) qui inhibe l’entrée du cholestérol dans le sang, un substitut alimentaire (Nanotrim de Nanonutra) qui brûle les graisses. Ou la possibilité de modifier le goût d’un aliment selon nos désirs. Des industriels comme Nestlé cherchent à concevoir les "nano-aliments du futur".

Le géant agroalimentaire Kraft Foods (États-Unis) fait partie de ces pionniers.
En 2000, il a financé un consortium de 15 universités et laboratoires de recherche, Nanotek, pour concevoir de la nourriture « intelligente » et personnalisée, tels des aliments qui contiennent des centaines de nano-capsules, remplies de saveurs, de nutriments, de couleurs différentes.

Un four à micro-ondes pourrait déclencher, selon la fréquence des ondes, telle ou telle capsule, selon les désirs du consommateur. Une nourriture interactive en quelque sorte, qui peut même se transformer elle-même si une personne est allergique à un composant, ou libérer une dose de supplément nutritif si elle détecte des carences. Kraft Foods, le concepteur de ce projet, est propriétaire des marques de chocolat Milka, Côte d’Or, Toblerone, Suchard, et de café Carte Noir, Grand’Mère, Jacques Vabre ou Maxell.
Imaginez demain votre café de couleur rose et au goût banane qui vous délivre votre dose quotidienne de vitamines C... Ou du chocolat qui libère des arômes de carotte tout en soignant votre gueule de bois. Formidable, non ?













Des nanos au goût d’OGM

Pourquoi ce déploiement de technologies ? « Sur le plan alimentaire, on ne comprend pas à quoi ça sert, explique Rose Frayssinet, de l’ONG Les amis de la Terre.

« C’est comme les usages dans le textile : à quoi servent des chaussettes "sans odeur" avec du nano-argent ? Les nano-particules vont partir dans l’eau au bout de quatre lavages, et vont aller bouffer les microbes jusque dans les stations d’épuration. Au vu de ce que ça coûte, quelle est l’utilité sociale de tout ça ?
Ce sont des technologies pour le confort des plus riches ».


Certains voient les nano-aliments comme une « aubaine » pour les paysans du Sud.
Leur credo ? Des nanos qui augmenteraient la productivité agricole et permettraient de lutter contre la faim. Une promesse qui rappelle celles des lobbys biotechnologiques et leurs OGM.

La comparaison ne s’arrête pas là : risques sanitaires et environnementaux, privatisation du vivant ou de combinaisons d’atomes par des brevets industriels, mise sur le marché de produits dont l’innocuité n’est pas prouvée...
Des nanocides (pesticides utilisant les nano-technologies) intelligents qui nécessiteraient un dosage moins important que les pesticides actuels, et ne causeraient aucun mal aux insectes ? Le fait que ce soit des firmes comme Monsanto, Bayer ou Syngenta qui les développent ne peut qu’inviter à rester très prudent sur le sujet...













Vers un nouveau scandale sanitaire ?

« Dans le cas des OGM, nous avons obligé Monsanto à rendre publiques des études partielles de toxicité dissimulées au public. Des études semblables n’existent pas sur la nocivité des nanoparticules, souligne la Fondation Sciences citoyennes. Et les lanceurs d’alerte sont actuellement dissuadés par tous les moyens (poursuites en justice...) de briser la propagande officielle ».
Pour Rose Frayssinet, nous sommes face à un risque encore plus grand que les OGM.

« Les OGM, c’est un secteur, alors que les nanotechnologies concernent tous les secteurs. Les risques sont d’autant plus difficiles à analyser. On ne peut pas avoir une vision globale des implications ».

Difficile en effet de contrôler le comportement de nano-particules. Elles ne répondent pas aux lois de la physique classique, mais à celles de la mécanique quantique.
Construire des particules, atome par atome, manipuler la matière au niveau des molécules, c’est entrer dans un monde d’incertitude radicale. Les propriétés des particules, comme leur toxicité ou leur persistance biologique, varient selon leur taille.
De fait, les connaissances actuelles sur les effets toxiques des nano-particules manufacturées sont très limitées.

« Les données disponibles indiquent que certaines nanoparticules insolubles peuvent franchir les différentes barrières de protection, se distribuer dans le corps et s’accumuler dans plusieurs organes, essentiellement à partir d’une exposition respiratoire ou digestive », prévient une étude de l’Afsset, en 2006. Les nano-particules se diffusent dans les alvéoles pulmonaires, le sang, la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau, ou le placenta.

Fin 2008, un nouveau rapport de l’Agence juge que la nano-toxicologie fournit « des résultats encore peu nombreux, disparates et parfois contradictoires » et qu’il « n’est cependant pas possible d’exclure à cette date l’existence d’effets néfastes pour l’homme et l’environnement ».

Quant à l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), après avoir rappelé que des études extérieures montrent de possibles altérations de l’ADN par les nano-particules, elle confesse « l’impossibilité d’évaluer l’exposition du consommateur et les risques sanitaires liés à l’ingestion de nanoparticules. »
Très rassurant...













Nano-particules : l’amiante du 21ème siècle ?

Une étude britannique démontre l’existence d’un effet indirect des nanoparticules qui endommageraient "à distance" l’ADN.
Marie-Claude Jaurand, directeur de recherche à l’INSERM, pointe du doigt les nano-tubes de carbone, matériau ultra-résistant utilisé dans l’industrie, pour leurs effets "similaires à ceux de l’amiante", concernant la production de lésions de l’ADN et la formation d’aberrations chromosomiques.
Face à ces risques, que font les instances compétentes ? Pas grand chose.
Les instruments règlementaires sont inadaptés. Ministères et agences sanitaires sont complètement dépassés (les documents les plus récents publiés sur le site du ministère de la Santé datent de 2007). L’évaluation des risques doit être totalement repensée.

Les systèmes d’autorisation de mise sur le marché reposent sur la composition chimique des produits. Pour les nanoparticules, cela ne suffit pas, car les effets dépendent aussi de l’organisation spatiale des éléments atomiques et de leur taille. Un élément non toxique peut le devenir à l’échelon nanométrique.

« Le dioxyde de titane et les dioxydes d’argent n’ont pas les mêmes propriétés au niveau nanométrique et au niveau macroscopique, explique Rose Frayssinet. Ils n’ont pas les mêmes propriétés selon qu’ils mesurent 20 nano ou 60 nano. Pour étudier les risques, il faudrait donc mener des études pour toutes les échelles ».

Mais cela coûte cher. Et les outils manquent. « D’après les textes européens, dès qu’on modifie un aliment, une étude d’innocuité est obligatoire. Mais personne ne sait le faire. Il y a encore un an, il n’y avait aucun filtre vraiment sûr pour récupérer les nano-particules. Sans compter que les délais d’études étant très longs, les résultats arriveront après la mise sur le marché. On demande aux fabricants de travailler dans des salles blanches, avec des scaphandres. Et juste derrière, on met les produits sur le marché. C’est aberrant ! ».

Concernant la production et la mise sur le marché, les industriels se réfèrent à la directive européenne "REACH".
Celle-ci est pourtant insuffisante. Seules les substances chimiques produites en quantité supérieure à une tonne par an y sont soumises.
Vu la taille des nano-particules, cette quantité de production n’est pas toujours atteinte. Et pour le moment, aucune obligation d’étiquetage n’existe, même si le Parlement européen commence à se saisir de cette question.

L’État finance sans s’inquiéter des conséquences

« No data no market » (pas de données, pas de marché). Telle est la position défendue par de nombreuses associations écologistes, qui espèrent être rejointes par les syndicats de salariés. Elles demandent un moratoire sur les nano-produits. Et des procédures d’évaluation des risques adaptées. Les ONG souhaitent aussi débattre de l’utilité sociale des nanotechnologies, en particulier dans le secteur alimentaire.
Le gouvernement français a lancé en 2009 le plan "Nano-Innov", qui vise à placer la France parmi les pays les plus en pointe sur les nanosciences, en encourageant la recherche fondamentale à travailler « avec les entreprises pour mettre au point des technologies, déposer des brevets, créer des produits ».
70 millions d’euros ont été consacrés l’an dernier à ce projet. En parallèle, aucun fonds n’est dédié aux études toxicologiques et aux impacts sanitaires et environnementaux.

Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, a souligné à l’occasion du lancement de ce plan l’excellence de la recherche nationale sur les nanotechnologies (5ème rang mondial) mais se désole que seulement 290 brevets aient été déposés en 2005, ce qui représente moins de 2% des brevets mondiaux. Car le secteur peut rapporter gros.
La National Science Foundation (NSF) américaine évalue le marché des nanotechnologies à mille milliards de dollars en 2015.

Selon la Fondation Sciences citoyennes, les investissements en recherche et développement ont été quasiment multipliés par dix entre 1997 et 2003 (3,5 milliards d’euros), avec une prévision de croissance de 40 % par an.
« Les chercheurs nous disent souvent : il suffit qu’on parle de ’nanotechnologies’ dans nos projets pour avoir de l’argent pour mener des recherches », commente Rose Frayssinet.

Les multinationales de la pharmacie et de l’agrochimie sont sur les rangs pour fabriquer davantage de nano-aliments.
À l’opposé de systèmes alimentaires organisés localement et écologiquement soutenables, se prépare une nouvelle révolution alimentaire, basée sur l’accaparement par quelques firmes privées des éléments constitutifs de la matière et de notre alimentation. Après la malbouffe, nous voici transformés en cobayes de la nano-bouffe, avec le silence complice de l’État.

d'Après un article d'Agnès Rousseaux

samedi 21 août 2010

NANOROBOTS POUR CONTRÔLER L’ESPRIT

Des nano-robots pour contrôler votre esprit…

Allons-nous vers une époque où les progrès extraordinaires qui ont été réalisés dans les domaines de la nanotechnologie, de la neurologie, la psychologie, l’informatique, les télécommunications et l’intelligence artificielle seront utilisés par les autorités gouvernementales pour contrôler la population ?

Déjà, les gouvernements du monde entier se servent de la «lutte au terrorisme» comme prétexte pour nous regarder, pour nous suivre, pour numériser l’ensemble de nos communications électroniques, pour nous forcer à subir des “mesures de sécurité” qui sont si extrêmes que même George Orwell (auteur du livre “1984″) ne les a pas imaginées !

Qu’est-ce qui arrivera le jour où des individus oseront poser une arme de destruction massive dans une grande ville ?
La tentation d’utiliser ces nouvelles technologies pour contrôler le public devient presqu’irrésistible et à ce point, on pourra même envisager le “contrôle de l’esprit” (mind control).
Même si ce mot évoque la fiction, il ne s’agit que de deux autres événements semblables au 11 septembre 2001 pour que la population réclame des mesures de sécurité jugées extrêmes pour l’instant, mais souhaitables et impératives dans un tel contexte.

Quand la société connaîtra un effondrement complet et total dans les années à venir, les gouvernements de partout dans le monde seront tentés de faire n’importe quoi, y compris le contrôle à distance de l’esprit pour rétablir l’ordre. C’est pourquoi quelques unes des avancées les plus récentes dans le domaine de la nanotechnologie font froid dans le dos…

Une équipe de chercheurs de l’Université de Buffalo ont fait une découverte vraiment alarmante. Ce qui suit est un extrait de leur communiqué :

“Des nanoparticules magnétiques visant les membranes cellulaires peuvent contrôler à distance les canaux ioniques, les neurones et même le comportement des animaux”, selon un document publié par des physiciens de l’Université de Buffalo dans la revue scientifique

Vous avez bien compris: l’utilisation de nanoparticules pour contrôler à distance le comportement des animaux! Nul besoin d’un doctorat pour comprendre les implications d’une telle technologie.

Et si des “nanorobots” avaient la capacité de contrôler l’esprit de l’homme en étant programmés pour rechercher et s’attacher à des domaines-clé du cerveau humain? Ces “nanorobots” seraient beaucoup trop petits pour être vus par l’œil humain et les gens pourraient devenir «infectés» par ces créatures sans même le savoir. Des hordes de ces nanorobots pourraient être libérés dans l’atmosphère ou dans des espaces publics et des milliers, voire des millions, de personnes ne s’en rendraient pas compte.

Si les gouvernements pouvaient trouver un moyen d’utiliser des nanorobots pour contrôler à distance l’esprit des gens, comme les applications faites sur les animaux par l’Université de Buffalo, un programme pourrait être mis en œuvre sans que le public en connaisse l’existence.



Cette technologie est tout simplement effrayante !

Les fabricants de jeux vidéo travaillent en ce moment à développer des jeux où vous n’avez plus besoin d’une manette, mais où vous contrôlez avec vos ondes cérébrales (1). Cette technologie pourrait avoir de très larges applications…

Le “contrôle de l’esprit” n’est pas une découverte nouvelle, il est pratiqué depuis de nombreuses décennies et de multiples programmes de recherche et d’expérimentation ont été, et sont encore, tenus par la CIA, MK-ULTRA (2), par des agences gouvernementales et par certaines universités. Il y a des informations sur ce type de programmes qui suggèrent que les ondes électromagnétiques pourraient être utilisées pour contrôler les pensées et influencer les comportements.

Certains prétendent même que le massacre au Rwanda aurait été provoqué par une technologie de cette catégorie.

Le film “Cortex control” fait justement une démonstration de la puissance des ondes électromagnétiques sur l’esprit et le comportement humain, lesquels font partie d’une expérimentation secrète menée par un organe de l’armée américaine. Fiction ou réalité ? Avec les tours émettrices de fréquences qui sillonnent nos paysages, nous pourrions être des cible faciles…

La société Somark a développé un tatouage RFID, identification par radio-fréquences (3), où ce dernier est appliqué sur la peau à partir de micro-aiguilles. Il faut environ 5 à 10 secondes pour tatouer un animal ou un être humain avec ce procédé et une fois le tatouage appliqué sur la peau, on peut le lire avec un lecteur RFID jusqu’à une distance de 4 pieds. Probablement que cette technologie peut aussi être reliée à un système GPS où le tatouage peut être détecté par satellites, d’où une localisation presqu’immédiate de l’animal ou de l’homme…



IBM a conçu un code-barre pour pouvoir détecter votre ADN…

La micropuce insérée sous la peau est devenue monnaie courante aux Etats-Unis : des milliers d’Américains ayant la maladie d’alzheimer se la font implanter (4), ainsi que des personnes souffrant de maladies chroniques; les médecins peuvent ainsi accéder à leur dossier médical rapidement.

Obama, dans la nouvelle loi sur la santé, a gentiment inclus une couverture pour les implants sous-cutanés (5) et cette mesure deviendra obligatoire pour quiconque veut se prémunir de l’assurance-santé. Voir la page 1001 de la loi sur la santé d’Obama : à faire frémir !

Bien sûr, toutes ces technologies représentent en elles-mêmes une série d’avantages et de facilités et c’est pour toutes ces raisons que la plupart des gens accepteront de s’y soumettre dans une totale indifférence. Toutefois, un jour vient où un régime tyrannique dirigera nos vies, ces révélations technologiques deviendront notre pire cauchemar !

Isabelle pour « Conscience du Peuple »



QU’EST-CE QUE LES NANOTECHNOLOGIES ?



BIENVENUE DANS LE “NANOMONDE”



Voyez ce film documentaire en entier ici : http://www.filmsdocumentaires.com
(sur la page : http://www.filmsdocumentaires.com/films/162-les-nanotechnologies)