vendredi 21 mai 2010

LA VIE CRÉÉE EN LABORATOIRE

Une nouvelle forme de vie synthétique est née dans un laboratoire

Un biologiste américain affirme avoir créé la première cellule humaine dans l’une des plus grandes percées scientifiques des deux dernières décennies.
Le Dr Craig Venter a déclaré que ses chercheurs avaient construit un brin d’ADN à partir de zéro et l’ont inséré dans une simple bactérie, créant ce qu’on appelle une vie synthétique.
Les applications de l’étude comprennent la production de médicaments et les biocarburants, et peut même contribuer à l’absorption des gaz à effet de serre.

Un rapport publié dans la revue Science détaille comment l’équipe a efficacement stimulé une cellule de levure à prendre une nouvelle vie.

Les scientifiques ont d’abord fait de courts brins d’ADN et les ont mis ensemble pour former un chromosome, qui a ensuite été inséré dans la cellule de levure, en remplacement de son ADN natif.

Ils ont trouvé que la cellule prenait l’allure et le comportement du chromosome transplanté, en produisant des protéines différentes et en se multipliant.

«C’est la première cellule de synthèse qui a été faite, et nous l’appelons de synthèse, car la cellule est totalement dérivé e d’un chromosome de synthèse,” a déclaré le Dr Venter.

«Nous pensons que c’est une étape importante, à la fois scientifiquement et philosophiquement.

«C’est certain que mon point de vue a changé concernant les définitions de la vie et le fonctionnement de la vie.”
Thomas Moore le correspondant de Sky News en matière de santé a déclaré que les scientifiques ont créé une forme de vie encore jamais vue sur la planète.
«D’autres groupes y travaillent à travers le monde, mais le Dr Venter est le premier à l’avoir fait,» dit Moore.
«Il est l’homme qui a ouvert un nouveau chapitre, où nous ne sommes pas simplement observateurs la vie qui a évolué – mais la vie qui est créé dans un laboratoire.”
Le Dr Tom Douglas, Éthicien, a déclaré à Sky News que la recherche a ouvert un certain nombre de dilemmes.
«Certains s’inquiètent toujours de l’idée que cela implique une forme problématique de jouer à Dieu, dit-il et craignent que cla porte atteinte à la distinction entre les êtres vivants et les machines.»
«Je pense que le plus grand problème posé par cette recherche n’a pas vraiment quelque chose à voir avec le fait que c’est la vie artificielle en tant que telle , mais avec le potentiel de ce type de recherche à être détourné pour créer des agents pathogènes qui pourraient être utilisés en armes biologiques.»
Venter, qui dirige le J. Craig Venter Institute dans le Maryland, est devenu célèbre quand il a contesté les scientifiques financés sur fonds publics travaillant sur le Projet du génome humain – la première tentative pour produire une carte complète du code génétique humain.
Il se mit à construire sa propre version privée du génome humain, en utilisant une autre méthode “racourci”.
Alors que son équipe a réussi, la course s’est terminée ex aequo lorsque les deux versions ont été publiées simultanément dans Science en 2001.

Source: (Web Orange «traduction de l’article «Scientists Create Synthetic Life In Lab»)

jeudi 20 mai 2010

MORTS SUSPECTES

Voici une video bouleversante au sujet des décès insolites de témoins de l’événement du 911…
À vous de juger…

SHUTTLE HÉSITE
















Un Objet Volant Non-Identifié retarde l’atterissage de SHUTTLE


Disclose.tv - Mystery UFO Object Forces Delay Of Shuttle Landing Video

mercredi 19 mai 2010

L'ÈRE DE LA BIOMÉTRIE !











Nos dirigeants ont prévu de rendre la biométrie omniprésente dans les années qui viennent. Elle est déjà utilisée dans les entreprises, les prisons, les transports, les écoles, pour les cartes d'identité et les passeports. Une prochaine étape sera de l'utiliser pour les paiements électroniques, dans les magasins ou chez soi, pour les achats effectués sur Internet, et plus généralement pour tout ce qui nécessite une identification.

Notre identité sera alors réduite à un corps scanné et utilisé comme un objet, marchandise parmi d'autres.

L'envahissement de nos vies par la biométrie est le résultat du "sécuritarisme" et de l'instrumentalisation de la peur afin de nous entraîner vers un type de société qui n'a plus rien à voir avec une démocratie.

La biométrie a aussi pour but d'augmenter les profits des multinationales de l'armement, comme Thales et Sagem. En quête de nouveaux débouchés depuis la fin de la guerre froide, ces entreprises ont trouvé un nouveau filon très lucratif avec la sécurité intérieure, en faisant acheter aux gouvernements des technologies pour contrôler et traquer ses citoyens, avec la biométrie, la vidéosurveillance, les logiciels d'identification et de surveillance des foules, les radars pour la répression routière, les armes "non létales", etc…

Voici un très bon documentaire d'Arte sur le sujet, "Le Temps des Biomaitres"...

LE DROIT DE POLLUER!














La Bourse des truands cravatés et des écologistes appâtés!
André Bouthillier
(Source : « L’Aut’Journal »)

Qu’ont en commun Al Gore - président de « Generation Investment Management » (GIM), Pierre-Marc Johnson d’Unisfera, Steven Guilbeault d’Équiterre, Rajendra K Pachauri - président du GIEC, la Fondation David Suzuki, le « Groupe Investissement Responsable inc. », et autres?

Tous vendent à leur façon des permis de polluer! Certains s’enrichissent personnellement, tandis que d’autres financent leur association ou fondation en plumant ces bonnes âmes de la classe moyenne qui, pour sauver leur conscience de consommateurs invétérés, achètent des droits de polluer. Tous ont le même guru, l’ancien vice-président et candidat à la présidence des États-Unis Al Gore, qui, pendant les 8 années de son mandat, n’a rien fait pour l’environnement.

L’approche messianique d’Al Gore a fait ses preuves

Son intervention médiatique pour contrer la pandémie tant redoutée du bogue de l’an 2000, alors qu’il était président du Comité Y2K, a contribué à propulser les firmes informatiques états-uniennes aux Olympes des affaires mondiales et Bill Gates au zénith de sa richesse, en répandant mondialement les plate formes informatiques de conception états-unienne.

Le coup d'Internet réussi, le prêcheur Gore, acoquiné avec plusieurs requins de la finance, se présentait aux médias en 2006 avec une nouvelle cause qui lui ferait tripler sa fortune personnelle.

À l'analyse, force est d'admettre que les intérêts financiers qui promeuvent les thèses du réchauffement climatique et financent ceux qui les exposent, sont ceux-là mêmes qui défendent depuis plus de 30 ans la dérégulation et les privatisations financières.

Leur porte-parole Al Gore peut être considéré comme le catalyseur de la peur et du pessimisme pour les générations futures. « Monsieur propre » a quelques squelettes dans le placard familial. Savez vous que sa famille a possédé la plus grande mine de zinc états-unienne au Tennessee, notoirement connue comme l'une des plus polluantes des USA.

L’homme est aussi l’agent intéressé des spéculateurs financiers de la City de Londres. Il est le porte-parole qui permet de faire le lien entre le Premier ministre Gordon Brown, l’ancien Premier ministre Tony Blair et le milliardaire ex-patron d’E-Bay, Jeff Skoll.

Les principales sources de financement du documentaire « Une vérité qui dérange » sont monsieur Skoll en personne ainsi que le Fonds spéculatif GIF géré par David Bloom, ex-directeur de Goldman Sachs, propriétaire en partie du Chicago Climate Exchange où siège Rajendra Kumar Pachauri. Ce dernier un ingénieur ferroviaire en Inde et président du GIEC - Groupe d'expert sur les changements climatiques.

Le « nobelisé », non seulement éclaire nos cerveaux sur les affres appréhendées des changements climatiques, mais tente de nous convaincre, pour faire profiter son entreprise privée, que l’unique solution réside en la bourse du carbone.
Comme solution, le subterfuge est facile à comprendre, un permis de polluer d'une valeur actuelle de 2$ sera vendu et revendu peut-être des centaines de fois à la bourse du carbone à des prix différents; à terme il vaudra environ 300$. Les firmes positionnées au centre de ce commerce boursier qui feront office de courtier en prenant leur pourcentage sur chaque transaction feront des millions. C’est là que s’est positionné Al Gore et sa firme « Generation Investment Management » ainsi que plusieurs groupes environnementaux. Seulement en Amérique le marché potentiel est évalué à mille milliards de dollars $.

À chaque transaction, chaque entreprise ayant acheté souvent le même permis, le comptabilise dans ses coûts d'opérations. Dès lors, le prix de revient se reflétera sur ces produits commercialisés. Qui croyez-vous assumera l’augmentation de prix? Depuis quand les propriétaires et actionnaires acceptent de se priver de profits pour le bien commun? Que les permis de polluer soient vendus par des gens d’affaires ou par des environnementalistes, la finalité ne changera pas.

Est-ce inévitable?

Seulement quatre solutions se présentent pour contrer la pollution :

Une réglementation gouvernementale: la règle du pollueur payeur qui enfreint la loi;
Une taxe sur la production de carbone soit aux industries et/ou particuliers;
Un impôt sur le revenu progressif pour couvrir les frais des conséquences climatiques;
Une bourse d’échange de permis de pollution qui, eux, sont émis par les gouvernements.

Individuellement ou en combinaison, les deux ou trois premières de ces solutions auraient pu se confirmer comme un choix judicieux et équitable vis-à-vis des personnes et des pays les moins nantis. Sauf que néolibéraux et néoconservateurs favorisent la solution 4. Une bourse des permis de pollution, soit une autre occasion d’affaires spéculative.

Il faut savoir que le principe est maintenant imbriqué dans le Protocole de Kyoto et que la bourse du carbone fonctionne en Europe depuis 1990. Un des gros « traders-courtiers », l’International Continental Exchange (ICE) qui contrôle aussi le Chicago Climate Exchange (CCX) et sa filiale, le London Climate Exchange (LCX) a été créé par un associé de monsieur Gore. Il s’agit de Richard Sandor, l’inventeur des produits financiers dérivés, qui ont récemment contribué à faire perdre des millions $ à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Inventeur des droits d’émissions échangeables sur le CO2 ou carbone; il siège aussi au conseil d’administration du Montreal Climate Exchange (MCeX).

Ces compagnies privées que l’on nomme « Bourses » ont donné de grands espoirs à leurs fondateurs, en proie à un ardent désir d’un développement rapide du marché nord-américain des permis négociables. Mais le refus de Georges Bush d’engager les États-Unis dans le processus de Kyoto, les a maintenues pratiquement inactives.

L’arrivée d’Obama requinque les attentes, car les promoteurs de ces bourses ont non seulement engagé un lobbysme soutenu auprès des élus pour s’assurer de l’émission par le gouvernement de permis de polluer, mais ont aussi contribué 4 452 585 $ à la campagne démocrate pour l’élection de Barak Obama à la présidence états-unienne.

Pour le rassembleur Al Gore, il a été facile d’impliquer la gent d’affaires toujours à l’affût du profit. Mais pour gagner le soutien des environnementalistes, il a fait preuve d’astuce en s’adressant à trois types d’écologistes :

des environnementalistes à haut profil médiatique;
des groupes en constante recherche de financement;
des groupes principalement écomédiatiques.

Par contre, il évite d’impliquer les groupes de mobilisation citoyenne qui utilisent les préceptes de l'écologie sociale, la formation par les pairs ou/et la lutte quartier par quartier contre la pollution, et qui mènent les participants, forts de leur expérience terrain, à voter à gauche de l'échiquier politique.
Pour appâter ces cibles, il lui a suffi de faire reluire ses contacts politiques et ses entrées dans le monde des affaires, si difficiles d’accès aux groupes environnementaux. Sa démarche nécessite l’utilisation de techniques de culpabilisation si bien maîtrisées par les écologistes, dont la mesure d’empreinte de carbone individuelle, une façon astucieuse de financer sa propre fondation ainsi que les groupes alliés.

Certains d’entre eux se voient même offrir une tâche d’accréditeurs de normes privées auprès d’entreprises polluantes, forestières ou agricoles : une activité très payante. Par exemple, si un agriculteur souhaite convertir sa production alimentaire au concept biologique, il doit faire analyser chacune de ses opérations par un consultant spécialisé dans les normes biologiques. De plus en plus de groupes environnementaux se positionnent pour jouer ce rôle lucratif.

Ces certifications coûtent plusieurs milliers de dollars et contribuent largement au financement des groupes environnementaux rendant la cotisation annuelle de 25$ de leurs membres pratiquement accessoire.

La machine se met en branle au Québec

L’appât du gain a émoustillé les porteurs de valises d’Al Gore et stimulé les invitations pour des conférences au Canada. À Montréal, l’événement en 2007 avait pris une tournure rocambolesque lorsque les journalistes se sont fait interdire l’accès à la conférence. S’y étaient pavanés les Desmarais, Charest, Guilbeault, Boisclair, Ignatieff, ne manquait que Gérard D. Laflaque… oups! il était là, représenté par Serge Chapleau.

Plus que le contenu plutôt banal pour des environnementalistes, c'était le fait de se retrouver dans cette salle avec les grands joueurs de la société québécoise et la notoriété de l’orateur qui les a subjugués. L’envoûtement persistera-t-il lors du prochain show de diapositives prévu cette année? Ou verrons-nous une étincelle de réveil?

Du côté des gens d’affaires et des politiciens, la conférence offrait une bonne occasion de se montrer publiquement pour témoigner au petit peuple de leur «souci» d’agir en personnes concernées. Pourtant, au quotidien, ces gens si intéressés trouvent tous les subterfuges possibles pour éviter de réduire la pollution émise par leurs industries, ou encore agissent comme le premier ministre Charest qui feint, depuis 2003, de renforcer le ministère de l’Environnement. La conférence était parrainée par le journal La Presse, propriété de monsieur Desmarais, actionnaire majoritaire de la pétrolière européenne « Total » qui exploite des sables bitumineux canadiens et qui aura bientôt besoin de permis de polluer à bon prix.
Le règne de Jean Charest, premier ministre du Québec, et Stephen Harper, premier ministre du Canada, deux conservateurs fervents du pétrole et des marchés boursiers a bien servi la stratégie de Gore. Le gouvernement du Québec a adopté la loi 42, s’ouvrant ainsi au marché des permis de polluer – geste cautionné par Équiterre – et a entrepris les démarches pour que le Chicago Climate Exchange (CCX) s’implante à Montréal.

Poursuivant sa tradition de vendre le Québec au grand capital financier, notre premier ministre provincial a laissé acheter la Bourse de Montréal par une compagnie torontoise. Celle-ci qui est en partenariat avec le Climate exchange de Chicago. La nouvelle entreprise s'est donnée le nom de Marché climatique de Montréal (MCeX). Le nom francophone en est le triste prix de consolation. Une façon de faire avaler aux nationalistes la perte importante du marché des produits dérivés, un centre d’activités générateur d’emplois.

Le conseil d’administration de la nouvelle Bourse est formé de gens d’affaires de Chicago et de Toronto; les deux seuls québécois qui y siègent, Michel Favreau et Alain Miquelon sont des employés de la Bourse de Toronto.

Le hic : cette bourse montréalaise vend des contrats sur des permis de polluer évalués en unités de carbone «telles que définies par le gouvernement du Canada». Or, aucune décision fédérale n’a été prise à ce jour. Pourtant, il est quand même possible d'acheter un produit financier qui repose sur un actif inexistant!

Répandu à l’échelle planétaire, ce genre d’éthique a permis de rebaptiser la bourse en « Marché durable » et cautionne son inexorable logique de croissance exponentielle et d’exploitation des « ressources » naturelles et humaines. Pour preuve, le thème de la prochaine réunion du Forum économique mondial (groupe de Davos) prévue en Chine en septembre 2010 : «Relancer la croissance durable par la viabilité de l’économie verte ».

Maintenant que l’idée des échanges de permis de polluer s’impose dans l’esprit de la classe politique et de la population, l’escroquerie du carbone trouve un deuxième souffle dans la problématique des forêts, telle que discutée à la Conférence de Copenhague. Ce nouveau marché pour réduire les émissions découlant du déboisement et de la dégradation des forêts (REDD) « sera vaste, compliqué et terriblement difficile à surveiller », écrit Rachel Morris dans le magazine Mother Jones.
« La conservation de la forêt tropicale est une manière très stratégique de résoudre le changement climatique », dit Jeff Horowitz, d’Avoided Deforestation Partners, « parce qu’elle est plus abordable que d’autres, qui sont fortement technologiques. Cette approche va réduire presque de moitié le coût de la législation climatique des États-Unis ».

Le problème du déboisement disparaîtra-t-il par le simple fait d’y verser de grandes sommes d’argent provenant des bourses du carbone? Le contraire est plutôt à envisager, car certains pays concernés par le système REDD sont parmi les plus corrompus au monde. Quant à la coupe illégale, elle représente le gros des exportations de bois dans bien des pays actuellement intéressés à appliquer le système REDD.
« La situation est inquiétante », dit Peter Younger, un expert en crimes environnementaux d’Interpol. « C’est tellement gros qu’on ne peut pas tout surveiller. Les risques de criminalité sont énormes et n’ont pas été pris en compte par ceux qui ont conçu la chose… les mafias ont les yeux braqués sur le marché naissant du carbone forestier... Le système REDD ouvre la porte à des abus en tous genres ».
Les abus ont déjà commencé dans la forêt comme dans le marché. En Papouasie-Nouvelle-Guinée, on compte déjà de faux crédits de carbone, des aventuriers du carbone et une série d’affaires douteuses avec les propriétaires terriens. En Europe, la fraude des crédits de carbone sévit dans le système d’échange d’émissions. L’Office européen de Police estime que « dans certains pays, les activités frauduleuses sont responsables de jusqu’à 90 % du volume total des échanges ».
Une seule compagnie de gestion alternative prévoit déjà que le marché du carbone va s’effondrer. « Nous pensons qu’il y a 30% de chances que le marché du carbone s’effondre », dit Anthony Limbrick, gérant de portefeuille de Pure Capital. Néanmoins, cet effondrement ne l’inquiète pas trop, car «cela pourrait provoquer un ‘fat tail’ (un événement très rare avec de fortes conséquences) qui nous donnerait la possibilité de gagner de l’argent.»

Pendant que son entreprise privée spécule dans les plates-bandes forestières, Al Gore, l’apôtre des «vérités qui dérangent», poursuit son oeuvre philanthropique de culpabilisation des populations.

Afin de retarder le réchauffement de la planète, il nous invite à adopter un style de vie «carboniquement neutre». Son influente entreprise dans le business de la «rédemption carbone» a certainement inspiré Pierre-Marc Johnson qui, avec Planetair, offre désormais l’absolution à votre conscience de pollueur et vous permet de vous déculpabiliser.
Il est scientifiquement prouvé qu’un pet de vache crée du carbone (Co2), alors imaginez votre vie de méchant habitant de la planète! Cet ex-premier ministre du Québec, administrateur et guru de l’entreprise Planetair, une filiale d’Unisfera, vous propose d’acheter une compensation carbone volontaire c’est-à- dire un permis de polluer sans devoir changer vos habitudes de consommation.

Pour devenir « carboneutre » (sans impact direct sur les changements climatiques), il faut se rendre sur le site internet de Planetaire et répondre à plein de questions sur votre mode de vie. Selon de savants calculs, on vous dira le montant à payer pour vous déculpabiliser. Une petite famille de classe moyenne pourrait dépenser 300$ annuellement.

Comment ça fonctionne?

C’est vraiment très simple. Si vous souhaitez par exemple, compenser un vol aller-retour Montréal-Calgary, rendez-vous dans la section « Vols aériens » du site de Planetair où vous trouverez un calculateur d'émissions. Le site compilera pour vous le volume d'émissions correspondant à votre voyage et vous permettra d'acquérir instantanément les crédits compensatoires.

Une fois la transaction complétée, vous recevrez un certificat démontrant que votre argent sera investi dans des projets liés aux énergies renouvelables et à l'efficacité énergétique, afin de compenser les émissions de CO2 équivalentes à celles que votre vol aurait produites. Profitez-en pour faire la même chose pour votre domicile, vos déplacements en voiture et vos activités d'affaires.

Planetair agit comme ces religions qui quêtent pour leurs bonnes œuvres. Donnez et on vous enverra la photo de l’orphelin portant les chaussures que votre don lui a permis de recevoir. Selon leur publicité, le montant versé servira à financer des projets d'éoliennes à Madagascar ou de minicentrales hydroélectriques en Indonésie; le tout géré par une firme de Zurich en Suisse nommée de façon imaginative MyClimate.

Comment cette entreprise peut-elle prétendre faire mieux que la Croix Rouge Internationale laquelle, selon de récentes informations, s’est trouvée mêlée à des magouilles locales? Le monde a-t-il besoin de nouveaux joueurs caritatifs sur le terrain pour remplacer les autorités locales comme en Haïti?

Chez Planetair on cultive la démagogie et la langue de bois. À la question « est-ce un don?», réponse: Non. Il s’agit d’un investissement dans l’énergie durable!

Le centre international Unisféra via son programme Planetair se décrit lui-même comme un courtier de crédits de carbone. Il est le revendeur exclusif au Canada des crédits Gold Standard, créés par des groupes écologistes tels que Greenpeace et la Fondation David Suzuki. Outil de financement oblige! Comme les groupes de charité, l'organisme nous assure qu'ils ne prendront que 15% au passage pour leur frais de gestion. L’entreprise se félicite de trôner au sommet du classement des 12 fournisseurs de crédits au Canada établi par carboncatalog.org.

Maintenant que ce système existe, c'est presque regrettable de ne pas être plus riche, vous pourriez polluer encore plus et faire le bien en même temps. Payez Planetair, l’entreprise fera le bien pour vous. Elle construira des choses salvatrices pour l’environnement dans des pays qui ne taxeront pas leurs riches pour les construire, libérant ainsi des fonds locaux avec la possibilité d’être assignés dans l’armement militaire vendu par SNC/Lavalin, ou pour mieux armer les policiers qui empêcheront les autochtones d’occuper leurs propres terres, ou encore repousseront les gens des ghettos manifestant contre les pénuries d’eau.

Terre de Caen

Si les entreprises québécoises faisaient le plein de permis de polluer quitte à en posséder plus que leur production polluante et si votre culpabilisation était prise en main par Planetair, le Québec et le Canada deviendraient des paradis de la pollution. Les individus et entreprises riches augmenteraient leur saccage ici, tant qu'ils pourraient payer pour un développement propre ailleurs...

Bien sûr, selon Santé Canada et Québec, aucun lien ne subsiste entre cancer et pollution… pour le moment!

En attendant, les gens sur la sécurité sociale et sans emploi, avec peu de moyens financiers, ne peuvent adhérer au nouvel outil des environnementalistes.

Pour faire leur part, je leur conseille de s’abstenir de péter, car les flatulences sont productrices de carbone!

Jusqu’où certains pousseront-ils le bouchon pour s’enrichir personnellement ou pour financer leur organisme dit environnemental?

La Bourse ou la vie, même combat….Euh!!!!!!!!!

Notes de références disponibles sur le site http://meteopolitique.com

mardi 18 mai 2010

POUSSIÈRE INTELLIGENTE



















Voici venir la Poussière Intelligente (ou Smart Dust)
Source : CNN, Palo Alto, Californie By John D. Sutter (CNN)

Les dernières nouvelles viennent de la Compagnie d’imprimerie et d’ordinateurs Hewlett-Packard, qui a récemment annoncé qu’elle travaille sur un projet appelé « le système nerveux central pour la Terre. »
Pendant les années à venir, la compagnie prévoit de déployer un trillion de sondes partout sur la planète.

Dans les années 90, un chercheur appelé Kris Pister avait un grand "rêve", sur un futur proche, où les gens arroseraient la terre avec des sondes minuscules innombrables, pas plus grandes que des grains de riz...
Ces particules "Smart Dust" (de la poussière intelligente, ou futée), comme il les a appelées, surveilleraient tout, agissant comme des terminaisons nerveuses électroniques pour la planète. Équipée d’une grande puissance de calcul, d’équipements sensitifs, de radios sans fil (WI-FI) et de batteries longue durées, la poussière intelligente ferait des observations et transmettrait par relais des montagnes des données en temps réel au sujet des personnes, des villes et de l’environnement normal...
Maintenant, une version de ce rêve des poussières intelligentes de Pister devient réalité...

"Elle est passionnante. Elle a mis un longtemps à apparaître" ; a dit Pister, un professeur de calcul à l’Université de Californie, Berkeley.
"J’ai inventé l’expression il y a 14 ans. La poussière vraiment futée a mis longtemps, mais elle est finalement arrivée..."

Peut-être pas exactement comment il l’a envisagé. Mais il y a eu des progrès.
Les dernières nouvelles viennent de la Compagnie d’imprimerie et d’ordinateurs Hewlett-Packard, qui a récemment annoncé qu’elle travaille sur un projet appelé "le système nerveux central pour la terre".
Dans les années à venir, la compagnie prévoit de déployer un trillion de sondes partout sur la planète.

Les appareils sans fil vérifieraient pour voir si les écosystèmes sont sains, détecteraient des tremblements de terre plus rapidement, prévoiraient des profils de trafic et d’utilisation d’énergies.
L’idée est que des accidents pourraient être empêchés et de l’énergie pourrait être économisée si les gens en savaient plus sur le monde en temps réel, plutôt que quand des ouvriers vérifient ces questions importantes seulement de temps en temps, (ce que l’on fait à l’heure actuelle).

"HP démarrera cette première étape vers ce but pendant environ deux années", nous fait savoir Peter Hartwell, chercheur principal des laboratoires de HP à Palo Alto.
"La compagnie a fait des plans avec Royal Dutch Shell pour installer 1 million de moniteurs de la taille de pochette d’allumettes pour faciliter la recherche de pétrole en mesurant des vibrations de roche et mouvements", a-t-il dit.
"Ces sondes, qui ont déjà été développées, couvriront un domaine de 6 milles carrés"(presque 10 km carrés).

"Ce sera le plus grand déploiement de la poussière intelligente jusqu’ici", ajoute-t-il.

"Nous pensons juste maintenant, que la technologie a atteint un point où il semble "raisonnable" à la base pour nous… de sortir ceci hors du laboratoire et de l’entrer dans la réalité" dit Hartwell.

En dépit de l’excitation récente, il reste beaucoup de confusion dans l’industrie informatique au sujet de ce qu’est exactement la poussière futée...
Pour les investisseurs, les sondes déployées et développées aujourd’hui sont beaucoup plus grandes et massives que de la poussière.
Les sondes de HP — accéléromètres comme ceux dans l’iPhone et le téléphone Droid, mais environ 1.000 fois plus puissants — font la taille de pochettes d’allumettes. Quand elles sont enfermées dans une boîte en métal pour leur protection, elles font la taille d’une cassette VHS...

Alors, qu'est-ce qui peut rendre une sonde intelligente de la taille d’une poussière, différente d’une station météorologique ou d’un moniteur du trafic ?

La taille est un facteur... Les sondes de poussières intelligentes doivent être relativement petites et portatives. Mais la technologie n’est pas encore suffisamment avancée pour fabriquer des sondes sur l’échelle du millimètre pour l’usage commercial (bien que les chercheurs de Berkeley essayent d’en faire un qui ait un millimètre cubique. Il faut savoir que les technologies du domaine des "nanites" progressent).

Les raccordements sans fil sont d’une grande importance, aussi. Le thermostat d’un bâtiment est très probablement câblé. Une sonde de poussière intelligente pourrait mesurer la température, mais elle serait à piles et communiquerait sans fil avec l’Internet et avec d’autres sondes.
Le simple nombre final de sondes dans le réseau est ce qui fait vraiment la valeur de la poussière futée, pouvoir projeter d’autres possibilités, d’enregistrer des données au sujet du monde entier, a dit Deborah Estrin, un professeur d’informatique à l’Université de Californie, Los Angeles, qui travaille dans le domaine.
Les chercheurs en "poussière intelligente" tendent à parler de millions, de milliards et de trillions de sondes.

Certains indiquent que la réalité a divergé du concept original "intelligent" de la poussière, qu’il est temps de sortir de cette limite en faveur de quelque chose de moins sexy. « Les réseaux sans fil de sondes » ou internet sont des limites trouvant une plus grande acceptation par quelques chercheurs.
Estrin a dit qu’il est important d’entourer l’idée que les sondes de poussière intelligentes seraient jetables...

"Les sondes doivent être conçues pour des buts spécifiques et réparties sur la terre intentionnellement — non dispersées dans le vent, en tant que poussière futée", selon lui.

« Web réel »

En dépit de ces différences, les chercheurs disent que la théorie de la poussière-intelligente et de la surveillance de tout au bénéfice de l’humanité demeure essentiellement inchangée...
Et qu’il y a déjà un certain nombre de projets dans le monde réel qui, d’une manière ou d’une autre, cherchent à utiliser les sondes sans fil pour détecter les signes vitaux de la terre.
"Les sondes sans fil surveillent actuellement des fermes, usines, centres de traitement des données et les ponts pour favoriser l’efficacité et la compréhension de la façon dont ces systèmes fonctionnent. Dans tous ces cas, les réseaux de sondes sont déployés pour un but spécifique."

Par exemple, une compagnie appelée "Streetline" a installé 12 000 sondes sur des places de stationnement et routes à San Francisco.
"Les sondes ne savent pas tout ce qui s’arrête sur ces places de stationnement. Elles sont équipées de magnétocompteurs pour sentir si un objet énorme en métal se stationne sur cette place.
Ces données seront bientôt à la disposition des gens qui pourront les employer pour savoir où exactement aller pour se garer dehors, a dit Tod Dykstra, le Président du Streetline. Elles peuvent indiquer également aux villes si les places de stationnement sont saturées.

D’autres sondes sont équipées pour mesurer la vibration dans les usines et les raffineries de pétrole pour repérer des problèmes et des inefficacités de machine avant qu’elles causent des ennuis.
D’autres encore pourraient recevoir des données au sujet de la température, de la chimie ou du bruit.
Des appareils-photo ou des radars minuscules peuvent également être cloués sur le réseau de rassemblement des données pour détecter la présence des personnes ou des véhicules.
L’interêt de ces réseaux est que par la suite, ils peuvent être reliés, a dit David Culler, un professeur d’informatique chez Uc Berkeley. Culler dit que le
développement de ces réseaux sans fil de sondes est analogue à la création du World Wide Web, que d’internet. Ce qui est créé avec l’idée de la poussière intelligente est un « Web de monde réel, » dit-il.

Mais il a dit que nous sommes toujours au tout début de cette progression. "L’équivalent de Netscape [pour le réseau sans fil de sondes] ne s’est pas encore pleinement accomplit".

Big Brother

Même lorsque déployé pour la science ou le public, certains ont toujours une le sentiment inconfortable d’être sous la surveillance constante et à leur insu.
Certains sont contre l'idée d'installer et répartir des trillions de moniteurs sensitifs partout dans le monde. Évidemment, il y a cette crainte du fameux "Big Brother"...

« En fait, nous parlons d’une invasion potentielle très importante au niveau de l’intimité, une invasion par des sondes très petites qui peuvent être indétectables, » a dit Lee Tien, un mandataire à l’Electronic Frontier Foundation, une officine d’avocat privée.

« Leur nombre est si important que vous ne pouvez pas vraiment faire quelque chose contre elles en termes de contre-mesures faciles. Cela ne signifie pas que les chercheurs devraient cesser de travailler à la poussière intelligente. Mais ils devraient être conscients de l’importance de la vie privée pendant que les travaux avancent", insiste-t-il.

Pister dit "les fréquences sans fil que les sondes intelligentes de la poussière emploient pour communiquer — et qui fonctionnent un peu comme le Wi-Fi — possèdent une sécurité établie entre elles. Ainsi les données sont publiques seulement si la personne ou la compagnie qui ont installé la sonde veut qu’elles le soient."

"Clairement, il y a des problèmes de sécurité et des soucis d’intimité, de vie privée" dit il, "et les bonnes nouvelles sont que quand la technologie par radio a été développée pour cet outil, c’était peu de temps après tous les grands soucis concernant la sécurité du Wi-Fi.
Nous avons tous les outils de sécurité que nous devons avoir pour rendre cette information privée."

D’autres soucis d’intimité ou d’atteintes à la vie privée peuvent surgir si une autre vision pour la poussière intelligente devient une réalité. Quelques chercheurs pensent à transformer les téléphones portables en sondes...

Dans ce scénario, les milliards de personnes errant sur la terre avec des téléphones portables deviennent, d'une certaine manière, eux même « la poussière intelligente ».

Futur lumineux

Les chercheurs en poussière intelligente disent que leur théorie de surveillance mondiale bénéficiera aux personnes et à l’environnement.

"Plus d’information veut dire meilleure information", dit Pister.
"Avoir plus de sondes améliore l’efficacité d’un système, réduit la demande et réduit la perte" ; affirme-t-il. "C’est juste une question de bon sens."

Hartwell, le chercheur de HP, indique "que les seuls moyens efficaces pour combattre des problèmes énormes comme le changement climatique et ou la perte de biodiversité, est d’avoir plus d’informations sur ce qu’il se passe".
"Franchement, je pense que nous devons le faire, pour avoir un bon point de vue question durabilité et environnemental".

Bien que la première application du projet de HP de « système nerveux central » pour la Terre soit commerciale, Hartwell dit que les motifs derrière la poussière intelligente sont altruistes...

"Les gens me demandent ce qu’est mon travail, et je dis, eh bien, je vais sauver le monde", dit-il...

Woaaaa! Voilà que les complices du Big Brother veulent se faire nos protecteurs, nos
amis, nos sauveurs!!!

On est pas sortis de l'Auberge!

dimanche 16 mai 2010

HERE COMES HERCOLUBUS !

La mystérieuse planète Hercolubus s’approche de notre Terre

Hercolubus, planète appelée ainsi par les sages de l’Antiquité, s’approche de notre Système solaire et c’est une source de grandes préoccupations pour ceux qui connaissent de tels phénomènes cosmiques.
Lors de son dernier passage, Hercolubus mit fin à la civilisation Atlante. Ces faits furent dûment relatés dans tous les « Déluges universels » des multiples religions et cultures.
L’arrivée d’Hercolubus provoquera de grandes convulsions dans les moindres recoins de notre planète.
Le feu de l’intérieur de la Terre causera d’innombrables volcans et les tremblements de terre se multiplieront aux quatre coins du globe. Lorsque Hercolubus sera à son plus près, il se produira une révolution complète des axes de la Terre.
À travers les temps, de grands sages ont fait de profondes recherches sur le retour de la Planète rouge, et nous ont alertés de ce phénomène cosmique. Le dernier grand témoignage fut celui de V.M. Rabolú, qui a légué un message universel à l’humanité à travers son œuvre « Hercolubus ou Planète rouge ».

Dans cette œuvre, V.M. Rabolú écrit :

« Lorsque Hercolubus se rapprochera davantage de la Terre, au point de former une paire avec le Soleil, des épidémies mortelles commenceront à se répandre sur toute la planète. Les médecins, ou la science officielle ne sauront pas de quel type de maladies il s’agit ni comment elles se soignent. Ils seront désarmés face aux épidémies.
Arrivera le moment de la tragédie, de l’obscurité : secousses, tremblements de terre, raz de marée. Les êtres humains se déséquilibreront mentalement du fait de ne pouvoir ni manger ni dormir. Et en voyant le danger, ils se lanceront dans le précipice, en masse, complètement fous.
Ce que j’affirme dans ce livre est une prophétie à très court terme, parce que la fin de la planète est un fait pour moi, je la connais.
Je ne suis pas en train de faire peur, mais en train de prévenir, car je suis angoissé pour cette pauvre Humanité; les faits ne se font pas attendre et il n’y a pas de temps à perdre dans des choses illusoires. »

Dans son message, V.M. Rabolú précise que l’élimination des défauts psychologiques et le dédoublement astral conscient sont les seules formules existantes pour échapper au cataclysme qui s’en vient. Toujours selon le professeur Rabolú : « Quiconque travaille pour sa propre régénération spirituelle sera conduit à un endroit sûr… »




Pour ceux qui voudrait en savoir plus au sujet d’Hercolubus ; commandez le livre gratuit :
http://www.hercolubus.tv/hercolubus-...-francais.html

Des traductions en de nombreuses langues sont disponibles.
Vous pouvez demander cette œuvre en écrivant à : infohercolubus@yahoo.es