Un expert de Monsanto déclare que des fourmis génétiquement modifiées pourront remplacer les abeilles..
La connerie à ce niveau, c’est du grand art, mais comme ça vient de l’ empoisonneur Monsanto, on est moins étonnés. On risque de manquer de médailles, pour récompenser ces « cerveaux », sans oublier ses complices Bayer, BASF, Sygenta et Dow. Pas question de stopper les pesticides, mais puisque nos butineuses ne les supportent pas, qu’à cela ne tienne, on va trafiquer des fourmis pour les remplacer, et vogue la galère. Pour rappel « Une pomme qui n’est pas issue de l’Agriculture Biologique subit en moyenne 36 traitements chimiques. » (source INRA), vous pouvez consulter la liste des fruits et légumes les plus pollués. Il faut acheter français (?), certains pays utilisent des produits interdits chez nous, et il n’y a pas (ou peu) de contrôle. Mangeons des fruits et légumes de saisons, de préférence bio. Reste à savoir si les malheureuses fourmis, fourniront, la propolis, le miel, la gelée royale, le pollen…
Une équipe de chercheurs de chez Monsanto croit, qu’ils pourraient être sur le point de trouver une solution quant à la mystérieuse chute de la population des abeilles partout sur la planète, une menace qui met en danger l’approvisionnement alimentaire de la planète dans son ensemble.
La subvention de 3 millions de dollars accordée par l’Environmental Protection Agency (EPA) a permis à l’équipe de chercheurs de Monsanto de développer des stratégies alternatives pour « survivre » au syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles (CCD), un phénomène qui a pris de l’ampleur ces dernières décennies et qui se produit lorsque la majorité des abeilles ouvrières d’une colonie disparaissent, une situation qui pourrait « considérablement influer sur l’approvisionnement alimentaire dans le monde », admettent les experts.
« Les dernières études ont trouvé un lien entre les pesticides néonicotinoïdes qui sont largement utilisés dans les cultures de maïs génétiquement modifié. L’ingénierie génétique agricole est devenue un élément essentiel de l’agriculture dans le monde moderne d’aujourd’hui, nous avons dû développer des moyens afin de promouvoir à la fois la continuité de l’ingénierie génétique agricole et la survie des abeilles, un défi passionnant », admet John Leere, le chef biochimiste du projet.
John Leere, le chef biochimiste de Monsanto, croit qu’une fourmi génétiquement modifiée pourrait éventuellement remplacer les abeilles, en cas d’effondrement des colonies de l’espèce.
L’équipe de chercheurs a développé une fourmi génétiquement modifiée qui pourrait « potentiellement sauver l’approvisionnement alimentaire mondial ».
« Du fait que l’ingénierie génétique agricole et que les pesticides néonicotinoïdes sont là pour rester, nous avons tout d’abord essayé de modifier les abeilles pour accroître leur système immunitaire quant aux pesticides, en ayant très peu de succès voire aucun, » a admis le spécialiste.
« Cependant, nous ne désespérions pas et avions finalement conduit des batteries de tests sur les reines vierges et les mâles d’une espèce de fourmis. Bien que les fourmis perdent généralement leurs ailes après l’insémination de la reine et qu’elle donne naissance à une nouvelle colonie, la manipulation génétique a produit une espèce de fourmis volantes qui sont très similaires à nos abeilles si familières et 50 fois plus résistantes à certains pesticides, » dit-il, visiblement très enthousiasmé par la découverte.
« Grâce aux manipulations génétiques, nous pourrons éventuellement créer une espèce hybride qui possèdera à la fois les caractéristiques de pollinisation propres aux abeilles, aussi bien que les propriétés d’immunisation aux pesticides de certaines espèces de fourmis. Un mariage somptueux qui aurait mis des milliers d’années à se former tout seul dans la nature, » explique t-il.
Selon une récente étude de Greenpeace, 70% des cultures humaines, qui fournissent environ 90 pour cent de l’apport alimentaire dans le monde, sont pollinisées par des abeilles. La National Statistics Agriculture des États-Unis présentent un déclin des abeilles d’environ 3,2 millions de ruches en 1947 pour atteindre 2,400,000 de ruches en 2008, soit une réduction de 25%.
Source NewDailyReport relayé par Nouvel-Ordre-Mondial