lundi 10 novembre 2014

LA FIN DES ABEILLES !!!


Rapport: Le taux de mortalité des abeilles est actuellement trop élevé pour la survie de l’espèce

Le taux de mortalité des abeilles est actuellement trop élevé

Un rapport surprenant du gouvernement publié la semaine dernière admet que les colonies d’abeilles sont en train de mourir avec un taux de mortalité trop élevé pour «garantir leur survie à long terme».

Il a été bien démontré que le principal facteur menant à cette extinction est la présence d’insecticides à base de néonicotinoïdes, il est sûr que ces insecticides sont vendus et / ou utilisés par des sociétés comme Monsanto, Syngenta, Bayer, Dupont et leurs produits. Source image: Matt Romack Photography

Une étude récente d’Harvard publiée le 27 Mars de cette année a définitivement affirmé les recherches effectuées depuis des années par les scientifiques en dehors des États-Unis : les néonicotinoïdes sont [soulignement ajouté] le problème de l’effondrement d’une colonie (Colony Collapse Disorder ou CCD). L’étude a montré que 50% des colonies peuplées par les abeilles qui avaient été en contact avec ces pesticides se sont effondrées contrairement à seulement 1 à 6 de celles qui ne sont pas en contact avec les néonicotinoïdes.

L’Union européenne comprend que la mort des abeilles est une mort sans précédent pour les êtres humains et la terre-mère étant donné qu’ils ont interdit les insecticides néonicotinoïdes.
Toutefois, les politiques américaines refusent de croire que le problème est l’insecticide néonicotinoïde qui continue à prospérer aux Etats-Unis.

Ces sociétés avec des armées de lobbyistes et de politiciens achetés et payés, comme Monsanto, font la sourde oreille et suggèrent que «les acariens» sont la cause de la mortalité des abeilles, une situation tellement grave qu’elle peut entrainer l’extinction des abeilles si elle continue comme ça. C’est une dangereuse rhétorique contre la science, un négationnisme à la frontière scientifique causé par l’établissement d’agrochimistes américains.

Alors, est-ce que les acariens ont été la cause de l’extinction des abeilles pendant ces 14 millions d’années passées et ont survécu jusqu’à maintenant avant que les humains inventent des produits chimiques néonicotinoïdes? Bien sûr que non. Il semble que les choses étrangères à la Terre comme les néonicotinoïdes peuvent provoquer une perte tellement drastique à l’essentiel sur notre planète et la solution est évidente : informez les gens et dites leurs que si nous continuons à laisser les abeilles mourir à ce rythme, nous n’aurons pratiquement plus de fruits à manger. Et juste au passage, cessez d’utiliser les néonicotinoïdes.

Si nous n’arrêtons pas ce mouvement bientôt ,alors une société comme Monsanto réussira sans doute à profiter de l’absence des abeilles pour polliniser, créer des fruits et tenter de monopoliser les produits de la nature parce que les fruits seront ensuite pollinisés manuellement ou traités avec des moyens plus complexes. Même si cela peut sembler tiré par les cheveux, en l’absence d’abeilles sachant que la pollinisation manuelle est une méthode de production à forte intensité, des micro-drones de pollinisateurs verraient certainement le jour dans l’avenir si rien n’est fait pour sauver les abeilles. Cette technologie est déjà presque là :

Si vous lisez cet article, il y a de fortes chances qu’aucune de ces informations ne soit nouvelle pour vous. Si les abeilles ne retrouvent pas la santé pour la survie de l’espèce, vous pouvez dire au revoir à tous ces aliments (sauf si vous voulez consommer des produits pollinisées manuellement et génétiquement modifiés de Monsanto à cause de la disparition des abeilles) :

• Pommes
• Mangues
• Kiwis
• Prunes
• Pêches
• Nectarines
• Goyaves
• Fruits d’églantier
• Grenades
• Poires
• Les groseilles rouges et noires (cassis)
• Luzerne
• Gombos
• Fraises
• Oignons
• Les noix de cajou
• Cactus
• Les figues de barbarie
• Abricots
• Piments
• Avocats
• Fruits de la Passion
• Haricots de Lima
• Haricots
• Haricots « petits rouges » (haricots Adzuki)
• Haricots verts
• Les orchidées
• Pommes-cannelle
• Cerises
• Céleris
• Café
• Noyers (les noix)
• Coton
• Litchis
• Lin
• Acérola, utilisé dans les suppléments de vitamine C
• Noix de macadamia
• Huile de Tournesol
• Haricots Goa
• Citrons
• Sarrasin
• Figues
• Fenouil
• La lime (Citrus aurantifolia)
• Coing
• Carottes
• Kakis
• L’huile de palme
• La nèfle du Japon
• Durian
• Concombre
• Noisettes
• Cantaloup
• Coriandre
• Carvi
• Châtaigne
• Pastèque
• Pommes étoiles
• Noix de coco
• Mandarines
• Les mûres de Boysen
• Carambole
• Les noix du Brésil
• Betteraves
• Graines de moutarde
• Colza
• Brocoli
• Chou-fleur
• Chou
• Choux de Bruxelles
• Bok Choy (chou chinois)
• Navets
• Pois cajan, pois-congo ou ambrevade
• Le pois sabre ou haricot sabre
• Les piments, poivrons rouges, poivrons, piments verts
• Papaye
• Aubergines
• Sésame
• Aubergine
• Framboises
• Les baies de sureau
• Mûres
• Les trèfles
• Tamarin
• Cacao
• Dolique à œil noir (la cornille)
• Vanille
• Cranberries
• Tomates
• Raisin

DÉCOUVERTE D'UN ASTÉROÏDE POTENTIELLEMENT DANGEREUX !

© Photo: East News/Science Photo Library

Des chercheurs sibériens découvrent un nouvel astéroïde dangereux

Par La Voix de la Russie | Des chercheurs sibériens ont découvert un nouvel astéroïde présentant un danger pour la Terre. La découverte a été faite par le réseau de télescopes-robots MASTER créé par l'Université Lomonossov de Moscou de concert avec des Universités de Sibérie et l'observatoire de Poulkovo de Saint-Pétersbourg.

Si cet astéroïde percute la Terre la puissance de l'explosion sera 1 000 fois supérieure à celle du météorite de Tchéliabinsk, déclarent les spécialistes.

Le membre de l'équipe MASTER Denis Denissenko fut le premier à détecter сet "hôte indésirable". Après avoir consulté la liste des objets célestes suspects établie par le télescope-robot installé dans le Caucase, il a envoyé les coordonnées de l'astéroïde au Centre des petites planètes de l'Union astronomique internationale. Peu de temps après la découverte a été confirmée par un astronome britannique. Ensuite les spécialistes ont pris au moins une centaine de mesures du nouveau corps spatial baptisé 2014 UR 116. Il a été établi qu'il était potentiellement dangereux pour trois planètes : la Terre, Mars et Vénus. Pour l'heure il est impossible de prédire sa trajectoire car elle pourrait changer sous l'impact d'autres corps célestes.

Selon les chercheurs, la taille de l'astéroïde avoisine 370 ou 390 mètres et c'est grave s'il percute la Terre, a expliqué à La Voix de la Russie le directeur de l'observatoire astronomique de l'Université d'Irkoutsk Sergueï Yazev :

« Cet astéroïde passe de temps en temps à côté de la Terre, de Mars et de Vénus. Les observations menées au cours de deux premiers jours après sa découverte témoignent qu'il entre dans la catégorie d'astéroïdes présentant une menace à la Terre. Cela ne signigie pas qu'il la percutera obligatoirement. Il ne s'agit que d'une classification des astronomes : quand l'orbite franchit une certaine ligne critique par rapport à l'orbite de la Terre, l'objet est qualifié de potentiellement dangereux ».

Dans la classification des astronomes, cette distance critique constitue moins de 0,05 unité astronomique, soit environ 19,5 distances entre la Terre et la Lune. La taille de l'objet revêt également une importance : pour être dangereux, le corps doit mesurer plus de 100-150 mètres. Sa collision avec la Terre pourrait provoquer des destructions substantielles au sol ou un tsunami immense s'il tombe dans l'océan.

À l'heure actuelle environ 5 000 objets de ce genre ont été recensés. 2014 UR 116 est le troisième astéroïde dangereux découvert par le système de téléscopes MASTER. Les deux autres mesurent 250 et 125 mètres. Si les objets de cette taille entrent en collision avec la Terre, l'énergie d'explosion sera des milliers de fois supérieure à celle du météorite de Tchéliabinsk. Celui-ci a explosé au-dessus de la ville de Tchéliabinsk, dans l'Oural, en février 2013. Son plus grand fragment est tombé dans le lac Tchebarkoul. Plus tard il a été découvert par les plongeurs et renfloué. À Tchéliabinsk l'onde de choc a soufflé les vitres dans de nombreux bâtiments et plus de 1 500 habitants blessés ont eu besoin de soins médicaux.

Les spécialistes se proposent d'étudier plus en détail l'astéroïde découvert pas les astronomes russes. C'est seulement après avoir calculé son orbite qu'on pourra dire s'il représente une menace réelle. En tout état de cause, il est plus grand que le fameux astéroïde Apophis dont le diamètre est d'environ 270 mètres.

dimanche 9 novembre 2014

DES MILLIONS D'ABEILLES RETROUVÉES MORTES AU CANADA !!!


37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada, après la plantation d’un grand champ de maïs OGM !!!

Des millions d’abeilles sont tombées raides mortes, quelques semaines après la plantation d’un champ de maïs OGM en Ontario, Canada. L’apiculteur local, David Schuit qui produit du miel à Elmwood a perdu environ 37 millions d’abeilles qui représentent au total à peu près 600 ruches.

« Une fois qu’ils ont commencé à planter le maïs, elles sont mortes par millions », a déclaré Schuit. Bien que de nombreux apiculteurs accusent les néonicotinoïdes d’être la cause de l’effondrement des colonies d’abeilles et que de nombreux pays de l’UE ont interdit les néonicotinoïdes qui sont une classe d’insecticides qui agissent sur le système nerveux des insectes, le ministère américain de l’agriculture ne parvient pas à interdire les insecticides néonicotinoïdes, fabriqués par Bayer CropScience Inc.

Deux des insecticides de Bayer les plus vendus, l’Imidaclopride et la Clothianidine, sont connus pour entrer dans le pollen et le nectar, et peuvent endommager les insectes utiles comme les abeilles. La commercialisation de ces pesticides a également coïncidé avec l’effondrement des colonies à grande échelle dans de nombreux pays européens et aux États-Unis.

Nathan Carey, un autre paysan, dit que le printemps dernier il a remarqué qu’il n’y avait pas assez d’abeilles sur son exploitation agricole et il croit qu’il y a une forte corrélation entre la disparition des insectes et l’utilisation d’insecticides.


Dans le passé, de nombreux scientifiques ont eu du mal à déterminer la cause de ces effondrements massifs, un phénomène qu’ils appellent « syndrome d’effondrement ». Aux États-Unis, les abeilles sont en déclin terminal depuis 7 années consécutives.

Des scientifiques américains ont trouvé 121 pesticides différents dans des échantillons de ces insectes, de cire et de pollen, rendant crédible l’idée que les pesticides sont un problème majeur. «Nous croyons que certaines interactions subtiles entre la nutrition, l’exposition aux pesticides et autres facteurs de stress convergent pour tuer des colonies », a déclaré Jeffery Pettis, de l’ARS le laboratoire de recherche sur les abeilles.

L’effondrement de la population mondiale est une menace majeure pour les cultures. On estime qu’un tiers de tout ce que nous mangeons dépend de pollinisation des ces travailleuses, ce qui signifie que les abeilles contribuent à plus de 30 milliards à l’économie mondiale.

Une nouvelle étude publiée dans le Journal Proceedings of the National Academy of Sciences a révélé que les pesticides néonicotinoïdes tuent les abeilles en endommageant leur système immunitaire ce qui les rend incapables de lutter contre les maladies et les bactéries.

Après la signalisation des pertes importantes ces insectes à cause de l’exposition à l’imidaclopride, on a interdit son utilisation pour le maïs et le tournesol, malgré les protestations de Bayer. La France a également rejeté la demande de Bayer pour la clothianidine, et d’autres pays, comme l’Italie, ont également interdit certains néonicotinoïdes.

Après un nombre record de décès de ces insectes au Royaume-Unis, l’Union Européenne a interdit plusieurs pesticides, dont les pesticides néonicotinoïdes.

Disparition des pollinisateurs et mort de l'homme

vendredi 7 novembre 2014

UN ENFANT DE 11 ANS DÉTRUIT MONSANTO


Birke Baehr a 11 ans, et a fait une présentation tellement inspirante de notre système nutritionnel, que nous sommes sûrs que si Monsanto le pouvait, il l’interdirait. « Qu’est-ce qui ne va pas avec notre système alimentaire ? Et que pouvons-nous faire pour faire une différence ? » Il présente son point de vue sur une de nos plus importantes sources de nourriture, les fermes industrielles qu’on se garde bien de nous montrer. Il soutient que garder les fermes hors de vue favorise une image mentale irréaliste de l’agriculture à grande échelle et il défend le concept de l’écologie et de la production de produits locaux.

Birke Baehr veut que nous sachions comment est faite notre nourriture, d’où elle vient, et ce qu’il y a dedans. À 11 ans, il envisage une carrière d’agriculteur biologique. À 9 ans lors d’un voyage avec sa famille, Birke Baehr a commencé à étudier les pratiques agricoles durables et biologiques telles que le compostage, la lombriculture, la mise en conserve et la conservation des aliments.

Il a découvert très tôt son autre passion : éduquer les autres, surtout ses camarades, sur la destruction du système alimentaire industriel, et les solutions de rechange. Baehr est bénévole à la Humane Society et aime travailler avec les animaux.

La conférence est intitulée : «Quel est le problème avec notre système alimentaire »

Discours :

« Bonjour. Je m’appelle Birke Baehr, et j’ai 11 ans. Je suis venu ici aujourd’hui pour vous parler de ce qui ne va pas avec nos sources de nourriture. D’abord je voudrais dire que je suis sidéré de voir à quel point il est facile de faire croire aux enfants tous les discours de marketing et la publicité à la télé, dans les écoles publiques, et quasiment partout où vous regardez. On dirait que les sociétés essayent tout le temps de pousser les enfants comme moi à faire acheter à leurs parents des choses qui ne sont pas vraiment bonnes pour nous ou pour la planète. Les jeunes enfants sont particulièrement attirés par les emballages colorés et les jouets en plastique. J’avoue que j’étais comme ça. Je pensais aussi que toute notre nourriture venait de ces petites fermes idylliques où les cochons se roulaient dans la boue et les vaches broutaient toute la journée.

J’ai découvert que c’est ce n’est pas vrai. J’ai commencé à faire des recherches sur internet, dans des livres et dans des documentaires, pendant mes voyages avec ma famille. J’ai découvert le côté sombre du système de la nourriture industrielle. D’abord il y a les graines et les organismes génétiquement modifiés. C’est quand une graine est manipulée dans un laboratoire pour faire quelque chose qui n’était pas prévu par la nature — comme prendre l’ADN d’un poisson et le mettre dans l’ADN d’une tomate — berk.

Ne vous méprenez pas, j’aime les poissons et les tomates, mais c’est juste malsain. Ensuite les graines sont plantées et grandissent. Il a été démontré que la nourriture ainsi créée provoque le cancer et d’autres problèmes chez les animaux de laboratoire. Et les gens mangent cette nourriture depuis les années 90. Et la plupart des gens ne savent même pas que cela existe. Est-ce que vous saviez que les rats qui mangent du maïs transgénique ont développé des signes d’infection du foie et des reins ? Dont des inflammations et des lésions des reins et une augmentation de leur masse. Et pourtant, presque tout le maïs que nous mangeons est génétiquement modifié d’une manière ou d’une autre. Et laissez-moi vous dire qu’il y a du maïs partout. Et ne me lancez pas sur les opérations d’alimentation des animaux enfermés appelé CAFOS.

Les fermiers traditionnels utilisent des engrais chimiques à base d’énergie fossile qu’ils mélangent à la terre pour faire pousser les plantes. Ils le font parce qu’ils ont épuisé tous les nutriments du sol à force de faire pousser les mêmes plantes tout le temps. Et puis, des produits chimiques plus toxiques sont vaporisés sur les fruits et les légumes, comme les pesticides et les herbicides, pour tuer les mauvaises herbes et les insectes. Quand il pleut, ces produits chimiques sont absorbés par la terre, ou s’infiltrent dans nos cours d’eau,empoisonnant aussi notre eau. Ensuite ils irradient notre nourriture, pour la faire durer plus longtemps, pour qu’elle puisse voyager sur des milliers de kilomètres de là où elle a poussé jusqu’à nos supermarchés.


Alors je me demande, qu’est-ce que je peux faire ? Comment puis-je changer cela ?

Et voici ce que j’ai trouvé. J’ai découvert qu’il existe un mouvement pour améliorer les choses. Il y a quelque temps, je voulais être footballeur professionnel. J’ai décidé que je préférerais plutôt être agriculteur biologique. Et comme ça je peux avoir plus d’impact sur le monde. Cet homme, Joel Salatin, ils l’appellent le fermier fou parce qu’il cultive sans tenir compte du système. Comme je suis mes cours à la maison, j’ai pu aller l’écouter un jour. Cet homme, ce fermier fou, n’utilise pas de pesticides, d’herbicides ou de graines transgéniques. Et à cause de cela, le système le qualifie de fou.

Je veux que vous sachiez que l’on peut tous faire une différence en faisant des choix différents, en achetant notre nourriture directement chez des fermiers locaux, chez nos voisins que nous connaissons depuis toujours. Il y a des gens qui disent que la nourriture bio ou locale est plus chère, mais est-ce vraiment le cas ? Avec tout ce que j’ai appris sur le système de production alimentaire , j’ai l’impression que soit on paye le fermier, soit on paye l’hôpital. Et maintenant je sais une fois pour toute ce que je choisirais. Je veux que vous sachiez qu’il existe des fermes — comme la ferme Sequachie Cove de Bill Keener au Tennessee — où les vaches mangent de l’herbe et les cochons se roulent dans la boue, juste comme je le pensais.

Parfois je vais à la ferme de Bill et je participe comme bénévole, pour voir en personne et de près d’où vient la viande que je mange. Je veux que vous sachiez que je crois que les enfants mangeront des légumes frais et de la bonne nourriture s’ils ont plus d’informations et s’ils savent vraiment d’où elle vient. Je veux que vous sachiez qu’il y a des marchés bio qui apparaissent dans toutes les communautés. Je veux que vous sachiez que moi, mon frère et ma sœur aimons vraiment manger des chips de chou. J’essaye de faire passer ce message partout où je vais.

Il n’y a pas si longtemps, mon oncle a proposé des céréales à mon cousin de six ans. Il lui a demandé s’il voulait des céréales bio Toasted O’s ou celles couvertes de sucre — vous savez celles avec le grand personnage de dessin animé sur la boite. Mon petit cousin a dit à son père qu’il préférerait avoir les céréales bio parce qu’il ne devrait pas manger de céréales qui brillent. Et c’est comme ça mes amis que nous pouvons faire une différence,un enfant à la fois.

Alors la prochaine fois que vous allez faire des courses, pensez local, choisissez organique, connaissez votre fermier et votre nourriture. Merci. »

Regardez la vidéo ici «Quel est le problème avec notre système alimentaire » :

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture puis allez dans options sous-titres « oui » , puis traduire en français

Des millions de personnes de 250 villes du monde entier ont défilé pour protester contre Monsanto et les cultures OGM. L’événement a été à peine mentionné par les médias . Les militants, blogueurs et les médias sociaux luttent contre Monsanto et d’autres sociétés du mal comme celles qui sont dirigées par les frères Koch, pour obtenir des informations sur le développement et même une application de téléphone intelligent qui permet aux gens de facilement boycotter les frères Koch et Monsanto cliquez ICI.

Source : espritsciencemetaphysiques.com

jeudi 6 novembre 2014

« TISA » = DES NÉGOCIATIONS COMMERCIALES SECRÈTES QUI MENACENT NOS VIES, NOS DROITS ET NOS LIBERTÉS


« TISA », ces négociations commerciales secrètes qui visent à accélérer privatisations et dérégulations...

TISA est un accord commercial dont personne ne parle, négocié dans l’opacité la plus totale.

50 pays, parmi les plus fervents défenseurs de la libéralisation, ont négocié en secret, de l’ouverture du « marché des services » à la concurrence internationale : Éducation, santé, transports, télécommunications, services financiers... Tout est sur la table des négociations. 

Sans que les citoyens ou parlementaires aient leur mot à dire. Les négociateurs – soumis aux fortes pressions des lobbys – étaient à Genève en juin 2014 pour le 7ème round de ces pourparlers internationaux, qui commençaient déjà à avoir de graves répercussions, et de toute évidence, depuis, cela menace les services publics et les tentatives de régulation du secteur financier. 

Cela, enfin a des répercussions dans presque toutes les sphères de la société : la sécurité nationale, les médias, les droits, les infrastructures, les institutions, la culture, le patrimoine, l’enseignement, les soins médicaux, la sécurité d’emploi, la taxation, l’inflation, l’environnement… etc…

Entre autre, ce pourrait être la fin des services publics, de l’eau, de l’éducation, ou de la santé ; la fin de toute volonté de réguler les marchés financiers ou de protéger les données des citoyens. Bref, une entrave encore jamais vue à l’exercice de la démocratie et au fonctionnement des politiques publiques.

L’Accord sur le commerce des services (ACS) ou « Trade in Services Agreement » (« TISA ») est actuellement en cours de processus entre une cinquantaine de pays [1], dont ceux de l’Union européenne. Il a été lancé par les États-Unis et proposé à des pays membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), baptisé le groupe des « Vrais Bons Amis » (the « Really Good Friends »).

Décisions prises en catimini…

Ces négociations se sont déroulées hors du cadre de l’OMC, avec beaucoup de discrétion, avec les pays les plus partisans de la "libéralisation des services", contrariés par l’impasse des négociations de Doha lancées en 2001 [2].

Ces pays représentent plus de deux tiers du commerce mondial des services. De nombreux domaines sont concernés : éducation, transports, poste et télécommunications, services de comptabilité et d’audit, ingénierie et logistique, santé, assurance, nouvelles technologies et transfert de données, recherche, banque et services financiers... Objectif : ouvrir encore davantage les services à la concurrence internationale et empêcher toute intervention publique.

« Ces négociations sont l’opportunité la plus prometteuse en deux décennies pour promouvoir le commerce des services à l’échelle internationale », s’enthousiasme le lobby de l’industrie des services aux États-Unis. 

La Coalition internationale des industries de service (GSC), dont fait partie le Medef, est encore plus explicite : cet accord a été conçu « pour apaiser la frustration des entreprises, en raison de l’impasse du Cycle de Doha en matière de services », écrit-elle [3].

Interdire toute intervention des États...

« Il s’agit d’une tentative d’insidieusement et secrètement étendre les aspects les plus néfastes de l’infâme accord AGCS qui a suscité dans le passé des protestations mondiales », répond Rosa Pavanelli, secrétaire générale de l’Internationale des services publics (ISP). Selon cette organisation, qui fédère les syndicats du secteur et représente 20 millions de travailleurs, l’ACS limiterait la capacité des gouvernements à légiférer dans certains domaines, comme la sécurité des travailleurs, l’environnement ou la protection des consommateurs.

« L’ACS s’inscrit dans cette nouvelle vague inquiétante d’accords commerciaux et d’investissement, reposant sur des pouvoirs juridiquement contraignants qui institutionnalisent les droits des investisseurs et interdisent toute intervention des États dans un large éventail de secteurs indirectement liés au commerce », décrit l’organisation internationale dans un rapport détaillé.

Plusieurs aspects de l’accord sont vivement critiqués par les organisations syndicales et non-gouvernementales. En premier lieu, tout secteur qui n’est pas explicitement exclu, protégé par chaque pays, pourrait être concerné par l’accord.

Avec tous les dangers que cela comporte, ces accords ouvrent, notamment, la porte à un afflux d’entreprises privées dans le secteur éducatif, (alerte la fédération internationale des syndicats d’enseignants). Une clause de statu quo viendrait figer les niveaux actuels de libéralisation des services dans chaque pays, rendant impossible toute remunicipalisation des services de l’eau par exemple, ou compliquant la création ou le rétablissement de monopoles publics dans des domaines actuellement ouverts à la concurrence [4].

Autre principe : la "clause à effet de cliquet" (sic), qui viendrait figer toute future libéralisation d’un service donné. Une partie de l’assurance chômage est privatisée, comme au Royaume-Uni ? La retraite est démantelée au profit de fonds de pension ? Impossible de revenir en arrière !

Une atteinte aux libertés démocratiques fondamentales, dénonce la fédération syndicale internationale, qui voit dans ce futur accord un moyen de « rendre pérenne et irréversible un système de privatisations pour toutes les générations à venir ».

Des gouvernements complètement liés par les décisions de leurs prédécesseurs : voilà qui porterait gravement atteinte au fonctionnement des démocraties !

Verrouiller les privatizations...

Autre problème : l’accord pourrait imposer aux autorités publiques une "obligation de neutralité économique" entre prestataires de services publics et privés, dénonce l’ISP. En clair, tout soutien financier apporté aux services publics devrait être ouvert au secteur privé.

« Si dans un domaine, des services privés existent à côté des services publics (par exemple hôpitaux, écoles), les deux auraient droit aux mêmes subventions, au nom de la "concurrence libre et non faussée" », explique le collectif Stop-Tisa.

« Ainsi, par exemple, une université américaine pourrait s’établir en Suisse demandant un financement à la hauteur des universités publiques, aux frais du contribuable. »

Un État qui subventionne la construction d’un hôpital public devra-t-il bientôt financer également une clinique privée dans les environs ? Autant de critiques reprises dans un document de la Commission européenne, qui fait la synthèse d’une consultation sur le sujet auprès des "décideurs" et "ONG".

Les négociations ont débuté en février 2012 et devraient se terminer en 2015. Les négociateurs des pays concernés se réunissent régulièrement à Genève, sous la conduite des États-Unis et de l’Australie [5].

En juin 2013, un communiqué lapidaire annonçait déjà que « les membres de l’OMC explorant de nouvelles approches visant à faire progresser la libéralisation du commerce des services sont satisfaits des progrès des discussions sur un accord sur le commerce des services (Tisa) ». Ils invitent les autres pays membres de l’OMC qui partagent ces objectifs à les rejoindre.

La Chine, soutenue par la Commission européenne, a demandé à participer aux négociations. Ses divergences avec les États-Unis sur d’autres accords commerciaux ne lui ont pas permis d’être admise pour le moment à la table des discussions.

Des négociations très secrètes...

En novembre 2013, les participants ont estimé que l’accord était suffisamment « mûr » et ont lancé l’étape "d’échange d’offres initiales" : chaque pays doit préciser les secteurs qu’il souhaite inclure dans l’accord, et les modalités qu’il propose concernant "l’ouverture" à la concurrence internationale de ces secteurs, selon un cadre pré-déterminé par l’accord.

Début 2014, la plupart des pays ont échangé ces propositions, qui sont la base des discussions en cours. Certains comme la Suisse ou la Norvège les ont rendues publiques [6], d’autres pays semblent peu enclins à les diffuser auprès de leurs citoyens.

On ne sait pas grand chose non plus du contenu des négociations et des termes de l’accord général... Elles « se déroulent dans le plus grand secret au mépris des droits démocratiques », souligne Rosa Pavanelli.

En février 2013, la Commission européenne a demandé au Conseil, représentant les États membres, de donner son feu vert aux discussions. L’ouverture des négociations a ensuite été validée par le Parlement européen en juillet 2013, par 526 voix pour et 111 contre [7], avec pour la France, les voix du PS et de l’UMP. Front de gauche et écologistes ont voté contre.

Dans sa résolution, le Parlement regrette cependant que le Conseil ait accordé un mandat sans prendre en compte l’avis des eurodéputés. Et observe « que le mandat de négociation de l’Union européenne a été proposé par la Commission et adopté par le Conseil sans aucune analyse d’impact ». Ce qui n’a pas empêché une large majorité de députés de voter... Quand les intérêts économiques sont en jeu, la démocratie devient visiblement facultative !

Les États-Unis et le Canada ont été fort insistants en ce qui a trait à la radicalité des opérations qui devront être menées de concert part tous les pays participant à cette coalition. Les États-Unis et le Canada bien que fortement impliqués dans ces changements qui influenceront l’économie mondiale ont décidé d’agir sournoisement, dans le secret, de manière détournée.

Les lobbies industriels consultés, pas les citoyens...

Wikileaks vient de briser un peu de l’opacité qui règne sur ces négociations, en divulguant l’annexe de l’accord concernant les services financiers. D’après ce document, principalement rédigé par les États-Unis et l’Europe, les propositions sont classées confidentielles pendant « cinq années à dater de l’entrée en vigueur de l’ACS ou, si aucun accord n’est trouvé, cinq années après la clôture des négociations ».

Le document précise que la divulgation n’est pas autorisée et que le texte doit être « conservé dans un bâtiment, une pièce ou un contenant verrouillé ou sécurisé » (document à lire ici).

Visiblement, les lobbys de l’industrie des services ont davantage accès aux informations que les citoyens et leurs représentants : la « Global Services Coalition » a envoyé des délégués à Genève lors du round de négociation d’avril 2014 ; et se félicite dans un communiqué d’avoir pu y affirmer son soutien sans faille au processus et d’avoir partagé sa vision avec les négociateurs.

Un accord plus que « palpitant » pour les entreprises...

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les multinationales des pays concernés sont très motivées par cette perspective d’accord... « Les retombées de TISA pourraient être énormes » pour les entreprises du secteur des services, explique la Chambre de Commerce des États-Unis. Elle estime que ces négociations présentent « une opportunité unique dans une génération pour abattre les obstacles au commerce international ».

« Ce palpitant nouvel accord a le potentiel pour enflammer la croissance économique et la création d’emplois aux États-Unis et à l’étranger », écrit la Chambre de Commerce. Rien que ça !

Un accord tellement « palpitant » qu’il pourrait doubler les exportations de services des États-Unis – soit un gain de 860 milliards de dollars et trois millions d’emplois [8].

Mais tout ça, c’est la théorie. On attend toujours les centaines de milliers d’emplois que devait permettre l’ouverture à la concurrence de plusieurs secteurs au sein de l’Union européenne !

Que demandent les entreprises et leurs représentants ?

Les pays qui signeront l’accord devront d’abord modifier ou éliminer les régulations considérées comme des barrières commerciales. « Si nous reconnaissons la nécessité de certains régulations (pour la sécurité nationale, la protection des données,...), il devrait y avoir des paramètres et des limites à leur application », écrit le lobby américain des industries de service.

Sa bête noire : la distorsion de concurrence entre secteur privé et public.

« La concurrence déloyale de la part d’entreprises subventionnées ou soutenues par les États, ou d’entreprises publiques ou contrôlées par les États, devient un obstacle de plus en plus important à la fourniture de service par des entreprises états-uniennes sur de nombreux marchés ».

Il s’agit de protéger le secteur privé « contre les comportements anticoncurrentiels des entreprises publiques », plaide également la Chambre de Commerce états-unienne. L’accès aux droits, lui, attendra.

Le lobby états-unien du secteur souhaite abolir toute préférence nationale, obligation de localisation ou quotas d’employés locaux. Et libéraliser davantage le secteur des médias et du divertissement.

« Aucun pays ne devrait être autorisé à (...) introduire de nouvelles restrictions ou des exceptions, qui dérogent ou affaiblissent les engagements existants de l’AGCS », suggère-t-il aussi [9].

Les représentants des entreprises demandent que l’accord inclue un mécanisme de règlements des différends. C’est-à-dire l’instauration de tribunaux d’arbitrage privés, pour régler les litiges, dans le cadre d’une juridiction extra-nationale, où les intérêts privés font loi [10]. La Suisse a rédigé une proposition en ce sens lors du dernier round des négociations.

Les régulations financières gelées...

L’accord concerne aussi les services financiers. Et pourrait avoir d’importantes conséquences sur ce secteur.

Malgré la crise bancaire, « les promoteurs de TISA cherchent à déréglementer davantage les marchés mondiaux de services financiers », analyse Wikileaks.

L’annexe sur les services financiers, jusqu’ici restée secrète, « est une proposition que seuls les banksters peuvent aimer », dénonce l’avocate Lori Wallach, de l’ONG états-unienne Public Citizen : le principe de statu quo, cité dans cette annexe, empêcherait par exemple de mettre en place de nouvelles réglementations financières, jugées nécessaires par les gouvernements, au motif que cela constituerait des restrictions pour les entreprises concernées. Résultat : l’accord gèlera les régulations financières à leur niveau actuel, qui demeure nettement insuffisant pour prévenir de nouvelles crises bancaires, estime l’avocate. De quoi accroître le risque d’instabilité financière pour les années à venir.

Cette annexe montre également la ferme volonté des États-Unis d’obtenir la libéralisation des flux de données. C’est-à-dire de permettre l’échange sans entrave entre pays des données personnelles et financières. Une menace pour les libertés fondamentales, car certains pays participants à ces négociations sont beaucoup moins exigents que l’Europe concernant la protection des données. Le lobby international des services souhaite d’ailleurs une disposition qui oblige les autorités publiques à justifier toutes les mesures qui viendraient restreindre les transferts de données entre pays [11].

Un accord étendu à toute la planète ?

« Ce qui est terriblement inquiétant, c’est que l’ACS est négocié en dehors du cadre commercial multilatéral par les pays les plus favorables à la libéralisation, qui ne cachent pas leur volonté d’entraîner le reste du monde dans cet accord, une fois ce dernier finalisé », explique Rosa Pavanelli.

Les négociateurs cherchent à rendre cet accord compatible avec le cadre de l’OMC. Ou dans le langage de la Commission européenne : « Veiller à ce que la structure de l’accord permette une future multilatéralisation. »

Une manière de permettre aux 50 pays signataires de faire ensuite pression sur les autres membres de l’OMC pour qu’ils acceptent ces règles [12]. De quoi affaiblir la position des BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud – pour l’instant exclus de ces négociations, ou des pays d’Afrique, complètement ignorés.

Un comité Stop TISA ! s’est structuré et une pétition a été lancée (voir ici).

Une lettre signée par 340 organisations non-gouvernementales exprimant leur opposition aux négociations a été envoyée aux ministres du Commerce, en 2013. Mais, rien n’y fit… Les négociations ont continués à se faire, et les décisions drastiques se sont prises.

Vu les enjeux démocratiques, économiques et politiques, ainsi que l’opacité de ces négociations, et les répercussions prenant de l’ampleur ; la mobilisation pourrait prendre aussi de l’ampleur dans les mois à venir...

Mais il faut considérer aussi que dans les mois à venir, les individus et les peuples trouveront de plus en plus d’obstacles et d’adversité dans leurs démarches. Il sera de plus en plus difficile de s’opposer aux processus mis en marche par ces décideurs autocrates.

Les dirigeants de nos nations, de nos villes, de nos communautés seront contraints de nous imposer des régimes d’austérité et, décontenancés, ils devront nous abandonner à notre désarroi.

D’après un article d’Agnès Rousseaux *(@AgnesRousseaux)
Trouvé sur bastamag.net


Pour aller plus loin :

Le rapport de l’Internationale des Services publics (avril 2014)

- Le site du Collectif Stop-Tisa

- La lettre envoyée par 340 organisations aux ministres du Commerce (septembre 2013).

- Le kit de campagne de l’Internationale des Services publics
Note d’information de l’Internationale de l’Éducation, fédération européenne de syndicats enseignants (août 2013).

- L’annexe concernant les services financiers, révélée par Wikileaks, et son analysepar Jane Kelsey, professeur à l’Université de droit d’Auckland, Nouvelle-Zélande (juin 2014).

- Le Mémo de la Commission européenne sur le sujet (février 2013).

- Le texte de la résolution votée par le Parlement européen le 26 juin 2013, et laproposition alternative déposée par des eurodéputés du groupe Verts/ALE.

- La synthèse de la Consultation lancée par la Commission européenne auprès des « décideurs et ONG ».

- Les positions de Coalition of Service Industries (lobby états-unien)
- Les positions de European Services Forum, la voix des industries de service européennes
- Les positions de la Chambre de Commerce des États-Unis.

- La lettre de la Global Services Coalition, coalition internationale des industries de service, au Commissaire européen au Commerce, Karel de Gucht.

- Le suivi des négociations en Australie
- Le suivi des négociations en Suisse.
- Le suivi des négociations en Norvège.
- Le suivi des négociations (offre initiale) de l’Islande.

À lire aussi, cette enquête sur Tafta, un autre accord commercial en cours de négociation : Accord Europe - États-Unis : que nous réserve la plus grande zone de libre-échange du monde ?

mercredi 5 novembre 2014

LE CANON LASER DE BOEING DÉCOUPE LA BANQUISE !


"The flying laser cannon" (Le canon laser volant de Boeing) qui se trouve être déjà opérationel, et tout comme le site anglophone l'indique lui même en cliquant sur Le canon laser de Boeing (Le canon laser volant) que vous pouvez observer en image ci-dessous, pour qu'ensuite ces blocs de glace gigantesque de plus de 700 mètres de longs soient découpés en morceau puis transporté à partir des stations de recherches scientifique jusqu'à des bases militaires secrètes situés aux 2 pôles pour être ensuite embarqué sur des navires militaire, mais aussi sur des navires de recherches scientifique, puis dans des pétroliers et des tankers en direction des pays du golf et désertique ayant les moyens financiers de se procurer de l'eau pour les élites de la population mondiale qui fait pousser la verdure de ses déserts..ils font fondre la banquise pour pouvoir exploiter les réserves de gaz et de pétrole c'est pour cette raison qu'ils sont tous présents dans la zone pour se partager le gateau, évidement ce sera la faute de vous et du réchauffement climatique .

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LES "TROUS DE VIRGA" ???

Voir l'image sur Twitter
"Trous de Virga" - État de Victoria, en Australie

Les "Trous de Virga"... des nuages hors du commun dans le ciel dans l'État de Victoria, en Australie

Apparemment, ces insolites trous se forment quand la température baisse au sein du nuage.

Des nuages étranges, en forme d'ovnis, sont apparus ce lundi dans le ciel de l'Etat de Victoria, dans l'est de l'Australie. Il s'agit d'un phénomène météo assez rare: les trous de Virga. Les photographes amateurs s'en sont donnés à coeur joie.

En anglais, on appelle ça les "fallstreak holes". En français, ça donne les "trous de Virga ". C'est un phénomène météorologique aussi rare qu'impressionnant qui donne aux nuages des formes de soucoupes volantes.

Ce lundi, dans l'est de l'Australie, des dizaines de photographes amateurs ont immortalisé et partagé des images de ces trous, aperçus dans le ciel de l'Etat de Victoria, en particulier dans la région de Gippsland. 

Voir l'image sur Twitter
"Trous de Virga" - État de Victoria, en Australie

D'après la chaîne ABC, ces trous apparaissent quand une partie des goutelettes d'eau qui forment le nuage se transforment en cristaux de glace et tombent sous la couche nuageuse. En se transformant, elles provoquent l'évaporation des gouttes autour d'elles et ça créée, par effet de domino, un trou sur le pourtour du nuage.

Le phénomène est plutôt rare, mais il a déjà été observé par le passé :



voir aussi ici : trous de virga