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dimanche 10 mai 2015

UN CALAMAR GÉANT RADIOACTIF S'ÉCHOUE SUR LES PLAGES DE BRETAGNE....


Un calmars de 49 mètres échoués en Bretagne sur une plage près du Cap d'Erquy (Côtes d'Armor) !

Pour la deuxième fois en quelques mois, une créature marine géante s'est échouée en Bretagne. Et quelle créature ! Car c'est en effet un calmar géant mesurant la bagatelle de 49 mètres de la tète à la pointe des tentacules qui a été retrouvé sur une plage des Côtes d'Armor .

Les experts envoyés sur place pensent que le gigantisme des deux monstres marins est imputable à la pollution de l'eaux de mer par les lisiers déversés par les éleveurs porcins de la région Bretagne nord (ceci a été confirmé par les résultats des analyses d'échantillons d'eau de mer prélevés sur zone).

Les scientifiques pensent que les déversements de lisiers porcins doivent cesser immédiatement pour que cesse cette anomalie, et qu'il est probable qu'il se passera plusieurs année avant que la faune marine retrouve sa vrai nature.

Avant l'échouage de ces deux monstres des coquilles saint jacques énormes (60 centimètres de diamètre) avaient déjà été remontées de cette zone de pêche.

Il est à noter que ces créatures ont été déclarées impropres à la consommation par les autorités sanitaires départementales

mercredi 4 juin 2014

LA RUSSIE DONNE L'ALERTE AU SUJET DE LA DISPARITION DES ABEILLES!!!


La Russie avertit Obama : une guerre globale sur la disparition des abeilles menace

Les minutes alarmantes de la rencontre de la semaine passée entre le président Vladimir Poutine et le secrétaire d’état US John Kerry révèlent "l’extrême outrage" du dirigeant russe concernant la protection, par le régime Obama, des géants de l’agrochimie Syngenta et Monsanto face à une "apocalypse des abeilles" dont le Kremlin avertit qu’elle "mènera très certainement" à une guerre mondiale.

Selon ces minutes, publiées aujourd’hui au Kremlin par le ministère des ressources naturelles et de l’environnement de la fédération de Russie (MRNE), Poutine était si énervé du refus du régime Obama de discuter de ce sujet très grave qu’il déclina pendant trois heures de recevoir Kerry, qui avait voyagé jusqu’à Moscou pour une mission diplomatique programmée d’avance, mais se ravisa pour ne pas créer une scission encore plus grande entre les deux nations.

Au centre de cette dispute entre la Russie et les USA, annonce ce rapport du MRNE, sont les "preuves incontestées" qu’une gamme d’insecticides neuro-actifs liés à la nicotine, connue sous le nom de néo-nicotinoïdes, détruisent la population d’abeilles de notre planète, ce qui, laissé en l’état, pourrait anéantir la capacité de notre monde à faire pousser assez de nourriture pour nourrir ses populations.

Cette situation est devenue si sérieuse, rapporte le MRNE, que la Commission Européenne dans son ensemble a institué la semaine dernière une interdiction de précaution de deux ans (devant commencer le 1 décembre 2013) sur l’usage de ces pesticides "tueurs d’abeilles" à la suite de la Suisse, de la France, de l’Italie, de la Russie, de la Slovénie et de l’Ukraine, qui avaient déjà tous interdit l’usage d’organismes génétiquement modifiés des plus dangereux sur le continent.

Deux des néo-nicotinoïdes les plus redoutés sous le coup de cette interdiction sont Actara et Cruiser, fabriqués par la multinationale suisse de biotechnologie Syngenta AG, qui emploie plus de 26000 personnes dans plus de 90 pays, eu troisième rang mondial des ventes sur le marché commercial des semences agricoles.

Il est important de noter, dit ce rapport, que Syngenta, avec les géants de la bio-tech Monsanto, Bayer, Dow et DuPont contrôlent maintenant presque 100% du marché global de pesticides et de semences et plantes génétiquement modifiées.

Relevable également à propos de Syngenta, poursuit le rapport, en 2012 Syngenta fut condamnée en Allemagne pour avoir caché le fait que son maïs génétiquement modifié tue le bétail, et paya comme réparation d’une plainte collective $105 millions aux USA suite à la découverte de la contamination de l’eau potable de quelques 52 millions de citoyens états-uniens, dans plus de 2000 bassins aquifères avec son herbicide "changeur de genre" Atrazine.

L’épouvantable gravité de la situation, dit le MRNE, peut être constatée dans le rapport publié en mars dernier par l’American Bird Conservancy (ABC), où ils avertissent du danger dans lequel se trouve toute la planète, et où nous pouvons lire, notamment:

"En tant que composante d’une étude sur les effets de la classe d’insecticides les plus utilisés au monde, des produits chimiques similaires à la nicotine appelés les néo-nicotinoïdes, l’American Bird Conservancy (ABC) a appelé à une interdiction de leur usage et à la suspension de toutes leurs applications en attente d’un examen indépendant des effets de ces produits sur les oiseaux, les invertébrés terrestres et aquatiques, et d’autres organismes vivants.

Il est clair que ces produits chimiques ont le potentiel d’affecter des chaînes alimentaires entières. La persistance dans l’environnement des néo-nicotinoïdes, leur propension au ruissellement et à l’infiltration dans les eaux souterraines, et leur mode d’action cumulatif et grandement irréversible chez les invertébrés soulèvent des inquiétudes écologiques sérieuses,"

a dit Cynthia Palmer, co-auteure du rapport et directrice des programmes sur les pesticides pour ABC, l’une des organisations les plus éminentes des USA pour la conservation des oiseaux.

ABC a commandité le toxicologue environnemental de renommée mondiale le Dr. Pierre Mineau pour mener ces recherches. Le rapport de 100 pages, "L’impact des insecticides les plus usités de la nation sur les oiseaux", passe en revue 200 études sur les néo-nicotinoïdes dont des études menées par l’industrie elle-même et obtenues grâce au Freedom of Information Act US (loi sur la liberté de l’information, ndt). Le rapport évalue le risque toxicologique encouru par les oiseaux et les écosystèmes aquatiques, et comprend des comparaisons exhaustives avec les anciens pesticides que les néo-nicotinoïdes ont remplacé. Le document conlut que les néo-nicotinoïdes sont mortels pour les oiseaux et aux systèmes aquatiques dont ils dépendent.

"Un seul grain de maïs enduit d’un néo-nicotinoïde peut tuer un passereau," atteste Palmer. "Même un tout petit grain de blé ou sa canule raité avec le plus ancien des néo-nicotinoïde – dénommé imidacloprid – peut empoisonner un oiseau de manière fatale. Et aussi peu qu’un dixième de semence de maïs recouverte de néo-nicotinoïde par jour pendant la saison de ponte est tut ce qu’il faut pour perturber la reproduction."

Le nouveau rapport conclut que les taux de contamination par les néo-nicotinoïdes dans les eaux de surface et souterraines aux États-Unis et autour du monde ont déjà dépassé le seuil constaté être mortel pour beaucoup d’invertébrés aquatiques.

Rapidement suite à ce sévère rapport, dit le MRNE, un large groupe d’apiculteurs et d’écologistes états-uniens a porté plainte contre le régime Obama à cause de la poursuite de l’usage de ces néo-nicotinoïdes, affirmant: "Nous amenons l’EPA (Environmental Protection Agency, agence de protection de l’environnement US, ndt) devant les tribunaux à cause de son échec à protéger les abeilles des pesticides. Malgré nos meilleurs efforts pour prévenir l’agence des problèmes posés par les néo-nicotinoïdes, l’EPA a continué d’ignorer les signes d’avertissement clairs d’un système agricole en péril."

La gravité de ce qui est vraiment devenu le système agricole planétaire du fait de ces plantes et semences génétiquement modifiées et ces pesticides, poursuit le rapport, peut être comprise à travers la décision de la Commission Européenne la semaine dernière, qui fait suite à leur interdiction des néo-nicotinoïdes, où ils projettent de rendre illégales presque toutes les plantes et semences non-enregistrées auprès de l’Union Européenne, et nous pouvons lire, entre autres:

"L’Europe se précipite vers les bons vieux jours de 1939, 40… Une nouvelle loi proposée par la Commission Européenne rendrait illégales "la culture, la reproduction et le commerce" de toutes semences végétales qui n’aient pas été "testées, approuvées et acceptées" par une nouvelle bureaucratie de l’UE dénommée "l’agence de l’UE des variétés végétales.

Cela s’appelle la Loi sur le Matériel Reproductif Végétal, et entend rendre le gouvernement responsable de presque toutes les plantes et semences. Les jardiniers chez eux qui font pousser leurs propres plantes à partir de semences non-régulées seraient considérés comme des criminels sous cette loi."

Ce rapport du MRNE souligne que bien que cette action de l’UE paraisse draconienne, elle est néanmoins nécessaire pour purger le continent d’une poursuite de la contamination par ces "monstruosités de semences" engendrées par la génétique de laboratoire.

Ce qui rend encore plus perplexe dans tout cela, dit le MRNE, et qui provoqua la colère de Poutine envers les USA, sont les efforts fournis par le régime Obama pour protéger les bénéfices des producteurs de pesticides en face des dommages catastrophiques infligés à l’environnement. Comme le dit, entre autres choses, leGuardian News Service dans leur article du 2 mai intitulé "Les USA rejettent l’affirmation de l’UE que les pesticides sont la principale cause pour la chute de population des abeilles":

"L’Union Européenne a voté cette semaine une interdiction de deux ans de l’usage d’une classe de pesticides, connus sous le nom de néo-nicotinoïdes, qui a été associée avec la disparition des abeilles. Le rapport du gouvernement US, par contre, trouva des causes multiples à la disparition des abeilles mellifères."

Le MRNE ajoute que les "vraies" raisons derrière la protection accordée par le régime Obama à ces géants de la biotechnologie qui détruisent notre monde peuvent être trouvées dans l’article intitulé "Comment Barack Obama est-il devenu l’homme de Monsanto à Washington?" et qui lit, entre autres:

"Après sa victoire aux élections de 2008, Obama donna des postes-clés à des employés de Monsanto dans des agences fédérales ayant une influence considérable sur les thèmes alimentaires, la USDA (US Department of Agriculture, ministère de l’agriculture US, ndt) et la FDA (Food and Drug Administration, agence des aliments et des drogues, ndt): à la USDA, comme directeur du National Institute of Food and Agriculture (institut national de la nourriture et de l’agriculture, ndt), Roger Beachy, ancien directeur du Danforth Center de Monsanto. Comme commissaire adjoint de la FDA, le nouveau tsar des sujets de sécurité alimentaire, le notoire Michael Taylor, ancien vice-président des relations publiques de Monsanto. Taylor avait été instrumental dans l’obtention de l’approbation de l’hormone de croissance bovine fabriquée en laboratoire de biogénétique par Monsanto."

Encore pire, après que la Russie ait suspendu l’importation et l’utilisation du maïs transgénique de Monsanto suite à une étude suggérant un lien avec le cancer du sein et des dommages aux organes en septembre dernier, le Russia Today News Service a rapporté la réaction du régime Obama:

"La Chambre des Représentants US a passé en catimini un ajout de dernière minute à sa loi de prévision budgétaire agricole pour 2013 la semaine dernière – incluant une provision protégeant les semences génétiquement modifiées de litiges en cas de risques sanitaires.

Le texte, portant le titre officiel de "Farmer Assurance Provision" (provision d’assurance des fermiers, ndt), a été dénoncé par des opposants au lobbying biotechnologique comme le "Monsanto Protection Act", car il retirerait aux tribunaux fédéraux l’autorité pour faire immédiatement stopper la plantation et la vente de plantes et semences génétiquement modifiées en dépit de toutes considération sanitaires des consommateurs.

La provision, également décrite comme un "texte biotech", aurait dû passer par des comités agricoles ou juridiques pour examen. Au contraire, aucune audition n’a eu lieu, et le document était de toute évidence inconnu de la plupart des Démocrates (qui détiennent la majorité au Sénat) avant son approbation comme partie du HR 993, la loi de financement à court terme qui fut passée pour éviter une banqueroute du gouvernement fédéral."

Le 26 mars, Obama signa discrètement ce "Monsanto Protection Act" en loi, assurant ainsi que le peuple états-unien n’ait auucn recours contre ce géant de la biotechnologie alors qu’ils tombent malades par dizaines de millions, et que des millions en mourront certainement dans ce que ce rapport du MRNE appelle la plus grande apocalypse agricole de l’histoire humaine comme plus de 90% de la population des abeilles sauvages aux USA a déjà disparu, et jusqu’à 80% des abeilles domestiques ont également disparu.

mardi 3 avril 2012

DES ULTRASONS POUR RÉDUIRE LA POPULATION MONDIALE!!!

Nous en avions déjà parlé, nous sommes trop nombreux, et notre empreinte sur notre environnement amène des contraintes. Pendant que l’on s’interroge sur les moyens d’alléger notre impact, d’autres réfléchissent et se proposent de passer à l’action, avec des technologies invisibles si l’on en croit cet article de Natural-News.

Titre initial:
"Les fonds de Bill Gates technologie servent à détruire votre sperme".

La vaccination de masse n’est apparemment pas la seule stratégie de dépopulation qui soit employée par la Fondation Bill & Melinda Gates. De nouvelles recherches financées par l’organisation visent à développer une façon de détruire délibérément des spermatozoïdes en utilisant la technologie des ultrasons.

« BBC News » rapporte que la Fondation Gates a passé un accord avec les chercheurs de l’Université de Caroline du Nord (UNC) pour développer cette nouvelle méthode de contraception.

Pour leur étude, l’équipe UNC a testé les ultrasons sur des rats de laboratoire et a constaté que deux doses de 15 minutes ont « considérablement réduit » à la fois le nombre et la qualité des spermatozoïdes.

Lorsqu’elle est administrée à deux jours d’intervalle dans l’eau tiède salée, la dose d’ultrasons permet de réduire le nombre de spermatozoïdes à moins de dix millions par millilitre, ce qui représente cinq millions de moins que le niveau de fertilité minimal, pendant une durée de six mois.

Le rapport affirme que cette technologie est développée à des fins contraceptives et non pour stériliser la population. Toutefois, le Dr James Tsuruta, qui a dirigé la recherche, a déclaré aux journalistes qu’il n’est pas clair si oui ou non cette technologie peut entraîner des dommages irréversibles. Davantage d’essais sont nécessaires pour déterminer si oui ou non,le fait de recevoir des ultrasons de façon répétée peut causer des dommages permanents.

La Fondation Gates a attribué 78 projets de recherche différents avec une subventions de 100 000 $ chacun dans le cadre de ses « Grands défis en Programme de santé globale. » Dix de ces projets abordent spécifiquement les nouvelles technologies de contraception selon « TIME »; l’un d’eux concerne une pilule qui inhibe la croissance et la maturation des spermatozoïdes, et un autre cherche à créer les composés chimiques qui empêcheraient les spermatozoïdes d’atteindre l’ovule.

« Nous pensons que cela pourrait traiter les hommes avec une fiabilité maximale de six mois, pour un coût faible,avec une méthode contraceptive non hormonale et au cours d’une simple tournée », notent les chercheurs dans leur rapport. « Notre objectif à long terme est de diffuser des ultrasons comme moyen de stérilisation masculine réversible, peu coûteux et pour le long terme,. Elle convient bien au développement des pays du tiers monde. »

Retour en 2010, Bill Gates a expliqué aux participants, à la Conférence TED de cette année, ses idées pour diminuer la population mondiale. L’une d’elles est d’augmenter les taux de vaccination.

Maintenant, son organisation finance activement une recherche de pointe sur des méthodes contraceptives qui pourraient rendre les individus stériles. Coincidence?

Un article de Ethan A. Huff, traduit par Boxer pour Terre sacrée et publié par NaturalNews via Les Moutons Enragés

vendredi 14 octobre 2011

MARÉE NOIRE EN NOUVELLE-ZÉLANDE : LA SITUATION DU NAUFRAGE "CARGO RÉNA" S'AGGRAVE!!!

Le cargo Rena, battant pavillon libérien , qui s'est échoué sur le célèbre récif corallien Astrolabe mercredi dernier au large des côtes de la Nouvelle Zélande , à environ 22 km de Tauranga Harbour, s'est briser aujourd'hui sous l'effet de la houle de la mer formée.

Son capitaine a été arrêté et doit maintenant faire face au tribunal.

Une fissure verticale sur la coque du navire est maintenant parfaitement visible depuis le pont jusqu'à la ligne de flottaison. Dans cette mer houleuse le navire tangue maintenant de façon critique, et environ 70 conteneurs de sa cargaison sont déjà passés par dessus bord.

La Sécurité Maritime de Nouvelle Zélande a décrit l’avarie du bateau comme étant une "défaillance structurelle substantielle" et a averti que la poupe du navire pouvez maintenant se détacher à tout instant.

Trois remorqueurs ont été mobilisé pour tenter de maintenir la poupe sur le récif tandis que tout les efforts des sauveteurs se concentrent a tenter de pomper les hydrocarbures du navire a indiqué l'agence dans un communiqué.

La météo orageuse rend les secours particulièrement difficiles; la mer houleuse, avec des creux de plus de cinq mètres, a nécessité l'évacuation de tout l'équipage encore à bord, ce qui rend les manœuvres de pompage du carburant de ses soutes extrêmement délicates.

Les piles de conteneurs de sa cargaison penchent maintenant dangereusement, six navires ont été affecté d'urgence à la récupération de ceux qui tombent à la mer.

Le Réna transportait 1368 conteneurs , dont 11 contiennent des substances dangereuses. (Ces 11 conteneurs ne font pas partis des 70 qui sont déjà passé par dessus bord.)

Le capitaine philippins de 44 ans, dont le nom n'a pas été révélé à la presse, a été libéré aujourd'hui sous caution par la cour de justice de Tauranga. Son avocat a déclaré que l'échouage du navire est intervenu le jour de son anniversaire. Sa prochaine comparution est prévu le 19 Octobre, il risque 1 ans de prison et 7800 dollars d'amende.

Nick Quinn, commandant des forces de sauvetage a déclaré que la priorité des priorités reste le pompage de la fuite en mer et des réserves des hydrocarbures des soutes du navire.

Il prévient que la marée noire risque d'augmenter sur les côtes dans les prochains jours.

Le gouvernement de nouvelle Zélande exige de découvrir au plus vite les raisons qui ont poussé le navire a percuté la barrière de corail qui est très bien balisée par temps calme. Le propriétaire du navire n'a pour l'instant donné aucune explication.

Plus de 350 tonnes de fioul lourd se sont déjà échappé de la coque du navire, on estime à 1700 tonnes les réserves de ses soutes. La fuite a déjà entrainé une catastrophe écologique sans précédent dans la réserve naturelle du récif corallien Astrolabe.

De nombreuses plages sont déjà souillées et selon de des témoins sur place, de nombreux poissons et des oiseaux marins sont morts.

Dans un communiqué l'armateur a indiqué qu'il coopérerait pleinement avec les autorités et qu'il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour minimiser l'impact écologique de cet accident.



Source : NatureAlerte

mardi 2 août 2011

ALERTE ROUGE !!!!!! 1/3 DES POISSONS D'EAU DOUCE DE NOTRE PLANÈTE SONT MENACÉS D'EXTINCTION!!!!!!

Les poissons d'eau douce sont les plus menacés des animaux sur la planète, le tiers de la totalité des espèces de poissons d'eau douce est menacée d'extinction totale, selon un rapport compilé par des scientifiques britanniques.

En grande Bretagne comme en Europe de nombreuses espèces risquent de disparaitre des rivières et des lacs.

En Angleterre où a été publié cette étude, c'est l'ombre de Shetland britannique, mais aussi de nombreux poissons beaucoup moins connus et qui se trouvent uniquement dans certains cours d'eau du pays de Galles ou de l'Écosse.

Ailleurs dans le monde de nombreuses espèces sont déjà en danger critique d'extinction, telles que les esturgeons, ou encore les poisson-chats géants du Mékong ou de Stingray, qui peuvent atteindre jusqu'à 4,5 mètres de longueur.

Les scientifiques pointent clairement du doigt les activités humaines comme principales causes de cette menace. La surpêche, les pollutions, les constructions hydroélectriques ou de nouvelles usines et la réduction constante des espaces naturelles des rivières sont autant de facteurs qui poussent de nombreuses espèces au bord de l'extinction.

Dans cette étude les scientifiques tiennent à nous prévenir que cette extinction de masse pourrait avoir de très graves conséquences sur les humains.

Les résultats de cette étude ont été révélé en comparant les données des listes rouges de L'IUCN (International Union for Conservation of Nature)

Le Dr William Darwall, directeur de l'unité d'eau douce à l'UICN, à Cambridge, a déclaré: "Nous avons encore quelques grandes lacunes dans nos connaissances mais sur les 5685 espèces de poissons enregistrées sur les listes de l'Iucn qui ont été évalués, 36 pour cent d'eux sont gravement menacés d'extinction."

"Comparé aux mammifères où 21 pour cent sont menacés, ou encore les oiseaux, où 12 pour cent sont menacés, il est clair que les écosystèmes d'eau douce sont parmi les plus menacées dans le monde."

"Malheureusement rien n'indique une amélioration de cette situation. Nous sommes face à un tel besoin croissant d'eau douce à travers le monde, que ce soit pour l'agriculture mais aussi et surtout pour les nouvelles activités humaines et en particulier pour l’énergie que la situation risque même de s'empirer très rapidement."

Il y a environ 15.000 espèces de poissons d'eau douce dans le monde et jusqu'ici 5685 d'entre eux ont vu leur état évalué.

Les résultats préliminaires de cette étude en cours ont été révélés hier à la conférence annuelle de la Société de pêche des îles britanniques à l'Université de Bournemouth.

Le Professeur Rudy Golzan, directeur du centre pour l'écologie et la conservation de l'Université de Bournemouth, a déclaré: "La préservation de la biodiversité de l'eau douce de notre planète est devenue un enjeu crucial, il est extrêmement important que nous mesurions impérativement que plus d'un milliard de personnes dans le monde dépendent directement des ressources des rivières et des lacs pour se nourrir ou pour travailler. Nous nous devons de trouver rapidement des façons de réduire les impacts sur ces écosystèmes tout en permettant aux gens de continuer à utiliser les ressources que les environnements d'eau douce ont à offrir."

Pour vous faire une idée voici quelques exemples de situations critiques;

En Angleterre un cousin du saumon appelé Gwyniad est unique. On ne le trouve que dans le lac de Llyn Tegid au pays de galles, où il a été piégé à la sortie de l'éré glaciaire. L'introduction par des pécheurs au début des années 1980 d'une nouvelle espéce, le grémille, qui dévorent les œufs et les jeunes a fait chuté la population de Gwyniad à moins de 31 femelles dans le lac.

Toujours en Angleterre l'anguille européenne, qu'on trouve dans les ruisseaux , les rivières et les lacs et qui est une source de nourriture importante pour de nombreux oiseaux et autres poissons, a également diminué de 90 pour cent depuis le début des années 1980.

L'esturgeon noir était autrefois commun dans toutes les rivières à travers l'Europe et le Royaume-Uni, surpéché pour son caviar pendant des siécles, il n'est désormais trouvable que dans la Garonne en France, où sa population est estimée entre 20 et 750.

Ces résultats nous montrent aussi qu'en Afrique près de 28 pour cent des poissons d'eau douce sont menacés, et plus de 38 % en Europe.

En chine c'est le poisson chat géant du Mékong dont on estime la population sauvage à moins de 250 individus. Ce même poisson a diminué de plus de 50 % au vietnam et au cambodge.

Le saumon carpe géant du Mékong a également vu chuter sa population de 90 pour cent en raison de la surpêche et des dommages à son habitat.

Les scientifiques craignent que la construction de nouveaux barrages en Chine, au Laos, en Thaïlande pésent encore plus lourdement sur cette constatation.

D'autres espèces comme le poisson-scie de knifetooth, trouvé uniquement dans les estuaires côtiers de la Mer Rouge, du Golfe Persique et de l'Indonésie ont vu chuter le nombre en raison de la surpêche.

Le requin rouge queue des ruisseaux de plaine en Thaïlande, et le requin Nilgiri en Inde sont aussi en danger critique d'extinction.

Source: telegraph.co.uk /trad. NA - via "NatureAlerte"