Des chercheurs américains et australiens seraient victimes de menaces et de mails injurieux suscités par leurs travaux sur l’impact du réchauffement résultant des activités humaines.
Une importante organisation scientifique américaine, qui publie la revue de référence Science, s’est inquiétée mercredi dans une lettre ouverte d’informations faisant état d’attaques personnelles, de harcèlement et même de menaces de mort contre des climatologues.
L’Association américaine pour la promotion de la science (AAAS) se fait l’écho de plaintes de chercheurs, cibles de propos menaçants et de courriers électroniques injurieux suscités par leurs travaux sur l’impact du réchauffement climatique résultant des activités humaines.
L’AAAS rapporte, citant des articles de presse, qu’en Australie, des climatologues de haut niveau ont fait l’objet de campagnes incessantes à leur encontre par le biais de courriers électroniques, conduisant même la police à enquêter sur des menaces de morts.
Aux États-Unis, des élus du Congrès et des groupes de militants ont cherché à avoir accès à des dossiers détaillés de chercheurs travaillant sur le climat.
"Un environnement hostile qui empêche le libre échange de résultats"
L’AAAS précise que l’American Tradition Institute (ATI), un organisme ultra-conservateur, a demandé à ce que l’Université de Virginie lui procure des milliers de courriers électroniques et d’autres documents rédigés par Michael Mann, un ancien professeur de cette Université et éminent climatologue.
Ce harcèlement "crée un environnement hostile qui empêche le libre échange de résultats scientifiques et rend difficile la transmission d’informations aux décideurs et au grand public", écrivent les membres du conseil d’administration de l’AAAS dans leur lettre ouverte.
"L’AAAS s’oppose vigoureusement aux attaques qui visent des chercheurs et mettent en question leur intégrité personnelle et professionnelle ou les menacent en raison du mécontentement suscité par leurs conclusions scientifiques", poursuit l’AAAS.
"Les scientifiques et les décideurs politiques peuvent être en désaccord sur des conclusions scientifiques concernant le changement climatique (...), mais la communauté scientifique dispose de méthodes éprouvées et bien établies pour résoudre des désaccords suscités par les résultats de recherche", ajoute l’association...
Source : AFP via "Presse Libre"
Voir aussi cet autre article : "Les Scientifique du CERN bâillonnés"
la"source AFP" c'est pas la plus fraîche ^^
RépondreSupprimerAFP : Agence France Propagande. Il ne faut pas se contenter de regarder la glace fondre et se lamenter. Si on veut bien se donner la peine de se documenter ailleurs que chez le GIEC (agence onusienne intégralement au service du mondialisme), on découvre que l'univers entier contredit cette affirmation du réchauffement lié à l'activité humaine. Là, tu ne fais absolument pas ce travail, auquel tu substitue la logorée alarmiste officielle. Mais tu touches le fond avec cette histoire de menaces. Le GIEC, globalement est juste une réunion de médiocrité scientifique servile. L'objectif est de créer une ponction financière de plus sur les populations. Le "réchauffement" est un mythe défunt car déjà amplement "débunké", mais il atteindra peut-être son objectif malhonnête, grâce à la force d'inertie et le moutonisme général et ça c'est bien triste. Plus triste que de la glace qui fond régulièrement et se reconstitue de même depuis la nuit des temps.
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