lundi 2 août 2010
SUS AU "CODEX ALIMENTARIUS"
L’aguicheuse présentation officielle :
La commission de Codex Alimentarius a été crée en 1963 par l’Organisation Mondiale de la Santé afin d’élaborer des normes alimentaires, et des Codes d’usages.
Les buts principaux de ce programme sont la protection de la santé des consommateurs, la promotion de pratiques loyales dans le commerce des aliments, et la coordination de tous les travaux de normalisation ayant trait aux aliments entrepris par des organisations aussi bien gouvernementales que non gouvernementales.
Les responsables et les experts qui ont jeté les bases et défini les orientations des activités de la Commission du Codex Alimentarius étaient d’avis que si tous les pays harmonisaient leurs législations alimentaires et adoptaient des normes approuvées à l’échelle internationale, ces questions trouveraient une solution naturelle.
Grâce à l’harmonisation, ils prévoyaient une réduction des obstacles au commerce et la libération des échanges entre les pays, dont tireraient profit les agriculteurs et leurs familles et qui aideraient à atténuer la faim et la pauvreté (voir le résultat 40 ans après !).
Ils concluaient que le Codex Alimentarius serait la panacée pour certaines des difficultés qui entravaient la liberté d’échange.
Le volume du commerce mondial des denrées alimentaires est considérable et sa valeur est de 300 à 400 milliards de dollars. Les gouvernements nationaux se préoccupent surtout de l’innocuité des aliments importés d’autres pays, afin qu’ils ne menacent ni la santé des consommateurs, ni la santé et la sécurité de leurs populations animales et végétales.
En conséquence, les gouvernements des pays importateurs ont institué des lois et des réglementations contraignantes pour éliminer ou réduire au minimum ces périls. Mais dans le domaine du contrôle des denrées alimentaires, des animaux et des végétaux, ces mesures risquent de créer des obstacles au commerce des denrées alimentaires entre les pays (business d’abord !)
La réalité cachée
Derrière des atours séducteurs d’apparence philanthropique, le Codex Alimentarius n’est que le bras séculier d’une organisation occulte (made in U.S.A), dont la vocation secrète n’est que l’exploitation à outrance, quelles qu’en soient les conséquences et la mise en esclavage de l’humanité...
D’ailleurs, il est clair que la mise en place de cet organisme mondial n’a fait que créer ou aggraver les disparités socio-économiques, contrairement à ce qui était promis au départ.
Il s’agit en fait, d’une redoutable dictature tenant sous son joug les gouvernements eux-mêmes avec la menace permanente de terribles moyens de rétorsion commerciale.
Par exemple, l’Europe paye actuellement tous les ans, une amende de 116.8 millions de dollars pour son refus d’importation de veau aux hormones.
Les vrais objectifs du Codex
Le Codex Alimentarius entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel. Cet état d’esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans.
Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires…
Nous sommes en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, mais des procédés de désinformation puissants sont en place pour cacher ces vérités au grand public.
La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives bloquera l’éradication de certaines maladies assurant toujours plus de profit à cette industrie mondiale qui ne traite que les symptômes sans s’attaquer aux causes.
Le docteur Rath, dénonce cette situation en ces termes : « la vraie nature de l’industrie pharmaceutique (mondiale) est de gagner de l’argent avec les maladies chroniques, et non point de s’occuper de la prévention ou de l’éradication des maladies…
L’industrie pharmaceutique a un intérêt financier direct à ce que les maladies perdurent afin d’assurer la croissance du marché des médicaments. C’est pour cela que les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et NON pour traiter les causes des maladies… les trusts pharmaceutiques sont responsables d’un génocide disséminé permanent, tuant des millions de personnes… »
Une insulte à la démocratie
Le 13 mars 2002, les "euro-députés" de l'Europe-Unie adoptèrent des lois en faveur de l’industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires.
Une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions inonda pourtant les messageries des euro-députés, à tel point que les communications internes en furent bloquées!
Malgré près d’un demi milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées.
Ce vote fut un véritable déni de démocratie augurant de futures difficultés pour la construction de l’Europe.
En fait, une légion de lobbyistes pharmaceutiques était (et est toujours) employée en permanence pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation.
L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d’effets secondaires dangereux en les reniant publiquement.
Après avoir établi la genèse de ces crimes en col blanc et prouvé la responsabilité des industries pharmaceutiques concernant la mise en place d’une politique mondiale de génocide disséminé, le Docteur Matthias Rath a remis un acte d’accusation pour crime contre l’humanité à la Cour Internationale de Justice de la Haye en juin 2003.
La directive que le Codex voulait mettre en application dès 2005
À partir de juillet 2005, les directives du Codex Alimentarius,nommées : "Directives Européennes sur les Suppléments Alimentaires", devront être appliquées sous peine de sanctions financières.
En quoi consistent-elles ?
1. Il s’agit de supprimer tout supplément alimentaire naturel. Tous seront remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et seront uniquement disponibles en pharmacie sur prescription médicale.
2. Les médecines alternatives telles que l’acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine… se verront progressivement interdites.
3. L’agriculture et l’alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l’agriculture dite bio-dynamique.
4. L’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée (ex : irradiée au Cobalt – le terme technique employé pour rassurer la population étant « ionisé ».)
Le Codex Alimentarius contrôlera l’accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et minéraux. L’élargissement des contrôles opérera progressivement, mettant à mal toutes les médecines alternatives ancestrales ou naturelles.
ATTENTION : L’éCHEC PROVISOIRE DE CE PROJET N’EST QUE PARTIE REMISE – VIGILANCE OBLIGE !
L’histoire secrète du trust pharmaco-chimique
Le trust de la pharmaco-chimie tel que nous le connaissons actuellement fut conçu par une association de la Rockefeller Trust avec l’IG Farben de l’Allemagne nazie.
Par ailleurs, l’industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée, pour préserver les intérêts de la Rockefeller...
Depuis 1932, l’industrie pharmaco-chimique IG Farben finançait Adolph Hitler... Sans ce soutien, selon le tribunal de Nuremberg, le deuxième guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu…
En 1941, l’IG Farben a établi la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main d’oeuvre du camp de concentration.
Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben ont été déclarés coupables de génocide, d’esclavage, de pillage et d’autres crimes.
Le Tribunal de Nuremberg avait alors scindé la IG Farben en BASF, BAYER et HOECHST. Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952, avec l’aide de Nelson Rockefeller, leur ancien partenaire commercial. Il était alors ministre des Affaires étrangères des U.S.A.
Une fois libérés, les dirigeants d’IG Farben infiltrèrent les plus hauts fonctions de l’économie allemande ; jusque dans les années 70, les PDG des sociétés BASF, BAYER et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi.
Ils financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl.
Avec le support politique de ce dernier, les trois filiales issues d’IG Farben sont actuellement 20 fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941.
L’organisation nazie de mondialisation, associée à Rockefeller, est une réussite totale. Depuis longtemps, la planète est quadrillée, organisée et gérée pour assurer une expansion mondiale de la pharmaco-chimie.
Puis, la « tradition » du cartel de la IG Farben s’est poursuivie sous un nouveau nom : Association de l’Industrie Chimique.
En 1955, l’industrie chimique pharmaceutique mondiale s’est regroupée sous les auspices de la "Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies" et du gouvernement allemand. Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de code "Codex Alimentarius".
Un grand nombre de partis politiques européens, dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer son hégémonie économique mondiale.
L’origine de la dynastie Rockefeller
Aux environs de 1860, « Old Bill » Rockefeller, marchand forain de spécialités pharmaceutiques, vendait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son pétrole brut en flacon : « Nujol » (New Oil : nouvelle huile).
L’affaire était prospère, il achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars.
Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicale, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s’imposer.
Le Nujol fut baptisé « cure contre la constipation » et fut largement commercialisé.
Cependant, des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps.
La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le sénateur Royal S. Coperland de New York était payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol.
L’empire Rockefeller s’est construit grâce à cette formidable supercherie qui consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut, enrichi au carotène, aux populations. C’est ainsi que les fondations de l’industrie pharmaco-chimique furent posées. Nous sommes bien loin des fondements des médecines chinoises, tibétaines ou perses…
Le succès commercial du Nujol permit de diversifier la production pharmaco-chimique et d’atteindre des sommets en terme de bénéfices.
En 1948, le chiffre d’affaire annuel de la Rockefeller s’élevait à 10 millions de dollars. Le médicament Nujol existe toujours sous forme de paraffine pure, classé comme laxatif doux : il est recommandé pour la constipation chronique rebelle. Il est fabriqué par le laboratoire Fumouze. Hélas, il capitonne l’intestin et entraîne rapidement des carences graves.
L’heure de vérité
Dans l’idéologie Rockefeller, l’unique objectif est de vendre sans scrupule, d’asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial. Breveter le vivant, tout refaire en molécules chimiques, nier toute médecine autre que la pharmaco-chimie, c’est l’idée de progrès affichée par tous les Trusts.
Cette politique n’a rien de démocratique et vise à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles).
Le Codex Alimentarius croit pouvoir faire fi de l’opinion des peuples
Le Codex pense pour vous, agit pour vous et vous protège de vous-même, selon des normes qui causeront votre perte.
Pendant ce temps, 800 000 personnes meurent tous les ans, dans la seule Amérique du Nord, sur ordonnances allopathiques.
Un rapport de l’ONU affirme d’ailleurs que sur 205 000 médicaments de ces industries, seuls 26 seraient indispensables.
Une résistance internationale s’organise
L’Afrique du Sud a affirmé qu’elle ne se conformerait pas aux directives du Codex Alimentarius. Le Ministre de la Santé Manto Tshabalata-Msimang a déclaré que son pays est en désaccord avec cette dichotomie entre médecine naturelle et médecine allopathique.
Selon ses conclusions, ces dispositions ne visent qu’à faire de l’argent à partir de remèdes brevetés et à discréditer l’usage des produits naturels.
L’Inde ne se conformera pas non plus aux directives du Codes Alimentarius, car il a fait la promotion de formules pour bébés contenant des ingrédients chimiques, causant une inflammation destructrice du cerveau chez les bébés sensibles. Le délégué indien chargé de plaider l’affaire auprès du Codex a été ignoré, et lorsqu’il insista pour un débat, il fut expulsé de la chambre.
Aux États-Unis, l’association des médecins et des chirurgiens américains a exprimé son opposition au Codex afin d’avoir recours à des remèdes naturels.
Au Royaume Uni, les médecins exerçant des médecines naturelles, supportés par les Membres de la Chambre des Lords, se sont fermement opposés à la politique pro-Codex de Tony Blair. Ce dernier est taxé d’hypocrisie, puisqu’il à été révélé publiquement qu’il utilise pour sa famille des remèdes naturels, des compléments alimentaires et l’homéopathie. Tony Blair sera président de l’Union Européenne précisément à partir du premier juillet 2005, jour d’application des directives du Codex.
Le réveil des consciences est amorcé
Fort heureusement, il existe les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs souvent violentés par l’arrogance des Cartels pharmaco-chimiques. Ils ont établi le concept de la bio-individualité fondé sur la liberté du choix thérapeutique des patients.
Cette conception suscite chez le patient l’esprit de recherche, offre des alternatives dans la manière de se soigner.
Cette approche s’adapte au patient plutôt que d’imposer un protocole thérapeutique de masse non individualisé.
La maladie a une connotation spécifique dans la vie d’un individu, ne pas en tenir compte c’est ramener l’homme au rand de machine sophistiquée. Or l’homme est bien plus qu’une machine mécanico-chimique.
Sans que la plupart des électeurs en ait conscience, le non massif à la Constitution européenne a été aussi par chance, un non au Codex Alimentarius. Les grands retards dont nous avaient menacés les marionnettes politiques vendues à la cause du « oui » concerneront surtout le camp des exploiteurs et en particulier, celui du Codex.
RAPPORT: Au nom de la délégation du Sénat pour l’Union européenne sur le Codex Alimentarius
Source: Senat
Les statuts
· Les statuts de la commission du Codex alimentarius précisent que celle-ci est chargée :
"d’adresser des propositions aux directeurs généraux de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et sera consultée par eux en ce qui concerne toutes les questions intéressant la mise en oeuvre du Programme mixte FAO/OMS sur les normes alimentaires dont l’objet est de :
a) protéger la santé des consommateurs et assurer des pratiques loyales dans le commerce alimentaire ;
b) promouvoir la coordination de tous les travaux en matière de normes alimentaires entrepris par des organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales ;
c) établir un ordre de priorité et prendre l’initiative et la conduite du travail de préparation des projets de normes, par l’intermédiaire des organisations compétentes et avec leur aide ;
d) mettre au point les normes préparées comme indiqué au paragraphe (c) et, après leur acceptation par les gouvernements, les publier dans un Codex Alimentarius, soit comme normes régionales, soit comme normes mondiales, conjointement aux normes internationales déjà mises au point par d’autres organismes comme mentionné au paragraphe (b), chaque fois que cela sera possible ;
e) après une étude appropriée, modifier les normes déjà publiées, à la lumière de la situation"
La commission se réunit tous les deux ans, alternativement à Rome, au siège de la FAO, et à Genève, au siège de l’OMS. En pratique, son fonctionnement repose sur ses » organes subsidiaires » qui sont de deux types : les comités du Codex, qui préparent les projets de normes, et les comités de coordination, qui interviennent à l’échelon de groupes de pays et peuvent proposer des normes pour la zone en question.
(…)
La Commission du Codex alimentarius compte actuellement 165 pays membres, représentant 98 % de la population mondiale.
Les normes
Le Codex compte plus de 220 normes visant des aliments individuels ou des groupes d’aliments.
Il comprend, en outre, la Norme générale pour l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées, les Lignes directrices générales Codex concernant les allégations et les Lignes directrices Codex concernant l’étiquetage nutritionnel, ces différents textes visant à assurer des pratiques loyales dans la vente des aliments, tout en guidant les consommateurs dans le choix des produits.
D’autres normes générales sur l’hygiène des aliments, les additifs alimentaires, les contaminants et les toxines dans les aliments et sur les aliments irradiés ont été adoptées dans un objectif de santé publique.
De même, des limites maximales de résidus pour les pesticides et les médicaments vétérinaires et des limites maximales pour les additifs alimentaires et les contaminants ont été fixées pour que les consommateurs ne soient pas exposés à des niveaux dangereux pour leur santé.
La fixation de telles règles peut appeler des travaux de grande ampleur : ainsi, pour le seul domaine des résidus de pesticides, quelque 3 300 limites maximales ont dù être fixées.
Codex Alimentarius
Source : Wiki
Le Codex Alimentarius est un programme commun de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) consistant en un recueil de normes, codes d’usages, directives et autres recommandations relatifs à la production et à la transformation agro-alimentaires qui ont pour objet la sécurité sanitaire des aliments, soit la protection des consommateurs et des travailleurs des filières alimentaires, et la préservation de l’environnement.
La Commission du Codex Alimentarius, en est l’organe exécutif. Cette organisation internationale, où siègent les représentants de près de 200 pays, a été créée en 1963 par la FAO et l’OMS. Elle est chargée d’élaborer des normes alimentaires, des définitions et des critères applicables aux aliments, de contribuer à leur harmonisation et donc, notamment, de faciliter les échanges internationaux. Elle joue un rôle prépondérant dans la normalisation alimentaire mondiale et a été reconnue à ce titre par les accords de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) sous réserve que ses prescriptions n’entravent pas les échanges si elles ne sont pas suffisamment scientifiquement étayées.
d'Après une recherche de Laurence Caramel
CONSÉQUENCE du « CODEX ALIMENTARIU » : Le piège se referme!!!
Codex Alimentarius le piege se referme sur l'alimentation
envoyé par samsamsong. - L'actualité du moment en vidéo.
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Un film à voir : "Nos Enfants nous accuseront"
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