samedi 23 juillet 2011

DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE : LES SCIENTIFIQUES DU "CERN" BÂILLONNÉS !

Du jamais vu. Le big boss du CERN a interdit à ses équipes de tirer des conclusions scientifiques d'une expérience chargée de déterminer le rôle des rayons cosmiques dans la formation des nuages, et donc... du réchauffement climatique. Au CERN, le climat se refroidit...

Le CERN mène actuellement, depuis 2009, une expérience dénommée "CLOUD" ("Cosmics Leaving Outdoor Droplets"). Une étude chargée de déterminer le rôle des rayons cosmiques dans la formation des nuages. Une publication était (très) attendue pour cet été. Mais le taulier du CERN, Rolf-Dieter Heuer, a interdit à ses équipes de publier leurs conclusions. Ça jette un froid...

"GLOBAL SCIENTIFIC WARNING"
"CLOUD" se base sur les hypothèses du physicien danois Henrik Svensmark, qui soupçonne les rayons cosmiques de constituer des "germes" permettant la formation de gouttelettes en suspension, et donc, des nuages. Une petite modification de la surface nuageuse engendrant d'importantes variations du rayonnement solaire au sol, la température globale de la terre pourrait dès lors être affectée par les fluctuations de l'intensité de ces rayons cosmiques.

Pour simplifier à l'extrême la vision de Svensmark, les nuages ne seraient pas le résultat du climat terrestre, c'est le climat qui serait en réalité le résultat des variations de la couverture nuageuse, et donc de l'intensité des rayons cosmiques, qui dépend de la force des champs magnétiques solaire et terrestre. Rien à voir avec l'activité humaine, donc... Problème : cette hypothèse n'a jamais été prise en compte par la communauté scientifiques (Le GIEC notamment, qui fait la pluie et le beau temps sur les décisions internationales relatives au climat).

Des scientifiques la tête dans les nuages...
"Les résultats [de CLOUD] seront publiés d'ici peu. J'ai demandé à mes équipes de présenter les résultats de façon claire, mais de ne pas les interpréter. Ils seraient immédiatement jetés dans l'arène du débat hautement politique sur le changement climatique" a affirmé au Welt Online le Directeur Général du CERN. Ce qui amène plusieurs conclusions, évoquées par Nigel Calder, un journaliste scientifique renommé:

- Si le CERN a aussi peur de l'impact politique de ses résultats, c'est qu'ils vont certainement dans le sens de la théorie de Svensmark, ce qui ferait planer quelques nuages sur l'antienne scientifique du rôle de l'activité humaine dans le réchauffement climatique global.

- Le CERN a rejoint la longue liste d'instituts scientifiques "politiquement corrects" (faudrait-il plutôt dire "climatologiquement correct" ?). En clair, les scientifiques sont d'accord pour entrer dans l'"arène" politique... dès lors que leurs résultats vont dans le sens des théories dominantes. De fait, le CERN a cessé d'être un institut véritablement scientifique.

- Et, accessoirement, la publication attendue risque d'être assez... ennuyeuse.

Un petit graphe, pour la route, publié par "The Register" à partir des données de Svensmark : la première courbe représente les variations de température dans l'hémisphère nord (selon les différentes méthodes d'évaluation), la seconde retrace l'évolution de l'intensité des rayons cosmiques (selon les différentes méthodes d'évaluation). Le tout ramené à l'échelle du temps.

"Les politiciens, il y en a, pour briller en société, ils mangeraient du cirage", disait Coluche. Et maintenant, ça marche aussi pour les scientifiques !

Source: W41K.info

vendredi 22 juillet 2011

AU BANGLADESH DES INONDATIONS ET DES PLUIES TORRENTIELLES !!!

Dacca, 22 juillet 2011 - Des pluies torrentielles et des glissements de terrain dans le sud-est du Bangladesh ont fait au moins quatre morts et plus de 200.000 sinistrés au cours des trois derniers jours, ont annoncé les autorités locales vendredi.

Le centre gouvernemental de prévention et de prévision des intempéries a indiqué que plus de 49 centimètres d'eau étaient tombés depuis mercredi sur le district de Cox's Bazaar, le plus touché par les intempéries, inondant au moins 200 villages de cette région vallonnée.

Un enfant a été enseveli par une coulée de boue due à un glissement de terrain et trois autres personnes ont été emportées par des torrents d'eau, a déclaré à l'AFP l'administrateur en chef du district de Cox's Bazaar, Zainur Bari.

Deux autres personnes étaient portées disparues et plus de 200.000 autres ont été bloquées par les inondations, a-t-il ajouté. Environ 3.200 familles ont dû trouver refuge dans des écoles, des abris conçus en cas de cyclone ou sur les hauteurs.
Les pluies torrentielles dans le sud-est du Bangladesh sont souvent meurtrières en raison du mode d'habitat fragile et exposé: des dizaines de milliers de personnes vivent dans des huttes de fortune sur des terrains déboisés ou sur les flancs boueux des collines.


En juin l'an dernier, de fortes précipitations et des glissements de terrain avaient fait 57 morts dans le même district.

Source ©AFP

LA CANICULE : DES CHALEURS RECORDS !!!

Plus d'un millier de records de chaleurs battus , 1079 pour être précis, depuis le début du mois de Juillet aux états unis, températures qui frôlent et parfois dépassent les 50 degrés Celsius. Pour une vague de chaleur c'est une vague de chaleur qui étouffe quotidiennement les américains depuis déjà plusieurs jours.

Cette canicule s'étend du Texas au Dakota, de l'Illinois jusque dans l'Indiana, et gagne chaque jour un peu plus la côte ouest.Selon la presse américaine on compte déjà 13 décès dans les 24 états touchés de plein fouet.

On annonce déjà 46°C à New York pour la fin de la semaine, et tous les météorologues prévoient que cette vague de chaleur risque de durer jusqu'au début du mois d'aout.

Mais où se cacher sous tant de chaleur quand le mercure voisine avec les zones rouges, 54,4 degrés Celsius dans l'Iowa, , et même si beaucoup de "centres de rafraichissement" ont été ouvert dans plusieurs villes, la chaleur reste tout de même très humide suite aux importantes inondations qu'à connu le pays, et elle s'infiltre partout. Les sols gorgés d'eau recrachent leurs vapeurs, augmentent l'humidité ambiante qui est prise dans un four. Ils leur faudra faire dos ronds et attendre que le ciel s'assoupisse.

Dans le sud, à Carlsbad au Nouveau Mexique on a compté 233 jours sans un goutte de pluie, du jamais vu depuis 117 ans.

Les services d'urgence des états unis ont déjà comptabilisé 36.424 incendies depuis le début de l'année, bref, tous les records sont battus.

©MA/NA

LA VAGUE INTENSE DE CHALEUR FAIT FONDRE L’ARCTIQUE À UNE VITESSE ALARMANTE

Selon les scientifiques, l'Arctique perd chaque jour 120.000km2 de glace...

Une vague de chaleur fait fondre l’Arctique à une vitesse record: D’après le National snow and ice data center (NSDIC) du Colorado, la banquise perdrait chaque jour près de 120.000km2 depuis le début de l’année. Si ce rythme se confirmait en juillet, ce serait le record depuis 1979, date des premières mesures sur les glaces de l’Arctique.

Six à huit degrés de plus que d’habitude
Le 17 juillet dernier, les eaux gelées représentaient 7,5 millions de km2 dans l’océan Arctique, soit 2,2 millions de moins que la moyenne observée entre 1979 et 2000. Cette année, la glace a commencé à fondre, selon les endroits, deux semaines à deux mois plus tôt que d’habitude. Les fortes pressions observées en mer de Beaufort depuis le mois de juin ont provoqué une hausse des températures de six à huit degrés au dessus des normales saisonnières.

Julienne Stroeve, chercheuse au NSDIC, explique que le ciel découvert au dessus de l’Arctique a également favorisé la pénétration des rayons du soleil. Le refroidissement observé en juillet pourrait ralentir la fonte des glaces, mais Julienne Stroeve ne préfère pas faire de prévisions: «Il est trop tôt pour savoir si nous atteindrons un record, mais je pense que c’est possible», a-t-elle déclaré à Live Science.





Source : A.C. et AFP via "Nature Alerte"

L'ONU PRÉVIENT QUE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE RISQUE DE MULTIPLIER LES DÉSASTRES

NEW YORK (Nations unies) - Un haut responsable de l'ONU a averti mercredi devant le Conseil de sécurité qu'avec les changements climatiques qui s'accélèrent, les catastrophes naturelles vont se développer de façon exponentielle avec des conséquences pour la sécurité mondiale.

Bien que la science ne puisse encore comprendre toutes les raisons qui entraînent le réchauffement climatique, le changement de climat est une réalité qui touche tous les secteurs de la société, a souligné Achim Steiner, directeur général du Programme pour l'environnement des Nations unies.

M. Steiner s'est basé sur un scénario d'une élévation des températures de 3 à 4 degrés au cours du siècle et une augmentation du niveau des mers d'un mètre.

Les menaces sont nombreuses, a-t-il souligné, citant la sécheresse en Somalie actuellement, les inondations au Pakistan et leurs implications pour le marché de l'alimentation.

L'étendue de ces désastres naturels va augmenter de façon exponentielle, sans que nous n'en connaissions encore toutes les implications, a-t-il déclaré.

Deux régions du sud de la Somalie, frappées par une sécheresse gravissime, ont été déclarées en état de famine mercredi par les Nations unies, qui parlent de la plus grave crise alimentaire en Afrique en 20 ans et appellent à la mobilisation pour éviter que la situation empire.

Les signes du changement climatique ne sont pas seulement en train de se produire, ils s'accélèrent, a-t-il insisté.

Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a ajouté: Nous ne devons pas nous voiler la face, le changement climatique est une menace pour la sécurité internationale.

Les famines, la hausse du niveau des mers sont des menaces contre la paix et la sécurité, a-t-il dit.

La prochaine conférence des Nations unies sur le climat de Durban en Afrique du Sud qui aura lieu en décembre, doit être décisive. Les pays développés doivent prendre la tête des actions mais les nations émergentes doivent aussi assumer leur part. Il ne peut pas y avoir de simples spectateurs, a-t-il dit.

Source ©AFP / 20 juillet 2011

LA FRANCE PREND DES DISPOSITIONS...
Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, a présenté aujourd’hui, en présence de Jean JOUZEL, Vice-Président du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), le plan français d’adaptation au changement climatique, premier plan de cette ampleur dans l’Union européenne.

Hausse des températures, sécheresses plus intenses et plus fréquentes, baisse des précipitations estivales ou encore fonte des glaciers sont attendues dans les prochaines décennies. Les experts du Giec, réunis cette semaine à Brest, estiment en particulier qu’une hausse de +2°C est inéluctable d’ici la fin du siècle, quels que soient les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre qui pourront être déployés. Ces changements climatiques auront des conséquences très importantes sur la ressource en eau, la biodiversité, le niveau de la mer…. et affecteront de nombreux secteurs d’activités (agriculture, tourisme, infrastructures, urbanisme, santé…).

La lutte contre les changements climatiques repose sur deux leviers :

la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour contenir le réchauffement.
l’adaptation de la société à ce climat modifié : il s’agit de se préparer dès maintenant pour prévenir les risques humains, environnementaux, matériels, et financiers.

« L’homme et la nature ont sans doute la capacité de s’adapter spontanément aux bouleversements engendrés par le changement climatique. Mais à quel prix et en combien de temps ! Il est certain que si l’on ne se prépare pas, les coûts et les dommages seront alors bien supérieurs. Si le changement climatique ne fait aujourd’hui aucun doute, il subsiste cependant des incertitudes sur l’ampleur de ses impacts. C’est pourquoi ce plan combine à la fois des actions d’anticipation concrètes et des mesures de surveillance et d’amélioration des connaissances de l’environnement », explique Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET.

Fruit d’une concertation avec l’ensemble des représentants de la société civile, ce plan constitue un ensemble de plus de 80 actions détaillées, déclinées en près de 230 mesures pour la période 2011-2015. Aux 171 millions € directement dédiés aux nouvelles mesures s’ajoutent 391 M€ au titre des Investissements d’Avenir qui participeront de près ou de loin à l’adaptation, notamment dans les domaines de la biodiversité, de la santé, ou de l’agriculture. Par ailleurs, plusieurs mesures déjà financées dans le cadre du plan sécheresse et du plan submersion rapide (500 M€ sur 2011-2016) participent également de son financement.

La grande majorité des actions seront engagées en 2011 et 2012. Elles visent notamment à :

Économiser et optimiser l’utilisation de l’eau : 2 milliards de m3 par an est le déficit estimé à l’horizon 2050 pour satisfaire les besoins en considérant une stabilité de la demande. Le plan prévoit donc un ensemble de mesures pour économiser 20% d’eau prélevée en 2020, à travers l’action des Agences de l’eau, des programmes de détection et réduction des fuites dans le réseau et d’aide à la récupération des eaux de pluie ou des eaux usées.

Développer les savoirs sur les maladies émergentes et renforcer les dispositifs de surveillance : le réchauffement du climat devrait accélérer dans les prochaines années l’apparition ou l’amplification de certaines pathologies (dont les allergies) ou vecteurs de maladies. Des études seront lancées en 2011 pour renforcer la surveillance des pollens mais aussi des insectes vecteurs et des microorganismes qui pourraient profiter du réchauffement climatique. Un groupe de veille santé-climat sera également créé au sein du Haut conseil de la santé publique (HSCP) chargé d’évaluer les données, d’alerter et de faire des recommandations aux pouvoirs publics.

Adapter la politique d’aménagement du territoire : élévation du niveau de la mer, déformation des rails sous l’effet de la chaleur, dégradation des routes due à des cycles de gel/dégel plus fréquents sont autant de risques à prendre en compte dès maintenant. Pour s’assurer que les investissements publics (route, barrage…) prévus pour 50 ans ou plus restent toujours efficaces face aux nouveaux aléas climatiques, le plan prévoit de renforcer l’observation des côtes françaises, d’intégrer le risque de submersion dans les plans littoraux ou encore de revoir les normes techniques pour la construction des routes.

Diversifier les espèces et prévenir les incendies de forêts : l’assèchement du sol et la hausse des températures conduiront à terme à la disparition de certains végétaux, à la multiplication des feux de forêts et à leur extension vers de nouvelles zones jusqu’ici épargnées. Le plan prévoit donc d’adapter de nouvelles générations d’arbres à travers la diversification des ressources génétiques, d’identifier des espèces résistantes et d’aider financièrement les exploitants forestiers à engager cette mutation.

Le plan fera l’objet d’un suivi annuel dans le cadre d’un Comité d’évaluation associant les 5 collèges du Grenelle de l’Environnement, d’une évaluation à mi-parcours fin 2013 et d’une évaluation finale fin 2015, afin de préparer la suite.

jeudi 21 juillet 2011

ENCORE DES HÉCATOMBES DE POISSONS!!!

Les hécatombes de poissons continuent...
Ces dernier temps il semble même que se soit devenu assez commun, dans le sud de la Louisiane par exemple hier, ou encore sur les plages du sud ouest de la Floride en début de semaine .

À propos de l’inquiétude des riverains du lac de Prairieville en Louisiane, qui ont retrouvé des milliers de poissons morts flottant sur le lac du village, les chercheurs de l'agence de la "Wildlife and Fisheries" (faune sauvage et pêche) ne se déplacent même plus pour approfondir les investigations, ils vont même jusqu’à affirmer qu'il n'y a aucune raison de s'en inquiéter. Ils écartent aussitôt tout danger pour la population, et affirment que la forte chaleur est seule responsable de ces hécatombes de poissons; Elle provoque l'évaporation des lacs et entraine leur désoxygénation.

"En 12 ans je n'ai jamais vu ça" affirme de son coté une riveraine qui reste dubitative, elle a bien tenté de contacter l'agence qui lui a répondu immédiatement que malheureusement elle n'avez aucun budget alloué pour ce type d’enquête, et que,... ben... point à la ligne.



EN FLORIDE...

Du coté de la Floride, c'est des requins, des raies, des crabes et une multitude de poissons que l'on retrouve échoués sur les plages depuis quelques jours.

Tout ces poissons ont commencé à s'échouer lundi matin tout près de la plage de Vanderbilt dans le comté de Collier, juste au nord de la ville de Naples en Floride.

Et la question que se pose tous les chercheurs ici, vous l'aurez bien deviné, c'est de savoir ce qui peut bien être la cause d'une telle horreur, et ils ont beau se gratter la tête, rien n'éclaire leurs neurones.

C'est peut être le stress analyse la biologiste Catalina Brown de la "Fish & Wildlife Research Institute" de st Petersburgs.

"Nous savons que la baie est infestée d'algues depuis quelques temps, la Hiemalis qui n'est pas toxique et la Takayama Tuberculata, qui elle, peut attirer des espèces nouvelles qui relâchent dans les eaux des toxines." (whaou...???....)

Un autre chercheur avance lui que ces invasions subites d'algues dans la baie peuvent avoir été mortelles pour la faune marine." les échantillons que nous avons prélevé ici indiquent tous un taux d’oxygène très bas des eaux, ce qui a pu entrainer une mort massive de poissons. Néanmoins nous continuons nos investigations et pour l'instant rien n'explique ce qui se passe ici."

En revanche après plus de 500 hécatombes massives de poissons enregistrées aux USA seulement (près d'un millier de cas dans le monde) depuis le début de l'année, il nous est toujours impossible de connaitre ou même de consulter les résultats des examens qui ont été effectués. Bref contentons nous du flou, et abandonnons nous à la totale inexistence de réclamation, des ONG, des parties écologistes,des chercheurs,des riverains, des citoyens. Plus rien n'étonne aujourd'hui, la mer comme la terre peuvent bien se retourner,de tout façon cette terre elle est ronde, et a ceux qui flippent pour leur coup de fourchette je dirais même, qu'elle roule sa bille, impeccablement.

Bref sous ces beaux rayons de soleil d'été, continuons à nous graisser la couenne d'UV protector indice XXL, touto va bene...

© MA/NA
Source : Nature Alerte

mercredi 20 juillet 2011

INSOLITE ACTIVITÉ OVNI AUTOUR DU SOLEIL, LES 16 ET 18 JUILLET 2011

Ces images ont été enregistrées les 16 et 18 Juillet 2011 par "SOHO" l'Observatoire solaire et héliosphérique de la NASA.
SOHO a été lancé en 1995 pour étudier le Soleil et est une aventure entreprise en collaboration avec l'Agence Spatiale Européenne (ESA).
Il est prévu que SOHO poursuivra sa mission jusqu'en Décembre 2012.
Les objets observés ici, et filmé par SOHO semblent apparaître et se déplacer dans différentes positions autour du Soleil.
Qu'il s'agissent d'engins extraterrestres ou d'autres choses, il est plutôt difficile de mettre en doute ces images!

LE 16 JUILLET 2011



LE 18 JUILLET 2011