LE MEILLEUR MOYEN DE CROIRE AU PHÉNOMÈNE OVNI, C’EST D’EN FILMER UN SOIS-MÊME ! DE LE VOIR DE SES PROPRES YEUX!
CESSEZ DE VOUS CASSER LA TÊTE EN REGARDANT DES VIDÉOS SUR "You Tube". CESSEZ DE VOUS CASSER LA TÊTE POUR CHERCHER À SAVOIR SI LES VIDÉOS SONT VRAIES OU SI ELLESS SONT DES CANULARS !
LA MEILLEURE MANIÈRE DE SAVOIR SI UNE VIDÉO EST TRUQUÉE OU NON, C’EST DE L’AVOIR FAIT SOI-MÊME…
TOUT LE MONDE PEUT FILMER DES OVNIS !!!
OUI OUI… CE N’EST PAS UNE BLAGUE…
TOUT LE MONDE PEUT FILMER DES OVNIS !!!
QUAND NOUS PARLONS D’"OVNIS" NOUS PARLONS BIEN ICI D’"OBJETS VOLANTS NON-IFENTIFIÉS"…
S’AGIT-IL D’OBJETS EXTRA-TERRESTRES, OU PUREMENT TERRESTRES, ET MIS AU POINT PAR DES TERRIENS? ÇA C’EST UNE AUTRE HISTOIRE…
MAIS, UNE FOIS QUE VOUS AUREZ FILMÉ VOUS-MÊME UN OVNI, VOUS VOUDREZ AVOIR DES EXPLICATIONS… UNE FOIS QUE TOUS LE MONDE AURA FILMÉ SON OVNI TOUT LE MONDE VOUDRA DES EXPLICATIONS…
IL FAUT QUE TOUT LE MONDE PRENNE CONSCIENCE DU PHÉNOMÈNE CAR IL EST BIEN RÉEL, ET IL EST PEUT ÊTRE PLUS INQUIÉTANT QU’ON NE LE CROIS…
IL Y A VRAIMENT TROP DE GENS QUI EN DOUTE!
LE PHÉNOMÈNE OVNI EST RÉEL : IL N’Y A PLUS DE PLACE POUR LE DOUTE !
NOUS AVONS CONTACTÉ NOS GOUVERNEMENTS, L’ARMÉE, LES MÉDIAS, ET NOUS AVONS POSÉ DES QUESTIONS AU SUJET DE CES PHÉNOMÈNES OVNIS; SANS POUVOIR OBTENIR DE RÉPONSE DE LEUR PART ; SINON DE LA CONDESCENDANCE ET DU SARCASME…
ALORS NOUS AVONS RÉCIDIVÉ ET LEUR AVONS PROPOSÉ DES PREUVES IRRÉFUTABLES… NOUS AVONS EU DROIT À : DES MENACES !!!
MAINTENANT NOUS SONGEONS À CHANGER DE STRATÉGIE…
NOUS PROPOSONS DE FAIRE UNE SORTE DE RÉVOLUTION…
IL FAUT ARRIVER À CONVAINCRE LES GENS DE NE PLUS SE FIER AUX MÉDIAS, CAR LES MÉDIAS CHERCHENT PLUS À LEUR VENDRE DES PRODUITS ET DES IDÉES QU’À LEUR DIRE LA VÉRITÉ…
QUANT AUX SCIENTIFIQUES, ILS NE CHERCHENT PLUS LA VÉRITÉ, ILS CHERCHENT DU FINANCEMENT !
ALORS, IL FAUT QUE LES GENS S’INFORMENT EUX-MÊME ET DEVIENNENT EUX-MÊMES DES « CHERCHEURS », DES « INVESTIGATEURS », DES « SOURCES D’INFORMATIONS FIABLES ».
IL FAUT ARRIVER À CONVAINCRE LES GENS DE NE PLUS PERDRE LEUR TEMPS À CHECHER LA VÉRITÉ SUR INTERNET. INTERNET EST PARTICULIÈREMENT UN LIEU POUR LES COMMÉRAGES, LES DIVERTISSEMENT, LES DIVERSIONS, LE VOYEURISME…
Impossible de prendre un article sérieux au sérieux quand on ne sait pas d’où il provient et qui l’a écrit !
Du reste, nous pouvons vous assurer qu’il ne faut attendre que les médias officiels vous en parle! Et si ils en parlent, il ne manqueront pas de s’en moquer, de le tourner au ridicule en profitant seulement de son aspect sensationnel. Car les médias sont d’abord et avant tout : « sensationnalistes ».
IL FAUT ARRIVÉ À CONVAINCRE LES GENS DE NE PLUS PERDRE LEUR TEMPS À SAVOIR SI UNE VIDÉO OU UN BLOG DIT LA VÉRITÉ… IL FAUT LES CONVAINCRE DE FAIRE EUX-MÊME DES RECHERCHES, DES INVESTIGATIONS, DES VIDÉOS, ETC…
1ÈRE ÉTAPE : FILMÉ SOI-MÊME UN OVNI
2ÈME ÉTAPE : CONVAINCRE SES AMIS EST SES PROCHES DE FILMER UN OVNI
3ÈME ÉTAPE : ÉLARGIR LE NOMBRE DE PERSONNES QUI ONT EUX-MÊME FILMÉ DES OVNIS, ET QUI NE PEUVENT PLUS DOUTER DE CETTE RÉALITÉ
4ÈME ÉTAPE : FORMÉ DES GROUPES DE PRESSIONS POUR DEMANDER DES EXPLICATIONS DE LA PART DES AUTORITÉS…
5ÈME ÉTAPE : PRENDRE DES MESURES FACE À L’OMERTA AUTOUR DU PHÉNOMÈNE OVNI
6ÈME ÉTAPE : SE POSER LA QUESTION : POURQUOI LES AUTORITÉS ET LES MÉDIAS REFUSENT DE RÉVÉLER AUX GENS LA VÉRITÉ SUR LES OVNIS…
7ÈME ÉTAPE : PRENDRE DES MESURES DE GUERRE… (hi hi !)
INSTRUCTIONS : COMMENT FILMER UN OVNI SOI-MÊME?
1- Munissez vous d’une caméra vidéo ou d’une caméra photo capable de filmer…
2- Repérez un ciel où il y a de ces longues traînées blanches laissées derrière les avions
3- Faites un zoom sur l’avion
4- Filmez la traînées blanches laissée derrière l’avion
5- Filmé les alentours
6- Filmée les cieux, là où les traînées blanches laissée derrière l’avion se dissipent ou se dispersent…
7- Si vous avez filmé, ne serais-ce que quelques minutes, ça y est ! Vous avez un OVNI dans la boite!
8- Ne perdez pas de temps. Téléchargez vos prises vidéos dans votre ordinateur et visionnez les (plusieurs fois) avec un regard aiguisé. Soyez très très attentif au moindre mouvements, votre œil s’y habituera… Vous avez à 99% des chances d’apercevoir un ou des OVNIs sur votre vidéo, car ils se trouvent souvent à proximité des avions qui laissent de longues traînées blanches (ces fameux « chemtrails »).
9- Attention! Ne cherchez pas à voir des soucoupes volantes ! (même si ça pourrait arriver) Cherchez plutôt des sphères blanchâtres lumineuses… Il y en a, à coup sûr!
10- Toujours, il y a de ces sphères blanches à proximité des chemtrails… Parfois, il y a des mini OVNIS (semblable à un ballon de football) et parfois on y voit passer un rod! Mais le plus constant des phénomène est le phénomène des « sphères blanches » (il y en a aussi des grisâtres).
11- Attention! Il s’agit d’objets très rapides, et très déconcertants… Après avoir repérer un mouvement suspect, ralentissez la vidéo ou regardez la image par image…
12- Voilà, vous venez de voir ça de vos propre yeux !!! Ça y est ! Vous avez vous-même filmé votre OVNI ! (C’est aussi simple que ça!)
SATISFACTION GARANTIE OU ARGENT REMIS !
EN ROUTE VERS NOTRE FUTUR ! SOUS DE NOUVEAUX CIEUX!
mardi 31 mai 2011
ÉVIDENTE CORRÉLATION ENTRE OVNIS ET CHEMTRAILS
FILMEZ DES CHEMTRAILS ET APPRENEZ À DÉTECTEZ DES OVNIS!!!
Ce n'est pas une blague! Nous avons, nous même, recueillis plus d'une centaine de documents vidéos, où l'on voient des sphères blanches lumineuses, des sphères grisâtres ou des objets volants non identifiés de petite tailles, à proximité des chemtrails ou des avions qui les répandent...
On ne peut pas les voir à l'oeil nu... C'est toujours en visionnant les vidéos que l'on s’aperçoit de la présence de ces sphères... Elle sont assez discrète, et généralement très rapide dans leurs déplacements...
Voilà le genre de sphères blanches qu'il faut s'habiliter à voir et repérer sur les vidéos de chemtrails et d'avions que nous vous conseillons de faire... Oui! Nous vous encourageons à filmer vous-même ces OVNIs! Voyez ici des sphères blanches lumineuses qui semblent s'intéresser au chemtrail laissée par un avion :
Quand on parle de petites sphères blanches lumineuses, vous avez une bonne exemple ici... Aiguisez votre œil!
Remarquez que considérant la petite taille de ces sphères, il est presque certain qu'il ne s'agit pas de vaisseaux, ou de véhicules, c'est à dire, pouvant contenir des passagers... Si c'est un engin, il nous apparaît parfois translucide! Alors, ces sphères sont-elles des sortes de robots téléguidé? Des créatures d'une autre dimension? Un phénomène optique?
QUAND NOUS DISONS QU'IL Y A DES OVNIS À PROXIMITÉ DES CHEMTRAILS, ÉVIDEMMENT NOUS NE VOULONS PAS DIRE QU'IL S'AGIT DE « SOUCOUPES-VOLANTES »,
NI NON PLUS D'ENGINS DE PROVENANCE EXTRA-TERRESTRE...
PEUT-ÊTRE S'AGIT-IL D'UNE TECHNOLOIE TERRIENNE, AUX BUTS SECRETS...
CE QUI EST CERTAINS C'EST QUE CES SPHÈRES EXISTENT BEL ET BIEN, ET IL S'AGIT LÀ D'UN PHÉNOMÈNE DES PLUS INSOLITE... DE QUOI S'AGIT-IL?
TRÈS CERTAINEMENT, QUELQU'UN QUELQUE PART NOUS CACHE QUELQUE CHOSE...
SELON NOUS, LES HAUTES SPHÈRE DU GOUVERNEMENTS, LA NASA ET CERTAINS SCIENTIFIQUES SONT AU COURANT... ILS SAVENT CE QUE SONT CES SPHÈRES, ILS SAVENT CE QUI SE TRAME, ET ILS SAVENT AUSSI QU'IL VAUT MIEUX GARDER LE SILENCE À CE SUJET.
S.V.P.; NE METTEZ PLUS EN DOUTE L'EXISTANCE DE CES OBJETS VOLANTS NON-IDENTIFIÉS!
FILMEZ-EN VOUS-MÊME!
Ce n'est pas une blague! Nous avons, nous même, recueillis plus d'une centaine de documents vidéos, où l'on voient des sphères blanches lumineuses, des sphères grisâtres ou des objets volants non identifiés de petite tailles, à proximité des chemtrails ou des avions qui les répandent...
On ne peut pas les voir à l'oeil nu... C'est toujours en visionnant les vidéos que l'on s’aperçoit de la présence de ces sphères... Elle sont assez discrète, et généralement très rapide dans leurs déplacements...
Voilà le genre de sphères blanches qu'il faut s'habiliter à voir et repérer sur les vidéos de chemtrails et d'avions que nous vous conseillons de faire... Oui! Nous vous encourageons à filmer vous-même ces OVNIs! Voyez ici des sphères blanches lumineuses qui semblent s'intéresser au chemtrail laissée par un avion :
Quand on parle de petites sphères blanches lumineuses, vous avez une bonne exemple ici... Aiguisez votre œil!
Remarquez que considérant la petite taille de ces sphères, il est presque certain qu'il ne s'agit pas de vaisseaux, ou de véhicules, c'est à dire, pouvant contenir des passagers... Si c'est un engin, il nous apparaît parfois translucide! Alors, ces sphères sont-elles des sortes de robots téléguidé? Des créatures d'une autre dimension? Un phénomène optique?
QUAND NOUS DISONS QU'IL Y A DES OVNIS À PROXIMITÉ DES CHEMTRAILS, ÉVIDEMMENT NOUS NE VOULONS PAS DIRE QU'IL S'AGIT DE « SOUCOUPES-VOLANTES »,
NI NON PLUS D'ENGINS DE PROVENANCE EXTRA-TERRESTRE...
PEUT-ÊTRE S'AGIT-IL D'UNE TECHNOLOIE TERRIENNE, AUX BUTS SECRETS...
CE QUI EST CERTAINS C'EST QUE CES SPHÈRES EXISTENT BEL ET BIEN, ET IL S'AGIT LÀ D'UN PHÉNOMÈNE DES PLUS INSOLITE... DE QUOI S'AGIT-IL?
TRÈS CERTAINEMENT, QUELQU'UN QUELQUE PART NOUS CACHE QUELQUE CHOSE...
SELON NOUS, LES HAUTES SPHÈRE DU GOUVERNEMENTS, LA NASA ET CERTAINS SCIENTIFIQUES SONT AU COURANT... ILS SAVENT CE QUE SONT CES SPHÈRES, ILS SAVENT CE QUI SE TRAME, ET ILS SAVENT AUSSI QU'IL VAUT MIEUX GARDER LE SILENCE À CE SUJET.
S.V.P.; NE METTEZ PLUS EN DOUTE L'EXISTANCE DE CES OBJETS VOLANTS NON-IDENTIFIÉS!
FILMEZ-EN VOUS-MÊME!
lundi 30 mai 2011
UNE TORNADE IMPRESSIONNANTE EN AUSTRALIE...
En Australie : Phénomène Rare de "Trombe Marine" !
En Australie, une tornade a causé 3 trombes marines. Une trombe marine est une colonne d’air mélangé d’eau en rotation, formant un entonnoir nuageux, sous un nuage convectif au-dessus d’une étendue d’eau.
Regardez l'arc en ciel qui se matérialise à 13 secondes de la vidéo.
En Australie, une tornade a causé 3 trombes marines. Une trombe marine est une colonne d’air mélangé d’eau en rotation, formant un entonnoir nuageux, sous un nuage convectif au-dessus d’une étendue d’eau.
Regardez l'arc en ciel qui se matérialise à 13 secondes de la vidéo.
LA GÉO-INGÉNIERIE MANIPULE LE CLIMAT...
Géo-ingénierie: l'Art de jongler avec le climat!
(Agence Science-Presse) Alors que les promesses de réduction des gaz à effet de serre sont désespérément lentes à se concrétiser, et alors que le risque d’un emballement incontrôlé du climat est de plus en plus souvent évoqué, l’urgence de la situation obligera-t-elle à jouer à l’apprenti sorcier en jonglant avec le climat? C’est ce que suggère la porte qui s'est ouverte à la géo-ingénierie.
À lire sur le sujet, ce dossier de "The Atlantic" (juil. 2009), "Re-engineerint the Earth". Un article résumant bien la controverse.
La Société des météorologues américains (AMS) est devenue la première association de scientifiques à endosser officiellement, quoique du bout des lèvres, ce qu’on appelle en anglais le "geoengineering".
« Une manipulation volontaire du système terrestre, par des voies physiques, chimiques ou biologiques » doit être explorée de concert avec les deux « voies » plus conventionnelles — réduction des émissions et adaptation aux inévitables perturbations à venir. C’est ce qu’on peut lire dans la prise de position de l’AMS, dont le "New Scientist" a obtenu copie.
Sauf que le concept de géo-ingénierie est très controversé, considérant combien notre connaissance des systèmes climatiques est jeune. Tenter de les mettre à notre main est une hypothèse évoquée depuis longtemps, mais rejetée jusqu’ici par la majorité des institutions, sans compter les environnementalistes, tant le facteur d’incertitude est élevé.
Mais le fait que les choses bougent trop lentement sur le front politique, et que la perspective d’un emballement du climat si la température dépasse le seuil des deux degrés d’augmentation depuis l’ère préindustrielle, ou si la quantité de particules de CO2 dépasse le seuil des 450 parties par million —tout cela oblige de plus en plus de scientifiques à évoquer, à contrecoeur, la géo-ingénierie comme un « plan B ».
C’est ce qu’écrit l’AMS en choisissant des mots qui visent manifestement à rassurer les opposants : « il est prudent de considérer les bénéfices potentiels de la géo-ingénierie, de comprendre ses limites et d’éviter un déploiement inconsidéré ». Le document en appelle également à une étude des implications sociales, éthiques et légales.
Débat d'experts
C’est un article du Nobel Paul J. Crutzen, en 2006, en appelant à davantage d’études, qui avait relancé le débat. Le New Scientist s’était intéressé à la géo-ingénierie en février dernier dans un dossier où il insistait lui aussi sur l’importance d’en explorer les impacts potentiels, bons ou mauvais... au cas où.
« Il devient clair, y lisait-on, que des efforts pour réduire les émissions planétaires de carbone sont trop peu et trop tard pour éviter les pires effets du changement climatique. »
Des études à petite échelle sont d’ores et déjà en cours (ou l’étaient dès 2007), mais généralement menées par l’entreprise privée, qui aurait des intérêts à ce que la géo-ingénierie devienne un secteur à part entière, au même titre que les énergies nouvelles en sont devenus un.
Reste qu’une étude à grande échelle, internationale donc, poserait un problème d’un autre niveau : qui aurait l’autorité pour décider d’une « expérience » susceptible d’affecter tous les autres?
À quoi rêvent encore ces apprentis sorciers?
- Projeter des millions de tonnes de soufre dans l’atmosphère pour la refroidir, comme le font les éruptions volcaniques;
- Déverser des millions de tonnes de sulfate de fer dans les océans pour favoriser la croissance du plancton là où il y en a peu; ces nouvelles colonies auraient pour conséquence que davantage de CO2 serait absorbé, ce qui ralentirait le réchauffement;
- Envoyer dans l’espace des milliards d’écrans solaires qui, en reflétant une partie de la lumière, limiteraient le réchauffement.
Mon dieu ! On est pas sortit de l'auberge !
Source : sciencepresse.qc.ca
LES SORCIERS DE LA NASA FONT PLEUVOIR!
Une machine de la NASA fabrique des nuages de pluie devant la caméra !
La "géo-ingénierie" n'est pas une fiction, elle est bien réelle. Elle consiste, par une technologie de pointe, à interférer sur la nature ou à recréer artificiellement certaines composantes climatiques, atmosphériques, capables de provoquer des intempéries et des catastrophes dites "naturelles'...
Regardez bien la machine à l'oeuvre, la NASA crée devant la caméra un nuage artificiel qui amène la pluie. Vraiment impressionnant.
Et si les inondations, et autres phénomènes climatiques, étaient provoquées ou amplifiées par ce type de technologie? Toutes les catastrophes ne font certainement pas partie d'expérimentations, mais avec cette démonstration évidente, il nous est permis de croire que certaines ne tiennent pas des caprices de dame nature...
La vidéo qui suit n'a pas à être traduite, les images suffisent pour confondre tous les septiques!
La "géo-ingénierie" n'est pas une fiction, elle est bien réelle. Elle consiste, par une technologie de pointe, à interférer sur la nature ou à recréer artificiellement certaines composantes climatiques, atmosphériques, capables de provoquer des intempéries et des catastrophes dites "naturelles'...
Regardez bien la machine à l'oeuvre, la NASA crée devant la caméra un nuage artificiel qui amène la pluie. Vraiment impressionnant.
Et si les inondations, et autres phénomènes climatiques, étaient provoquées ou amplifiées par ce type de technologie? Toutes les catastrophes ne font certainement pas partie d'expérimentations, mais avec cette démonstration évidente, il nous est permis de croire que certaines ne tiennent pas des caprices de dame nature...
La vidéo qui suit n'a pas à être traduite, les images suffisent pour confondre tous les septiques!
dimanche 29 mai 2011
MYSTÈRES DE LA LUNE
LA LUNE : ANOMALIES, MYSTERES ET COMPLOT
Qu'ont-ils vu la haut qui leur a fait peur au point d'interrompre les missions Apollo?
Depuis le début des années 50, quelques hommes de science, quelques astronomes amateurs ont été intrigués en observant de curieuses activités, des objets étranges et constructions artificielles sur la lune ou à proximité. Effarés, stupéfaits par les lueurs et les taches sombres incompréhensibles, leur cratères mystérieusement ouverts et refermés, les bandes de couleurs mouvantes, les marques bizarres qu'ils voyaient. Bouleversés par les traces d'une activité indubitablement technologique, voire industrielle, qu'ils avaient sous leurs yeux.
À cette émotion, encore emprunte d'incertitude et de scepticisme, fit place dans les années 60, la conviction que ces étonnantes manifestations étaient bien bien les signes de la présence d'intelligence. Rare, pourtant, devaient être les observateurs et scientifiques qui osèrent en parler ouvertement et officiellement. Car il étaient bridés par leur vanité professionnelle, retenus par la peur du ridicule, les contraintes imposées par leur discipline scientifique et surtout par l'absence de preuves tangibles qu'ils puissent soumettre à des essais en laboratoire. C'est pourquoi le cercle des témoins est ayant observé ces phénomènes et acquis ces certitudes était restreint et peu loquace.
Différents mythes et légendes rapportent que jadis, il n’y avait pas de Lune dans le ciel. La Lune serait apparue au moment du Grand Déluge. C’est ce que pensaient les habitants du sud de la Grèce antique, et différents peuples africains. On a cependant retrouvé des traces de flux et de reflux de marées dans ces régions.
Or, comme chacun sait, c’est la Lune qui provoque ces flux et ces reflux. Ceci semblerait a priori contredire la théorie de l’absence de Lune avant le Déluge. Mais rien ne permet d’affirmer qu’un autre corps céleste n’assurait pas alors cette fonction de régulation des océans qui est aujourd’hui dévolue à la Lune. Selon d’autres sources, il y aurait jadis eu deux voire plusieurs lunes dans le ciel...Vénus ? mais l’influence qu’elles auraient pu avoir sur la mer est impossible à établir.
Certains scientifiques sont aujourd’hui persuadés que la Lune n’a pas toujours été notre satellite. Les Mayas ont laissé des documents d’après lesquels c’est Vénus et non pas la Lune qui brillait la nuit au-dessus de leurs têtes. Car Vénus devait certainement avoir un aspect très différent autrefois. Il y avait à Rome un historien qui était persuadé que le Déluge avait été provoqué par un changement d’orbite de Vénus. Et selon de nombreux mythes et légendes, la Lune serait apparue dans le ciel après la dissipation des ténèbres consécutifs au Déluge.
L’astronome allemand Gesterkorn pense que son âge est à peu près égal à la moitié de celui de la Terre. Selon sa théorie, après sa création, la Lune aurait commencé par orbiter loin de la Terre, et c’est un autre corps céleste qui, en passant à proximité, l’aurait contrainte à changer d’orbite, puis elle aurait fini par se retrouver emprisonnée dans la zone d’attraction terrestre.
C’est alors que la Lune aurait acquis son influence sur l’élément eau. L’approche de la Lune se serait traduite par des marées gigantesques, des éruptions volcaniques et des tremblements de Terre. Les vagues avaient probablement la taille de montagnes, les volcans crachaient du feu et l’eau était en ébullition. Et le nouveau satellite de la Terre fut sans doute à l’origine du Déluge. Il existe de nombreuses autres théories concernant la formation de la Lune. L’une d’entre elles considère notre satellite comme une création des aliénigènes (= extraterrestres n’appartenant pas à une race humanoïde). Selon cette théorie, c’est un endroit où des aliénigènes disposeraient de bases, de centres de communication, et ce genre de choses. Il y en a même qui sont persuadés que la Lune est un ovni gigantesque camouflé en planète morte.
La menace des météorites est devenue un thème à la mode. Il y a des films sur ce sujet, des articles et des études scientifiques, des émissions télévisées consacrées à ce qui pourrait arriver si un météorite entrait en collision avec la Terre. Les météorites sont petits en comparaison des planètes, mais il en existe de très gros, dont l’impact suffirait à détruire toute trace de vie sur la Terre.
Il semble logique de supposer que les corps célestes de petite taille soient des fragments d’éléments plus gros. C’est pourquoi les météorites pourraient être des morceaux de planètes...
L’astrophysicien Anatoly Chernyaeyv estime que c’est exactement ce qui s’est produit lors de la collision du météorite Tunguska avec la Terre. Selon sa théorie, une partie de la Terre s’est jadis dissociée d’elle-même et elle est partie dans le ciel. Mais elle n’a pas réussi à sortir du champ de gravitation terrestre et elle est retombée sur la Terre. Bien sûr, il est absolument impossible de prouver la véracité d’une telle théorie, car s’il y a jamais eu des témoins d’un tel phénomène, ils sont de toutes façons tous morts depuis longtemps. Mais selon cette approche des choses, la Lune pourrait n’être qu’un fragment de la Terre, qui n’aurait pas réussi à échapper à la gravitation terrestre.
DE LA VIE ET DES INSTALLATIONS SUR LA LUNE ?
La surface de la Lune ne semble pas inhabitable, et peut-être des créatures vivent-elles à l’intérieur même de notre satellite. Que font les humains lorsqu’ils veulent se protéger de la menace nucléaire ou de toute autre catastrophe d’origine humaine ? Ils construisent des abris souterrains. Il existe ainsi sur la Terre de nombreux abris ; ils sont profonds, résistants et vastes. Les technologies actuelles permettent d’envisager la survie sous la Terre durant des décennies et même, pourquoi pas, des siècles. Inutile de préciser que ces abris n’ont pas été construits pour l’ensemble de la population, mais seulement pour une élite. Mais pourquoi de tels abris n’auraient-ils pas jadis été construits dans une partie de la Terre qui s’en serait ensuite détachée et serait devenue la Lune. Il est vraisemblable qu’il n’y ait aucune vie sur la Lune d’origine spécifiquement lunaire.
Mais il n’est pas impossible que la Lune ait été utilisée comme station spatiale par différentes créatures. Les rares personnes qui ont eu le privilège de marcher sur la Lune y ont observé des choses vraiment étranges, comme par exemple des traces de chenilles de véhicules et de petits objets en verre orange. L’un des astronautes d’Apollo a même déclaré avoir aperçu des ovni. La NASA détient une impressionnante série de photos à ce sujet. La plupart ont été classées top-secret et ne sont pas diffusées, mais même les documents dont nous disposons prouvent que certaines régions de la Lune ne ressemblent pas du tout à ces paysages froids, désolés et inhospitaliers que l’on a cherché à nous montrer. Il est maintenant établi qu’il y a des constructions sur la Lune, il y a des ponts, des tours, des bâtiments, et des dômes gigantesques. Tous ces édifices semblent accréditer la thèse selon laquelle la Lune aurait pu jadis être une partie intégrante de notre planète.
Structures lunaires par wesh
Le grand quotidien russe "Pravda" a rapporté le 5 octobre 2002 que des traces de civilisation auraient été découvertes sur la Lune, incluant celles de la présence de villes habitées !
Sous prétexte que nous ne serions pas encore psychologiquement aptes à la digérer, ceux qui nous gouvernent semblent avoir décidé une fois pour toutes qu’il valait mieux cacher la vérité aux populations de la Terre.
En Europe comme aux États-Unis, nous nous trouvons ainsi une nouvelle fois confrontés au black-out imposé par l’entreprise de désinformation qui gouverne le monde. Car il semble qu’il existe des villes non seulement sur la Lune, mais aussi dans la Lune. Ce sont en réalité des bases dont certaines seraient peuplées d’humains et d’autres d’alienigènes.
Depuis des temps immémoriaux ressurgit régulièrement la question de savoir si nous sommes les seules créatures vivantes de notre univers. Et alors que de plus en plus d’habitants de cette planète, à commencer par de nombreux scientifiques, sont désormais convaincus du contraire, l’hebdomadaire russe Vecherny de Volgograd (anciennement Stalingrad), puis la Pravda de Moscou ont révélé le 5 octobre dernier qu’une présence d’êtres intelligents aurait été détectée depuis plusieurs années sur notre satellite naturel : la Lune. Mais, toujours selon la Pravda, nos dirigeants auraient jugé bon de classifier cette découverte top secret (un secret parmi tant d’autres !!!), après avoir réalisé que leur pouvoir et leurs privilèges ne résisteraient pas longtemps à la divulgation d’une telle information. Voici quelques lignes d’un compte-rendu de presse américain de 1996, retranscrit dans ces deux journaux russes :
Les ingénieurs et les savants de la NASA participant aux programmes d’exploration de Mars et de la Lune ont révélé certaines de leurs découvertes lors d’une conférence de presse qu’ils ont donnée au Washington National Press Club le 21 mars 1996. Ils affirment que des structures et des objets construits par des êtres intelligents ont été découverts sur la Lune.
À l’époque, les chargés de communication de la NASA avaient abordé la question de ces constructions de manière plutôt évasive. Ils avaient cependant mentionné la présence d’un OVNI sur la Lune. Ils avaient aussi évoqué la possibilité que certains sites découverts soient d’origine humaine, annoncé qu’une investigation était en cours et que les résultats officiels de l’enquête seraient communiqués plus tard...
Leur rapport faisait également état de photos aux mains de l’administration soviétique, apportant la preuve de l’existence d’une activité intelligente sur la Lune. Les milliers de photos et de vidéos prises au cours des missions Apollo et à bord de la station Clementine semblent confirmer l’existence de cette activité, sans qu’il soit malgré tout possible de l’identifier avec précision.
Des photos et vidéos enregistrées par les astronautes américains tout au long du programme Apollo furent présentées au cours de cette opération de communication de 1996. Les journalistes présents furent tous assez surpris que ces documents n’aient pas été transmis plus tôt à la presse. Ce à quoi les représentants de la NASA répondirent qu’il était difficile d’évaluer l’impact sur la population de la diffusion d’une information selon laquelle des créatures auraient habité ou habiteraient encore sur la Lune, et qu’il y avait d’autres raisons à ce silence qui n’étaient pas du ressort de la NASA.
Richard Hoagland, spécialiste en recherches spatiales, estime que la NASA s’efforce depuis des années de retoucher les documents photo avant de les publier. Certains chercheurs, dont Hoagland fait partie, sont persuadés qu’une race d’extraterrestres avait jadis utilisé la Lune comme une base avant de venir se livrer à différentes expérimentations sur la Terre et sur les humains. Cette interprétation semble confirmée par les mythes et légendes de nombreuses anciennes civilisations de la Terre.
Consultant de l’Agence Spatiale Américaine, Richard Hoagland soutient depuis des années la thèse établissant une corrélation entre les pyramides égyptiennes, les monuments mégalithiques anglais autour desquels se multiplient les formations de crop circles, et les édifices prétendus artificiels de la Lune et de la planète Mars.
Le projet "Mission Indépendante" sur Mars, à la base des découvertes sur le site de Cydonia, fut imaginé par lui et soutenu par le SRI entre 1983 et 1984. Le Stanford Research Institute (SRI) est lui-même un institut de recherche californien lié aux services de renseignements américains et financé à 75 % par le Pentagone. Cet institut a mené de nombreuses recherches sur le site de Gizeh depuis 1973, cherchant des chambres secrètes dans les monuments égyptiens. Il est probable qu’une importante salle d’archives ait été récemment découverte sous la patte droite du Sphinx, et que cette découverte, aussi bien que le secret qui l’entoure soient imputables au SRI et à la mainmise de la CIA sur cet organisme.
Les ruines des cités lunaires s’étendraient sur des kilomètres. Elles renfermeraient des dômes gigantesques édifiés sur des fondations massives et reliés par de nombreux tunnels, ce qui oblige les scientifiques à reconsidérer leurs anciennes hypothèses à propos de la formation de la Lune. D’ailleurs, ils n’arrivent toujours pas à comprendre comment est né notre satellite naturel ni de quelle manière ont commencé les révolutions qu’il effectue autour de la Terre.
Les amas de ruines découverts sur la Lune ne peuvent en aucun cas être assimilés à des formations géologiques naturelles, car leur disposition et leur structure géométrique sont bien trop complexes pour l’envisager. On a découvert dans la partie supérieure du lieu-dit Rima Hadley, non loin du site d’alunissage d’Apollo XV, une construction entourée d’une haute muraille en forme de D. À ce jour, des constructions artificielles du même genre ont été découvertes dans 44 sites différents.
Le Centre de Vols Spatiaux Goddard et le Planetary Institute de Houston font actuellement des recherches sur ce sujet. On a ainsi découvert des excavations en forme de terrasses à proximité du cratère Tiho. Ces terrasses sont elles-mêmes disposées en forme d’hexaèdres concentriques convergeant vers l’entrée d’un tunnel, de telle sorte que ce site ressemble davantage à une exploitation minière à ciel ouvert qu’à une formation géologique naturelle.
Il y a également un dôme tout à fait extraordinaire illuminé de l’intérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Un autre objet très mystérieux a été découvert au nord de ce site. Il s’agit d’un disque d’environ 50 mètres de diamètre, qui repose sur un socle en forme de losange entouré de murs. Sur l’une des photos, on aperçoit, non loin du losange, une embrasure sombre et ronde qui ressemble à l’entrée d’une galerie souterraine.
Et entre cet endroit et le cratère Copernic, il y a une sorte d’esplanade rectangulaire de 400 mètres de long sur 200 mètres de large. Sur la photo N° AS10-32-4822 prise par l’équipage d’Apollo X, on voit un objet d’environ 1,5 kilomètre de long appelé Castle, qui est au-dessus de la Lune, à environ 14 kilomètres de sa surface, et projette sur elle une ombre que l’on aperçoit très distinctement.
Cet objet semble être formé de plusieurs niveaux cylindriques articulés autour d’un élément central. Sur l’une des images, on voit distinctement la structure interne du Château, et certaines parties sont transparentes.
COMPLOT DE LA NASA
La conquête spatiale a débuté par une guerre entre les deux grandes puissances mondiales qu'étaient les États-Unis et l'URSS. Ces deux pays étaient en pleine guerre froide, la conquête de l'espace était un atout pour le pays vainqueur et une reconnaissance de son pouvoir devant les autres nations...
En 1961, les soviétiques prirent de l'avance en envoyant Youri Gagarine dans l'espace, ce fut le premier cosmonaute. Les différentes compétitions se sont succédées avec différentes missions qui faisaient l'état de plusieurs révolutions autour de la Terre, puis des sorties dans l'espace, etc...
Ces missions deviennent de plus en plus banales et tombent en désuétude pour le public, ce dernier se détourne de la conquête spatiale. Les deux gouvernements réagissent, il faut trouver un but impensable, gigantesque pour l'époque, légendaire: la course a la Lune est proclamée. Cette course a débuté avec l'annonce du président John Fitzgerald Kennedy en 1961 pour motiver les capacités d'entreprendre des Américains: Nous enverrons un homme sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme Apollo sera mis en place. Les scientifiques auront à surmonter les difficultés de la durée du voyage carburant, oxygène, de l'arrivée sur la Lune, de l'inconnu de ce Nouveau Monde, et bien sûr du retour sur Terre!!! Tout ceci sera résolu en 8 années avec, hélas, un accident mortel en 1967 qui retardera le programme Apollo d'une année.
C'est le 21 Juillet 1969 qu'un homme, Neil Armstrong, posera le pied sur la Lune suivi de Buzz Aldrin. La phrase immémorial d'Armstrong : "Ce n'est qu'un petit pas pour l'Homme, mais un bond gigantesque pour l'Humanité" montre que le but n'a pas été atteint seulement par les Américains mais par l'Humanité toute entière.
De la Lune les deux astronautes rapporteront 20,7 kg d'échantillons de roches. De retour sur Terre Armstrong, Aldrin et Collins se firent acclamés de leur réussite, l'Homme avait posé le pied dur la Lune. D'autres missions suivirent, mais l'opinion publique se lassaient de ces missions faites à coups de plusieurs centaines de millions de dollars.
De plus des théories firent leurs apparitions, selon certaines il aurait été impossible d'aller sur la Lune: la tempéraure sur celle-ci n'est pas supportable pour l'Homme même avec des combinaisons, les photos prises ont des défauts décelables par des amateurs et le temps imparti entre le pari de JFK et la fin de la décennie, c'est-à-dire 8 ans, était trop court pour certains scientifiques, les problèmes étaient tellement énormes, telle la construction de la navette, il fallait refaire tout à zéro depuis l'incident de 67, les conditions étaient différentes sur la Lune et sur la Terre. Il fallait à tout prix tenir le pari de Kennedy et de toute une nation. On pense que la NASA a tout fait pour y arriver mais elle n'a pas réussi. Les photos étaient-elles truquées?
Selon des experts il y a plusieurs sources de lumière dans les photos, or sur la Lune il n'y en a qu'une seule: le Soleil, il n'y a pas d'étoiles, les traces des Jeeps sont suspectes, le sol est humide alors que le sol lunaire est sec!
La NASA ne veut pas répondre à ces affabulations et ces élucubrations déplacées, ceci n'a aucune sorte d'importance. Une autre théorie pourrait démontrer pourquoi la NASA aurait truquée les photos. Cette théorie tient sa véracité par le caractère officiel de celle-ci. En effet, du côté russe on annonça que l' armée avait pu intercepté des messages censurés et donc inaccessibles au public. La dialogue des astronautes avec la NASA est stupéfiant:
NASA : "Qu'y a-t-il ? La tour de contrôle appelle Apollo XI..."
Apollo XI : "Ces bébés sont gigantesques ! Gigantesques ! Oh, mon dieu ! Vous n'allez jamais croire ça ! Je vous le dis, il y a d'autres vaisseaux spatiaux ici, alignés de l'autre côté du cratère ! Ils sont sur la Lune et ils nous regardent !"
Selon un certain Dr Aleksandr Kasantsev, Buzz Aldrin a même filmé des ovnis de l'intérieur de sa capsule, puis a l'extérieur, avec Armstrong. Armstrong a confirmé ce récit mais a refusé d'entrer dans les détails. Il a cependant admis que la CIA lui avait intimé l'ordre de ne faire aucune communication sur ce sujet.Une autre mission a fait l'objet d'une même stupéfaction :
Apollo : "Oh ! Il y a de la lumière derrière le cratère, des OVNI sont au-dessus de nous, ils nous regardent, ils paraissent hostiles."
NASA : "Nous sommes au courant, interrompez la communication, stoppez toute communication."
La NASA n'a pas voulue faire de commentaire à ce sujet. Il est clair que les astronautes qui étaient sur la Lune ont vu quelque chose, une intelligence autre qu' humaine, une intelligence extraterrestre. La NASA va mettre en place une campagne de désinformation, elle préfère divulguer les faits, cela pourrait occasionné une panique mondiale pour un temps indéterminé. C'est pourquoi les photos prises ont dû être cachées pour ne dire la vérité. Elles devaient sans doute montrer ces bases OVNI sur les cratères, des soucoupes en formation au-dessus de la surface lunaire. Des photos ont été refaites en studio pour qu'on ne sache pas ce qui s'est réellement passé sur la Lune. Pourtant certaines n'ont pas réussi a être filtrées par la gigantesque machine de désinformation américaine. Et pourtant mise à l'évidence, la NASA préfère nier ses photos et ne pas s'étendre sur le sujet, le qualifiant d'absurde.
LA FACE CACHÉE ET SES ANOMALIES...
Voici une photo scannée à partir de la page 33 du numéro 1028 de Paris Match, daté du 18 Janvier 1969. Cette photo a été prise par les astronautes d'Apollo 8 en Décembre 1968, et montre une partie de la face cachée de la Lune :
Le grand cratère blanc en haut de l'image est apelleé Giordano Bruno, du nom du célèbre hérétique qui fut brulé vif au 16ième siecle pour avoir osé affirmer que la terre n'était pas le centre du monde... Mais ce qui est intéressant, c'est la chose"en bas à droite de l'image. En voici un agrandissement. J'ai personellement retrouvé ce numéro de la revue, et il portait cette anomalie. Quoique certains numéros (retirages) ne l'ont pas... étrange, de plus en plus étrange.
La Lune intrigue notamment par sa face dite cachée, opposée à celle qu'elle nous montre constamment orientée vers vers la Terre, parce qu'elle tourne de manière synchrone avec la Terre, constamment en phase avec son orbite. En effet l'attraction gravitationnelle exercée par la Terre sur la Lune (de la même manière que la Lune en exerce une plus sur la Terre, provoquant les marées) provoque des déformations et des forces de friction à l'intérieur de la Lune. Une partie de l'énergie cinétique de rotation est alors libérée sous forme de chaleur et la rotation ralentit.
Au bout d'un certain temps, la rotation de la Lune est suffisamment ralentie pour que sa période soit égale à celle de la révolution autour de la Terre : on a alors atteint un état stable (plus de forces de friction car plus de mouvement relatif) et le système reste dans cet état, même si, au départ, la période de rotation de la Lune est plus rapide que sa période de révolution autour de la Terre. Ce cas de figure n'est pas propre à la Lune : comme celle-ci, de nombreux satellites tournent en phase avec la rotation de la Terre : on les qualifie alors de géostationnaires.
En décembre 1969, le docteur Seaborg déclare à Moscou (URSS) que l'équipage d'Apollo 11 a découvert sur la face cachée de la Lune des traces suspectes, dont la symétrie fait notamment penser aux empreintes que laissent les roues de véhicules. D'autres part, certaines tâches feraient penser à des constructions implantées sur le relief lunaire.
Il y a de cela bien des années, l'astronome Neil Amstrong mis le pied sur la lune... Toute la planète était rivée sur leurs écrans pour voir cette étape cruciale de notre histoire. Je ne doutais pas que des gens après un tel succès puissent imaginer que cette lune abritait quelques mystères. Certaine personnes croient que la lune a été ou est exploitée par une race d'extraterrestre.
C'est à la suite d'un livre que des gens ont commencé à changer d'opinion au sujet de la Lune. Le livre s'intitule : "ILS N'ÉTAIENT PAS SEULS SUR LA LUNE" parut aux éditions BELFOND.
DES VILLES SUR LA LUNE?
Nous n’étions pas préparés à une telle éventualité. Nous en étions encore à chercher dans nos écrits la réponse à cette éternelle question : sommes-nous seuls dans l'univers ? Et pendant ce temps on détectait tout près de chez nous, sur la Lune, les manifestations d’une intelligence extraterrestre.
D'après le journal russe "Vecherny Volgograd", cette incroyable découverte, dont on redoutait qu’elle bouleverse notre structure sociale toute entière, fut immédiatement classée secrète.
Des scientifiques et ingénieurs impliqués dans les projets d’exploration de Mars et de la Lune ont fait part des résultats de leurs découvertes lors d’une réunion du Club National de la Presse à Washington, DC, le 21 Mars 1996. Ils révélaient pour la première fois la présence sur la Lune de structures et d’objets artificiels. Le discours des scientifiques était plutôt prudent et évasif, et ne faisait pas référence aux OVNIs. Selon eux, l’existence de ces artéfacts était possible, mais cette information était en cours de traitement et ses conclusions seraient publiées ultérieurement.
Il fut également mentionné lors de cette réunion que l’Union Soviétique possédait des preuves photographiques de la présence d’une telle activité sur la Lune. La nature de cette activité demeure indéterminée mais ses traces seraient indéniables en de nombreux points de la surface lunaire, comme en témoigneraient les milliers de photos et vidéos provenant des vaisseaux Clementine et Apollo.
Des vidéos et des photos de ce dernier programme ont été projetées et beaucoup ont trouvé très surprenant que ce matériel n’ait pas été rendu public plus tôt. Les spécialistes de la NASA ont répondu qu’il était difficile de prévoir les réactions du public devant la révélation que des créatures étrangères avaient foulé ou foulent peut-être encore le sol lunaire. Ils ajoutèrent qu’il y avait également d’autres raisons à ce secret, et dont le contrôle dépassait la NASA elle-même. Le spécialiste des études lunaires Richard Hoagland a par ailleurs déclaré que la NASA procédait toujours à la retouche des photos avant leur publication.
Hoagland, ainsi que d’autres chercheurs, avancent l’idée qu’une race extraterrestre a utilisé la Lune comme une base d’opérations spatiales durant leurs activités sur la Terre et qu’on en trouve le reflet dans les mythes et légendes de nombreuses cultures terrestres. Les ruines des cités lunaires s’étendent sur plusieurs kilomètres. D’immenses dômes aux fondations massives, des tunnels et autres constructions poussent les scientifiques à réviser leurs opinions sur les origines de la Lune et les paramètres de sa révolution orbitale.
De nombreuses hypothèses ont été faites à propos de cette face cachée, comme les particularités insolites du cratère Aristarque (Aristarchus) où des lumières miroitantes auraient notamment été observées en 1821. Les astronomes y virent une simple illusion d'optique lorsque, 3 ans plus tard, une lumière y apparut de nouveau : elle avait la forme d'une étoile. Puis en 1959, on y signala une lumière glignotante. Le soir même de cette dernière observation, 2 objets ronds, lumineux, quittèrent la Lune à une vitesse incroyable. 2 ans plus tard, on y observa de nouveaux clignotements lumineux ; dans la même journée, 5 objets quittèrent le satellite côté est, avec 15 secondes environ d'intervalle. Puis on y découvrit une sorte de cable lumineux, et un objet noir comme de l'encre situé sur son bord.
Visible avec de simples jumelles, on observa de puissantes lueurs, dans ce cratère le 15 novembre 1965 et, ce qui est encore le plus curieux, les autorités officielles de la NASA le confirmèrent. En 1958 et en 1961, un astronome soviétique, Nikolai Kozyrev, y détecta une éruption volcanique.
L'année suivante, 4 astronomes américains le confirmèrent à nouveau. En 1962, 2 taches ovales de lumière rouge furent observées sur son bord, tandis qu'en juin 1965, on vit un étrange rayon de lumière blanche, brillante, en jaillir, alors que le cratère Aristarque était dans la zone d'ombre. Le mois suivant, un rayon de lumière blanche apparut plusieurs fois, durant une minute et demie à chaque manifestation. Tous ces faits sont propres à un seul cratère. Imaginez un peu ce qui se passe loin de nos regards, sur toute la surface de la face cachée de la lune!
Sans doute, les scientifiques et astronautes sont au courant de quelque chose ... Et le public est en droit d'en savoir le moins possible. Si on se fit aux rumeurs, aux informations officielles, au non-dit, on fini par être confus! Et seulement de moins en moins certains de la valeur ou l'authenticité des informations délivrées...
Sans doute, aussi la lune est loin d'avoir révéler tout ses secrets et nous sommes loin d'en avoir percé les mystères !
Source : www.secret-realite.net
Qu'ont-ils vu la haut qui leur a fait peur au point d'interrompre les missions Apollo?
Depuis le début des années 50, quelques hommes de science, quelques astronomes amateurs ont été intrigués en observant de curieuses activités, des objets étranges et constructions artificielles sur la lune ou à proximité. Effarés, stupéfaits par les lueurs et les taches sombres incompréhensibles, leur cratères mystérieusement ouverts et refermés, les bandes de couleurs mouvantes, les marques bizarres qu'ils voyaient. Bouleversés par les traces d'une activité indubitablement technologique, voire industrielle, qu'ils avaient sous leurs yeux.
À cette émotion, encore emprunte d'incertitude et de scepticisme, fit place dans les années 60, la conviction que ces étonnantes manifestations étaient bien bien les signes de la présence d'intelligence. Rare, pourtant, devaient être les observateurs et scientifiques qui osèrent en parler ouvertement et officiellement. Car il étaient bridés par leur vanité professionnelle, retenus par la peur du ridicule, les contraintes imposées par leur discipline scientifique et surtout par l'absence de preuves tangibles qu'ils puissent soumettre à des essais en laboratoire. C'est pourquoi le cercle des témoins est ayant observé ces phénomènes et acquis ces certitudes était restreint et peu loquace.
Différents mythes et légendes rapportent que jadis, il n’y avait pas de Lune dans le ciel. La Lune serait apparue au moment du Grand Déluge. C’est ce que pensaient les habitants du sud de la Grèce antique, et différents peuples africains. On a cependant retrouvé des traces de flux et de reflux de marées dans ces régions.
Or, comme chacun sait, c’est la Lune qui provoque ces flux et ces reflux. Ceci semblerait a priori contredire la théorie de l’absence de Lune avant le Déluge. Mais rien ne permet d’affirmer qu’un autre corps céleste n’assurait pas alors cette fonction de régulation des océans qui est aujourd’hui dévolue à la Lune. Selon d’autres sources, il y aurait jadis eu deux voire plusieurs lunes dans le ciel...Vénus ? mais l’influence qu’elles auraient pu avoir sur la mer est impossible à établir.
Certains scientifiques sont aujourd’hui persuadés que la Lune n’a pas toujours été notre satellite. Les Mayas ont laissé des documents d’après lesquels c’est Vénus et non pas la Lune qui brillait la nuit au-dessus de leurs têtes. Car Vénus devait certainement avoir un aspect très différent autrefois. Il y avait à Rome un historien qui était persuadé que le Déluge avait été provoqué par un changement d’orbite de Vénus. Et selon de nombreux mythes et légendes, la Lune serait apparue dans le ciel après la dissipation des ténèbres consécutifs au Déluge.
L’astronome allemand Gesterkorn pense que son âge est à peu près égal à la moitié de celui de la Terre. Selon sa théorie, après sa création, la Lune aurait commencé par orbiter loin de la Terre, et c’est un autre corps céleste qui, en passant à proximité, l’aurait contrainte à changer d’orbite, puis elle aurait fini par se retrouver emprisonnée dans la zone d’attraction terrestre.
C’est alors que la Lune aurait acquis son influence sur l’élément eau. L’approche de la Lune se serait traduite par des marées gigantesques, des éruptions volcaniques et des tremblements de Terre. Les vagues avaient probablement la taille de montagnes, les volcans crachaient du feu et l’eau était en ébullition. Et le nouveau satellite de la Terre fut sans doute à l’origine du Déluge. Il existe de nombreuses autres théories concernant la formation de la Lune. L’une d’entre elles considère notre satellite comme une création des aliénigènes (= extraterrestres n’appartenant pas à une race humanoïde). Selon cette théorie, c’est un endroit où des aliénigènes disposeraient de bases, de centres de communication, et ce genre de choses. Il y en a même qui sont persuadés que la Lune est un ovni gigantesque camouflé en planète morte.
La menace des météorites est devenue un thème à la mode. Il y a des films sur ce sujet, des articles et des études scientifiques, des émissions télévisées consacrées à ce qui pourrait arriver si un météorite entrait en collision avec la Terre. Les météorites sont petits en comparaison des planètes, mais il en existe de très gros, dont l’impact suffirait à détruire toute trace de vie sur la Terre.
Il semble logique de supposer que les corps célestes de petite taille soient des fragments d’éléments plus gros. C’est pourquoi les météorites pourraient être des morceaux de planètes...
L’astrophysicien Anatoly Chernyaeyv estime que c’est exactement ce qui s’est produit lors de la collision du météorite Tunguska avec la Terre. Selon sa théorie, une partie de la Terre s’est jadis dissociée d’elle-même et elle est partie dans le ciel. Mais elle n’a pas réussi à sortir du champ de gravitation terrestre et elle est retombée sur la Terre. Bien sûr, il est absolument impossible de prouver la véracité d’une telle théorie, car s’il y a jamais eu des témoins d’un tel phénomène, ils sont de toutes façons tous morts depuis longtemps. Mais selon cette approche des choses, la Lune pourrait n’être qu’un fragment de la Terre, qui n’aurait pas réussi à échapper à la gravitation terrestre.
DE LA VIE ET DES INSTALLATIONS SUR LA LUNE ?
La surface de la Lune ne semble pas inhabitable, et peut-être des créatures vivent-elles à l’intérieur même de notre satellite. Que font les humains lorsqu’ils veulent se protéger de la menace nucléaire ou de toute autre catastrophe d’origine humaine ? Ils construisent des abris souterrains. Il existe ainsi sur la Terre de nombreux abris ; ils sont profonds, résistants et vastes. Les technologies actuelles permettent d’envisager la survie sous la Terre durant des décennies et même, pourquoi pas, des siècles. Inutile de préciser que ces abris n’ont pas été construits pour l’ensemble de la population, mais seulement pour une élite. Mais pourquoi de tels abris n’auraient-ils pas jadis été construits dans une partie de la Terre qui s’en serait ensuite détachée et serait devenue la Lune. Il est vraisemblable qu’il n’y ait aucune vie sur la Lune d’origine spécifiquement lunaire.
Mais il n’est pas impossible que la Lune ait été utilisée comme station spatiale par différentes créatures. Les rares personnes qui ont eu le privilège de marcher sur la Lune y ont observé des choses vraiment étranges, comme par exemple des traces de chenilles de véhicules et de petits objets en verre orange. L’un des astronautes d’Apollo a même déclaré avoir aperçu des ovni. La NASA détient une impressionnante série de photos à ce sujet. La plupart ont été classées top-secret et ne sont pas diffusées, mais même les documents dont nous disposons prouvent que certaines régions de la Lune ne ressemblent pas du tout à ces paysages froids, désolés et inhospitaliers que l’on a cherché à nous montrer. Il est maintenant établi qu’il y a des constructions sur la Lune, il y a des ponts, des tours, des bâtiments, et des dômes gigantesques. Tous ces édifices semblent accréditer la thèse selon laquelle la Lune aurait pu jadis être une partie intégrante de notre planète.
Structures lunaires par wesh
Le grand quotidien russe "Pravda" a rapporté le 5 octobre 2002 que des traces de civilisation auraient été découvertes sur la Lune, incluant celles de la présence de villes habitées !
Sous prétexte que nous ne serions pas encore psychologiquement aptes à la digérer, ceux qui nous gouvernent semblent avoir décidé une fois pour toutes qu’il valait mieux cacher la vérité aux populations de la Terre.
En Europe comme aux États-Unis, nous nous trouvons ainsi une nouvelle fois confrontés au black-out imposé par l’entreprise de désinformation qui gouverne le monde. Car il semble qu’il existe des villes non seulement sur la Lune, mais aussi dans la Lune. Ce sont en réalité des bases dont certaines seraient peuplées d’humains et d’autres d’alienigènes.
Depuis des temps immémoriaux ressurgit régulièrement la question de savoir si nous sommes les seules créatures vivantes de notre univers. Et alors que de plus en plus d’habitants de cette planète, à commencer par de nombreux scientifiques, sont désormais convaincus du contraire, l’hebdomadaire russe Vecherny de Volgograd (anciennement Stalingrad), puis la Pravda de Moscou ont révélé le 5 octobre dernier qu’une présence d’êtres intelligents aurait été détectée depuis plusieurs années sur notre satellite naturel : la Lune. Mais, toujours selon la Pravda, nos dirigeants auraient jugé bon de classifier cette découverte top secret (un secret parmi tant d’autres !!!), après avoir réalisé que leur pouvoir et leurs privilèges ne résisteraient pas longtemps à la divulgation d’une telle information. Voici quelques lignes d’un compte-rendu de presse américain de 1996, retranscrit dans ces deux journaux russes :
Les ingénieurs et les savants de la NASA participant aux programmes d’exploration de Mars et de la Lune ont révélé certaines de leurs découvertes lors d’une conférence de presse qu’ils ont donnée au Washington National Press Club le 21 mars 1996. Ils affirment que des structures et des objets construits par des êtres intelligents ont été découverts sur la Lune.
À l’époque, les chargés de communication de la NASA avaient abordé la question de ces constructions de manière plutôt évasive. Ils avaient cependant mentionné la présence d’un OVNI sur la Lune. Ils avaient aussi évoqué la possibilité que certains sites découverts soient d’origine humaine, annoncé qu’une investigation était en cours et que les résultats officiels de l’enquête seraient communiqués plus tard...
Leur rapport faisait également état de photos aux mains de l’administration soviétique, apportant la preuve de l’existence d’une activité intelligente sur la Lune. Les milliers de photos et de vidéos prises au cours des missions Apollo et à bord de la station Clementine semblent confirmer l’existence de cette activité, sans qu’il soit malgré tout possible de l’identifier avec précision.
Des photos et vidéos enregistrées par les astronautes américains tout au long du programme Apollo furent présentées au cours de cette opération de communication de 1996. Les journalistes présents furent tous assez surpris que ces documents n’aient pas été transmis plus tôt à la presse. Ce à quoi les représentants de la NASA répondirent qu’il était difficile d’évaluer l’impact sur la population de la diffusion d’une information selon laquelle des créatures auraient habité ou habiteraient encore sur la Lune, et qu’il y avait d’autres raisons à ce silence qui n’étaient pas du ressort de la NASA.
Richard Hoagland, spécialiste en recherches spatiales, estime que la NASA s’efforce depuis des années de retoucher les documents photo avant de les publier. Certains chercheurs, dont Hoagland fait partie, sont persuadés qu’une race d’extraterrestres avait jadis utilisé la Lune comme une base avant de venir se livrer à différentes expérimentations sur la Terre et sur les humains. Cette interprétation semble confirmée par les mythes et légendes de nombreuses anciennes civilisations de la Terre.
Consultant de l’Agence Spatiale Américaine, Richard Hoagland soutient depuis des années la thèse établissant une corrélation entre les pyramides égyptiennes, les monuments mégalithiques anglais autour desquels se multiplient les formations de crop circles, et les édifices prétendus artificiels de la Lune et de la planète Mars.
Le projet "Mission Indépendante" sur Mars, à la base des découvertes sur le site de Cydonia, fut imaginé par lui et soutenu par le SRI entre 1983 et 1984. Le Stanford Research Institute (SRI) est lui-même un institut de recherche californien lié aux services de renseignements américains et financé à 75 % par le Pentagone. Cet institut a mené de nombreuses recherches sur le site de Gizeh depuis 1973, cherchant des chambres secrètes dans les monuments égyptiens. Il est probable qu’une importante salle d’archives ait été récemment découverte sous la patte droite du Sphinx, et que cette découverte, aussi bien que le secret qui l’entoure soient imputables au SRI et à la mainmise de la CIA sur cet organisme.
Les ruines des cités lunaires s’étendraient sur des kilomètres. Elles renfermeraient des dômes gigantesques édifiés sur des fondations massives et reliés par de nombreux tunnels, ce qui oblige les scientifiques à reconsidérer leurs anciennes hypothèses à propos de la formation de la Lune. D’ailleurs, ils n’arrivent toujours pas à comprendre comment est né notre satellite naturel ni de quelle manière ont commencé les révolutions qu’il effectue autour de la Terre.
Les amas de ruines découverts sur la Lune ne peuvent en aucun cas être assimilés à des formations géologiques naturelles, car leur disposition et leur structure géométrique sont bien trop complexes pour l’envisager. On a découvert dans la partie supérieure du lieu-dit Rima Hadley, non loin du site d’alunissage d’Apollo XV, une construction entourée d’une haute muraille en forme de D. À ce jour, des constructions artificielles du même genre ont été découvertes dans 44 sites différents.
Le Centre de Vols Spatiaux Goddard et le Planetary Institute de Houston font actuellement des recherches sur ce sujet. On a ainsi découvert des excavations en forme de terrasses à proximité du cratère Tiho. Ces terrasses sont elles-mêmes disposées en forme d’hexaèdres concentriques convergeant vers l’entrée d’un tunnel, de telle sorte que ce site ressemble davantage à une exploitation minière à ciel ouvert qu’à une formation géologique naturelle.
Il y a également un dôme tout à fait extraordinaire illuminé de l’intérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Un autre objet très mystérieux a été découvert au nord de ce site. Il s’agit d’un disque d’environ 50 mètres de diamètre, qui repose sur un socle en forme de losange entouré de murs. Sur l’une des photos, on aperçoit, non loin du losange, une embrasure sombre et ronde qui ressemble à l’entrée d’une galerie souterraine.
Et entre cet endroit et le cratère Copernic, il y a une sorte d’esplanade rectangulaire de 400 mètres de long sur 200 mètres de large. Sur la photo N° AS10-32-4822 prise par l’équipage d’Apollo X, on voit un objet d’environ 1,5 kilomètre de long appelé Castle, qui est au-dessus de la Lune, à environ 14 kilomètres de sa surface, et projette sur elle une ombre que l’on aperçoit très distinctement.
Cet objet semble être formé de plusieurs niveaux cylindriques articulés autour d’un élément central. Sur l’une des images, on voit distinctement la structure interne du Château, et certaines parties sont transparentes.
COMPLOT DE LA NASA
La conquête spatiale a débuté par une guerre entre les deux grandes puissances mondiales qu'étaient les États-Unis et l'URSS. Ces deux pays étaient en pleine guerre froide, la conquête de l'espace était un atout pour le pays vainqueur et une reconnaissance de son pouvoir devant les autres nations...
En 1961, les soviétiques prirent de l'avance en envoyant Youri Gagarine dans l'espace, ce fut le premier cosmonaute. Les différentes compétitions se sont succédées avec différentes missions qui faisaient l'état de plusieurs révolutions autour de la Terre, puis des sorties dans l'espace, etc...
Ces missions deviennent de plus en plus banales et tombent en désuétude pour le public, ce dernier se détourne de la conquête spatiale. Les deux gouvernements réagissent, il faut trouver un but impensable, gigantesque pour l'époque, légendaire: la course a la Lune est proclamée. Cette course a débuté avec l'annonce du président John Fitzgerald Kennedy en 1961 pour motiver les capacités d'entreprendre des Américains: Nous enverrons un homme sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme Apollo sera mis en place. Les scientifiques auront à surmonter les difficultés de la durée du voyage carburant, oxygène, de l'arrivée sur la Lune, de l'inconnu de ce Nouveau Monde, et bien sûr du retour sur Terre!!! Tout ceci sera résolu en 8 années avec, hélas, un accident mortel en 1967 qui retardera le programme Apollo d'une année.
C'est le 21 Juillet 1969 qu'un homme, Neil Armstrong, posera le pied sur la Lune suivi de Buzz Aldrin. La phrase immémorial d'Armstrong : "Ce n'est qu'un petit pas pour l'Homme, mais un bond gigantesque pour l'Humanité" montre que le but n'a pas été atteint seulement par les Américains mais par l'Humanité toute entière.
De la Lune les deux astronautes rapporteront 20,7 kg d'échantillons de roches. De retour sur Terre Armstrong, Aldrin et Collins se firent acclamés de leur réussite, l'Homme avait posé le pied dur la Lune. D'autres missions suivirent, mais l'opinion publique se lassaient de ces missions faites à coups de plusieurs centaines de millions de dollars.
De plus des théories firent leurs apparitions, selon certaines il aurait été impossible d'aller sur la Lune: la tempéraure sur celle-ci n'est pas supportable pour l'Homme même avec des combinaisons, les photos prises ont des défauts décelables par des amateurs et le temps imparti entre le pari de JFK et la fin de la décennie, c'est-à-dire 8 ans, était trop court pour certains scientifiques, les problèmes étaient tellement énormes, telle la construction de la navette, il fallait refaire tout à zéro depuis l'incident de 67, les conditions étaient différentes sur la Lune et sur la Terre. Il fallait à tout prix tenir le pari de Kennedy et de toute une nation. On pense que la NASA a tout fait pour y arriver mais elle n'a pas réussi. Les photos étaient-elles truquées?
Selon des experts il y a plusieurs sources de lumière dans les photos, or sur la Lune il n'y en a qu'une seule: le Soleil, il n'y a pas d'étoiles, les traces des Jeeps sont suspectes, le sol est humide alors que le sol lunaire est sec!
La NASA ne veut pas répondre à ces affabulations et ces élucubrations déplacées, ceci n'a aucune sorte d'importance. Une autre théorie pourrait démontrer pourquoi la NASA aurait truquée les photos. Cette théorie tient sa véracité par le caractère officiel de celle-ci. En effet, du côté russe on annonça que l' armée avait pu intercepté des messages censurés et donc inaccessibles au public. La dialogue des astronautes avec la NASA est stupéfiant:
NASA : "Qu'y a-t-il ? La tour de contrôle appelle Apollo XI..."
Apollo XI : "Ces bébés sont gigantesques ! Gigantesques ! Oh, mon dieu ! Vous n'allez jamais croire ça ! Je vous le dis, il y a d'autres vaisseaux spatiaux ici, alignés de l'autre côté du cratère ! Ils sont sur la Lune et ils nous regardent !"
Selon un certain Dr Aleksandr Kasantsev, Buzz Aldrin a même filmé des ovnis de l'intérieur de sa capsule, puis a l'extérieur, avec Armstrong. Armstrong a confirmé ce récit mais a refusé d'entrer dans les détails. Il a cependant admis que la CIA lui avait intimé l'ordre de ne faire aucune communication sur ce sujet.Une autre mission a fait l'objet d'une même stupéfaction :
Apollo : "Oh ! Il y a de la lumière derrière le cratère, des OVNI sont au-dessus de nous, ils nous regardent, ils paraissent hostiles."
NASA : "Nous sommes au courant, interrompez la communication, stoppez toute communication."
La NASA n'a pas voulue faire de commentaire à ce sujet. Il est clair que les astronautes qui étaient sur la Lune ont vu quelque chose, une intelligence autre qu' humaine, une intelligence extraterrestre. La NASA va mettre en place une campagne de désinformation, elle préfère divulguer les faits, cela pourrait occasionné une panique mondiale pour un temps indéterminé. C'est pourquoi les photos prises ont dû être cachées pour ne dire la vérité. Elles devaient sans doute montrer ces bases OVNI sur les cratères, des soucoupes en formation au-dessus de la surface lunaire. Des photos ont été refaites en studio pour qu'on ne sache pas ce qui s'est réellement passé sur la Lune. Pourtant certaines n'ont pas réussi a être filtrées par la gigantesque machine de désinformation américaine. Et pourtant mise à l'évidence, la NASA préfère nier ses photos et ne pas s'étendre sur le sujet, le qualifiant d'absurde.
LA FACE CACHÉE ET SES ANOMALIES...
Voici une photo scannée à partir de la page 33 du numéro 1028 de Paris Match, daté du 18 Janvier 1969. Cette photo a été prise par les astronautes d'Apollo 8 en Décembre 1968, et montre une partie de la face cachée de la Lune :
Le grand cratère blanc en haut de l'image est apelleé Giordano Bruno, du nom du célèbre hérétique qui fut brulé vif au 16ième siecle pour avoir osé affirmer que la terre n'était pas le centre du monde... Mais ce qui est intéressant, c'est la chose"en bas à droite de l'image. En voici un agrandissement. J'ai personellement retrouvé ce numéro de la revue, et il portait cette anomalie. Quoique certains numéros (retirages) ne l'ont pas... étrange, de plus en plus étrange.
La Lune intrigue notamment par sa face dite cachée, opposée à celle qu'elle nous montre constamment orientée vers vers la Terre, parce qu'elle tourne de manière synchrone avec la Terre, constamment en phase avec son orbite. En effet l'attraction gravitationnelle exercée par la Terre sur la Lune (de la même manière que la Lune en exerce une plus sur la Terre, provoquant les marées) provoque des déformations et des forces de friction à l'intérieur de la Lune. Une partie de l'énergie cinétique de rotation est alors libérée sous forme de chaleur et la rotation ralentit.
Au bout d'un certain temps, la rotation de la Lune est suffisamment ralentie pour que sa période soit égale à celle de la révolution autour de la Terre : on a alors atteint un état stable (plus de forces de friction car plus de mouvement relatif) et le système reste dans cet état, même si, au départ, la période de rotation de la Lune est plus rapide que sa période de révolution autour de la Terre. Ce cas de figure n'est pas propre à la Lune : comme celle-ci, de nombreux satellites tournent en phase avec la rotation de la Terre : on les qualifie alors de géostationnaires.
En décembre 1969, le docteur Seaborg déclare à Moscou (URSS) que l'équipage d'Apollo 11 a découvert sur la face cachée de la Lune des traces suspectes, dont la symétrie fait notamment penser aux empreintes que laissent les roues de véhicules. D'autres part, certaines tâches feraient penser à des constructions implantées sur le relief lunaire.
Il y a de cela bien des années, l'astronome Neil Amstrong mis le pied sur la lune... Toute la planète était rivée sur leurs écrans pour voir cette étape cruciale de notre histoire. Je ne doutais pas que des gens après un tel succès puissent imaginer que cette lune abritait quelques mystères. Certaine personnes croient que la lune a été ou est exploitée par une race d'extraterrestre.
C'est à la suite d'un livre que des gens ont commencé à changer d'opinion au sujet de la Lune. Le livre s'intitule : "ILS N'ÉTAIENT PAS SEULS SUR LA LUNE" parut aux éditions BELFOND.
DES VILLES SUR LA LUNE?
Nous n’étions pas préparés à une telle éventualité. Nous en étions encore à chercher dans nos écrits la réponse à cette éternelle question : sommes-nous seuls dans l'univers ? Et pendant ce temps on détectait tout près de chez nous, sur la Lune, les manifestations d’une intelligence extraterrestre.
D'après le journal russe "Vecherny Volgograd", cette incroyable découverte, dont on redoutait qu’elle bouleverse notre structure sociale toute entière, fut immédiatement classée secrète.
Des scientifiques et ingénieurs impliqués dans les projets d’exploration de Mars et de la Lune ont fait part des résultats de leurs découvertes lors d’une réunion du Club National de la Presse à Washington, DC, le 21 Mars 1996. Ils révélaient pour la première fois la présence sur la Lune de structures et d’objets artificiels. Le discours des scientifiques était plutôt prudent et évasif, et ne faisait pas référence aux OVNIs. Selon eux, l’existence de ces artéfacts était possible, mais cette information était en cours de traitement et ses conclusions seraient publiées ultérieurement.
Il fut également mentionné lors de cette réunion que l’Union Soviétique possédait des preuves photographiques de la présence d’une telle activité sur la Lune. La nature de cette activité demeure indéterminée mais ses traces seraient indéniables en de nombreux points de la surface lunaire, comme en témoigneraient les milliers de photos et vidéos provenant des vaisseaux Clementine et Apollo.
Des vidéos et des photos de ce dernier programme ont été projetées et beaucoup ont trouvé très surprenant que ce matériel n’ait pas été rendu public plus tôt. Les spécialistes de la NASA ont répondu qu’il était difficile de prévoir les réactions du public devant la révélation que des créatures étrangères avaient foulé ou foulent peut-être encore le sol lunaire. Ils ajoutèrent qu’il y avait également d’autres raisons à ce secret, et dont le contrôle dépassait la NASA elle-même. Le spécialiste des études lunaires Richard Hoagland a par ailleurs déclaré que la NASA procédait toujours à la retouche des photos avant leur publication.
Hoagland, ainsi que d’autres chercheurs, avancent l’idée qu’une race extraterrestre a utilisé la Lune comme une base d’opérations spatiales durant leurs activités sur la Terre et qu’on en trouve le reflet dans les mythes et légendes de nombreuses cultures terrestres. Les ruines des cités lunaires s’étendent sur plusieurs kilomètres. D’immenses dômes aux fondations massives, des tunnels et autres constructions poussent les scientifiques à réviser leurs opinions sur les origines de la Lune et les paramètres de sa révolution orbitale.
De nombreuses hypothèses ont été faites à propos de cette face cachée, comme les particularités insolites du cratère Aristarque (Aristarchus) où des lumières miroitantes auraient notamment été observées en 1821. Les astronomes y virent une simple illusion d'optique lorsque, 3 ans plus tard, une lumière y apparut de nouveau : elle avait la forme d'une étoile. Puis en 1959, on y signala une lumière glignotante. Le soir même de cette dernière observation, 2 objets ronds, lumineux, quittèrent la Lune à une vitesse incroyable. 2 ans plus tard, on y observa de nouveaux clignotements lumineux ; dans la même journée, 5 objets quittèrent le satellite côté est, avec 15 secondes environ d'intervalle. Puis on y découvrit une sorte de cable lumineux, et un objet noir comme de l'encre situé sur son bord.
Visible avec de simples jumelles, on observa de puissantes lueurs, dans ce cratère le 15 novembre 1965 et, ce qui est encore le plus curieux, les autorités officielles de la NASA le confirmèrent. En 1958 et en 1961, un astronome soviétique, Nikolai Kozyrev, y détecta une éruption volcanique.
L'année suivante, 4 astronomes américains le confirmèrent à nouveau. En 1962, 2 taches ovales de lumière rouge furent observées sur son bord, tandis qu'en juin 1965, on vit un étrange rayon de lumière blanche, brillante, en jaillir, alors que le cratère Aristarque était dans la zone d'ombre. Le mois suivant, un rayon de lumière blanche apparut plusieurs fois, durant une minute et demie à chaque manifestation. Tous ces faits sont propres à un seul cratère. Imaginez un peu ce qui se passe loin de nos regards, sur toute la surface de la face cachée de la lune!
Sans doute, les scientifiques et astronautes sont au courant de quelque chose ... Et le public est en droit d'en savoir le moins possible. Si on se fit aux rumeurs, aux informations officielles, au non-dit, on fini par être confus! Et seulement de moins en moins certains de la valeur ou l'authenticité des informations délivrées...
Sans doute, aussi la lune est loin d'avoir révéler tout ses secrets et nous sommes loin d'en avoir percé les mystères !
Source : www.secret-realite.net
DES STRUCTURES SUR LA LUNE FILMÉES PAR ARMSTRONG EN 1969?
En 1969, alors qu'Armstrong explorait la lune, il filma apparemment des images de structures insolites...
Soit tout ceci est faux, soit c'est une des infos les plus importantes qui soit...
Nous ne savons pas si cette vidéo est un canular mais si elle s'avère vraie il s’avérerait, du coup, que l'on nous cache bien des choses au sujet de notre satellite naturel, cette mystérieuse et fascinante lune qui éclaire nos nuits...
1969, Armstrong filme une structure sur la Lune par Enki_iz_Back
Soit tout ceci est faux, soit c'est une des infos les plus importantes qui soit...
Nous ne savons pas si cette vidéo est un canular mais si elle s'avère vraie il s’avérerait, du coup, que l'on nous cache bien des choses au sujet de notre satellite naturel, cette mystérieuse et fascinante lune qui éclaire nos nuits...
1969, Armstrong filme une structure sur la Lune par Enki_iz_Back
DE GRANDES QUANTITÉS D'EAU À L'INTÉRIEUR DE LA LUNE !
La Lune renfermerait cent fois plus d'eau qu'on ne le pensait jusqu'ici.
Cette découverte conforte la théorie selon laquelle la Terre et son unique satellite ont une origine commune.
Il ne faut décidément jamais se fier aux apparences. Bien qu'elle semble à première vue aride et désertique, la Lune recèle de grandes quantités d'eau. Certes il ne s'agit «que» de glace et non de lacs cristallins ou de riantes cascades. Mais depuis deux ans, les découvertes se succèdent à un rythme effréné. Que ce soit dans les premiers mètres du sol lunaire (mission américaine LCROSS) ou au fond de petits cratères situés près des pôles (sonde indienne Chandrayan-1), les astronomes ont trouvé de l'eau gelée quasiment partout.
Aux dernières nouvelles, il y en aurait même à l'intérieur des entrailles de notre satellite, dans ce que l'on appelle le manteau lunaire, comme le révèle une étude parue jeudi soir sur le site en ligne de la revue Science.
Une équipe dirigée par le géochimiste Erik Hauri, de la Carnegie Institution à Washington, vient en effet de retrouver des molécules d'eau dans du magma lunaire prisonnier depuis plusieurs milliards d'années à l'intérieur de petites billes de cristal volcanique ramenées par les astronautes d'Apollo 17, la dernière mission de la Nasa sur la Lune, en décembre 1972.
Cataclysme cosmique
D'après les auteurs de cette découverte étonnante, la Lune renferme cent fois plus d'eau qu'on ne le pensait jusqu'ici! Le tout à des concentrations «similaires à celles que l'on retrouve dans la lave provenant de la partie supérieure du manteau terrestre», explique l'un des membres de l'équipe, le géologue Alberto Saal, de l'Université Brown à Rhode Island (États-Unis).
Si cette troublante analogie conforte la théorie selon laquelle la Terre et la Lune ont une origine commune, elle oblige cependant à réévaluer le processus de formation de notre satellite.
Le scénario, plébiscité jusqu'ici par la majorité des astronomes, est celui d'une collision entre Theia, un énorme astéroïde de la taille de Mars, et la Terre. Ce cataclysme cosmique, survenu de 30 à 50 millions d'années seulement après la naissance de notre planète, aurait éjecté de grandes quantités de matériaux lesquels, en s'agglutinant, auraient formé la Lune.
Mais, l'abondance d'eau retrouvée à l'intérieur de notre satellite s'accorde mal avec les hautes températures générées par la collision, car elle aurait dû se volatiliser dans l'espace. Faut-il pour autant abandonner la théorie de l'impact? «Il faut bien sûr intégrer ces nouvelles données, mais d'autres points restent à éclaircir avant d'aller plus loin», estime Bernard Foing, ingénieur à l'Agence spatiale européenne et directeur exécutif du Groupe international de l'exploration de la Lune, qui suggère «d'envoyer des missions sur place pour réaliser des études sismiques et collecter de nouveaux échantillons».
«On manque notamment d'informations sur la composition de Theia, sur l'état du manteau terrestre au moment de l'impact et sur le “morceau” de Terre qui s'est volatilisé dans l'espace», plaide-t-il.
Cette découverte suggère également que la glace détectée au fond des cratères provient également de l'eau libérée par les éruptions de magma lunaire et pas seulement de celle apportée au fil du temps par les comètes et les météorites.
Source : Le Figaro
Cette découverte conforte la théorie selon laquelle la Terre et son unique satellite ont une origine commune.
Il ne faut décidément jamais se fier aux apparences. Bien qu'elle semble à première vue aride et désertique, la Lune recèle de grandes quantités d'eau. Certes il ne s'agit «que» de glace et non de lacs cristallins ou de riantes cascades. Mais depuis deux ans, les découvertes se succèdent à un rythme effréné. Que ce soit dans les premiers mètres du sol lunaire (mission américaine LCROSS) ou au fond de petits cratères situés près des pôles (sonde indienne Chandrayan-1), les astronomes ont trouvé de l'eau gelée quasiment partout.
Aux dernières nouvelles, il y en aurait même à l'intérieur des entrailles de notre satellite, dans ce que l'on appelle le manteau lunaire, comme le révèle une étude parue jeudi soir sur le site en ligne de la revue Science.
Une équipe dirigée par le géochimiste Erik Hauri, de la Carnegie Institution à Washington, vient en effet de retrouver des molécules d'eau dans du magma lunaire prisonnier depuis plusieurs milliards d'années à l'intérieur de petites billes de cristal volcanique ramenées par les astronautes d'Apollo 17, la dernière mission de la Nasa sur la Lune, en décembre 1972.
Cataclysme cosmique
D'après les auteurs de cette découverte étonnante, la Lune renferme cent fois plus d'eau qu'on ne le pensait jusqu'ici! Le tout à des concentrations «similaires à celles que l'on retrouve dans la lave provenant de la partie supérieure du manteau terrestre», explique l'un des membres de l'équipe, le géologue Alberto Saal, de l'Université Brown à Rhode Island (États-Unis).
Si cette troublante analogie conforte la théorie selon laquelle la Terre et la Lune ont une origine commune, elle oblige cependant à réévaluer le processus de formation de notre satellite.
Le scénario, plébiscité jusqu'ici par la majorité des astronomes, est celui d'une collision entre Theia, un énorme astéroïde de la taille de Mars, et la Terre. Ce cataclysme cosmique, survenu de 30 à 50 millions d'années seulement après la naissance de notre planète, aurait éjecté de grandes quantités de matériaux lesquels, en s'agglutinant, auraient formé la Lune.
Mais, l'abondance d'eau retrouvée à l'intérieur de notre satellite s'accorde mal avec les hautes températures générées par la collision, car elle aurait dû se volatiliser dans l'espace. Faut-il pour autant abandonner la théorie de l'impact? «Il faut bien sûr intégrer ces nouvelles données, mais d'autres points restent à éclaircir avant d'aller plus loin», estime Bernard Foing, ingénieur à l'Agence spatiale européenne et directeur exécutif du Groupe international de l'exploration de la Lune, qui suggère «d'envoyer des missions sur place pour réaliser des études sismiques et collecter de nouveaux échantillons».
«On manque notamment d'informations sur la composition de Theia, sur l'état du manteau terrestre au moment de l'impact et sur le “morceau” de Terre qui s'est volatilisé dans l'espace», plaide-t-il.
Cette découverte suggère également que la glace détectée au fond des cratères provient également de l'eau libérée par les éruptions de magma lunaire et pas seulement de celle apportée au fil du temps par les comètes et les météorites.
Source : Le Figaro
samedi 28 mai 2011
DES SPHÈRES TRAVERSENT LE CIEL DE PARIS
Aujourd'hui même, ce 28 mai 2011, une flottille de sphères a traversé le ciel de Paris au détriment des regards consternés de nombreux parisiens...
UNE FLOTTE DE SPHÈRES ROUGES TRAVERSE LE CIEL DE LE MOLDAVIE
Hier, le 27 mai 2011, d'insolites sphères rouges lumineuses ont traversé lentement le ciel de la Moldavie...
PLUSIEURS TÉMOINS D'UN CURIEUX OVNI AVANT LE MARIAGE ROYAL
UN PHÉNOMÈNE CÉLESTE INUSITÉ, UN "OBJET VOLANT" SEMBLABLE À UN SERPENT OU À UN VERS, EST APPARU DANS LE CIEL UN PEU AVANT LE MARIAGE ROYAL... PLUSIEURS PERSONNES RAPPORTENT QU'ILS ON VU CE CURIEUX "ALIEN WORM" OU "SKY WORM"...
vendredi 27 mai 2011
LE PHÉNOMÈNE BIEN RÉEL DES "RODS"
LE PHÉNOMÈNE DES "RODS" EST UNE RÉALITÉ, MAIS MALHEUREUSEMENT, À CAUSE DES DÉTRACTEURS ET SCEPTIQUES, LE PHÉNOMÈNE DES "RODS" N'A PA ÉTÉ ÉTUDIÉ, IL N'EST PAS PRIS ASSEZ AU SÉRIEUX...
NOUS AVONS, NOUS-MÊME, FILMÉ DES RODS, ET AUSSI DES SPHÈRES LUMINEUSES... OR, IL EST ÉVIDENT QU'IL NE S'AGIT PAS D'INSECTES PUISQUE PLUS DE LA MOITIÉ DE CES VIDÉOS ONT ÉTÉ CAPTÉES EN PLEIN HIVER!!!
UN DE NOS AMIS CINÉASTES NOUS A EXPLIQUÉ QU'IL EST DEVENU DIFFICILE DE NOS JOURS DE FAIRE LE MONTAGE D'UN FILM... PARCE QU'IL FAUT S'ASSURER QU'IL N'Y A PAS DE RODS OU DE SPHÈRES QUI PASSENT DANS L'IMAGE... COMME IL EST DEVENU DIFFICILE AUSSI DE FILMÉ UN CIEL SANS "CHEMTRAILS". POUR LES CHEMTRAILS ONT PEUT TOUJOURS FAIRE DES RETOUCHES, MAIS POUR LES RODS, C'EST PEINE PERDUE!!!
VOICI CE QU'IL NOUS A DIS :
"DURANT QUE NOUS FILMONS LES SCÈNES POUR UN FILM, NOUS NE VOYONS RIEN, PAS DE RODS... C'EST TOUJOURS SEULEMENT UNE FOIS AU MONTAGE QUE L'ON DÉCOUVRE LA PRÉSENCE DE CES INSOLITES "INSECTES" ! LE PHÉNOMÈNE A COMMENCÉ À ÊTRE CONNU DANS LE MILIEU DU CINÉMA VERS L'ANNÉE 1995, ET LE PHÉNOMÈNE N'A CESSEZ DEPUIS DE PRENDRE DE L'AMPLEUR. DÉSORMAIS, IL EST DIFFICILE DE FILMÉ QUELQUE PART SANS ATTRAPER DE CES RODS AU HASARD."
OUI, LE PHÉNOMÈNE DES RODS DEVRAIT VRAIMENT ÊTRE PRIS PLUS AU SÉRIEUX... NOUS POUVONS VOUS ASSURER QU'IL NE S'AGIT PAS D'UN CANULAR! IL Y A BEL ET BIEN DES OBJETS et/ou DES CRÉATURES VOLANTES NON-IDENTIFIÉE QUI NOUS CÔTOIENT !
NOUS AVONS, NOUS-MÊME, FILMÉ DES RODS, ET AUSSI DES SPHÈRES LUMINEUSES... OR, IL EST ÉVIDENT QU'IL NE S'AGIT PAS D'INSECTES PUISQUE PLUS DE LA MOITIÉ DE CES VIDÉOS ONT ÉTÉ CAPTÉES EN PLEIN HIVER!!!
UN DE NOS AMIS CINÉASTES NOUS A EXPLIQUÉ QU'IL EST DEVENU DIFFICILE DE NOS JOURS DE FAIRE LE MONTAGE D'UN FILM... PARCE QU'IL FAUT S'ASSURER QU'IL N'Y A PAS DE RODS OU DE SPHÈRES QUI PASSENT DANS L'IMAGE... COMME IL EST DEVENU DIFFICILE AUSSI DE FILMÉ UN CIEL SANS "CHEMTRAILS". POUR LES CHEMTRAILS ONT PEUT TOUJOURS FAIRE DES RETOUCHES, MAIS POUR LES RODS, C'EST PEINE PERDUE!!!
VOICI CE QU'IL NOUS A DIS :
"DURANT QUE NOUS FILMONS LES SCÈNES POUR UN FILM, NOUS NE VOYONS RIEN, PAS DE RODS... C'EST TOUJOURS SEULEMENT UNE FOIS AU MONTAGE QUE L'ON DÉCOUVRE LA PRÉSENCE DE CES INSOLITES "INSECTES" ! LE PHÉNOMÈNE A COMMENCÉ À ÊTRE CONNU DANS LE MILIEU DU CINÉMA VERS L'ANNÉE 1995, ET LE PHÉNOMÈNE N'A CESSEZ DEPUIS DE PRENDRE DE L'AMPLEUR. DÉSORMAIS, IL EST DIFFICILE DE FILMÉ QUELQUE PART SANS ATTRAPER DE CES RODS AU HASARD."
OUI, LE PHÉNOMÈNE DES RODS DEVRAIT VRAIMENT ÊTRE PRIS PLUS AU SÉRIEUX... NOUS POUVONS VOUS ASSURER QU'IL NE S'AGIT PAS D'UN CANULAR! IL Y A BEL ET BIEN DES OBJETS et/ou DES CRÉATURES VOLANTES NON-IDENTIFIÉE QUI NOUS CÔTOIENT !
jeudi 26 mai 2011
LES RÉVÉLATIONS STUPÉFIANTES DE L'ASTRONAUTE EDGAR MITCHELL AU SUJET DES OVNIS !
Edgar Dean Mitchell est le sixième astronaute américain à avoir posé le pied sur la Lune... Il est né le 17 septembre 1930 à Hereford (Texas). Il est diplômé en science et en science de la gestion industrielle et Docteur en Sciences de l'Aéronautique et de l'Astronautique au MIT. Mitchell a reçu de nombreuses récompenses et honneurs; entre autre : la médaille présidentielle de la liberté, la médaille de l'US Navy et trois autres du "Group Achievement Awards" de la NASA. Il est apparemment partisan de l'hypothèse extraterrestre. Pour tout dire, il est aussi convaincu que convaincant!
En 1984, il est co-fondateur de l'"Association des explorateurs de l'espace", une organisation internationale d'anciens astronautes.
24 Juillet 2008 - L'astronaute Edgar Mitchell est intervenu en direct sur la station britannique Kerrang Radio, interrogé par Nick Margerrison... Le projet initial de l'animateur était de lui faire revivre sa mission lunaire. Mais l'interview a pris une tournure inattendu après une quinzaine de minutes....
Edgar Mitchell avait déjà laissé entendre ce genre de choses, mais c'est la première fois qu'il fut aussi catégorique, et selon ses dires : "les Ovnis sont bel et bien réels !!! Toujours selon lui, ils font l'objet d'opérations de couverture et certains de nos gouvernements sont bien en contact avec des êtres d'autres planètes !!!
La preuve OVNI de la NASA par mick2008
En 1984, il est co-fondateur de l'"Association des explorateurs de l'espace", une organisation internationale d'anciens astronautes.
24 Juillet 2008 - L'astronaute Edgar Mitchell est intervenu en direct sur la station britannique Kerrang Radio, interrogé par Nick Margerrison... Le projet initial de l'animateur était de lui faire revivre sa mission lunaire. Mais l'interview a pris une tournure inattendu après une quinzaine de minutes....
Edgar Mitchell avait déjà laissé entendre ce genre de choses, mais c'est la première fois qu'il fut aussi catégorique, et selon ses dires : "les Ovnis sont bel et bien réels !!! Toujours selon lui, ils font l'objet d'opérations de couverture et certains de nos gouvernements sont bien en contact avec des êtres d'autres planètes !!!
La preuve OVNI de la NASA par mick2008
LE DOSSIER SECRET DES OVNIS
Ce documentaire que nous vous présentons aujourd'hui est tiré de l'émission télé "C dans l'Air", présenté par Ives Calvi...
En compagnie d'un ufologue de grande renommée, Gildas Bourdais, enquêteur spécialiste de Roswell, (le crash ayant eue lieu en 1947); et d'un sociologue des sciences, Pierre Lagrange, ainsi que Jacques Patenet du GEIPAN (organisme du CNES), et enfin, Alain Cirou directeur du magazine "Ciel & Espace".
Voici "Le Dossier Secret des OVNIS" :
Le dossier secret des ovnis (1) par Sohtym
Le dossier secret des ovnis (2) par Sohtym
Le dossier secret des ovnis (3) par Sohtym
Le dossier secret des ovnis (4) par Sohtym
En compagnie d'un ufologue de grande renommée, Gildas Bourdais, enquêteur spécialiste de Roswell, (le crash ayant eue lieu en 1947); et d'un sociologue des sciences, Pierre Lagrange, ainsi que Jacques Patenet du GEIPAN (organisme du CNES), et enfin, Alain Cirou directeur du magazine "Ciel & Espace".
Voici "Le Dossier Secret des OVNIS" :
Le dossier secret des ovnis (1) par Sohtym
Le dossier secret des ovnis (2) par Sohtym
Le dossier secret des ovnis (3) par Sohtym
Le dossier secret des ovnis (4) par Sohtym
mercredi 25 mai 2011
PHÉNOMÈNES CÉLESTES INUSITÉS : LA MULTIPLICATION DES O.V.N.I.
O.V.N.I. DU MOIS DE MAI 2011
LE 1ER MAI 2011 DURANT LA JOURNÉE NATIONALE DES TRAVAILLEURS...
LE 4 MAI 2011 À BIDGMAN, MICHIGAN
UN PHÉNOMÈNE CÉLESTE INUSITÉ EST FILMÉ À TYUMEN EN RUSSIE LE 5 MAI 2011
UN PHÉNOMÈNE CÉLESTE SEMBLABLE EST FILMÉ À KIZEL CE MÊME 5 MAI 2011
O.V.N.I. FILMÉ DERNIÈREMENT DANS LES PAYS-BAS, DÉBUT MAI 2011...
LE 7 MAI 2011 À TUCSON, ARIZONA
LE 7 MAI 2011 À SANTA CRUZ
LE 8 MAI À MAASMACHELEN EN BELGIQUE
AU DESSUS DE LA NORVÈGE LE 8 MAI 2011
ENCORE LE 8 MAI, CETTE FOIS À MONTRÉAL
LE 9 MAI 2011 À CARLSBAD EN CALIFORNIE
AU DESSUS DE AMSTERDAM LE 10 MAI 2011
(Si vous avez l’œil habile vous y verrez non seulement une de ces insolites sphères lumineuses, mais aussi de rapides disques volants… N.B. : Nous en avons nous-même filmés plusieurs!)
LE 12 MAI 2011 À ARLINGTON, TEXAS, IMPRESSIONNANT !
ENCORE LE 12 MAI 2011, CETTE FOIS AU DESSUS DE MILWAUKEE, DANS LE WISCONSIN
LE 13 MAI 2011 À TAMPA EN FLORIDE
AU DESSUS DU CHILI LE 14 MAI 2011
LE 15 MAI 2011 AU DESSUS DU LAC MICHIGAN
ENCORE LE 15 MAI 2011, CETTE FOIS À LONG BEACH, EN CALIFORNIE
LE 17 MAI, UN OBJET VOLANT A ÉTÉ FILMÉ PAR NBC TV
Enregistrées par les caméras de la NBC TV, le 17 mai 2011 autour de 22 heures. Que pensez-vous ce que c'est?
TOUJOURS LE 17 MAI 2011, DES LUMIÈRES INSOLITES SURVOLE LE CIEL DE MOSCOU
LE 18 MAI 2011, OVNI AU DESSUS DE LANGWASSE À NUREMBERG EN ALLEMAGNE
LE 19 MAI 2011, UNE VÉRITABLE ARMADA DE SPHÈRES LUMINEUSES (O.V.N.I) TRAVERSENT LES CIEUX DE SURREY EN COLOMBIE-BRITANIQUE (CANADA)
20 MAI 2011 DE TRÈS ÉTRANGES OBJETS VOLANTS, DANS LE SUD DE L'ALLEMAGNE
LE 21 MAI 2011 À AMSTERDAM... UNE AUTRE VIDÉO CONVAINCANTE !
ENCORE LE 21 MAI 2011, CETTE FOIS À RZESZOW EN POLOGNE...
TOUJOURS CE 21 MAI 2011, CETTE FOIS À L'EST DE LOS ANGELES EN CALIFORNIE... IMAGES SAISISSANTES ! PLUSIEURS PERSONNES ONT RAPPORTÉS AVOIR VU CE GENRE DE PHÉNOMÈNE DANS LES ENVIRONS DE LOS ANGELES C'EST DERNIERS JOURS...
LE 22 MAI 2011 AU DESSUS DE BERLIN - ASSURÉMENT IL NE S'AGIT PAS D'UN CANULAR! NOUS AVONS NOUS-MÊME FILMÉ EXACTEMENT LE MÊME GENRE D'OBJET AU DESSUS DES VILLES DE MONTRÉAL, DRUMMONDVILLE ET JOLIETTE AU QUÉBEC... CETTE VIDÉO DU 22 MAI À BERLIN EST STUPÉFIANTE DE VÉRACITÉ... CES INSOLITES O.V.N.I. SONT VRAIMENT UN PEU PARTOUT AU DESSUS DE NOS TÊTES!
LA MEILLEURE PRISE À CE JOUR!
LE 1ER MAI 2011 DURANT LA JOURNÉE NATIONALE DES TRAVAILLEURS...
LE 4 MAI 2011 À BIDGMAN, MICHIGAN
UN PHÉNOMÈNE CÉLESTE INUSITÉ EST FILMÉ À TYUMEN EN RUSSIE LE 5 MAI 2011
UN PHÉNOMÈNE CÉLESTE SEMBLABLE EST FILMÉ À KIZEL CE MÊME 5 MAI 2011
O.V.N.I. FILMÉ DERNIÈREMENT DANS LES PAYS-BAS, DÉBUT MAI 2011...
LE 7 MAI 2011 À TUCSON, ARIZONA
LE 7 MAI 2011 À SANTA CRUZ
LE 8 MAI À MAASMACHELEN EN BELGIQUE
AU DESSUS DE LA NORVÈGE LE 8 MAI 2011
ENCORE LE 8 MAI, CETTE FOIS À MONTRÉAL
LE 9 MAI 2011 À CARLSBAD EN CALIFORNIE
AU DESSUS DE AMSTERDAM LE 10 MAI 2011
(Si vous avez l’œil habile vous y verrez non seulement une de ces insolites sphères lumineuses, mais aussi de rapides disques volants… N.B. : Nous en avons nous-même filmés plusieurs!)
LE 12 MAI 2011 À ARLINGTON, TEXAS, IMPRESSIONNANT !
ENCORE LE 12 MAI 2011, CETTE FOIS AU DESSUS DE MILWAUKEE, DANS LE WISCONSIN
LE 13 MAI 2011 À TAMPA EN FLORIDE
AU DESSUS DU CHILI LE 14 MAI 2011
LE 15 MAI 2011 AU DESSUS DU LAC MICHIGAN
ENCORE LE 15 MAI 2011, CETTE FOIS À LONG BEACH, EN CALIFORNIE
LE 17 MAI, UN OBJET VOLANT A ÉTÉ FILMÉ PAR NBC TV
Enregistrées par les caméras de la NBC TV, le 17 mai 2011 autour de 22 heures. Que pensez-vous ce que c'est?
TOUJOURS LE 17 MAI 2011, DES LUMIÈRES INSOLITES SURVOLE LE CIEL DE MOSCOU
LE 18 MAI 2011, OVNI AU DESSUS DE LANGWASSE À NUREMBERG EN ALLEMAGNE
LE 19 MAI 2011, UNE VÉRITABLE ARMADA DE SPHÈRES LUMINEUSES (O.V.N.I) TRAVERSENT LES CIEUX DE SURREY EN COLOMBIE-BRITANIQUE (CANADA)
20 MAI 2011 DE TRÈS ÉTRANGES OBJETS VOLANTS, DANS LE SUD DE L'ALLEMAGNE
LE 21 MAI 2011 À AMSTERDAM... UNE AUTRE VIDÉO CONVAINCANTE !
ENCORE LE 21 MAI 2011, CETTE FOIS À RZESZOW EN POLOGNE...
TOUJOURS CE 21 MAI 2011, CETTE FOIS À L'EST DE LOS ANGELES EN CALIFORNIE... IMAGES SAISISSANTES ! PLUSIEURS PERSONNES ONT RAPPORTÉS AVOIR VU CE GENRE DE PHÉNOMÈNE DANS LES ENVIRONS DE LOS ANGELES C'EST DERNIERS JOURS...
LE 22 MAI 2011 AU DESSUS DE BERLIN - ASSURÉMENT IL NE S'AGIT PAS D'UN CANULAR! NOUS AVONS NOUS-MÊME FILMÉ EXACTEMENT LE MÊME GENRE D'OBJET AU DESSUS DES VILLES DE MONTRÉAL, DRUMMONDVILLE ET JOLIETTE AU QUÉBEC... CETTE VIDÉO DU 22 MAI À BERLIN EST STUPÉFIANTE DE VÉRACITÉ... CES INSOLITES O.V.N.I. SONT VRAIMENT UN PEU PARTOUT AU DESSUS DE NOS TÊTES!
LA MEILLEURE PRISE À CE JOUR!
mardi 24 mai 2011
DES INONDATIONS HISTORIQUES AU QUÉBEC...
(Venise-en-Québec) La météo s’acharne sur les sinistrés de la Montérégie. Les niveaux du lac Champlain et de la rivière Richelieu ont légèrement surpassé hier après-midi le record atteint le 6 mai dernier. D’autres évacuations sont à prévoir, car l’eau menace de monter encore de 10 à 20 centimètres d’ici demain.
Cette fois, c’est le vent qui est à blâmer. Dans la nuit de dimanche à hier, il s’est mis de la partie, poussant d’importantes quantités d’eau du lac Champlain vers la Montérégie. Ont donc surgi des vagues de près d’un mètre dans la baie Missisquoi et de 15 à 30 centimètres sur la rivière Richelieu. Des secteurs qui avaient été épargnés jusque-là ont également été inondés.
La situation était particulièrement impressionnante hier dans la petite municipalité de Venise-en-Québec, où les rafales ont atteint 70 km/h.
«Regardez, c’est comme si on était en haute mer… en pleine tempête!», a lancé Jean-Claude Morin en tentant d’éviter le ressac d’une vague qui venait de s’échouer sur la paroi de sa maison. «On est dans un bateau qui est en train de couler. On enlève de l’eau, on enlève de l’eau et on espère qu’on ne va pas couler. On ne veut pas devenir des naufragés.»
Selon le témoignage de plusieurs citoyens, les vagues n’ont jamais été aussi fortes et aussi hautes depuis le début de la crise il y a un mois. Afin de limiter les dégâts, M. Morin et son voisin Normand Picotin ont érigé une digue qui atteignait trois poches de sable de hauteur. Mais la digue a cédé hier en raison de la violence des vagues. En après-midi, quelques sacs de plastique étaient visibles au fond de l’eau, derniers vestiges de la paroi de protection. Conséquemment, de l’eau a commencé à s’infiltrer au rez-de-chaussée, tant chez les Morin que chez les Picotin.
«Notre chalet a été construit en 1946 et il est encore là, malgré les inondations de 1993 et celles que l’ont vit cette année, a expliqué M. Picotin. Mais s’il fallait que les planches de contre-plaqué qui placardent les fenêtres cèdent, il n’y en aurait plus, de chalet.»
Cette nouvelle hausse des crues a forcé l’évacuation de personnes qui se battent depuis le début des inondations pour sauver leur résidence. «C’est 50-50. La moitié des gens à qui on apporte des sacs de sable sont tellement exténués qu’ils nous disent qu’ils vont partir après avoir sécurisé leur maison. L’autre moitié veut rester», a expliqué une pompière de Venise-en-Québec.
Nicole Bellefleur a pris la décision de partir hier, un mois après le début des inondations. En quelques heures, l’eau s’est infiltrée de deux pieds au rez-de-chaussée de sa maison, qui est pourtant sur pilotis. «Je n’avais plus le choix, a-t-elle affirmé, visiblement émue. Je suis tannée et fatiguée. On dirait que ça ne va jamais se terminer.»
Du jamais vu en 150 ans
Hier soir, le Centre de prévision des crues du Québec (CPCQ) prévoyait une hausse de 3 à 6 centimètres du niveau de la rivière Richelieu d’ici à ce matin. Au total, la hausse pourrait atteindre 10 à 20 centimètres de plus. «Cependant, une baisse considérable est à prévoir à compter de mercredi en raison des vents du Nord», a affirmé le directeur de la Sécurité civile en Montérégie, Yvan Leroux.
Le 6 mai dernier, le cours d’eau a enregistré un niveau record de 30,703 mètres; du jamais vu depuis 150 ans. Hier soir, le niveau de la rivière était de 30,705 mètres.
En tout, environ 1000 personnes ont été évacuées depuis le début des inondations. Près de 3000 personnes sont sinistrées.
Source : Cyberpresse
Cette fois, c’est le vent qui est à blâmer. Dans la nuit de dimanche à hier, il s’est mis de la partie, poussant d’importantes quantités d’eau du lac Champlain vers la Montérégie. Ont donc surgi des vagues de près d’un mètre dans la baie Missisquoi et de 15 à 30 centimètres sur la rivière Richelieu. Des secteurs qui avaient été épargnés jusque-là ont également été inondés.
La situation était particulièrement impressionnante hier dans la petite municipalité de Venise-en-Québec, où les rafales ont atteint 70 km/h.
«Regardez, c’est comme si on était en haute mer… en pleine tempête!», a lancé Jean-Claude Morin en tentant d’éviter le ressac d’une vague qui venait de s’échouer sur la paroi de sa maison. «On est dans un bateau qui est en train de couler. On enlève de l’eau, on enlève de l’eau et on espère qu’on ne va pas couler. On ne veut pas devenir des naufragés.»
Selon le témoignage de plusieurs citoyens, les vagues n’ont jamais été aussi fortes et aussi hautes depuis le début de la crise il y a un mois. Afin de limiter les dégâts, M. Morin et son voisin Normand Picotin ont érigé une digue qui atteignait trois poches de sable de hauteur. Mais la digue a cédé hier en raison de la violence des vagues. En après-midi, quelques sacs de plastique étaient visibles au fond de l’eau, derniers vestiges de la paroi de protection. Conséquemment, de l’eau a commencé à s’infiltrer au rez-de-chaussée, tant chez les Morin que chez les Picotin.
«Notre chalet a été construit en 1946 et il est encore là, malgré les inondations de 1993 et celles que l’ont vit cette année, a expliqué M. Picotin. Mais s’il fallait que les planches de contre-plaqué qui placardent les fenêtres cèdent, il n’y en aurait plus, de chalet.»
Cette nouvelle hausse des crues a forcé l’évacuation de personnes qui se battent depuis le début des inondations pour sauver leur résidence. «C’est 50-50. La moitié des gens à qui on apporte des sacs de sable sont tellement exténués qu’ils nous disent qu’ils vont partir après avoir sécurisé leur maison. L’autre moitié veut rester», a expliqué une pompière de Venise-en-Québec.
Nicole Bellefleur a pris la décision de partir hier, un mois après le début des inondations. En quelques heures, l’eau s’est infiltrée de deux pieds au rez-de-chaussée de sa maison, qui est pourtant sur pilotis. «Je n’avais plus le choix, a-t-elle affirmé, visiblement émue. Je suis tannée et fatiguée. On dirait que ça ne va jamais se terminer.»
Du jamais vu en 150 ans
Hier soir, le Centre de prévision des crues du Québec (CPCQ) prévoyait une hausse de 3 à 6 centimètres du niveau de la rivière Richelieu d’ici à ce matin. Au total, la hausse pourrait atteindre 10 à 20 centimètres de plus. «Cependant, une baisse considérable est à prévoir à compter de mercredi en raison des vents du Nord», a affirmé le directeur de la Sécurité civile en Montérégie, Yvan Leroux.
Le 6 mai dernier, le cours d’eau a enregistré un niveau record de 30,703 mètres; du jamais vu depuis 150 ans. Hier soir, le niveau de la rivière était de 30,705 mètres.
En tout, environ 1000 personnes ont été évacuées depuis le début des inondations. Près de 3000 personnes sont sinistrées.
Source : Cyberpresse
SÉCHERESSE EN CHINE !
Sécheresse en Chine : des conditions climatiques extrêmes
Si une grande partie de l'Europe et de la France sont touchées par la sécheresse, la Chine connaît également depuis le début de l'année un printemps particulièrement sec qui pèse sur l'agriculture et l'approvisionnement en électricité du pays.
Selon le Centre d'Information Internet de Chine, la sécheresse frappe les provinces traversées par le fleuve Yangtsé, le plus long du pays.
En effet, de janvier à avril, le bassin du fleuve Yangtsé a reçu 40% de précipitations en moins par rapport à la moyenne calculée sur les 50 dernières années. Par conséquent, les cultures souffrent de plus en plus, ne se développent pas et les rivières atteignent des niveaux inquiétants.
Par exemple, sur la section du fleuve Yangtsé entre Yichang dans la province du Hubei et Jiujiang dans la province du Jiangxi (est), les niveaux étaient de 2,5 à 5,6 mètres inférieurs aux moyennes, a révélé dimanche 15 mai 2011 le bureau provincial de contrôle des inondations et de lutte contre la sécheresse du Hubei.
Actuellement, la sécheresse en Chine affecte environ 1,35 million d'hectares de culture, principalement dans les provinces du Hubei, du Hunan et du Gansu. De plus, le Bureau de contrôle des inondations et le quartier général de lutte contre la sècheresse estiment que plus de 1 400 000 personnes sont touchés par les difficultés d'approvisionnement en eau potable dans le pays.
D’un point de vue énergétique, la situation n’est guère meilleure. En effet, l'électricité hydroélectrique est la deuxième plus grande source d'électricité en Chine, avec plus de 45 000 centrales en activité en 2010, produisant plus de 662 milliards de kWh par an. Or, depuis le 15 mai 2011, le niveau d'eau du réservoir du barrage des Trois Gorges, le plus grand barrage du monde, est tombé à 154,8 mètres, en dessous de 156 mètres, le niveau requis pour une production électrique à pleine puissance, selon les dernières statistiques révélées par le Bureau des ressources en eau du Hubei.
Pour atténuer la sécheresse sévère qui frappe les régions de la moyenne vallée du fleuve Yangtsé, du 16 au 18 mai dernier, les autorités ont augmenté le débit du barrage à 9 500 mètres cubes par seconde, soit environ 2 900 mètres cubes de plus que la vitesse normale du flux, selon Zhao Yunfa, un ingénieur du barrage.
M. Zhao a indiqué que le débit actuel de l'eau sur la section moyenne du fleuve Yangtsé, le plus long du pays, a atteint un niveau proche du plus bas niveau enregistré il y a 16 ans avec seulement 6 600 m3 par seconde.
En cause: la faiblesse des précipitations durant l'hiver.
Source : univers-nature.com
Si une grande partie de l'Europe et de la France sont touchées par la sécheresse, la Chine connaît également depuis le début de l'année un printemps particulièrement sec qui pèse sur l'agriculture et l'approvisionnement en électricité du pays.
Selon le Centre d'Information Internet de Chine, la sécheresse frappe les provinces traversées par le fleuve Yangtsé, le plus long du pays.
En effet, de janvier à avril, le bassin du fleuve Yangtsé a reçu 40% de précipitations en moins par rapport à la moyenne calculée sur les 50 dernières années. Par conséquent, les cultures souffrent de plus en plus, ne se développent pas et les rivières atteignent des niveaux inquiétants.
Par exemple, sur la section du fleuve Yangtsé entre Yichang dans la province du Hubei et Jiujiang dans la province du Jiangxi (est), les niveaux étaient de 2,5 à 5,6 mètres inférieurs aux moyennes, a révélé dimanche 15 mai 2011 le bureau provincial de contrôle des inondations et de lutte contre la sécheresse du Hubei.
Actuellement, la sécheresse en Chine affecte environ 1,35 million d'hectares de culture, principalement dans les provinces du Hubei, du Hunan et du Gansu. De plus, le Bureau de contrôle des inondations et le quartier général de lutte contre la sècheresse estiment que plus de 1 400 000 personnes sont touchés par les difficultés d'approvisionnement en eau potable dans le pays.
D’un point de vue énergétique, la situation n’est guère meilleure. En effet, l'électricité hydroélectrique est la deuxième plus grande source d'électricité en Chine, avec plus de 45 000 centrales en activité en 2010, produisant plus de 662 milliards de kWh par an. Or, depuis le 15 mai 2011, le niveau d'eau du réservoir du barrage des Trois Gorges, le plus grand barrage du monde, est tombé à 154,8 mètres, en dessous de 156 mètres, le niveau requis pour une production électrique à pleine puissance, selon les dernières statistiques révélées par le Bureau des ressources en eau du Hubei.
Pour atténuer la sécheresse sévère qui frappe les régions de la moyenne vallée du fleuve Yangtsé, du 16 au 18 mai dernier, les autorités ont augmenté le débit du barrage à 9 500 mètres cubes par seconde, soit environ 2 900 mètres cubes de plus que la vitesse normale du flux, selon Zhao Yunfa, un ingénieur du barrage.
M. Zhao a indiqué que le débit actuel de l'eau sur la section moyenne du fleuve Yangtsé, le plus long du pays, a atteint un niveau proche du plus bas niveau enregistré il y a 16 ans avec seulement 6 600 m3 par seconde.
En cause: la faiblesse des précipitations durant l'hiver.
Source : univers-nature.com
SÉCHERESSE EN FRANCE : 42 DÉPARTEMENTS TOUCHÉS !
France : Sécheresse : 42 départements désormais concernés par des restrictions d'eau !
Quarante-deux départements, soit neuf de plus que mercredi, sont désormais concernés par des mesures restreignant certains usages de l'eau, selon le bilan actualisé samedi par le ministère de l'Écologie.
Les mesures les plus fortes, qui étaient concentrées sur une vingtaine de départements en début de semaine, ne concernent plus que 15 départements, dont ceux de la région Poitou-Charentes, la Dordogne, le Lot et le Rhône, selon le tableau des arrêtés préfectoraux publié par le ministère sur son site internet (www.developpement-durable.gouv.fr/Point-situation-secheresse.html).
Par ailleurs, quatre départements restent placés en situation de vigilance.
Les restrictions d'eau limitent les usages jugés non prioritaires pour les particuliers (arrosage des piscines, remplissage des piscines) et peuvent aussi encadrer certains usages liés à l'irrigation agricole.
On est en situation de crise et de gestion de crise, avait affirmé lundi la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, après avoir réuni avec un mois d'avance la commission de suivi hydrologique (dit comité sécheresse) rassemblant les représentants du BRGM, tous les usagers de l'eau, des élus et des experts, afin de faire le point sur la situation.
On est dans une situation de mois de juillet en ce qui concerne tous les indicateurs: nappes, débit et fonte des neiges, avait-elle ajouté.
Ce comité sécheresse doit se réunir régulièrement et au plus tard à la mi-juin, en fonction de l'évolution de la situation.
Source : ©AFP / 21 mai 2011
Depuis le mois de septembre 2010, début de l'année hydrologique, les cumuls de précipitations relevés sont déficitaires par rapport aux normales sur la plus grande partie du pays.
Ce déficit se situe entre 50 et 75 % de la normale du Poitou au Limousin et jusqu’au nord de Midi-Pyrénées, du nord du massif alpin au Jura, sur le sud des Vosges ainsi que sur le nord du bassin parisien. Ce quatrième mois consécutif à pluviométrie déficitaire affecte gravement les ressources en eau.
Globalement sur la France, les cumuls de précipitations pour le mois d'avril 2011 n'ont atteint que 29 % de la moyenne de référence établie sur la période 1971-2000. Le déficit dépasse même 75 % de la Somme à l’est de la Bretagne et au Bassin parisien, de la Vendée à la Gironde jusqu’au nord des Alpes, sur le littoral des Bouches-du-Rhône au Var, en Bourgogne, en Champagne et au sud de l’Alsace.
Le niveau des nappes au 1er mai 2011 est hétérogène d’une région à l’autre.
Plus des deux tiers (68%) des réservoirs affichent un niveau inférieur à la normale. C’est le cas sur la plus grande partie du Bassin parisien et dans le Sud-Ouest pour plusieurs grands aquifères. On peut citer les nappes de Beauce, du Bas-Dauphiné, du Champigny en Ile-de- France ou encore les nappes du bassin de la Garonne. Cette situation est le résultat de plusieurs années de déficit pluviométrique.
Le mois d’avril 2011 est le 2ème plus chaud et parmi les plus secs (seulement 29% de la « normale » des précipitations) du vingtième siècle.
À la mi-avril 2011, les sols sont plus secs en surface qu’en 1976.
Parmi les 400 milliards de m3 de pluie qui tombent en moyenne sur une année en France, les prélèvements en eau représentent environ 32 milliards de m3 par an1.
Différents types d’usagers (industriels, agriculteurs, collectivités, services et particuliers) sont utilisateurs d’eau.
L’industrie, plus gros consommateur les centrales nucléaires en particulier), rejette dans le milieu naturel une grande partie de l’eau qu’elle prélève.
Ses prélèvements représentent 68% de l’eau totale prélevée, soit environ 22 milliards de m3 (dont 19 pour le refroidissement). Elle ne compte en revanche que pour 22% des consommations totales, car une grande partie de l’eau prélevée retourne directement dans le milieu. Par ailleurs, le secteur a baissé sa consommation de 30% depuis les années 1970(amélioration des processus, et diminution de certaines activités industrielles).
À l’inverse, l’agriculture (...et le colza en particulier) consomme presque toute l’eau qu’elle prélève. C’est pourquoi elle représente près de 50% des consommations totales pour seulement 13% des prélèvements, soit environ 3 milliards de m3 en termes de consommation d’eau. En forte hausse depuis les années 1980 (hausse des surfaces irriguées, surtout au cours des années 1990), sa consommation d’eau commence à se stabiliser aujourd’hui grace au plan national. Mais les impacts sont importants, car ils sont concentrés sur une seule période de l’année, 3 mois d’été, où l'agriculture peut représenter jusqu'à 80% de l'eau consommée, et sur seulement certaines zones géographiques où les ressources sont les moins importantes.
L’eau potable (correspondant aux usagers que sont les collectivités, services et particuliers) représente 30% des consommations totales, soit environ 1,8 milliards de m3. Sa consommation est globalement stable du fait que l’augmentation de la population est compensée par une diminution de la consommation de chacun. L’eau prélevée en France provient en grande majorité des « eaux de surface », 82%, des fleuves, rivières et lacs, soit environ 26 milliards de m3.
Pour produire de l’eau potable, on utilise principalement (près de 63%) des eaux souterraines, moins polluées. Cependant, dans les zones urbaines, où la quantité nécessaire à chaque instant est très élevée, on prélève plutôt de l’eau de surface que les grandes collectivités ont les moyens de traiter efficacement.
L’eau est prélevée à partir de 35 000 points de captage. Les captages d’eau destinée à la fabrication d’eau potable sont protégés, pour éviter toute pollution accidentelle.
Dans certaines zones, les prélèvements sont supérieurs à la ressource (« zones de déficit structurel »), plus particulièrement dans :
le bassin parisien : pour la production d’eau potable et l’irrigation (Beauce)
le grand Sud Ouest et la façade atlantique (du Poitou-Charentes aux Pyrénées-Atlantiques) pour l’irrigation ;
et le Sud Est : essentiellement pour l’irrigation agricole (à 80 % aux moments où les niveaux des cours d’eau et des nappes phréatiques sont les plus bas - étiage-, ce qui renforce l’impact du déficit).
Quatre niveaux d'alerte ont été définis : vigilance, alerte, alerte renforcée et crise :
Seuil de vigilance : Le préfet se base sur le débit des cours d’eau pour déclencher le seuil
de vigilance. Il incite les particuliers et les professionnels à des économies d’eau.
Seuil d’alerte : Le préfet décide de premières mesures de limitation de l’usage de l’eau.
Seuil d’alerte renforcée : Ce seuil doit permettre une limitation progressive des prélèvements en eau et le renforcement des mesures de limitation ou de suspension des usages si nécessaires, afin de ne pas atteindre le niveau de crise renforcée.
Seuil de crise : Seuil déclenché en cas de mise en péril de l’alimentation en eau potable, la santé,
Les mesures de limitation des prélèvements sont progressives et adaptées aux différents usagers :
Usages domestiques (collectivités et particuliers) : sensibilisation, puis limitation de plus en plus forte des prélèvements pour l'arrosage des pelouses, des espaces verts, le lavage des voitures, le remplissage des piscines jusqu'à l'interdiction totale de ce type d'utilisation (hors usage eau potable).
Agriculture (l'agriculture représente 80% des prélèvements totaux effectués entre juin et août) : interdiction d'irriguer 1 jour par semaine, plusieurs jours par semaine ou à certaines heures jusqu'à l'interdiction totale de l'irrigation.
Industrie : démarche spécifique sur les unités les plus consommatrices. Par exemple, mesures imposant le recyclage de certaines eaux de nettoyage, la modification de certains modes opératoires, une réduction progressive d'activité.
Et a qui on fait payer en premier le manque d'eau???
Quarante-deux départements, soit neuf de plus que mercredi, sont désormais concernés par des mesures restreignant certains usages de l'eau, selon le bilan actualisé samedi par le ministère de l'Écologie.
Les mesures les plus fortes, qui étaient concentrées sur une vingtaine de départements en début de semaine, ne concernent plus que 15 départements, dont ceux de la région Poitou-Charentes, la Dordogne, le Lot et le Rhône, selon le tableau des arrêtés préfectoraux publié par le ministère sur son site internet (www.developpement-durable.gouv.fr/Point-situation-secheresse.html).
Par ailleurs, quatre départements restent placés en situation de vigilance.
Les restrictions d'eau limitent les usages jugés non prioritaires pour les particuliers (arrosage des piscines, remplissage des piscines) et peuvent aussi encadrer certains usages liés à l'irrigation agricole.
On est en situation de crise et de gestion de crise, avait affirmé lundi la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, après avoir réuni avec un mois d'avance la commission de suivi hydrologique (dit comité sécheresse) rassemblant les représentants du BRGM, tous les usagers de l'eau, des élus et des experts, afin de faire le point sur la situation.
On est dans une situation de mois de juillet en ce qui concerne tous les indicateurs: nappes, débit et fonte des neiges, avait-elle ajouté.
Ce comité sécheresse doit se réunir régulièrement et au plus tard à la mi-juin, en fonction de l'évolution de la situation.
Source : ©AFP / 21 mai 2011
Depuis le mois de septembre 2010, début de l'année hydrologique, les cumuls de précipitations relevés sont déficitaires par rapport aux normales sur la plus grande partie du pays.
Ce déficit se situe entre 50 et 75 % de la normale du Poitou au Limousin et jusqu’au nord de Midi-Pyrénées, du nord du massif alpin au Jura, sur le sud des Vosges ainsi que sur le nord du bassin parisien. Ce quatrième mois consécutif à pluviométrie déficitaire affecte gravement les ressources en eau.
Globalement sur la France, les cumuls de précipitations pour le mois d'avril 2011 n'ont atteint que 29 % de la moyenne de référence établie sur la période 1971-2000. Le déficit dépasse même 75 % de la Somme à l’est de la Bretagne et au Bassin parisien, de la Vendée à la Gironde jusqu’au nord des Alpes, sur le littoral des Bouches-du-Rhône au Var, en Bourgogne, en Champagne et au sud de l’Alsace.
Le niveau des nappes au 1er mai 2011 est hétérogène d’une région à l’autre.
Plus des deux tiers (68%) des réservoirs affichent un niveau inférieur à la normale. C’est le cas sur la plus grande partie du Bassin parisien et dans le Sud-Ouest pour plusieurs grands aquifères. On peut citer les nappes de Beauce, du Bas-Dauphiné, du Champigny en Ile-de- France ou encore les nappes du bassin de la Garonne. Cette situation est le résultat de plusieurs années de déficit pluviométrique.
Le mois d’avril 2011 est le 2ème plus chaud et parmi les plus secs (seulement 29% de la « normale » des précipitations) du vingtième siècle.
À la mi-avril 2011, les sols sont plus secs en surface qu’en 1976.
Parmi les 400 milliards de m3 de pluie qui tombent en moyenne sur une année en France, les prélèvements en eau représentent environ 32 milliards de m3 par an1.
Différents types d’usagers (industriels, agriculteurs, collectivités, services et particuliers) sont utilisateurs d’eau.
L’industrie, plus gros consommateur les centrales nucléaires en particulier), rejette dans le milieu naturel une grande partie de l’eau qu’elle prélève.
Ses prélèvements représentent 68% de l’eau totale prélevée, soit environ 22 milliards de m3 (dont 19 pour le refroidissement). Elle ne compte en revanche que pour 22% des consommations totales, car une grande partie de l’eau prélevée retourne directement dans le milieu. Par ailleurs, le secteur a baissé sa consommation de 30% depuis les années 1970(amélioration des processus, et diminution de certaines activités industrielles).
À l’inverse, l’agriculture (...et le colza en particulier) consomme presque toute l’eau qu’elle prélève. C’est pourquoi elle représente près de 50% des consommations totales pour seulement 13% des prélèvements, soit environ 3 milliards de m3 en termes de consommation d’eau. En forte hausse depuis les années 1980 (hausse des surfaces irriguées, surtout au cours des années 1990), sa consommation d’eau commence à se stabiliser aujourd’hui grace au plan national. Mais les impacts sont importants, car ils sont concentrés sur une seule période de l’année, 3 mois d’été, où l'agriculture peut représenter jusqu'à 80% de l'eau consommée, et sur seulement certaines zones géographiques où les ressources sont les moins importantes.
L’eau potable (correspondant aux usagers que sont les collectivités, services et particuliers) représente 30% des consommations totales, soit environ 1,8 milliards de m3. Sa consommation est globalement stable du fait que l’augmentation de la population est compensée par une diminution de la consommation de chacun. L’eau prélevée en France provient en grande majorité des « eaux de surface », 82%, des fleuves, rivières et lacs, soit environ 26 milliards de m3.
Pour produire de l’eau potable, on utilise principalement (près de 63%) des eaux souterraines, moins polluées. Cependant, dans les zones urbaines, où la quantité nécessaire à chaque instant est très élevée, on prélève plutôt de l’eau de surface que les grandes collectivités ont les moyens de traiter efficacement.
L’eau est prélevée à partir de 35 000 points de captage. Les captages d’eau destinée à la fabrication d’eau potable sont protégés, pour éviter toute pollution accidentelle.
Dans certaines zones, les prélèvements sont supérieurs à la ressource (« zones de déficit structurel »), plus particulièrement dans :
le bassin parisien : pour la production d’eau potable et l’irrigation (Beauce)
le grand Sud Ouest et la façade atlantique (du Poitou-Charentes aux Pyrénées-Atlantiques) pour l’irrigation ;
et le Sud Est : essentiellement pour l’irrigation agricole (à 80 % aux moments où les niveaux des cours d’eau et des nappes phréatiques sont les plus bas - étiage-, ce qui renforce l’impact du déficit).
Quatre niveaux d'alerte ont été définis : vigilance, alerte, alerte renforcée et crise :
Seuil de vigilance : Le préfet se base sur le débit des cours d’eau pour déclencher le seuil
de vigilance. Il incite les particuliers et les professionnels à des économies d’eau.
Seuil d’alerte : Le préfet décide de premières mesures de limitation de l’usage de l’eau.
Seuil d’alerte renforcée : Ce seuil doit permettre une limitation progressive des prélèvements en eau et le renforcement des mesures de limitation ou de suspension des usages si nécessaires, afin de ne pas atteindre le niveau de crise renforcée.
Seuil de crise : Seuil déclenché en cas de mise en péril de l’alimentation en eau potable, la santé,
Les mesures de limitation des prélèvements sont progressives et adaptées aux différents usagers :
Usages domestiques (collectivités et particuliers) : sensibilisation, puis limitation de plus en plus forte des prélèvements pour l'arrosage des pelouses, des espaces verts, le lavage des voitures, le remplissage des piscines jusqu'à l'interdiction totale de ce type d'utilisation (hors usage eau potable).
Agriculture (l'agriculture représente 80% des prélèvements totaux effectués entre juin et août) : interdiction d'irriguer 1 jour par semaine, plusieurs jours par semaine ou à certaines heures jusqu'à l'interdiction totale de l'irrigation.
Industrie : démarche spécifique sur les unités les plus consommatrices. Par exemple, mesures imposant le recyclage de certaines eaux de nettoyage, la modification de certains modes opératoires, une réduction progressive d'activité.
Et a qui on fait payer en premier le manque d'eau???